Diantra par un soldat [PV Tyraen]

[Ce Rp est la suite directe ce celui là]

La suite des échanges entre le mage et Markham n'était pas bien bruyante. Le vieil homme semblait plongé dans un incomensurable méandre de pensées. Le lieutenant se contentait de suivre sans ne rien dire par crainte de déranger le vénérable Tyraen dans sa réflexion, qui semblait inquiet. Sans doute mettait-il en corellation nombre d'évènements dont le jeune Getlindor ignorait l'existance, mais ce ne devait pas être son problème et il ne fallait parfois pas se montrer trop curieux.

Tyraen mena le militaire jusque dans une tour du château, il montèrent haut, très haut, presque au sommet où il s'arrêtèrent dans une petite pièce bien éclairée qui donnait vue sur toute la ville, ou presque. C'était l'impression qu'elle donnait. Markham savait en fait qu'il n'y avait que les quartiers séparant le château et la partie ouest de la grande cité.

Le lieutenant, après invitation du mage, pénétra dans la pièce et se rendit directement à la fenêtre pour admirer Celle qu'il défendait jour après jour, et Celle pour qui il avait perdu son père. Après quelques secondes, Markham tourna brièvement la tête vers Tyraen. Il décida quand même de prendre la parole.

- Soit Monsieur... Que puis-je pour vous aider? Je ne suis qu'un simple lieutenant... Je n'ai pas accès à nombre d'informations, enfin pas encore.

Tyraen sursauta lorsque qu'on lui adressa la parole, il regarda autour de lui comme si il venait de se réveiller et posa son regard sur le lieutenant.

"Est-il obligatoire que lorsque l'on invite quelqu'un c'est pour qu'on nous rende un service. Bon... Sachez que vous êtes ici comme...heu... ami sije puis dire. Je ne compte nullement vous demandez de refaire un tour de garde."

Après un moment de réflexion où Tyraen alluma un cheminé caché par l'ombre. Il se dirigea vers le soldat passa a coté de lui et la mis derrière ce dernier.

"Asseyez vous je vous en prie, Voulez vous boire quelque chose ?"

Tyraen ne faisait pas attention a ce qu'il disait il était distait, l'esprit ailleur. On lui aurait demandé de fire le tour du chateau a cloche pied il l'aurait fait sans contester tellement il était songeur. Il proposa à Markham un jeu, et sans attendre la réponse l'apporta.

**Si j'utilisais le roi il pourrait... Non non non ! Par contre la reine elle irai. Pas évident cette partie d'échec.**

Ce fut une réplique qui surprit Markham. Venait-il de se faire inviter en tant que personne et non pas que soldat? Ils parlaient pourtant de documenter le mage sur les dernières de Diantra. Le jeune homme ne comprit pas trop la logique de la situation, mais ne se souciant pas plus du fait, à la pseudo demande de Tyraen, il décida de laisser de côté l'aspect professionel de sa position.

- Asseyez vous je vous en prie, Voulez vous boire quelque chose ?

Markham s'exécuta. Il prit le temps de retirer ses armes et son bouclier qu'il laissa à côté de la fenêtre, appuyés contre le mur. Le soldat retira
ses gantelets pour les attacher à sa ceinture puis s'installa avant de répondre.

- De l'eau suffira monsieur, je vous remercie. Je ne suis que rarement adepte d'autres breuvages.

Toute la politesse dans sa splendeur. L'éducation du jeune Getlindor ressortait plus que jamais, tellement qu'on cherchait quelque chose d'amical là dedans. Même s'il était sincère dans le respect qu'il portait au mage, la présentation restait quelque chose de fort superficiel, comme si l'apparence était à tout prix à soigner.

On proposa ensuite une partie d'échecs. Markham ne refusa pas. Non, pas cette fois, par politesse mais bien parce qu'il appréciait les occupations de ce genre, échecs, dames, lecture ou même un peu de fusain. Il avait développé un esprit ouvert, sans pour autant admettre de réels talents dans les domaines. Ils se contentaient d'être un éternel élève.

