Isalnya Kentum [Assassin]

Nom/Prénom : Isalnya Kentum
Âge : 203 ans
Sexe : Femme
Race : Drow
Particularité : Yeux particulièrement sensible à la lumière

Alignement : Neutre mauvais
Métier : Assassin
Classe d'arme : Corps à corps.


Équipement : Deux choses comptent dans ma vie. Elles sont liées à mon âme. C’est le bien le plus précieux qui se trouve en ma possession. Elles sont aussi bien ma vie et que mon esprit. Sans elles, je ne suis rien. Sans elles je n’existe plus. Car je vis pour tuer.

Sabres.

Deux lames jumelles. Simple tranchant. Poigné aussi noir qu’une nuit sans étoile. Leurs fourreaux se trouvent entre mes omoplates. Plus pratique et plus rapide. Elles sont discrètes, passant pour de simples épées de moyenne qualité. Pourtant, dès que l’on a en main, on y découvre un équilibre quasi parfait. Pour moi en tout cas. Elles sont rapides. Précises. Mortelles… Deux grelots sont fixés au bout de chaque pommeau. Ils chantent la mélodie de la mort et rare sont les vivants pouvant se vanter de l’avoir entendu. Je les soigne comme la prunelle de mes yeux. Leur lame est la seule chose à qui je donne mon amour. Je les chéries depuis toujours. Elles sont la clé pour mon métier.

Je dispose également de plusieurs dagues et couteaux à lancé. Cette petite réserve n’est jamais stable. Il m’est tellement simple d’en perdre et d’en récupérer par quelque procédé qu’il soit. Je n’affectionne pas particulièrement ces armes mais je ne peux nier leur efficacité. Je ne m’en sers rarement, préférant être au plus prés de mes victimes quand ces dernières rendent leur dernier souffle.



Description physique : L’eau est calme. Le vent n’a pas daigné se lever cette nuit. Autour de moi règne un silence absolu. Un silence nocturne… Une Lune pleine trône au centre d’une nuée d’étoiles brillant tranquillement au loin.

Lentement, je m’approche de la petite étendue d’eau qui s’étend à mes pieds. Je m’accroupie sur la berge et reste un long moment immobile, les yeux rivés sur l’eau comme pour essayer d’en apercevoir les profondeurs malgré les ténèbres qui les entours. Mon visage apparait soudain sur la surface parfaitement plane. C’est étrange de se voir ainsi, auréoler par lumières célestes. Mes sourcils se froncent légèrement tandis que je me détaille.

Ma peau est telle la cendre d’un feu depuis longtemps éteint. Un gris d’une clarté plutôt inhabituelle chez les Drow. Mon corps est relativement svelte mais l’on ne peut nier les rondeurs qui l’habitent. Cette poitrine trop proéminente est d’ailleurs source de gêne. Ma petite taille est aussi une chose que je n’apprécie pas chez moi. Mon mètre soixante ne me permet que rarement de regarder les gens de hauts. J’en remets tout à ma supériorité mentale. Mon corps est enveloppé d’une lourde cape, cachant mon apparence à nombre de regards indiscrets.

Mon visage lui est composé de traits gracieux, héritage des elfes. Je trouve cependant mon nez un peu trop présent, tout comme mes lèvres, trop pleines. Je retire lentement mes lunettes. Celles-ci sont là pour protéger mes yeux trop sensibles aux rayons du soleil. Leurs verres tiennent mes pupilles à l’abri de toute lumière intempestive et colore ma vision d’un rouge sang entraînant. Quand à mes iris, elles arborent une couleur tout a fait particulière. Blanches, elles se colorent de bleu à l’extérieur tandis que c’est l’or qui est en possession du centre. Mes yeux se posent alors sur ma chevelure. Rideau de bancheur dégringolant le long de mes épaules. Longue franche dissimulant mon front.

Un soupire s’échappe de mes lèvres. Ma main vient frapper l’eau avec force, réduisant à néant mon image. Quand la surface redevient calme, elle ne reflète plus que la Lune.



Description mentale : | Moi d’abord.

Une devise qui régit toute ma vie.
Trois mots qui ont forgés ce que je suis maintenant.
Un passé, un présent et un avenir.

Comment ça égoïste ? Je fais tout simplement attention à ma personne. A quoi bon se rendre malade pour un autre ? A quoi bon sauver une personne pour cesser ensuite d’exister. Non. Ma vie est bien plus importante que celle des autres. Pourquoi ? Parce que je l’ai décidé. Tout simplement. Pourquoi donc me priver pour une personne qui pourrait très bien, quelques instants plus tard, se tuer bêtement, réduisant ainsi mes efforts à néant ? Je ne vie que pour moi-même et pour personne d’autre.


Susceptible…Je hais ce mot. Je hais surtout qu’on me rappelle que je le suis. Beaucoup trop. Mes vices, je les connais mieux que personne. Inutile de venir risquer sa vie à me les ramener en mémoire. Quand à mes erreurs, bien fou serait celui qui les soulignerait. Je frape fort et mes deux lames réclament sans cesse du sang frais. Comment leur résister dans un tel cas ?

