Gadadngor [Mercenaire]

Nom/Prénom : Fel'Atis Gadadngor
Âge : 120 ans
Sexe : Masculin
Race : Drow
Particularité : Crâne dégarnie

Alignement : Loyal aux Trium Virat et à son propre code de conduite.

Métier : Mercenaire
Classe d’arme : Corps à corps.

Équipement : Un demi-plastron en fer couronné d’un harnois rejoignant les deux extrémités de sa ceinture de cuire. Recouvert d’une longue toge noire et d’une cape tout aussi noire. Gadadngor ce bat avec un Cimeterre à deux mains en fer.


Description Physique : Gadadngor ne possède aucun signe physique d’apparence particulière, sa grandeur est de même taille que la moyenne de sa race et sa stature n’en est pas moins élancer tel que tout les autres elfes. D’une peau de couleur d’ébène, ses yeux contrastent d’un rouge écarlate inhabituel se rapprochant de la couleur du sang. Le crâne dégarni de la moindre parcelle de cheveux est une fierté pour lui. Ses habits sont le plus souvent formés d’un léger demi-plastron disposé à lui permettre d’agir en toute dextérité. Recouvert le plus habituellement d’une longue toge noir, nul ne pourrait expliquer avec précision le caprice de se dernier.

Description Psychologique : Gadadngor est un être réfléchit commettant le mal par choix personnel et par appât du gain sans toutefois être verser dans l’infamie qu’il juge inutile. Ayant un sens de l’honneur élever, il possède cependant un goût pour le pouvoir non négligeable, bien qu’il lutte contre le chaos, il n’hésitera pas à s’emparer du pouvoir lorsqu’une opportunité se présentera à lui. Armé d’un certain narcissisme, d’un égocentrisme flagrant et d’une piteuse arrogance, Gadadngor est néanmoins un être loyal envers ceux qu’il choisi d’honorer.

Ce que Gadadngor déteste : Tout ce qui est déloyal, les traîtres et plus que tout les lâches. Ceux qui commettent des crimes inutiles par simple désire ou ceux qui agissent sans réfléchir aux conséquences de leurs actes. Gadadngor n’accepteras pas le viole et l’assassina, acte qu’il considère d’une lâcheté déplorable.

Ce que Gadadngor apprécie : Gadadngor « aime » tout ce qui peut lui rapporter un quelconque pouvoir, étant d’une ambition sans limites il fera tout en son pouvoir pour obtenir ce qu’il désire sans toutefois trépasser les limites de son « propre code de conduite. » Gadadngor aime le respect, la politesse et la généralité de tout ce que l’ont peut qualifier de « Mal ».

Le code de conduite de Gadadngor :

1er : « La mort est une nécessité lorsque l’adversaire refusera d’accepter la défaite, si par contre celui-ci reconnait la victoire il méritera de vivre. »

2ème : « La vie est une denrée précieuse pour ceux qui ont la capacité de reconnaître leurs erreurs, si ceux-ci ne peuvent pas être corrigés, l’instigateur de ces mêmes erreurs devras en payer le prix. »

3ème : « L’ambition personnel ne dois jamais nuire au bien de l’état, si une action ambitieuse mettrait en péril l’état, elle doit être rectifié ou encore sanctionné »

4ème : « La confiance n’existe pas, seul la loyauté envers une parole donnée doit être respecté, si elle ne l’ais pas la langue de celui qui là prononcé mérite d’être coupée. »

5ème : « L’adversaire doit être considéré avec respect, l’ennemi d’aujourd’hui peut s’avérer l’allier de demain. »


Histoire :

Par une nuit ou les étoiles étaient largement visibles dans le ciel, par une nuit où la lune prépondérante dans sa splendeur illuminait les voyageurs par sa prestance de puissants cris retentissaient à travers la forêt bordant le volcan du puy d’Elda. Dans un abri de fortune, composé principalement de bois rond, un homme restait debout face à une Nimbelfe qui était couché sur le lit qu’il lui avait préparé. L’homme n’aurait jamais laissé cette peau sombre pénétrer dans le seul abri qu’il possédait mais dans une circonstance comme celle-ci il n’avait pus qu’écouter les vœux de la vie et il avait finalement décidé d’aider la jeune créature. Jeune semblait être un euphémisme car il savait qu’ au-delà d’une apparence de jeune femme ce dissimulais une créature à l’âge vénérable, un âge qu’il n’atteindrait malheureusement jamais. Étrangement son corps frémissait tout autant que celui de la jeune créature, en autre circonstance, le rodeur aurait sans doute observé sa délicieuse poitrine et peut-être aurait-il osé courtiser l’elfe à la peau sombre. Cette idée qui lui traversa l’esprit disparue aussitôt qu’il entendit la délicate créature gémir de douleur, ses muscles atrophiés par la nervosité l’empêchait de bouger et lorsque cette même créature qu’il avait trouvée délicate lui vociféra des injures, l’homme reprit ses esprits et l’aide dans son périlleux « travail ». Ce qui aurait dû être un symbole sacré dans la culture des elfes noirs, ce transforma bientôt en une séance de torture qui raisonnait jusqu’aux confins de la sombre forêt. L’accouchement de Lerinna Fel’Atis lui était une véritable torture, non parce qu’il en souffrait physiquement mais bien parce qu’il était complètement impuissant face à cette situation qui lui semblait totalement frivole.

