William de Beaurivages [Chevalier de Missède]

Nom/Prénom :William de Beaurivages
Âge : 21 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Particularité : Un caractère difficile à cerner

Alignement : Neutre bon
Métier : Chevalier de la bibliothèque (Missède)
Classe d'arme : Corps à corps

Équipement :Il ne possédait guère plus de ce qu’il avait besoin. Autrement dit, il possédait une épée, qu’il avait héritée de son père. Celle-ci comportait une lame à double tranchant et pouvait facilement se manier à une main si l’on avait la force adéquate pour le faire. Par la suite, son équipement se composait de l’armure standard du chevalier de profession. Il possédait une dague légèrement courbé à la garde. Et pour terminer, un bouclier portant les armoiries de Missède composait le reste de son équipement.

Description physique :Imposant. C’était la première chose que l’on remarquait de se physique chevaleresque. Personne ne pouvait regarder une foule sans poser son regard sur l’être qui semblait la dominer de par son mètre quatre-vingt. Avec le temps, force était d’avouer que l’entraînement qu’il avait subit avait sculpté l’homme qu’il était désormais. Ses muscles parfaitement définit laissait parfois rêvasser les femmes, s’imaginant dans les bras de ce bellâtre. Seulement, il laissait rarement paraître les cicatrises qui couvrait ce corps. Celles-ci pouvaient donner une vague image de ses combats passées, certaines plus profondes et plus longue que d’autres. Son teint légèrement basané par l’entraînement à l’extérieur faisait contraster ses cheveux noirs de jais, qui lui arrivait aux épaules, avec ses yeux d’une couleur émeraude pure et froide. C’était souvent ce regard buté qui refroidissait les femmes dans leurs ardeurs à courtiser ce chevalier. Ses traits, durs et impénétrable laissait souvent peu de place à la conversation. La longue cicatrice qui lui barrait l’œil gauche lui avait été faite lors d’un combat particulièrement intéressant contre un adversaire d’une force surprenante. C’était la première fois qu’il s’était buter contre un tel adversaire et il aurait aimé recommencer l’expérience, se disant qu’il ne pouvait mesurer sa réel valeur qu’en ayant un adversaire de sa trempe.


Description mentale : Il avait tout du preux chevalier, du moins physiquement, puisque côté personnalité, il était loin du compte. En effet, depuis son plus jeune âge, il avait développé une forte personnalité, se disant que la peur et l’hésitation n’avait pas sa place sur un champ de bataille. Chaque fois que quelqu’un osait l’approcher de trop près ou essayait de le comprendre, il lançait une de ses remarques les plus arrogantes afin de dissuader le pauvre ou la pauvre de recommencer son geste. Il n’aimait personne et ne se cachait pas de le montrer. Les seules personnes qu’il respectait étaient le baron lui-même, ses parents et ses quelques supérieurs. Personne d’autre ne méritait son intérêt immédiat. Rien ni personne ne pourrait atteindre se coeur de glace. Tout de même noble d’esprit, il était loin d’avoir la courtoisie auprès des femmes. Certes, elles l’aimaient bien, jusqu'au moment où elles se butaient contre son air arrogant et parfois égoïste. Il portait en très haute estime les valeurs chevaleresque, tel que l’honneur, la justice, la protection des plus faibles. C’était en générale ce qui caractérisait son caractère.

Histoire :Être né sous une bonne étoile ne signifiait pas qu’un homme désirant améliorer sa condition ne puisse le faire. C’était en effet le cas de ce cher William. Sa naissance était dû à l’union d’un paysan et d’une jeune demoiselle, s’étant laissée courtiser par cet homme qui cultivait la terre. Dès son plus jeune âge, William n’avait jamais montré un grand intérêt pour la terre que son père se tuait à labourer, mais après tout, que pouvait-il espérer de plus avec la condition qui était la sienne? Pas grand-chose. Du moins, c’était ce qu’il croyait. Un jour, alors que son père choisissait de finalement prendre congé de sa terre, il décida d’amener sa famille dans la capitale humaine, où l’un des plus grands événements de chevalerie allait avoir lieu. En effet, cela faisait plusieurs décennies qu’un événement dans le genre ne s’était pas produit et il désirait montrer à son fils les prouesses de ses cavaliers autant au combat au corps à corps qu’a la lance. D’une part l’on pouvait voir ses vaillant combattant se combattre à arme égal dans une petite arène qui avait été aménager à même la place publique et d’une autre part, l’on pouvait voir des chevaliers s’élancer sur le dos de leur monture à la rencontre d’un autre combattant afin de lui infliger un coup de lance.

