Arylwren Isàdith [Chef de l'Armée des Divins]

Nom : Isàdith

Prénom : Arylwren

Âge : 90 années.

Sexe : Féminin sans conteste.

Race : Elfe Sylvain, le Peuple Immortel.

Particularité : Wren n'a aucune particularité si ce n'est l'espoir qui la nourrit.

Alignement : Communauté de la Lumière.

Métier : Chef de l'Armée des Divins.

Classe d'arme : Corps à corps & Magie.

Équipement : Wren possède une dague dont la lame est gravé de caractères elfiques et son manche en ébène est orné d’or. Cette arme est discrète et très facile à manier lors de corps à corps. Elle l’utilise principalement en arme de secours lorsque son adversaire a réussi à la désarmer. L’elfe possède également une épée légère. L’épée en question, du nom d’Alcarinqua (La glorieuse), est très travaillée. Le manche en ébène est décoré par des feuilles gravées en or. La lame, quant à elle, est gravée de caractères et de décorations elfiques dorées. Quand elle ne l’utilise pas, elle la range dans son fourreau de cuir marron qui se trouve parfois à sa ceinture ou en travers de son dos. Wren a en sa possession une armure elfique faite sur mesure qu’elle revêt uniquement pour les grosses batailles et la guerre. Malgré son rang elle reste une elfe coquette et possède quelques belles robes qu’elle réserve pour les grands évènements.

Description physique : Arylwren est une elfe comme les autres malgré sa grande beauté. Elle est grande, approximativement un mètre soixante-dix, fine et élancée. De chacun de ses mouvements émane la grâce et l’agilité. Sa peau pâle mais quelque peu dorée affiche de nombreuses tâches de rousseur, héritage maternel. Sa longue chevelure châtain claire qui cascade jusqu’au milieu de son dos possède de jolis reflet roux. Une longue chevelure n’étant pas pratique pour se battre, elle noue souvent ses cheveux en queue de cheval ou en chignon. Ses yeux sont verts, profonds, presque envoûtants. Elle a une bouche fine et rosée qui rappelle quelques gourmandises humaines. Son petit nez est légèrement retroussé, droit et fin. Son visage a le trait fin et délicat, un rien juvénile. La jeune elfe n’arbore aucune formes féminine, caractéristique elfique. Lorsqu’elle se déplace, on pourrait croire qu’elle flotte au dessus du sol tellement elle est discrète et légère. Elle se déplace d’un pas sûr et déterminé lui donnant un air conquérant et sûre d’elle. Chacun de ses mouvements est réfléchis, à la foi souples et fluides, précis. La plupart du temps elle porte ses habits de voyages, lui laissant plus de liberté pour le combat et plus de confort pour les déplacements. Dans cette tenue elle n’est que peu féminine, les cheveux attachés et les coloris sombres. Lors de grandes batailles elle porte sa magnifique armure, décorée de feuilles de lierres en métal qui lui donne un air charismatique. Le fait qu’elle soit faite sur mesure lui permet d’être plus à l’aise dans ses mouvements donc plus précise, ce qui est un avantage sur le champ de bataille. Exceptionnellement il lui arrive de porter de belles robes typiquement elfiques lors de bals ou autres grands évènements.

Description mentale : La jeune elfe est d’un tempérament calme, discret. Elle est relativement patiente et compréhensive. Douce et attentionnée elle fait passer le bien-être d’autrui avant le sien. De nature sensible elle tente désespérément de se créer une carapace qui pourrait la rendre moins vulnérable. Elle est une personne souriante et agréable à vivre malgré son côté solitaire. C’est une elfe réfléchis et intelligente, très curieuse et aimant apprendre. C’est avec cette avidité d’apprendre qu’elle est devenue une excellente guerrière. Déterminée et courageuse elle ne recule devant rien pour défendre ses idéaux. Wren est plutôt anxieuse, se posant sans cesse des questions sur les choix passés ou à venir. Le combat qu’elle mène n’est pas de tout repos et porter le poids de son rang sur ses jeunes épaules est chose difficile. Grande rêveuse, elle aime laisser vagabonder son esprit vers un monde meilleur ainsi que raconter des histoires. Elle est une personne profondément bonne qui évite le plus possible les conflits et les combats inutiles. Elle préfère régler les problèmes avec les mots qu’avec l’épée et cela lui a valut quelques surprises. Arylwren ne supporte pas la méchanceté gratuite, la cruauté et la perfidie, ce qu’elle combat du mieux qu’elle peu.

Histoire :Arylwren, Wren pour les intimes, a grandit auprès de ses parents dans une contrée éloignée. Elle avait une enfance agréable et aisée. Ses parents étaient des gens plutôt importants, ils possédaient une baronnie. Oëann et Til-Gandir, ses parents, voyageaient un peu laissant la baronnie et Wren entre de bonnes mains. La petite elfe passait beaucoup de temps avec sa gouvernante, une complicité s'étant installée. Quand ils rentraient, ses parents revenaient toujours avec des milliers de souvenirs et d'histoires accompagné d'un petit présent pour leur fille.

