Pearla [Baronne d'Alonna]

Nom/Prénom : Pearla d'Alonna

Âge : 35 ans

Sexe : femme

Race : humaine

Particularité :

Avec ses talents de manipulatrice hors pair, on la distingue assez souvent de son entourage (voir physique pour le reste)

Alignement : neutre

Métier : Baronne d'Alonna

Classe d'arme : Corps à corps

Équipement :

Pearla ne porte pas d’armes, à l’exception d’une épée, qu’elle a hérité de son père, cette épée a une très grande valeur morale et matériele, c’est un peu le trésor de famille qu’on se transmet de génération en génération, sa lame est fine et droite à double tranchant, avec une extrémité effilée, son manche est cruciforme et droit, en son milieu, un œil y est incrusté, pas n'importe le quel, celui d'un grand général d'armé, jusqu'alors son nom lui est inconnu. L'épée a la longueur propice, celle-ci possèdent néanmoins un petit inconvénient, du fait qu'elle est faite d'or, l'arme est assez lourde à porter comme à magner, cependant avec le temps la baronne réussit à s'y adapter parfaitement, et maintenant la magner est un jeu d'enfant pour elle.
Côté bijou, elle en porte très peu, a vrai dire elle ne porte qu’un collier simple et très raffiné. Composé d’un fil synthétique très fin et d’un pendentif orné d’un saphir de belle qualité, ainsi qu’une bague, celle-ci est d’une couleur or gris sertis d’un rubis et épaulé de 9 autres rubis.

Description physique :

Une volonté d'acier pour un corps semblant personnifier le velours de la sensualité féminine. Son corps athlétique, est taillé à renfort de musculature et de régimes, sa silhouette élancée est svelte mais vigoureuse, et sa peau est plus ou moins blanche, avec deux tatouages, très significatifs, le premier se situe sur son avant bras, la marque représentée est la même que celle qu'on pourra contempler à l'entrée de sa noble demeure, ce tatouage fait office pour elle d'ornement, le deuxième tatouage qui cette fois se situe sur sa main droite a une signification bien simple, cela représente l'œil qui est incrusté dans l'épée qu'elle a hérité, elle s'est fait tatouer ces deux marques à l'encontre de la volonté de son père, mais peu lui importait, sa chevelure est d'une couleur safran, des beaux yeux tirant sur le doré, un nez fin, un sourire angélique qui trompe si bien sa nature manipulatrice, ses doigts très fins, avec des ongles pointus, elle s'habille généralement que de chose légères, mis a part lors de grandes occasions où là elle est bien obligé de porter ses belles robes, son déguisement si parfait viendrait même cacher son intelligence exceptionnel , qui croirait qu'une tel femme de nature manipulatrice, avec un tel physique, cacherait une si grande intelligence et capacité mental?

Description mentale :

Pearla a beaucoup d’assurance, c’est quelqu’un de très sûr d’elle, elle ne regrette jamais les décisions qu’elle aurait prit et assume toujours ses actes, si elle possède bien une qualité c’est celle d’accorder toujours le bénéfice du doute aux autres. Dès son plus jeune âge un esprit de compétition s’installa en elle, c’est de là d’ailleurs d’où provient son obstination à aller jusqu’au bout de tout ce qu’elle entreprend, elle est capable de déployer les moyens les plus fous pour parvenir à ses fins, la baronne aime tous ce qui la fait paraître plus intelligente, plus jeune, ce qui lui renvoie une image positive d'elle-même. Par contre elle déteste par dessus tout ce qui pourrait lui faire ombre, ou encore lui résiste, tous ce qui pourrait la faire se dévaloriser.
En société, elle aime briller aux yeux de tous, et aime être le centre d’attention des nobles. A de nombreuse reprise elle en a ridiculiser plus d’un et tous cela rien que dans le but de se glorifier, c’est terrible. Mais d’autre part elle possède son côté, sereine, douce, attentionné, sensible, ça lui arrive même d’être très sage, de se contenter de s’enfermer dans son bureau et de lire, par contre elle est très renfermée, elle ne dévoile jamais rien sur ses projets ou son passé.

