Une victime de plus ¦PV¦

Un cri... un cri seul déchira le paisible et innocent chant d'oiseau qui retentissait dans la ville, sourd néanmoins empli de souffrance. La scène fut ainsi. Un homme agenouiller dans une marre de bout, suppliait du regard une silhouette emmitoufler dans une cape de cuire noir. Celle-ci acheminait de coup le présumer innocent homme qui recevait les coups avec force sans résistance. Ils prononçaient des paroles inaudibles qui laissait présumer qu'il tentait désespérément de se sortir de cette situation en vain.

Il n'y avait aucun témoin en cette soirée embellit par le coucher de soleil qui se trouvait au même moment ternis par une marre de sang sur le sol qui se dirigeait vers une des bouche d'égout. L'homme se trouvait a présent dans un bien mauvais état, la conscience commençait a le quitter a mesure des coups qu'il recevait.

La souffrance fut rapidement stopper lorsqu'un rapide et habile coup de couteau vint transpercer la gorge de la victime. La douleur fut elle qu'aucun son ne sortit de sa gorge maintenant transpercer d'une lame. La meurtrière recula quelque peu de l'homme ensanglanter, celle-ci donnait l'impression d'admirer une œuvre d'art ou une toile finaliser a merveille par un artiste expert dans sa vocation. Elle souleva le capuchon de sa cape laissant entrevoir les cheveux oranger de Rose. Elle contempla l'homme se tortiller de douleur sur le sol de pierre avant que la vie ne quitte totalement le corps a présent inerte. Tentant de ne pas marcher dans la flaque de sang elle souleva le corps d'une main et le projeta contre le mur d'un a ce qui semblait être un commerce. Un sourire bref sur le visage de Rose suivit... Elle s'accroupit près du corps et arracher au coup de l'homme un pendentif en rubis qu'elle fit glisser dans sa poche. La musique joyeuse des oiseaux migrateurs reprit leur train lorsque la mort de l'inconnu fut définitive.

Rose se redressa rapidement et contempla une victime de plus a rajouter a son innombrable liste. Il se faisait tellement de temps qu'elle exerçait cette profession et le nombre de clients satisfait s'était allonger au rythme du temps... Elle ne prenait pas nécessairement un plaisir a tuer, mais elle devait admettre qu'elle en sortait une certaine satisfaction.

Nous n'étions pas en pleine nuit, mais il était tard. Et comme j'aimais me promener en ses débuts d'automne où Serramire est la plus belle des contrées humaines, mes pas me menèrent non loin de la ville. Ce soir, j'étais vêtu un pantalon noir et un débardeur de la même couleur laissant entrevoir mes muscles alors que mes cheveux d'ébène n'étaient point attaché et tombaient sur mes épaules. Bien sur à ma ceinture se trouvait toujours mon épée et à mes côtés un garde qui avait insister pour sortir dehors avec moi. Je suis un duc et si je ne faisais pas attention je pouvais m'en prendre plein la face, voilà pourquoi j'avais accepté sa compagnie. Et en ces temps de trouble je devais faire attention à mes arrières.

Marchant en regardant la beauté des étoiles, où les dieux logent et nous observent en silence. J'admire la beauté de ces boules de feu scintillante dans le ciel peint à l'encre noir. Mais un bruit vif attira mon attention, qui pouvait bien être dehors à cette heure-ci ? Certes j'avais levé le couvre-feu mais cela restait tout de même suspect, la raison pour laquelle je sortit mon épée de son fourreau précieux et mon gardien de même. Et on eut raison !

Un peu plus loin, un homme mort gisait inerte dans une marre de sang et une femme à une longue chevelure rousse le surplombait fier de son coup. Elle était soit voleuse, soit mercenaire mais dans tout les cas on se devait de l'arrêter ! Le gardien sortit aussitôt un arc qu'il braqua sur la femme alors que je m'avançais vers elle, épée à la main.