Oëann était une belle elfe au regard envoûtant. Ses yeux marrons aux reflets verdoyants avaient fait tourner bien des têtes. Ses longs cheveux blonds encadraient son visage d'un doux tapis doré. Des taches de rousseurs parsemaient son visage, tout comme sa fille. Son visage et son attitude transpiraient la joie de vivre. Son rire cristallin était communicatif tout comme son habituelle bonne humeur.

Quant à Til-Gandir il était beau mais pas de la même façon que sa femme. Lui il était d'une beauté froide, loin de celle que l'on voit d'habitude. Ses yeux bleus teintés de gris étaient profonds, scindant. Sa peau pale contrastait fortement avec la noirceur des tatouages qui marquaient son visage. Ses cheveux blonds adoucissaient sa mine renfrognée. C'était un homme que l'on respectait rien qu'à l'allure et qui débordait de charisme.

Ils vivaient une vie de famille ordinaire et agréable. Wren, en plus d'être complice avec sa gouvernante et ses parents, l'était avec la plupart des animaux. A sa grande joie, la famille avait une tradition. De génération en génération ils élevaient une portée de loups qu'ils revendaient, excepté la femelle la plus vigoureuse de la portée. Ainsi chaque femelle perpétuait sa race chaque génération. Cette louve qui était gardée allait toujours à l'aîné de la famille. Arylwren étant fille unique, elle était assurée d'en avoir une.

La petite elfe vivait une enfance normale, ponctuée par l'enseignement et l'amusement. Leur petite baronnie se trouvant tout près d'une forêt, Wren allait souvent y jouer. Très respectueuse de la faune et de la flore elle aimait beaucoup passer des heures à l'observer, l'étudier. Sa mère était magicienne, son père, lui, était maître d'arme. Oëann était donc moins absente que son époux.

Sa chère maman s'évertuait à lui apprendre les bases de la musique et de la magie. La petite fille prenant tout cela pour un jeu, ne se montrait pas très attentive. Mais à force de patience et de temps, Arylwren finit par montrer un peu d'intérêt et de passion pour les enseignements de sa mère. Elle était plutôt douée même si ce n'était que les bases.

Le temps passa ainsi. Et un beau jour, Til-Gandir rentra chez lui la mine défaite. Il annonça à sa famille que les elfes noirs approchaient. A partir de ce jour tout changea. Oëann se mit longuement à potasser ses livres de magie. Son père rentrait moins souvent à la maison. Tout le pays était en effervescence. Mais la jeune fille ne comprenait pas pourquoi. Ce fut sa gouvernante qui prit le temps de le lui expliquer. Wren fut effrayée par ce qu'elle appris.

Un soir où son père rentra tôt, toujours la mine soucieuse, il annonça à la jeune adolescente qu'il était temps pour elle d'apprendre à se battre. Oëann aquiesca l'air inquiète. Le lendemain matin l'entraînement commença. Il lui apprit à se servir d'un arc puis il la forma plus en profondeur au maniement de l'épée. Chose pour laquelle, il faut l'avouer, elle était plutôt douée. Elle s'entraîna sans relâche, à cheval ou à pied. Sa mère l'obligeait à réviser ses bases magiques qu'elle devait essayer d'utiliser lors de ses entraînements.

Plus le temps passait, plus ses parents paraissaient soucieux. Arylwren, qui était à présent plus mature, en comprenait parfaitement la raison. A vrai dire elle aussi était inquiète. Le jour de recevoir sa louve était enfin arrivé et la jeune elfe en était toute excité. Elle reçut donc un petit louveteau qu'elle apprivoisa rapidement. Mais sa joie ne dura pas très longtemps. Les Drows étaient là, aux portes de la ville prêts à tout mettre à sac.

Til-Gandir partit donc au combat laissant sa famille la peur au ventre en une interminable attente. Les combats firent rage pendant de nombreux jours, ravageant la ville. Il y eut beaucoup de victimes mais les elfes noirs furent finalement vaincus. Deux jours après la fin de la bataille, elles reçurent de la visite à la Baronnie. Croyant que c’était Til-Gandir qui rentrait elles se précipitèrent à la porte. Mais ce n’était pas lui. Il s’agissait d’un ami de la famille, lui aussi combattant.


Sur le coup, Wren, crut qu’il allait leur annoncer que son père était blessé mais quand elle vit le regard si triste de l’homme, elle comprit que son père ne reviendrait jamais. La jeune elfe ne versa pas une larme, contrairement à sa mère. L’elfe leur apprit donc que Til-Gandir avait été tué par une flèche Drow empoisonnée. Il s’était battu avec hardiesse et été mort avec honneur selon lui. L’homme repartit laissant la maisonnée en deuil.