Histoire :

Pearla était vêtue d’une robe, à vrai dire, il se faisait tard, cependant le sommeil ne parvenait pas à l’emporter au pays des rêves, alors elle entreprit de se diriger vers la bibliothèque du château, pour consulter un ouvrage qui lui était destiné. Sa noble mère qui était si belle qu’on ne pouvait trouver pareille beauté dans le pays, se rappelant comment elle était, presque toujours habillée de grands pans de tissus formant, par une succession de plis et de nœuds divers. Le tissu, blanc comme neige, était très léger que pour épouser ses formes, et s’agite doucement au rythme de ses pas, sa démarche était si légère et féminine, sa silhouette fine, presque fragile, ses bras étaient ornés de bracelets et de chaînes d’or. A cette simple pensée une larme coula sur sa joue, ce qui était rare chez elle, pour la première fois elle se sentait désemparer et seul, regrettant ce qu’elle était devenu. Elle essuya ses larmes d’un revers de main, et continua à sombrer dans ses pensée, sa mère était morte trop tôt, sans avoir le temps de lui enseigner toutes ses vertus, et de la renseigner d’avantage sur ce bas monde, néanmoins elle lui laissa pour « cadeau » ce livre, écrit par elle en personne, où d’après celle-ci tout lui est raconter depuis sa naissance, car la baronne n'avait pas eut le temps de bien connaître son passé, mais au fur et à mesure que les jours passaient, quelques vagues souvenirs refaisaient surface.
Il se trouvait toujours dans la bibliothèque à l’endroit que lui avait indiqué sa mère, mais Pearla n’avait pas eu le courage pendant toutes ces longues années d’aller le consulter. A chaque fois, elle repoussait ce moment parce qu’elle n’était pas encore prête, mais ce soir là, elle avait prit son courage à deux mains, et entra dans la bibliothèque.
L’endroit en lui-même était magnifique, d’ailleurs à chaque fois, cela l’émerveillait un petit peu plus, une pierre dure, semblant immortelle, et pourtant gravée ça et là de manière tellement fine qu’elle en semblerait même fragile et délicate. La baronne avait toujours aimé l’alliance de baroque et de gothique flamboyant dans les décorations de grands édifices, comme celui-ci.
Marchant de rayon en rayon, l’entourage d’ouvrages lui rappela sa grande passion pour la lecture. Une émotion sincère et spontanée, comme il était rare qu’elle en ait. Elle trouva enfin le journal intime de sa mère, elle le sortit. C’était un livre noir poussiéreux, c’était le moment de vérité, l’instant ou tout lui serait révéler, elle ouvrit l'ouvrage et commença à lire:

Ah quel divin moment que ce matin où tu naquis
En cette ville sainte qu'est Diantra
La vague obscurité prend un teint bleuissant.

Et l’horizon éteint entrouvre tes paupières
Quand s’étire la nuit de ses bras opalins.
Le vent timidement te frôle de câlins.
Sur ta peau le soleil fait danser des lumières.

Mon seul rêve prend vie , dans l’odeur du jasmin
Soudain s’exhaleront d’autres senteurs suaves

Tu tiens tes yeux mi-clos, ton corps si paresseux,
Me regardant avec ton sourire si angélique

Ton père s'approchant de toi,
Te souhaitant la bienvenue au cœur de la vie

A ce moment là,
Nous décidâmes de te baptiser "Pearla."

En lisant ce poème qui lui était destiné, elle sentit une boule se nouer dans sa gorge, sa mère était décédée alors qu'elle était encore très jeune, elle ne saurait dire à qu'elle âge exactement, car elle ne s'en rappelait plus.
Son père était parti sans jamais revenir, c'était le seul véritable souvenir dont elle se rappelait, mis a part celui de sa mère. Son seul souvenir de lui remonta petit à petit, sa silhouette se dessina dans son esprit, ses cheveux étaient d'une couleur noire et mi-long, cascadant par mèches d'une couleur noisette, parfois jusque devant ses yeux bicolores, surmontés de fins sourcils et protégés de verres de lunette ronds. C'était lors de ses cinq ans. Une autre larme coula, pourquoi avait-il fuit? Étais-ce à cause d'elle? Elle tourna une autre page et recommença à lire:

