Demoiselle à la mélodie

Nom/Prénom : Aria Anàrion, mais on la surnomme Demoiselle à la mélodie (vous comprendrez bien vite pourquoi)

Âge : 165 ans, apparence d’une jeune femme âgée de 25 ans

Sexe : Femme

Race : Elfe Sylvain

Alignement : Neutre bon

Métier : Bohème, est ce vraiment un métier… Demoiselle à la cours qui distrait les convives par un de ses dons musicales.

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Classe d'Arme : Magie

Équipement :

La jeune femme n’a pas vraiment un équipement solide et complexe, elle s’encombre le plus souvent du strict minimum. Cependant une seule chose est toujours présente, sa flûte, on pourrait même se demander si elle ne représente pas en partie son arme. Instrument de musique/ arme, les deux mots sont bien opposés, mais restent extrêmement proche, l’un avec l’autre engendre une arme, incongrue je le conçois, mais une arme tout de même. N’a ton jamais dit que la musique pouvait ensorceler les mœurs, et sans musique point de vie. Un paquetage bien maigre n’est ce pas ? Rassurez-vous, elle a toujours sur elle deux fouets, qu’elle sait habilement utiliser. Je vais maintenant m’arrêter là, car normalement, il ne faut fouiller dans les sacs d’une dame.

Description physique :

Décrire une personne est toujours le plus simple pour certain, mais ici ce n’est point facile et aisé. Je pourrais m’arrêter au fait qu’elle est très belle, mais vous ne pourrez pas savoir en quoi, oui, son visage si doux, ses lèvres pulpeuses, son teint cristallin, un nez droit, des pommettes enfantines, un regard ensorceleur. Comment passer sur cela sans le mentionner. Un regard dès plus envoutant, bleu-gris-vert, il est réellement indéfinissable, une bouche, et quelle bouche ! Pulpeuse, rosée, qui cache de jolies petites dents, dignes des plus belles porcelaines. Des traits fins ressemblant aux nobles poupées si parfaites et imparfaites à la fois, une chevelure noir ébène qui tombe au creux de son dos, cette couleur est exceptionnelle pour sa race, première touche de sa singularité. Un ensemble si harmonieux, qui aurait pu être si fade, si statique, mais en vain, elle a cette gestuelle habile et douce, son regard mélancolique, et mystérieux, cette tenu de tête royal et pourtant… Je constate que je ne parle que de ce visage opalin, mais j’arrive à ce petit corps, qui n’est pas si petit. Elle est élancée, et encore une fois bien proportionné, poitrine finement dessinée, tour de hanche remarquablement proportionné. Alliant beauté et charme, douceur et charisme, Aria représente à merveille cette légende de beauté incontestable, merveilleusement représentative de sa caste elfique.

Description mentale :

Une beauté si troublante, et même déconcertante, un caractère tout aussi ressemblant, mais pas tout aussi beau. Si on me demande en quelques mots de décrire ce personnage si surprenant je dirais : Fragile, doux, dur et solide, contradictions sur contradictions, qui est t’elle réellement ? Est-ce la question ? Bien sur que oui. Je n’arriverai surement pas à la décrire parfaitement mais je vais essayer. Je sais qu’elle est douée, oui douée dans l’art qu’elle affectionne au plus au point. Pour elle, l’art est la ressource de sa vie, de son âme, son médicament, sa potion pour supporter ce monde, où elle ne se sent pas réellement présente. Le problème est donc là, seul, aimant sa solitude, s’entourant de ses notes de musique pour combler sa vie morose et remplie d’amertume. Elle est pourtant si patiente, compréhensive avec les autres, se sentant concernée sur tous les maux du monde, fragile en cela, elle ne sait qu’elle n’est et ne saura jamais responsable de ce combat. Je cherche, ce petit mot, et je l’ai enfin sur le bout de la langue: elle représente la beauté du pacifisme, pensant que l’art, et la culture est le pansement à la guerre, aux incompréhensions entre ces deux peuples. Naïve, pensant que la paix, un jour régnera en ces terres où elle s’y sent si étrangère. Elle voue pour cela, un culte pour la grande, la jeune Elenwë… Se sentant bien proche de cette déesse enfant. La aussi, elle est une nouvelle fois différente à sa caste. Contradiction, pacifisme, dureté à appréhender les choses, fragilité à les oublier… Ambigüe est elle, surprenante tout autant, singulière n’est ce pas ?

Histoire :

Cette lueur du printemps, ce soleil qui caresse la peau, ces amoureux qui commencent à roucouler, ces fleurs qui reprennent vies, ce petit cri qu’on entend au loin, d’un enfant qui vient de naitre. Il y a maintenant 165 ans, le sixième jour de la semaine dit plutôt Elenwënas Aria ouvre ses yeux de jade sur le monde qui l’entoure, sur ces terres, cette si belle contrée créé par les dieux, Miradelphia. Ce petit bout de chou commence à regarder ses parents, des parents heureux d’accueillir, leur progéniture, le fruit d’un amour inconditionnel, ils la voulaient, belle, leur vœux avait été réalisé, pas contre la voir un jour guerrière était chose à voir.