L’elfe à la peau sombre réussi finalement, entre deux cris d’agonie, de dicter des ordres lucides à l’homme en lui expliquant qu’il allait devoir l’aider à faire émerger sa progéniture. Prenant son courage à deux mains, l’homme empoigna une bassine d’eau dans lequel il y imbiba une lingette de soie de ce même liquide et nettoya, avec une certaine répulsion, l’entrejambe de la créature. Quelques minutes suffirent afin qu’une minuscule tête d’elfe noir émerge de l’organe reproducteur de la nimbelf et il pût en coordonnant les poussée de la mère, réussir à sauver l’enfant d’une étreinte que le cordon beylical aurait sans le moindre doute étouffé. À sa grande surprise, une seconde tête essayait d’émerger du mystérieux orifice, procédant de la même façon que la première fois, il réussi finalement à accouché le second bébé et à le nettoyer du sang noirâtre qui recouvrait ses minuscules narines. Quelques secondes plus tard, le rodeur se retourna vers la mère afin de lui montrer les merveilleux garçons qu’elle avait engendrés mais à sa grande surprise, elle ne respirait plus. L’homme resta un long moment silencieux, désabusé par une situation qui ne lui convenait pas, déraciné à l’idée qu’il devrait tué les deux enfants ou encore les « adopter ». Dans un soupire de découragement, l’homme dégaina une épée de son fourreau et s’apprêta à tuer le second nimbelf qui était née. L’homme ferma les yeux, laissant son inconscience guidé ses mouvement, sa lame s’éleva au-dessus du jeune nourrisson et alors qu’il entreprit d’accomplir l’acte final. D’un mouvement rapide, l’homme passa la lame au-dessus de chacun des nourrissons et à chaque fois qu’il l’abattait près de la tête de l’un d’entre eux il entendais de lourd gémissements venant de l'orifice buccal de l'un des deux enfants. C’est ainsi, dans une situation totalement insipide que le rodeur décida d’adopter les deux jeunes elfes noirs, c’est ainsi qu’il les baptisa, l’un Gadadngor et l’autre Ryzam. ..

L’enfance de Gadadngor pouvait être comparable à celui d’un jeune humain, qui aurait eu un frère et qui aurait eu une tendance développé du sadisme et de la soif de sang. Très jeunes, les deux frères s’exerçaient à ce combattre l’un et l’autre afin de démontrer leurs supériorité, contrairement à deux enfants humains, les deux jeunes enfants survivait uniquement parce qu’ils étaient aussi faible l’un comme l’autre. C’était du moins ce que leur disait leur « père » lorsqu’il les regardait se battre, étrangement celui-ci prenait plaisir à voir la détermination avec lequel les deux êtres tentaient de prouver qu’ils étaient plus « puissants » que son adversaire. Quelques-fois le rodeur observait le « duel » jusqu’à ce qu’il puisse tenter de déterminer un gagnant et bien malheureusement il dû admettre qu’aucun des deux n’étaient supérieurs à l’autre. Durant une nuit entière il les regardas ce battre avec la plus grande attention, intervenant quelques fois afin de leurs apprendre comment tenir une arme ou encore effectuer des manœuvres qu’ils ne connaissaient pas et à tous les Tariho ils en adoptait la tradition. « Le jour du duel » était un moment que les deux jeunes enfants s’extasiaient d’attendre et durant les huit jours précédant « le jour du duel » ils devaient s’entrainer et apprendre à se respecter mutuellement. Contrairement à la tradition des elfes noirs, que le rodeur ne connaissait pas, leurs «père adoptif » leur apprenait à s’entraider ainsi qu’à vivre en « frères » plutôt que de prime à bord en rivaux. Le rodeur leurs appris entre autre à respecter la force des armes et à honorer le guerrier qui le méritait.