Je sais bien que ma mort est proche, car je suis gravement atteinte d'une maladie mortelle, c'est pour cela que j'ai eu l'idée d'écrire cet ouvrage, dans lequel j'essayerai de répondre à toutes les questions qui te tourmentent.
Ton père était un homme juste et bon, mais un peu prétentieux. Pour tout te dire, il n'était pas modeste du tout, tout au contraire, il aimait briller aux yeux des autres, c'est surement de là que vient ton caractère. Il nous a quitté alors que tu n'avais que 5 ans, je suppose que tu aimerais en connaître la raison, eh bien moi je ne la connais pas. Il avait eut un entretien avec un certain homme, que je n'avais jamais encore aperçu auparavent. Après qu'il se soit retiré, ton père survint dans notre chambre, en me disant la mine grave:

-Je dois partir, je ne peux plus rester ici, sinon toi et Pearla vous serez exposer à un trop grand danger, mais je voudrais qu'une fois que Pearla soit plus grande que tu lui remettes ce présent pour moi, accompagné de ce parchemin.

Sur ces mots, il sortit son épée, une très belle épée, et me la donna avec ce petit parchemin, où il était écrit:

Mes mains te cherchent dans la nuit
Mais près de moi la place est vide
J'attends un peu et je me dis

Que dans quelques temps tu combleras ce vide
J'ai rêvé toute ma vie d'avoir un enfant tel que toi
Et mon vœu fut exaucé grâce aux dieux

Tu as rempli mon cœur de joie
Quand il sombrait dans les ténèbres
Et a fait de ma vie un paradis de bonheur

En partant je suis conscient de tout le mal que je t’inflige
La haine que tu éprouve, en ce moment pour moi
Est justifiée et je m’en excuse

Pardonne moi pour tout le mal que je te fais
Mon cœur souffre à présent
De t'avoir fait souffrir plus que jamais

Sache que je t'aimerai toujours et pour la vie
Et que je ne suis parti
Que pour ne pas te faire payais mes erreurs

Alors accepte ce présent
Et ne crois pas ce qu’on raconte sur moi
Je ne vie que pour toi
Alors promet moi

D’être digne de ton père
Un jour je reviendrais
Je t’en fais serment
Et on recommencera tous comme avant.

Pearla leva de nouveaux les yeux au plafond, son père, sa mère étaient de grands poètes, elle sentait des larmes glacées couler sur son doux visage, elle dit comme si son père pouvait l'entendre:

- Non père, rien ne pourra être comme avant à présent, rien de ce que tu diras, ne pourra changer ce qu'à tu as fais. Tu peux être l'homme le plus juste en ce monde, ta fuite peut être justifiée mais Mère ne méritait pas ça, ni moi d'ailleurs.

Elle posa son regard de nouveau sur la page ouverte:

Ensuite il rangea ses affaires dans un sac, et se dirigea vers les boxs des chevaux, je parvins à le rattraper et le questionnai:

-Pourquoi fuir? Que c'est-il passé avec cet homme? Et qui était-ce?

Sherwiln, c'était le nom de ton père, se hissa sur sa monture, et m'adressa un dernier regard, accompagné de ces seulzs paroles, qui restèrent gravées à tous jamais dans ma mémoire:

-Mieux vaut pour toi et notre fille, que tu n'en sached rien, adieu mon éternel amour. Et ne m’oublie ps, je reviendrai un jour pour vous.

Et sur ce, il galopa vers l'horizon. Pendant des nuits et des nuits, mon chagrin ne s'estompa point, mes larmes ne firent que couler, avec la même question qui surgissait à chaque fois: "Que sait-il passé avec cet homme?". Alors j'ai tenté de le retrouver, sans succès, la seule chose qui me donnait un peu de force, c’était le fait de penser qu’un jour il reviendrait.
Cependant après trois ans, des hommes vinrent au château, ils avaient tous une monture, l'homme qui semblait être leur chef s'avança vers moi et me fit une révérence, ensuite il me demanda, d'un ton plus strict et sévère,:

-Où est donc le baron d'Alonna?

J'ai simplement répondu qu'il n'était pas là pour le moment. L'homme qui me parlait était un elfe, aux longs cheveux noirs, ses sourcils foncés surmontaient ses yeux verts au regard intense .Ce dernier semblait très léger mais à la fois très musclé. Le bout de ses oreilles était pointu. Il rajouta:

-Pouvons-nous entrer pour vérifier?