Née dans une famille aimante, elfe de haut rang, et surtout de grand guerrier, que de père en fils, le nom d’Anàrion raisonnait dans les villages, pour leur courage, et leur légendaire ligné de héros guerrier, voila ou la petite Aria était tombé. Ces premiers jours, furent doux comme la caresse d’une mère. Elle riait, ses caprices étaient exaucés, ses envies réalisées, elle était joyeuse, heureuse, on ne lui demandait pas encore de réaliser le rêve et la continuité du talent de la famille. Le jour d’un de ses anniversaires, un grand oncle lui tendit une petite flûte en bois, et d’un regard elle su que sa destiné était là, en cet instrument. Pour la première fois, elle posa ses lèvres sur le petit embout, et commença à jouer, une musique qui jusqu’à sa mort elle s’en souviendra, douce, subtile, et si jolie, les notes venaient à elle comme si elle les avait toujours joué, toujours connu, comme si elle était née avec cette part d’elle-même. Sa famille était interloquée par ce don, car oui, même si les elfes avaient cette facilité pour les arts, Aria se plaçait bien au dessus d’eux.

Pendant toute son enfance, ses parents la laissèrent jouer à sa guise, pensant que c’était qu’une envie passagère. Mais en vain, elle se sentait bien qu’en jouant, qu’en écoutant cette musique. Au file des temps, ses parents devenaient de plus en plus dur, ils voulaient qu’elle apprenne l’art de la guerre, or la jeune demoiselle ne voyait en ce mot « guerre » que le massacre, la terreur, tout ce qui allait à l’encontre de sa passion, soit la musique ! Sa mère ne savait plus quoi faire de cette jeune femme, qui détonée dans cette famille héroïque. Que faire, la marier Aria refusée, la faire travailler au champ même avis sur la question s’était non ! Par ces refus constant la famille, voulait, donner une leçon à cette enfant si capricieuse, la mettant à la porte, mais ils ne savaient pas qu’en faisant cela, une haine profonde, un dégout pour sa famille allait naitre chez la jeune femme, jamais elle ne pardonnera à ces personnes qui devaient normalement l’aimer en toute occasion de l’avoir jeté à la porte.

Pendant une longue période, elle erra dans les rues, ne sachant pas réellement quoi faire, mendiant par moment, mais donnant souvent son du aux plus démunies qu’elle. Au cours de cette période elle apprit les conflits qui avaient lieu à Miradelphia. Elle ne comprenait pas, pourquoi les hommes, les elfes avaient t’ils toujours besoins de faire la guerre ? La vie pourrait être si facile, en écoutant la magie de la nature, la magie de la culture, et de la musique.
Une nuit, où la lune était pleine, la bruit des ruelles silencieuses, et les pas d’Aria lent, un homme l’agressa, elle ne savait quoi faire, il était plus fort, plus dure qu’elle, mais son intuition lui dicta de jouer de son instrument, de jouer et de croire en ce qu’elle jouait. Et la voila, jouer, ferma les yeux et cru en sa musique, et aussi troublante que cela est, la musique ensorcela l’homme, il était prisonnier de cette hypnose musicale. Elle le regarda et continua, à jouer son émotion, oui la musique transmettait l’action qu’elle désirait. Miracle, surprenant, non juste de la magie elfique.

Après cette épisode, elle savait que c’était de sa passion qu’elle allait la sortir de la rue, un jour passant devant le palais, elle frappa à cette si belle porte, et un majordome lui ouvrit, lui demandant qu’est qu’elle voulait. Aria avec un certain aplomb, elle lui dit : « je veux être musicienne du palais ». L’homme eu un léger sourire, la laissant cependant entrée, il la présenta au compositeur officiel, celui-ci ria au nez à la belle, pensant qu’elle était une petite prétentieuse. Piquée au vif, Aria, commença à faire envoler les notes de sa petite flûte en bois, les notes dictée une nouvelle fois cette musique si enchanteresse. Le compositeur n’hésita même plus, la prenant sous son ail, l’instaurant à la cour sous le profil de la demoiselle à la mélodie, car elle savait être enchanteresse, d’une par sa beauté, et de deux par son talent fascinant. La musique l’avait sauvé, et toujours elle serait maitresse de ce secret, de ce don qu’elle savait qu’Elenwë, sa guide spirituelle, lui avait fait don, oui, la flûte est un instrument à vent, cette déesse a pour élément l’air, coïncidence, peut être…

Sa musique est sa plus grande amie, car la solitude sa plus grande peine, l’envie de paix son idéal, l’envie d’amour un souhait, le désir de découvrir son but. Sage, érudit Aria, fille de la musique, fille de la mélodie enchanteresse…

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Comment trouves-tu le forum ? : Un forum fort attrayant, pour vous dire, s’est la première fois que je m’inscrits sur un forum de ce genre, j’espère en être à la hauteur^^ Je trouve l’histoire très intéressante, et un graphisme époustouflant.

Comment as-tu connu le forum ? : par une Pub