- Bonsoir ma dame. Vous êtes en état d'arrestation pour le meurtre de ce brave citoyen. Ne bougez sinon le gardien se fera une joie de vous abattre ! Montrez moi vos mains et votre visage et déclinait votre identité !

Généralement, c'était toujours mes soldats qui prononçaient se discours pour arrêter les malfrats, et j'avais toujours aimé les prononcer ce pourquoi je souriais de la sorte !

Avant même que l'homme ne prononce son discours, un simple sourire se dessina sur ses lèvres. Du coin de l'œil, elle suivit du regard le bourgeois qui s'avançait vers elle. Il s'agissait vraisemblablement d'un humain et noble si l'on en croyait son accoutrement, quant a l'autre un garde ou un esclave sans aucun doute. Elle ne pue évaluer la force de ses opposants directement mais la menace semblait minime. Semblait...

Elle ne bougea pas et attendu la meilleur occasion pour agir. Il se trouvait a quelques mètres de l'assassine, la vitrine d'un commerce qui renvoyait l'image de la scène de manière net. Elle aperçu dans le reflet la menace de l'arc qui ne représentait pas un problème sauf si un combat au corps a corps débutait entre le noble et celle-ci. Il lui faudrait combattre et éviter les flèches de l'archer tout cela en même temps. Il lui fallait éliminer l'archer pour débuter, le reste serait facile.

Épée a la main il continua a s'avancer vers celle-ci qui n'attendait que le bon moment pour bondir sur sa proie. Elle ne voulait pas faire des victimes de plus mais la nécessiter écrasait ses envies...La plus grand danger était que son identité ne soit dévoilé ce qu'elle craignait avant toute chose.

Elle leva un sourcil interrogateur lorsqu'elle vit le sourire afficher sur les lèvres du noble, ce a quoi elle ne pensa déjà plus lorsqu'elle souleva les mains en l'air armer d'une petite lame légère et extractible qu'elle cachait avec son pouce. L'objectif était simple trancher la gorge de l'archer et tuer le noble le plus rapidement possible. Elle suivit du regard l'homme qui s'approchait de manière menaçante.

La femme me tourner toujours dos et je ne pouvais voir d'elle que son dos et sa longue chevelure flamboyante. Elle leva les mains comme je le lui avais ordonné, si elle ne posait pas de problème tout se passera sans accident notable. Et c'est à ce moment là que je remarquais son visage reflétait sur la vitre d'un commerce de manière net comme elle pouvait me voir. Elle avait un nez droit et aquilin ayant une certaine finesse rare chez les humains, ce qui était plus étonnant, c'est ses yeux d'un orange de flamme. Je n'avais pas encore remarqué le bout de lame qu'elle cachait, et m'arrêta à une distance raisonnable avant d'élever encore une fois ma voix dans la profondeur de la nuit.

- J'ai dit retournez vous et identifiez-vous. Je vous rappelle qu'un quelconque signe de violence et vous irez rejoindre votre victime au pays de Tari !

Le gardien était derrière moi de deux pas ou trois. Son nom était Rosgald, grand de près deux mètres et bien plus large que moi, il arborait une musculature pesante qu'on pourrait le confondre avec un chevalier turquois. Il était dans l'ordre des gardiens depuis déjà quatre ans. Il n'était pas dans l'ordre des fendeurs mais sa puissance de tir reste quand même dangereuse ! Sachant bien que la tueuse n'allait pas se tourner facilement, je m'approchais encore plus, mon épée tendu devant moi. Si jamais elle tenter quoi que se soit, je l'embrocherais facilement. Du bout de mon épée, je la poussa contre la vitre et recula d'un pas, attendant qu'elle se retourne avant que je ne la fouille.

Cette femme serait conduit au cachot du château, ou elle sera interrogé avant que je ne choisisse le châtiment adéquat.

