calme et boisson (PV)

La nuit commençait a tomber sur cette ville, l’astre des astres disparaissait dans l’horizon pour retourner à un sommeil mérité, tandis que l’astre Lunaire se levait pour commencer à éclairer cette douce nuit de sa lumière blanche et paisible. Dans cette atmosphère sombre et inconnue, une ombre se faufilait avec douceur et silence dans les dédales de galeries qu’était ces lieux. Cette ombre passait de galerie en galerie tel un fantôme qui passait et circulait en silence dans les lymphes sans but ni vie.

A l’extérieur, une petite brise soufflait et se changeait en entrant dans les rues en vent qui soufflaient avec puissance et qui créait un son ressemblant à la plainte d’un être à la limite de la mort, un son triste et effroyable, une mélancolie meurtrière ne pouvant s’arrêter. Continuant à déambulant doucement dans ces galeries sans fin, cette être semblait chercher quelque chose, mais son identité restait toujours secret.

Soudain, au bout d’une rue, une lumière faible sembla s’allumer, tel un feu faible qui augmentait d’intensité au fur et à mesure que les pas de l’inconnu se rapprochaient du bout de cette galerie, chacun de ses pas se faisait plus appuyé et plus ferme, tel une détermination nouvellement retrouvée, qui se dirigeait avec force vers cette lumière devenue assez forte.

L’ombre continua à circuler jusqu'à arriver au bout d'une rue où la lumière était intense, et passa par un petit passage : là, une grande caverne s’étendait, et était éclairée par des trous et des fissures dans sa voûte rocheuse où la lune étendait sa domination par son éclat qui passait dans ses ouvertures.
Dans cette lumière lunaire, l’identité de cet être se dévoila enfin, et Zulian apparût dans les rayons lunaires, son long manteau sablé gravé de signes et sa capuche sur la tete

Son regard posé sur la voûte, il était calme et reposé, puis il enleva doucement son manteau qu’il posa sur le côté, contre la paroi de la caverne. Il regarda une nouvelle fois la voûte, et rabaissa son regard vers le centre de la caverne.

* Il faut que je puisse faire face à la mort elle même, je dois pouvoir augmenter mon niveau, pour pouvoir me mesurer a lui.*

Zulian s’avança vers le centre de la caverne, et se mit à genoux, il sortit hypérion, l'épée d'argent et d'or qu'il possedait et il planta la lame dans la terre de la caverne, en position verticale. Il prit son pendentif qu’il portait au cou, et le mit à sa main, il passa la chaîne entre ses doigts, et le médaillon tomba sur le dos de sa main. Il regarda l'épée, et se mit en tailleur, puis ferma les yeux.

zulian resta plusieurs heures assit ainsi, les yeux fermés, il était en osmose avec son environnement, son énergie passait doucement dans son corps jusqu'a son arme, son énergie était rassemblé tel un réservoir au fond de son corps, son esprit était en phase avec son arme, tel une union interdite. Normalement, les personnes déchaînaient et contrôlaient leur énergie avec leur corps, lui avait fait en sorte que son esprit soit lié intimement à son arme, l'esprit avait toujours été plus important pour lui que la force pure, il était naturel que ce qui émanait de lui était lié à ce qui était le plus important à ses yeux et donc qu'il devait lié ce qu'il été a sa lame.

" reveillez vous et devoilez vos esprits à mes yeux"

Pendant tout ce temps, il avait maintenant son esprit en osmose avec ces lieux, mais surtout avec ses créatures. En ce fait, il voulait ressentir et développer le potentiel qu'il avait depuis longtemps contrôlé, non comme une force brute se déchaînant, mais comme un potentiel de son esprit. A ses yeux, si son esprit était puissant, alors son arme le serait aussi.

Pour lui, ses créatures était comme ses allié puissant et mystérieux, qui avait été toujours avec lui, mais qui devait maintenant se déchaîner et évoluer entièrement dans ses mains. Son esprit était calme et fluide. regardant autour de lui, il se releva doucement et sortit de ces lieux et alla vers la taverne. remettant sa capuche, il alla vers une table au fond et s'asseya doucement

Sous les rayons lunaires, une silhouette se rend visible.

C'est une elfe, qui est habillée d'une longue cape noire d'où l'on ne voit plus son reste d'armure. Elle monte un cheval, ou plutôt une jument, qui se nomme Ombre. Cette femme s'appelle Ellana. Ellana Mirawë...

On entend les clapotis des sabots de son destrier. Apparemment, elle se dirige vers la taverne. Ce fut juste, elle s'arrêta nette devant la porte du lumineux lieu. La jeune femme prit Ombre et n'eut pas besoin de l'attacher, elle n'allait pas s'enfuir. Ellana l'emmena juste devant un tas de foin ainsi que d'eau, non loin de la taverne.

Ensuite, elle mit sa main sur son fourreau comme si elle devait combattre en entrant mais elle n'eut pas sortir sa lame de son étui. L'elfe s'en alla vers une table au fond. À côté de ma sienne, il y avait un elfe aux cheveux blonds vénitiens. Elle ne mit pas plus d'une petite minute à changer de table pour se retrouver en face du jeune homme.

- Bonsoir confrère.

Ses mots furent sympathiques et sans froideur.

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[Désolé si mon texte n'est pas comparable au tien ]