Je n'ai pas accepté, sans donner de raison, alors un autre elfe s'apprêta à protester, mais leur chef, le fit taire, et se contenta de me remercier, puis ils s'en allèrent, je pu discerner un seul mot: " lâche", ils parlaient surement de Sherwiln, mais je refusais de le croire, ton père ne pouvait être un lâche.

Pour la baronne plus elle avançait dans sa lecture, plus les questions redoublaient. Elle leva les yeux, en se demandant "Serais-je la fille d'un lâche?". Si c'était le cas jamais elle ne pourrait l'admettre. Elle referma le journal de sa mère, pendant un instant, tentant de reprendre ses esprits, elle y parvint après quelques minutes et décida après mure réflexion de continuer à parcourir l'écrit, elle reprit sa lecture en lisant dans un murmure à peine audible:

C'est très dur pour moi de replonger dans le passé, mais j'estime que tu as le droit de connaître la vérité, alors je vais continuer.
Les jours passèrent, puis les mois, ensuite les années, et au fur et à mesure, je m'adaptais. Tu étais notre seule est unique enfant, et ton père n'avait pas de famille en dehors de moi et de toi, et donc tu étais la seule et unique héritière.
Lors de tes dix ans, les médecins m'apprirent que j'étais gravement atteinte d'une maladie mortelle, et qu'ils estimaient ma durée de vie à un an au grand maximum, alors j'ai tous préparé pour toi, je t'ai laissé l'épée de ton père, tu as hérité du château, et du titre de baronne d’Alonna, j'espère que tu en seras digne mais je n'en doute pas.
Ensuite un an passa, et comme l'avaient dit les médecins, en ce sombre jour d'hiver mon heure a sonné, je suis faible, je n'ai plus la force de vivre, mais je garde ma plume près de moi, continuant à t'écrire jusqu'à ma dernière seconde de vie, je te dis adieu ma fille, soit forte, et digne d’être ma fille et celle de ton père, prend les bonnes décisions, et marie toi avec un homme digne de toi. Un dernier poème d’adieu pour toi :

Je veux t’écrire, un poème, en guise d’adieu
Cela te ferait-il, venir des larmes aux yeux ?
J’aurais tant aimé être là à tes côtés
Pour te revoir ne serais-ce qu'une seule fois.

Il ne m’a manqué, ni la foi, ni le courage
J’en ai usé beaucoup, et même d’avantage
Mais à se battre, toujours contre un mur
Vu que là je ne serais plus là pour toi

Dès lors du devras te débrouiller seule
Je sais que tu y parviendras
Il est temps de te faire mes adieux
Et que dans tes yeux renaissent les lueurs des rares moments passer ensemble.

Je regrette de ne pas avoir passer plus de temps avec toi
J’espère que seule les plus beaux moment resteront
Gravé dans ta mémoire, dans tes pensées.
Adieu...

Pearla referma le journal, c’était tellement beau, elle ne savait plus quoi penser.
Elle revit le moment où on lui annonça la mort de sa mère, elle avait déjà 12 ans et pourtant elle n'avait pas réalisé ce que ca voulait vraiment dire, du moins ne voulait pas l'admettre. Elle était repartie s'entraîner, sans manifester le moindre sentiment mais au fond elle savait bien ce que cela signifiait, elle était restée froide, elle le regrettait, c'est bien la seule chose qu'elle regrette dans son passé, la seule et unique.
A ce moment là entra dans la grande pièce son époux, un elfe comme tous les elfes, le baron est d’une grande beauté. Majestueusement grand, sa fine musculature, lui va tellement bien. Ses cheveux sont blonds comme les blés, toujours bien coiffés, et de tailles moyennes, lui arrivant au niveau des épaules, ses yeux sont d'une couleur argentée, tel un reflet de lune sur un étang. Ils sont purs et limpides comme un torrent glacé, et ceux qui y plongent le regard, s’en souviennent à jamais. Ses trait sont très fins, et un charme sauvage s'en dégage. Sa peau est de couleur albatre, il veille à son entretien par magie, son nez est bien disproportionné avec son visage. Sa bouche est tout aussi fine. Ses oreilles, comme vous devinez surement, sont pointues, et c’est l’une de ses plus grandes fiertés. Il était vêtu d'un gilet en peau de daim, avec en dessous une chemise à jabot de dentelle de couleur blanche, et rentre dans son pantalon noir. Ce dernier questionna alors son épouse:

-Que fais-tu ici, en ce lieu, à une heure si tardive?