Elle fut surprise de l'assurance et l'impatience dans le ton de voix du noble, elle le sous-estimait peu-être, mais jusqu'à preuve du contraire elle préférait se croire en position de force.

Le rideau sombre de la nuit venait bel et bien de recouvrir la contré qui se trouvait plonger dans une sorte de silence macabre. Les quelques faibles luminaire qui éclairait les rues, ne pouvait arriver jusqu'à Rose qui restait recouverte par la peine-ombre. Avantage ou inconvénient? Elle opta pour avantage, mais pour l'instant elle préféra rester tranquille, deux contre une aurait éliminer beaucoup de ses chances, surtout si l'un des opposants pouvait tirer a distance...

Le noble poussa du bout de son épée contre la vitre, cette action énerva au plus haut point Rose... Elle se retourna et souleva son capuchon et fusilla du regard le noble. Le mépris qu'elle lui témoignait n'avais d'égal qu'avec sa frustration... Elle balaya du regard rapidement la scène et souria

''...Deux hommes armés contre une pauvre femme sans défence...La lacheté vous vas a merveille Messir...''

Elle y ajouta une touche de sarcasme... Elle dissimula la lame qu'elle garda cacher dans sa manche avant de baisser les bras et de s'acoter contre la vitrine limpide. Croisant les bras sur sa poitrine, elle souleva un sourcil tout en analysant le physique du bourgois. Humain cela était une évidence, sa chevelure rappelait pourtant les elfs, mais ses oreilles arrondit était un trait caractéristique des hommes...Le fait qu'il soit accompagner d'un garde laissait présumer qu'il s'agissait d'un haut grader et son acoutrement ne venait que confirmer sa penser...

Elle détacha son regard du sien et suivit la lame duran quelque seconde jusqu'a se racrocher aux yeux de l'humain suivit d'un sourir au coin narquois.

L’individu se tourna vers nous. Elle avait un visage angélique contrastant avec son caractère, j’aurais fort parié qu’elle avait une ascendance drow du côté paternel ou maternel ! Sa longue chevelure flamboyante rayonnait dans le clair de la nuit avec ses yeux perçant d’un orange rare. Son sarcasme ne fit que m’effleurer, et mon attitude ne changea en rien ! D’ailleurs je ne pris même pas la peine de lui répondre comme elle, au début de notre rencontre. Mon épée levée devant moi, obligea la sang-mêlé à se presser contre la vitre si elle ne voulait pas se faire embrocher, que je me ferais une joie. Même si éteindre ce joli minois me peinerait ! Le gardien avança, l’arc toujours aussi tendu près à crever la gorge de cette assassine A présent, je la tenais en joue ! Si elle faisait quoi que se soit, on n’hésiterais pas à l’abattre et cette femme ne nous prenait du tout pas au sérieux, et elle le regretteras si jamais elle persiste dans son insouciance ! Je descendit légèrement mon épée et éleva une nouvelle fois la voix dans la nuit étouffante :

- Je vais vous fouiller, si jamais vous tenter quelque chose, on vous abattra ! Vous pourriez peut être abattre quelqu’un avec de la chance, mais en aucune façon nous deux.

J’abaissa mon arme encore plus et m’accroupit devant la femme décidant de la fouiller. Mes mains entourèrent sa cheville et doucement remontèrent sur le tissu de son pantalon en une caresse qui n’aura pas eu lieu si je n’avais pas été obligé même si un léger sourire se dessina sur mes lèvres. Remontant doucement le long de sa jambe je m’attardai légèrement sur sa cuisse avant de passer à l’autre jambe. Remontant de la cheville, je longeai la courbure de son mollet pour déboucher sur sa cuisse que je remontais jusqu’à ses fesses qui eurent droit au même traitement. En ce moment là, je ne pensais malgré moi aux plaisirs de ses caresses malgré le tissu mais aussi à la répugnance d’un tel contact sur un malfrat. Ma main parcouru sa fesse sans rien trouvait et mes mains se rejoignirent sur son entrejambe qu’ils effleurèrent à peine Je finis par remontait mes mains sur sa taille où je m’arrêtais un moment et je me remit debout. Un sourire assez peu commun sur mes lèvres !