Sadique ? Si peu. Voir le monde souffrir devant moi ne me fait rien. Tuer ne me dérange pas. Pourquoi serais-je devenue assassin autrement ? Je n’hésite jamais à faire couler le sang et la mort peut parfois arriver bien plus vite que vous ne l’imaginez. Dans le doute, je préfère ôter la vie plutôt que de prendre un risque. Froide ? C’est ainsi que je suis et que je demeurerai.


Cependant, je ne suis pas naïve. Je ne m’attaquerai pas à plus fort que moi. Je tiens trop à ma vie. Cependant, une provocation a vite fait de me faire perdre la tête. Et celui qui est en face devra être vraiment puissant pour garder la sienne.




Histoire :: Chapitre un : Education

Me tenir droite. Ne pas montrer ma peur.

Du haut de mes 50 ans, Je fais tout mon possible pour empêcher mon corps de trembler. L’effroi ne cesse de grandir en moi mais mon visage reste impassible. Je sais ce qui m’attend si ce n’est pas le cas. La douleur. Encore et toujours. Je relève la tête tandis qu’une ombre s’approche de moi.

Père.

Me tenir droite. Ne pas montrer ma peur.

Depuis que je suis née, la seule volonté de mon père est de faire de moi une tueuse. Il voulait un garçon. Il a eu une fille. Je le sais déçue mais je n’y peux rien. Je sais qu’il ne m’aime pas autant qu’il l’aurait fais avec son fils mais je n’y peux rien. Je subie. Depuis toujours. Il dit qu’il veut me rendre plus forte. Il dit que je dois m’endurcir et arrêter d’avoir peur. Il dit que je dois apprendre à tuer et non éprouver de la compassion pour ce qui souffre. C’est pour ça qu’il m’entraîne. Chaque jour. Il m’apprend à résister à la douleur. Il m’apprend à voir souffrir les autres. Il me forme, telle une statue de pierre. Il fait de moi une machine à tuer. Je le sais, mais je ne peux rien faire.

Cependant, même dans la sculpture parfaite d’une statue, l’intérieur reste parfaitement intact. A l’intérieur de moi, je reste toujours cette petite fille qui attend que les bras de son père s’ouvrent pour l’accueillir. J’attends toujours qu’une douce parole vienne me réchauffer le cœur. Ma mère est morte. Je n’ai que lui… La leçon va commencer. Je dois tenir. Juste une après-midi.

Me tenir droite. Ne pas montrer ma peur…




Chapitre trois : Premier Mort.

- Hé la binoclarde !

Je ne me retourne pas. La tête haute, le regard sévère je passe mon chemin. La haine monte en moi mais je sais que je fais mieux de la contenir. Mon poing se crispe mais ne bouge pas. Je suis habituée à ce genre de réflexion. Voila trois années que je porte ces fichues lunettes. J’ai voulu regarder le soleil en face. Et j’ai perdu… La plupart des gens ont arrêtés de me faire des réflexions à ce sujet. Sauf lui… Mon pire ennemi.

- Hé la petite ! Tu ne vas tout de même pas m’ignorer !

La colère me ronge. Résister… Une main se pose sur mon épaule.

Explosion.

Un vague de haine déferle en moi. Toute ma colère depuis si longtemps retenue explose dans mon âme. Une soudaine envie de sang monte en moi. Ce contact physique est telle une goutte faisant déborder le vase. Je ne me contrôle plus. Une seule idée reste fixe dans ma tête.

Tuer…

- Oh ! Je te parle !

Ma vision se teint de rouge. Le poignard à ma hanche me hurle de le saisir.

Je réponds à cet appel.

Mes mouvements son fluides. D’une rapidité mortelle. Des années d’entrainement pour enfin tuer. Ma lame trouve seule la gorge de sa victime, trop surprise pour réagir.

Le sang gicle. Se répand au sol. Un corps tombe. Inerte.

Je reste un long moment à contempler le corps de mon ancien ennemi. Ses yeux son encore grands ouverts. L’horreur et la surprise se lit sur son visage Je ne ressens aucune émotion. Ni satisfaction, ni remord. Un vide. Une routine… Après tout, je suis entrainé pour ça.

Je quitte finalement le corps, le laissant qui bon le voudra. Dans l’ombre, je n’aperçois pas la silhouette qui m’observe, un sourire aux lèvres…



Chapitre cinq : Nouvelle Vie.

203 Années.

Je suis une assassine. Mon métier est de tuer, toujours plus.

Je suis un ange de la mort, invisible et silencieux.

Je fais partie de la Dothka depuis de nombreuses années et pour rien au monde je la quitterais. Devoir obéir aux ordres n’est pas si pénible que je ne me l’imaginais. Surtout quand ceux-ci sont d’aller éliminer une cible. Mais maintenant je veux aller plus loin. Et m’élever un peu plus dans le monde du pouvoir. Car je suis la meilleure, depuis toujours….



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Comment trouves-tu le forum ? : Ça m'a l'air bien sympathique!
Comment as-tu connu le forum ? : Google est mon ami.
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : De Budgie sur Deviantart.

Bonjour, et milles excuses pour le délai de réponse é_è

Dans tout les cas, il n'y a rien à redire à ta fiche, je te valide ! :)



Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

(pour quand tu auras tes couleurs)

Code:

[Métier & Classe] : Assassin (Dothka)

[Âge & Sexe] : 203 ans & Féminin

[Classe d'arme] : Corps à corps

[Alignement] : Neutre mauvais