C’était parmi cette foule de spectateur que ce trouvait le jeune William, alors âgé de 7 ans à peine. Ses yeux étaient rivés sur les combattants, appréciant chacune de leur prouesse à leur juste valeur. Il était impressionné par le maniement et les parades qu’ils réussissaient à faire. Jamais il n’avait vu de tel combat et l’envi de devenir l’un des leurs, un jour, grandissait de minute en minute et de parade en parade. Finalement, après une longue journée de festivité, les chevaliers étaient épuisés et durent donc annoncer la fin des combats pour cette journée. Malgré l’entêtement de son fils à vouloir rester pour une deuxième journée, son père dû refuser, lui expliquant qu’il ne pouvait se permettre de quitter sa terre plus d’une journée. Déçu par la décision de celui-ci, il s’entêta tout de même lorsqu’ils furent de retour à la maison, à demander à son père de lui montrer quelques prouesses. Pour ce faire, son père lui confectionna une petite épée en bois, afin qu’il puisse se pratiquer et lui montra une certaine base de la chevalerie, lui indiquant également les valeurs pour devenir l’un des l’autres. Évidemment, il savait que jamais son fils ne pourrait accéder à ce genre de métier, mais il n’avait pas envi de briser l’un de ses rêves, surtout qu’il avait l’intention de lui refiler les terres qu’il se donnait tant de mal à cultiver.

Finalement, une année entière s’écoula entre le moment où ils s’étaient présentés au tournoi. Le petit était alors âgé de 8 ans à peine, lorsque son père montra certain signe de faiblesse. D’abord, il ne crût pas bon de s’inquiéter puisque même son père lui disait que c’était simplement dû à la fatigue et au dur travail qu’il avait effectué dans les champs. Seulement, rapidement il dût se rendre à l’évidence alors que la maladie le clouait au lit. La fièvre avait rapidement attaqué le système humanitaire de son père et l’avait grandement affaibli. Cela faisait plusieurs jours que lui et sa mère veillait sur lui à tour de rôle afin qu’il ne sombre pas dans la folie ou qu’il meurt simplement. Cependant, l’inévitable de produisit. Pendant l’une des soirées fraîche à l’époque de la crut des eaux, son père toussota jusqu’au point de cracher du sang et empoigna fermement le bras de son fils, le fixant avec de grand yeux. Appelant sa mère à grand cris, celle-ci parvint à la pièce au moment où son mari prononçait ses dernières paroles.

- Deviens fort…Ne laisse…jamais pe…personne te…dicter ta…co…cond….uite….

Puis se fut sur ses dernières paroles que son père s’éteignit. Ne pouvant retenir ses larmes, il se détourna rapidement de la scène, crispant la mâchoire pour se redonner contenance. Son père lui avait demandé de devenir plus fort et c’était exactement ce qu’il allait faire. Dès le lendemain, ce fût le but qu’il se donna, faisant abstraction de ses sentiments, il se mit rapidement en quête d’un chevalier qui pourrait l’accepter comme écuyer afin qu’il puisse accomplir son rêve. C’était ainsi qu’il avait interprété les paroles de son père, le seul moyen pour lui de devenir plus fort, c’était d’accomplir les prouesses qu’il avait pu observer ce fameux jour de tournois. Dans sa quête de trouver un chevalier assez bon pour lui enseigner l’art de le chevalerie, il dût se faire fermer bon nombre de porte, mais ne se décourageant jamais, il eut finalement preneur tant qu’a son potentiel de combattant. L’entraîneur avait été des plus ardus, mais après plusieurs années d’entraînement, et de dur labeur, il réussi finalement à accéder au stade de chevalier. Lors de la cérémonie d’adoubement, il était âgé de 18 ans.