- Je vais continuer de vous fouiller avant de vous emmener au château.

Je ne retira point mes mains attendant sa réponse avant de continuer.

Le fait qu'elle se retrouve coincer dans cette situation peu commune, effleura quelque peu son ego. Elle ne se faisait jamais prendre et si facilement cette fois-ci elle fut prise sur le fait. Elle se trouvait dans la ligne de mire de l'archer et un seul mouvement lui serais fatal, le danger était trop grand pour agir, pour le moment bien sûr. Elle devait bien l'admettre, elle était prise au piège et ne pouvait se sortir de cette situation par la force.

L'homme s'approcha tout en lui assurant qu'elle était en situation d'infériorité et qu'elle ne pouvait rien tenter. Elle le fusilla du regard et regarda l'archer toujours a son poste a l'affut du moindre faux pas. Elle n'opposa aucune résistance a sa fouille mais le regarda faire. Il s'attarda pourtant a certains endroit qui firent sourire Rose

''Ahh...Je comprend pourquoi il vous a fallu ramener votre gorille...''

Elle le surveilla pourtant lorsqu'il s'attardait un peu trop. Un léger frisson lui parcourut le corps lorsqu'il posa ses mains sur son fessier et qu'il effleura son entre-jambe, elle eu un mouvement de recule instinctif et ne lui offrit aucun sourire. Elle serra le point de colère et effleura de la main sa lame mais se ré avisa se rappelant de la situation dans laquelle elle se trouvait. Une fois sa colère maitriser, le calme revint sur son visage et son regard se replongea dans le sien.

De coutume pour moins elle lui aurait déjà trancher la gorge, mais il se trouvait dans ne bonne posture pour en profiter, ce qui ne fit qu'intensifier la rage de Rose. Elle le regarda fixement songeant aux nombreuses souffrance qu'elle lui ferait subir lorsque l'occasion lui serait donner... Le sourire qu'il portait a ses lèvres ne faisait qu'empirer la situation, elle y trouva néanmoins un amusement certain...L'homme étant ce qu'il est, elle ne fut pas pour autant étonner qu'il prenne autant de temps.

L'endroit était vide de vie, les habitants étaient surement cloitrer chez eux et la seul présence vivante était les animaux nocturnes qui émergeaient de leurs sommeils.

Je posa ses mains sur la taille de la métisse et remarqua l'absence de ceinture, parfait donc, je ne pouvaiq résister à la tentation de vraiment fouiller minutieusement la jeune femme. Avec douceur, je passai mes mains sous le vêtement et promena celle-ci sur le bas ventre et l'intérieur des cuisses, repassant pas les hanches pour parcourir de façon sensuelle le fessier dans son intégrité. C'était si ... exquis, elle avait vraiment un corps à faire rêver cette femme, une peau si parfaite, sans la moindre trace, pas de cicatrice, je ne regrettais pas le moins du monde la fouille, mais ne le laissant pas paraître non plus, je ne voulait pas que la demi me reproche d'abuser de mon autorité, même si je n'avais pas su me retenir. Et pourtant, je posai mes mains sur son ventre, sur le vêtement.