Elle se contenta de lui poser le journal de sa mère entre ses mains, et sans un mot monta se coucher.
Puis le lendemain, comme chaque matin un soldat revient de la bataille et fit son conte rendu à la baronne. Celle-ci était en compagnie de son époux, a vrai dire il ne pouvait aller défendre ses terres car ce-dernier était blessé à la jambe, les médecins lui avaient clairement défendu d'aller se battre, sinon ils seront dans l'obligation de l'amputerd'une jambe. Le soldat fit une révérence, puis relever simplement sa tête pour dire:

-Madame, Monsieur, comment allez-vous?

Je répondis simplement :

-Allez droit au but.

Alors il s'exécuta :

-La bataille est finit, après l'intervention de l'armée, on a put prendre le dessus, les assaillant on était repousser, cependant les dégâts matériels sont considérables, sans compter le nombre de mort dans notre camp et les blessés, le chef de l'armée, viendra tout à l'heure faire son propre rapport plus détaillée.

La baronne commença à sombrer dans ses pensée, mais en ressortit rapidement avec la seul pensée que la bataille était finit et se contenta de dire au soldat:

-Bien, merci, vous pouvez vous retirez.

Une fois que le soldat fut sortit, elle se contenta de regarder Edward, c'est ainsi que se nomme son époux, puis sortit à son tour le laissant seule, et se dirigea vers son bureau.

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Comment trouves-tu le forum ? : Bien
Comment as-tu connu le forum ? : Par mon frère (Merwyn)
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : http://lastevent.iquebec.com/filles9.htm

Bonjour et bienvenue.

J'aimerai qu'au cours de ton histoire, tu évoques Alonna. Après tout ta baronnie a été attaquée, le château a manqué d'être assiégé et vous ne devez votre survie qu'à l'intervention de l'armée. Il y a eu de nombreux morts.
Juste un passage à ce sujet et je valide.

Attention toutefois aux phrases trop longues et aux fautes d'orthographe.

A ce propos, j'aimerai que tu rectifies celle-là :

Citation :

En effet avant de mourir sa noble mère, qui était si belle qu’on ne pouvait trouver pareille beauté dans le pays, se rappelant comment elle était, presque toujours habillée de grands pans de tissus formant, par une succession de plis et de nœuds divers. Le tissu, blanc comme neige, était très léger que pour épouser ses formes, et s’agite doucement au rythme de ses pas, sa démarche était si légère et féminine, sa silhouette fine, presque fragile, ses bras étaient ornés de bracelets et de chaînes d’or, a cette simple pensée une larme coula sur sa joue, ce qui était rare chez elle, pour la première fois elle se sentait désemparer et seul, regrettant ce qu’elle était devenu, elle essuya ses larmes d’un revers de main, et continua à sombrer dans ses pensée, sa mère était morte trop tôt, sans avoir le temps de lui enseigner toutes ses vertus, et de la renseigner d’avantage sur ce bas monde, néanmoins elle lui laissa pour « cadeau » ce livre, écrit par elle en personne, où d’après celle-ci tout lui est raconter depuis sa naissance, car la baronne n'avait pas eut le temps de bien connaître son passé, mais au fur et à mesure que les jours passaient, quelques vagues souvenirs refaisaient surface.

J'ai rien compris ^^ Tu commences une phrase et tu te perds dans la description de vêtements, si bien qu'on ne sait plus quel est le sujet et le verbe. Raccourcis, tes phrases, ça évitera qu'on s'embrouille et qu'on arrive à la fin, en se demandant c'était quoi le début xD

voilà je pense avoir tout rectifier, et j'ai aussi rajouter le passage sur Alonna. Je ferai plus attention aux fautes d'orthographe au cours des rp, et des longues phrases.

C'est bon, je valide!

Voici quelques liens utiles pour commencer :

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Bon jeu! Ta baronnie t'attend (au passage si tu as une image de chateau pour ta baronnie, envoie la moi par MP, je la mettrais pour ton sous forum.