La salle résonnait dans le silence. Seul le crépitement du feu venait ponctuer l'espace. De temps à autres, Markham jetait un oeil par la fenêtre, généralement lorsqu'il venait de jouer une pièce et qu'il laissait Tyraen à sa reflexion. Cette réflexion...Qui ne semblait sûrement pas portée uniquement sur le jeu. Certaines fois, le jeune homme passait quelques secondes à regarder son hôte, observant ses mimiques, ses façons de faire. Il se trouvait qu'on pouvait parfois apprendre bien des choses rien qu'avec un peu d'observation. Dans l'absolu, les meilleurs observateurs dressaient même des profils psychoogique uniquement par lecture du comportement.

Pour dire vrai, Markham aurait apprécié détenir ce talent, mais il n'en
était pas. Il se reconcentra plus sur le jeu, le temps de se rappeler le pourquoi de son dernier coup. Il pensait avoir une ouverture, encore fallait-il que son adversaire néglige son deuxième cavalier. Une fois le coup adverse exécuté, le jeune homme s'autorisa une question.

- Monsieur? Pardonnez mes curiosités... Mais une interrogation me taraude depuis un petit moment. Je me demandais juste, comment l'on avait pu se passer d'une personne comme vous. Je n'ai pas le souvenir d'avoir croisé nombre de mages à la cours... C'est pourquoi je m'autorise à penser qu'il y en a un effectif limité, à moins que les discrétions des hautes soient plus grandes que ce que mon entendement me permet de voir.

Tyraen regarda longuementle jeu et eut un sourire lorsque le soldat lui pris son cavalier. Par contre il s'effaça tout de suite après quand Markham posa une question.

Markham : Monsieur? Pardonnez mes curiosités... Mais une interrogation me taraude depuis un petit moment. Je me demandais juste, comment l'on avait pu se passer d'une personne comme vous. Je n'ai pas le souvenir d'avoir croisé nombre de mages à la cours... C'est pourquoi je m'autorise à penser qu'il y en a un effectif limité, à moins que les discrétions des hautes soient plus grandes que ce que mon entendement me permet de voir.

Tyraen s'accorda un temps de relfexionpour répondre à son "invité", il se demandait si il allait lui répondre ou pas, Il bougea une pièce en mangeant la reine de son adversaire.

"Echec ! Quand a votre question l'on a pas besoin de moi car le roi n'a pas eut de grave problème ou eut besoin d'un soutient magique a ma connaissance. Ne vous fiez pas a son apparence c'est un très grand mage."

Il reprit la partie en silence se demandant si ce soldat avait remarqué que son roi était a découvert, il ne fallait plus que son fou bouge au bonne endroit. A cela Tyraen chercha une solution tout en demandant d'apporter a boire, que de l'eau bien sur.

"Si jamais vous avez besoin de quelque chose faite le moi parevenir je m'ennui terriblement seul... Cela fait bien plus d'un an que le roi ne m'a rien demandait. Si je puis vous etre utile, n'hésiter point."

Le mage voyant la manoeuvre du soldat se fit concentrer.Il chercha partout sur l'échéquier une pièe qui pouvait l'aider et remarqua son cavalier qui pouvait lui faire gagner la partie mais il y avait toujours son roi en échec... Il trouva finalement un pion qui lui pemettrai de ne plus être en échec. Il joua puis regarda Makham.

**Si ils ont tous aussi intelligent que lui dans la garde alors je comprend pourquoi on n'a pas besoin de moi.**

"Dites, vous n'avez pas l'air de beaucoup apprecier beaucoup les noble qui sont toujours impecable... Me trompe-je ?"

Il continua de fixer Le soldat dans le yeux pour bien lui faire comprendre qu'il allait passer à l'interrogatoire sur lui. Il se leva sans le lacher du regard et tourna autour du jeune homme d'un pas sur.

**Il ne va pas partir tant que je ne me serai pas renseigner sur lui, si ce que je crois est exact je deemanderai au Roi de peut être lui offrir une promotion, il serait dommage de gacher une telle intelligence a faire des tours de garde... Faut pas que je le ratte lui.**

Quand il eut fait plusieur tours il fermit la porte a clef et montra qu'ils étaient bien seul et que personne ne pouvait entendre ce qu'ils diraient. L'atmosphère commençait à se faire lourd ce qui faisait hésiter le mage à poser les questions. Il s'amusa avec le feu en lachant M. Getlindor du regard. Il attendit patiemment une réponse.

"Si vous voulez partir vous pouvez, je n'ai fermer la porte que pour ne pas être déranger, elle s'ouvre de l'intérieur directment."