* Que le bas du corps de fait et je suis déjà dans tous mes états, calme toi voyons, tu n'as jamais craqué en faisant une fouille, ça commence pas maintenant! D'ailleurs j'en ai jamais fait *

Mes mains parcoururent le ventre plat de la jeune femme soumise à la fouille, j'étais tout tout près dans le dos de celle-ci, presque coller, son bassin frôlant parfois la croupe offerte devant elle. Mes doigts montèrent et dévalèrent les vallons de ses côtes, puis se mirent à inspecter chaque millimètre de son dos, résistant de nouveau à l'envie de passer sous le pull pour sentir cette peau douce et satinée. Mes mains montèrent aux omoplates, aux épaules, au cou avec une douceur et une certaine touche de sensualité, n'allait pas sur mon visage pour ne pas exagérer non plus. Elles redescendirent et cette fois passèrent sur la poitrine de celle-ci, vérifiant entre chacun de ses monts alléchant, pour terminer avec les bras, je me rapprochait un peu de la malfrat, finissant mon inspection par son bras que j'écartai, je découvris une arme que je lui enleva tout de suite en exerçant une pression et la jeta au loin !

- Voilà !

Feignant une totale indifférence pour ce que je venais de découvrir, enfermer dans un professionnalisme solide, je la scrutait face à face. Je n'avais même pas fait atention a sa réplique

Elle resta immobile durant toute la fouille résistant au mieux au attouchement qu'il opérait sur son corps. Malgré le tissus moulant qui recouvrait sa peau, l'effleurer seul provoquait un véritable volcan en fusion en Rose.

Chaque effleurement la faisait reculer de quelques centimètre, son esprit luttant pour ne pas succomber, mais son corps maitre de ses réaction préférait se perdre dans ses caresses. Chaque pression qu'il exerçait de ses doigts expert sur sa anatomie la faisait frémir. Rapidement son corps se recouvrait de frisson venant par vague. Son expression faciale restait pourtant de glace, mais ses muscles de ses cuisses se crispèrent lorsqu'il les effleuraient.

Elle se tourna pourtant lorsqu'il lui fallut fouiller son dos pourtant évidement dépourvu d'arme, elle se doutait que ses intentions dépassait ses paroles. Lorsque se bassin frôla son bas de dos, une véritable décharge électrique animer par ses plus bas instinct physique lui traversa le corps, suivit d'une bouffer de chaleur qui monta jusqu'à son visage colorant ses joues blanchâtre d'un ton de rosé angélique.

Elle eu un réflexe moteur de mordiller sa lèvres inférieur. Cette action anodine était la manifestation même de ses hardant désirs qui brulaient en son être. Il se rendit jusqu'à la plus érogènes des zones du corps féminin, sa poitrine fut effleurer a mainte reprise créant le même vacillement répéter créer par ses caresses. Son supplice prit fin au moment ou cessa la fouille. Elle fut sortit brutalement de ses impures penser lorsqu'il la désarma de sa lame, elle retomba aussitôt dans la réalité qui se retrouvait a présent bien loin de toute ses songeries.

Elle détourna son regard espérant que son teint reprennent ses couleurs originel. Un moment de faiblesse aussi intense n'était pas habituel, elle reprit rapidement ses esprits et replaça sa cape de cuire avant de reposer son regard dans celui du bourgeois qui lui affichait une expression autoritaire et impassible.

A présent désarmer elle serra son point et ne décrocha pas son regard du sien, un éclat ambré le rendait plus profond, mais l'autorité du regard de Rose détrônait celui de son assaillant. La rougeur de son visage disparut rapidement lorsqu'une brise glaciale s'emmêla dans sa chevelure faisant baisser la température de son corps qui frôlait le point d'ébullition. Sous la faible lueur qu'envoyait les étoiles dans la sombre nuit, le vent faisait danser les mèches de sa chevelure rappelant les flammes d'un brasier, qui cette fois-si était animer par le désir

Je remarqua son teint rougeâtre, et je souris légèrement. Moi même, je n'allais pas me mentir, avait pris un malin plaisirs à cette fouille minutieuse, plaisirs que je couvrais derrière une indifférence irréelle évidemment ! Elle finit par accrocher mon regard, ayant une autorité rare qui n'avait aucune relation avec sa situation désavantageuse du moment. Ses rougeurs avaient disparu en même temps qu'une brise glaciale apparut faisant virevoltait ses mèches flamboyante teintait d'un désir que j'avais du mal à comprendre.