La jeunesse des deux elfes noirs se termina abruptement le jour où ils rencontrèrent un régiment d’elfe noir patrouillé la zone dans lequel les deux jeunes frères avaient décidés de s’entraîner. D’un bref regard de l’un à l’autre, tous les deux savait ce qui allait se produire advenant la découverte de leurs passé ainsi que de l’homme qui les avaient élevés. Sans dire le moindre mot, ils foncèrent jusqu’à l’abri de leurs « père adoptif » et tous deux expliquèrent au rodeur ce qu’ils avaient vue. Dans un sourire transcendant, le vielle homme empoigna une épée et leurs expliqua que si ils ne le tuaient pas ce serait lui qui les tueraient. Les deux frères n’eurent donc aucun autre choix et dans un combat spectaculaire ils tranchèrent la chaire de leur maître qui se vida de son sang jusqu’à en mourir. Lorsque la patrouille d’elfe noir arriva finalement jusqu’à l’abri des deux jeunes mâles, ils découvrirent le cadavre de l’homme et les félicitas d’avoir tué un humain. Sans le moindre avertissement, le chef de patrouille ordonna à ses hommes de s’emparer des deux frères et de les ramener jusqu’au Puy d’Elda là ou leurs destin serait séparé... Les années s’écoulèrent durant lesquels Gadadngor ne revit pas son frère et par conséquent s’abandonna à une cruauté démesuré, jusqu’à l’âge de 120 ans il servit dans les forces de l’armé en tant que guerrier et le soir il était l’un des gardiens des archives de la citée. Lorsque l’âge de 120 ans fût atteint, Gadadngor quitta l’armé et décida de partir à la recherche de son frère, non par compassion ou ennui mais afin de l’interroger sur ce qu’il savait des leurs parents. ..

Comment trouves-tu le forum? Je laisse mon inscription être la seule maîtresse de votre perception.
Comment as-tu connu le forum? Par un heureux hasard.
Crédit avatar : Voir ma signature, image dessiné par le très talentueux Jason Engle. Malheureusement je ne possède pas le même talent pour redimensionner ou au minimum « agencer » les mesures.

Hoy \o/

Bon, je suis pas apte à traiter ta fiche sachant que je n'ai pas les connaissances suffisantes concernant le Trium Virat.

Je te demande donc de patienter jusqu'à ce que quelqu'un qui en sait plus que moi vienne =)

Bonne journée

Bonjour ! Itrhill voilà ton sauveur, fais moi un calin ! Oups, je m'égare...

Bien voyons ce genre sujet loyal...

Tu dis que tu es guerrier mais que tu as quitté l'armée...Aussi, je ne peux pas te considérer comme faisant partit des Sartglins. Donc ton métier ne peut être guerrier.

Citation :

Gadadngor est néanmoins un être loyal envers ceux qu’il choisi d’honorer, c'est-à-dire lui-même.

Certes, mais là, tu ne peux pas te définir comme loyal au Trium Virat ^^

Passons a la bio en elle même, pour ma part, elle me satisfait pas tout a fait, un bébé nouveau né, même drow est limite aveugle et surtout, ne rit pas, il n'a pas apprit a le faire, donc, je te vois mal exploser de rire en voyant la lame de ton père adoptif au dessus de ta tête. SInon, le reste me semble cohérent ^^

Brylyan Naerth a écrit:

Bonjour ! Itrhill voilà ton sauveur, fais moi un calin ! Oups, je m'égare...

Bien voyons ce genre sujet loyal...

Tu dis que tu es guerrier mais que tu as quitté l'armée...Aussi, je ne peux pas te considérer comme faisant partit des Sartglins. Donc ton métier ne peut être guerrier.

Citation :

Gadadngor est néanmoins un être loyal envers ceux qu’il choisi d’honorer, c'est-à-dire lui-même.

Certes, mais là, tu ne peux pas te définir comme loyal au Trium Virat ^^

Passons a la bio en elle même, pour ma part, elle me satisfait pas tout a fait, un bébé nouveau né, même drow est limite aveugle et surtout, ne rit pas, il n'a pas apprit a le faire, donc, je te vois mal exploser de rire en voyant la lame de ton père adoptif au dessus de ta tête. SInon, le reste me semble cohérent ^^

N'ayant jamais vue d'enfant drow et n'ayant jamais pris la peine de décrire une naissance, je dois dire que c'était quelques détails qui m'avais complètement échappés. Enfin les modifications demandés ont été apporté. Merci beaucoup d'avoir pris le temps de me rectifier! ^^

Hum, je connais Ryzam IRL (nous sommes deux grands amis) et afin de sauver du temps (car il travail aujourd'hui et moi je suis en congé!) sa fiche était effectivement achevé.

Il reste les deux pitites étoiles du dessus et se sera parfait

Astéride a écrit:

Il reste les deux pitites étoiles du dessus et se sera parfait

Il n'en restait qu'une (celle de la classe) et je l'ais changé pour Mercenaire. L'autre était déjà changé! NIAK! XD

"Gadadngor est néanmoins un être loyal envers ceux qu’il choisi d’honorer, c'est-à-dire lui-même." J'ais enlevé le "c'est-à-dire lui-même".

Alors c'est parfait ! Je valide !

Bon, y a des liens normalement, mais je sais plus où ils sont...Si un admin pouvait passer par là...

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