Fier de ce qu’il avait accomplit jusqu'à présent, il se dirigea vers les terres de Missède, se disant qu’il y avait un certain potentiel qu’il pouvait obtenir en ses lieux. Sa formation l’avait durcit, autant physiquement que mentalement. Personne ne réussissait réellement à cerner qui il était et c’était probablement mieux ainsi. Encore une fois, il dût faire ses preuves en tant que chevalier, mais rapidement, ils durent acceptés son efficacité à combattre et ne purent lui refuser plus longtemps le titre de chevalier de Missède. Ayant atteint l’objectif qu’il c’était fixer depuis la mort de son père, il n’attendait pas mieux que ce qu’il était désormais.

Pendant l’un des repas où les chevaliers étaient tous attablés à la table du baron, il entendit une exclamation de fureur provenant de l’endroit où se trouvait la mère de celui-ci. Relevant les yeux vers elle, William la considéra un moment, puis détourna son regard disant que c’était simplement une énième crise de sa part. Elle était reconnue pour ce genre de chose après tout et il comprenait désormais pourquoi le baron ne l’avait pas en grand estime. Seulement, cette fois-ci semblait différente des autres. Elle semblait en colère contre la future fiancée du baron. Quand le coup d’éclat fût finalement lancé, l’assemblé semblait choqué par ses dires, mais ils devaient admettre que pour une fois sa colère était nettement justifiée. Un silence de mort avait prit place parmi les convives. Personne ne semblait vouloir le briser, ni même prononcer un mot à l’intention du baron.

Déjà une semaine c’était écoulé depuis cette fameuse soirée et personne ne se privait de parler à voix base, reportant les faits sous des angles différents à chaque parole. William ne voyait pas l’intérêt de s’occuper de ceux-ci. Après tout, toute cette affaire concernait uniquement le baron, donc pourquoi s’en mêlerait-il? Après une autre dure journée d’entraînement, il prit congé du reste des chevaliers, désirant reprendre des forces. Ses pas le menèrent vers l’endroit où les marchandises étaient livrées. Là, se trouvait un marchand, qui commençait à peine à décharger sa caravane pleine à craquer de nourritures. Cependant, un détail n’échappa pas à l’œil vif du chevalier, le cheval avait été détaché et il se promenait où bon lui semblait dans la grande cours. Au moment où il allait poursuivre son chemin, il vit que quelque chose effraya le cheval, le faisant partir en trombe dans toutes les directions et celui-ci hennissait d’une façon effrayante. Le regard de William se porta au loin et c’est là qu’il vit Cassiopée, se trouvant en plein centre de la trajectoire du cheval. Rapidement, le jeune homme se mit à courir tel un posséder en direction de la jeune femme. Il ne fallait tout simplement pas qu’elle meurt. Le chevalier avait la tâche de protéger toute personne se trouvant au château, y comprit la famille du baron. Arrivant à sa hauteur peu avant que le cheval la heurte, il l’empoigna fermement au niveau de la taille et la tira vers lui, évitant ainsi de justesse l’animal en furie.

Haletant pour essayer de reprendre son souffle, ses yeux suivirent le cheval qui fût finalement stoppé par les palefreniers qui avait été alerté par le grabuge de l’extérieur. Il y avait eu beaucoup de témoin et l’on pouvait voir que rien n’accusait William. Ce qu’il ignorait surtout à l’instant, c’était que grâce à ses nombreux témoins, sa vie allait encore une fois, radicalement changer de cap.

/!\ Le reste se joueras en RP avec VIktor de Missède! /!\

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Bonjour :)

Pas grand chose à critiquer, à vrai dire. ^^

Je souhaiterai que tu vieillisses un peu ton personnage. De plus, comme tu as commencé ton entraînement tardivement, tu n'as pas pu être adoubé à 17 ans 19 grand minimum.

Je voudrais que tu me racontes brièvement via MP la suite de ton histoire.

Je validerai une fois ces deux points fait/rectifiés.

Voilà, j'ai modifier!

Je valide

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.