Je devais à présent l'emmener aux cachots du château. Soit ! Mon épée lever pour pas qu'elle ait la fâcheuse idée de se battre avec moi au corps à corps avec un archée derrière moi, je posa ma main sur son épaule et la retourna sans d'autre méninge. De nouveau, je prit la parole :

- Je vous amène à votre nouvelle demeure.

L'archée s'approcha et me fila une corde. Collant la femme contre la vitre, je ne put m'empêcher de caresser son fessier alors que je ramenais ses mains derrière son dos pour les attacher convenablement en un nœud parfait. Derechef je posa ma main sur son épaule et la retourna, la laissant passer devant, mon épée derrière son dos et le gardien derrière nous. Elle ne pouvait pas fuir et avoir le châtiment que les gens de son espèce méritent, la prison.

On marchâmes sans échanger de paroles. Traversant le grand pont menant au château, les gardes nous saluèrent surpris et nous ouvrîmes la porte. Même à cette heure-ci, il y a toujours des soldats patrouillant. Rapidement, et sans encombre, on pénétrâmes dans les souterrains de la grande forteresse. Toute les cellules étaient vide, car ce cachot était celui des prisonniers du duc et je voyais mal cette demi-drow avec les autres malfrats de bas étage qui se meurent dans les cachots puant des militaires. Et en plus celui dit-on, est l'endroit préféré du fantôme d'Elyana. A présent j'étais seul avec ma prisonnière que je fis entrer dans une cellule que je referma derrière moi après être entré. Je comptais l'interroger et en apprendre plus sur ce réseau d'assassin. Je m'assis sur une chaise laissant le choix à la femme de s'assoir sur le lit ou resté debout. Un sourire persista sur mon visage, alors que j'abaissai légèrement, je prit enfin la parole.

- On recommence depuis le début. Bonsoir, moi c'est Merwyn duc de Serramire et vous ?

Je remarquais tout juste que la chaise était trop dur et me leva, me mettant à la hauteur de ma prisonnière. Elle avait intérêt à se monter coopérative si elle ne voulais pas finir moisi ici, mais cela elle le savait. Et si elle était sage, je pourrais même lui demander de rentrer dans mon service et servir fidèlement Serramire en étant bien payé. Pour l'instant j'attendais sa réponse en pensant à ma surprise aux caresses que je lui avait administré faisant naitre un petit feu en moi.

Elle resta silencieuse a ses paroles gardant en esprit '' Votre nouvelle demeure'' Mais pour qui la prenait-il donc? Une simple voleuse de bas étages se contentait des bourses des bourgeois et des marchands? Elle se laissa pourtant faire et n'omit aucune objection lorsqu'il la plaqua sur la vitre de manière assez brutale qui ne fit que faire grandir la flamme de colère qui la rongeait. Durant le trajet elle passa en revu les possibilités d'évasions qui s'offraient a elle, peu il y en avait peu, mais il y en avait certainement. Son optimisme fut légèrement diminuer lorsqu'elle aperçu tout les gardes qui surveillait le cachot. Dont un qui la dévisagea de haut en bas lui lançant un regard des plus obscène. Elle ne répondit pas et ne fit que détourner son regard pour continuer la marche jusqu'à aboutir dans un cachot miteux.

Le Duc lui offrit deux choix, le lit, qui se trouvait être une suggestion lourde en sens, ce qui fit légèrement sourire Rose qui l'effaça rapidement lorsqu'elle se souvint de la situation dans laquelle elle se trouvait. Son regard balaya la pièce rapidement analysant les lieux et les points de sortit. Malheureusement un seul existait et la porte était probablement garder par un autre soldat près a la tuer en cas d'évasion.

Elle s'accota donc a la paroi d'un des murs, ses mains pourtant liée l'empêchait toute action. Elle fit un rapidement mouvement passant ses bras en dessous de ses jambes. Ses mains se retrouvèrent devant elle, liées bien sur mais cela lui laissait une plus grande marge de mouvement.