Oëann ne parvenait pas à faire le deuil. Cela faisait un mois que son époux était décédé mais elle ne parvenait toujours pas à sécher ses larmes. Arylwren faisait tout son possible pour lui redonner le sourire mais rien ne semblait marcher. Elle-même était affreusement triste mais elle ne voulait pas le montrer devant sa mère. Mieux valait la ménager. Le temps passa ainsi sans que rien ne change. Sa mère pleurait toujours et Wren continuait son apprentissage tant bien que mal.

Un jour l’elfe fut appelé au chevet de sa mère. Elle était horriblement faible, pâle, comme mourante. Oëann lui donna des instructions et des conseils pour la suite. Elle lui raconta une dernière fois son histoire préférée puis elle lui expliqua que le chagrin était en train de la tuer. Elle aimait tellement son époux que vivre sans lui, lui paraissait impossible. Au bout de quelques jours elle mourut. Wren se retrouva donc orpheline. Et elle pleura. Autant pour la mort de son père que pour celle de sa mère. Til-Gandir et Oëann Isàdith n’étaient plus.

N’étant pas majeure, elle fut confiée à un cousin ainsi que la baronnie. Mais elle n’avait plus qu’une idée en tête, partir. Elle s’entraîna longuement, fit forger une épée et une armure sur mesure puis une fois prête, elle annonça son départ. C’est son histoire préférée, que sa mère lui avait raconté une dernière fois quelques temps plus tôt, qui lui indiqua sa destination. Elle prit vivres et autres affaires, Newynog sa louve, fit préparer sa monture et s’en alla.

L’histoire racontait la vie d’Isil, une femme qui avait monté une armée dans le but de détruire la menace Drows. Tout cela se passait à Miradelphia, une contrée lointaine. Wren sut donc où elle devait se rendre. Ses parents avaient quelques connaissances là-bas et elle savait qu’elle serait bien reçue. Les mois et les saisons défilèrent. Elle rencontra de nombreuses personnes pendant son voyage, connus beaucoup d’auberges et croisa beaucoup de route. Mais finalement, au bout de nombreux mois, elle arriva à destination.

Elle s’installa près de la forêt Anaëh, aidée par des amis à ses parents. La rage au ventre, elle commença ses recherches sur l’Armée des Divins. Mais bien vite elle apprit que la pauvre Isil était morte au combat, laissant son armée tomber dans l’oubli. Voilà que son périple s’achevait sur un goût amer. Elle était venue dans le but de rejoindre cette armée mais tous ses projets tombaient à l’eau. Après de nombreuses nuits au sommeil agité, elle décida de refaire vivre cette armée. Elle le devait.

La rumeur se propageant à grande vitesse, elle fut vite rejoint par de nombreuse personnes. L’Armée des Divins revivait. Malgré son jeune âge, elle resta au commande de la troupe et fut vite respecté. A sa grande joie, l’espoir semblait réapparaître. Le temps passa, et, les rangs de l’armée maintenant bien remplis, il fallut trouver un endroit pour tous les abriter.
Unae Rhya de Serramire, Duc de Serramire, faisant partit de la guilde, proposa de construire le Quartier Général sur ses terres. C’est ainsi qu’Osto Telepsa vit le jour. Les membres de l’Armée des Divins avaient à présent un endroit pour s’entraîner et vivre. La menace Drows était toujours existante et Miradelphia en avait subit les conséquences. La guerre fut donc déclarée.


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Comment trouves-tu le forum ? : Le contexte est complet, le graphisme est agréable et l'ambiance y est généralement bonne.

Comment as-tu connu le forum ? : Par un top site il me semble, ça fait un moment maintenant. ^^

Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine
et nom de l'artiste dans la mesure du possible) :
Anathematixs
L'image d'origine

Et bien je me permets de te souhaiter la bienvenue, avec cette nouvelle histoire et donc ce nouveau passé! Attention Arylwren, maintenant papy te surveille, et oui, le vieux fou te guette

Ouf, si je suis excusé alors, je me sens mieux. Quoi que, je ne clamerais jamais assea haut et fort que vous auriez dû m'elir le plus fou et pas le plus sage ici, en tout cas tout cela me donne envie de poser une question ... a t on une idée de l'etendu du monde dans lequel Miradelphia semble de plus en plus ressembler à une simple province?

[Merria] Oui... enfin, en un sens : on a quelques 'petites' îles paumées autour de Miradelphia, le reste... Eau, eau, eau. Eau. Et eau

Merci papy! :D Tu me guette?

Merci Merriachou!

Pour les incohérences y en a pas, vu que j'ai repris les grandes lignes de mon ancienne histoire. Arylwren est une hors-Mira depuis sa création. ^^