L'homme déclina son identité et s'avérait être un duc. Cela expliquait la garde et le fait d'entrer si facilement accompagner d'une prisonnière. Elle serra les poignets essayant de défaire son emprise, en vain, la corde était beaucoup trop serrer, mais celle-ci commençait déjà a s'étirer et a alléger la prise... Elle ramena son regard au sien

''...Il est assez inhabituel d'entrer ainsi avec un prisonnier n'avez-vous donc pas peur que je vous tue?..''

Elle prit un ton doux qui ne représentait aucune menace, mais son emprise l'empêchait de faire quoi que se soit, même si la tentation de lui briser le cou était forte elle préférait attendre et voir ce qu'il lui voulait en réalité

''..Que me voulez-vous?... Vous ne m'auriez pas amener ici sauf pour une raison précise alors commencez par me dire ce que vous me voulez et vous en saurez plus sur moi..''

Essayait-il se prendre l'avantage, quoi que sa musculature soit impressionnante, son autorité n'avait pas grand pouvoir sur Rose qui demeurait tout aussi insolente, malgré la situation de faiblesse et de soumission obliger dans laquelle, elle se trouvait.

La sang-mêlé se débarrassa de sa cape devenant gênante, car la température de la cellule s'intensifiait causer par l'humidité ambiante. Elle la repoussa sur la couche et se retourna vers Le duc avant de replacer sa chevelure et de le regarder fixement.

La jeune femme dans un mouvement de souplesse se retrouva les mains liés devant elle et plus derrière. J'avais oublié de les lui retirer ! Bien sur, elle ne me répondit pas aussitôt à ma question et m'en posa une plutôt. Un sourire se dessina sur mes lèvres, légèrement moqueur mais rien de plus. Elle devait sans doute penser que des gardes gardaient le cachot du donjon, mais nenni les seul gardes qu'il y avait étaient ceux posté à l'entrée du cachot à bien des mètres de là. Me montrant coopérant pour l'inciter à l'être elle aussi, je lui répondis :

- A vrai dire non, si vous me tuez, vous ne verrez plus jamais la lumière et mourrez de soif et de faim. Ou alors, vous tenterez de me tuer et vous allez plutôt vous faire embrocher par mon épée ce qui serrait regrettable. Donc ma réponse, non je n'ai pas peur car je considère que vous avez un minimum de bon sens pour avoir survécu jusqu'à maintenant.

La jeune femme se débarrassa de sa cape, et me posa une nouvelle question. Ce que je comptais faire d'elle ? Bonne question, soit la jeter dans les cachots pour l'éternité ou alors l'engager à mon service avec des informations. Mais bien sur, je n'allais pas tout lui révéler d'un seul coup, et préférant d'abord me renseigner sur elle avant de décider de quoi que se soit, je lui répondit.

- Vous posez de question et de me décider ou pas de vous libérer. Bon, alors commençons et nous verrons par la suite. Tout dépend de vous, si vous me satisfait ou pas. Votre identité, votre profession exacte même si je devine déjà, votre race et pour qui vous travailler et enfin, vos concurrents dans ce métier.

En lui demandant le nom de ces concurrents, j'avais l'intention de les capturer et les jeter dans les cachots des casernes. En effet, éliminer les malfrats a toujours était l'un de mes but en devenant duc. De nouveau, je posa mon regard sur la jeune femme et je pensa légèrement à Kata avant d'être tiré de mes pensées par une araignée qui s'amusait sur sa toile. Mon regard ambré ce déposa une nouvelle fois sur le visage fin de la demi-drow et la scruta tout en repensant aux caresses qu'il lui avait procuré. Cette assassine était doté d'une beauté fatale dont j'aimerais bien goûté .

» Aaran de Sephren, victime de l'Epéiste d'Ebène.

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