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 Henri d'Hardancour (Fini) [Maé]

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Henri d'Hardancour
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Henri d'Hardancour


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MessageSujet: Henri d'Hardancour (Fini) [Maé]   Henri d'Hardancour (Fini) [Maé] I_icon_minitimeLun 29 Oct 2018 - 16:57

Nom/Prénom : Henri, Raphaël, Rémond, Sébaste, Néeradonné, d'Hardancour.

Âge/Date de naissance : 37 ans. Né en l'an 979 du Xème cycle.

Sexe : Mâle.

Race : Humain.

Faction : Péninsule.

Alignement : Chaotique neutre.

Liens notables : Neveu de Charles d'Hardancour. Fils de Rémond d'Hardancour. Cousin de Judith d'Hardancour.

Particularité :

Métier : Seigneur d'Hardancour & Chevalier.

Classe d'arme : Corps à corps


Possessions & Equipements : Henri d'Hardancour possède toutes les largesses qu'un noble nordien peut espérer. Il jouit sans réserve de tous les bienfaits du castel familial, situé à Hardancour, un village situé au sud-ouest de Sainte-Berthilde. A ce titre, le seigneur des lieux dispose de tous les droits et devoirs d'un suzerain envers les locaux, ainsi que d'un vassal à un seigneur, étant directement vassal du marquis.

Coquet, Henri d'Hardancour dispose d'un panel relativement réduit de tenues de cérémonies, mais toutes ont été conçues avec soin par les plus grands tailleurs langecins. Les couleurs vives de ses tenues rappellent parfois les goûts colorés des gens du sud, bien que Henri affectionne porter le noir et le violet, ses tons favoris. Son armure a été conçue, quant à elle, par les plus fins armuriers berthildois, tout comme sa lame. Son père, Rémond, ne reculait devant aucune largesse pour satisfaire les caprices de son fils.

En plus de ces biens, Henri dispose de plusieurs chevaux, de course et de guerre. En plus de sa lame, qu'il porte toujours au flanc, le seigneur d'Hardancour détient une lance, une massue et un fléau d'armes, qui bien que demeurant au castel, rappellent à qui les voit que Henri est un combattant fort aguerri. La bibliothèque entretenue par son père se dépérit peu à peu, malgré les quelques ouvrages rares qu'on peut y trouver, Henri ne trouvant guère son plaisir dans des occupations comme la lecture.

Apparence : Henri Raphaël Rémond Sébaste Néeradonné d'Hardancour, plus simplement nommé Henri d'Hardancour, est un brave homme dans la force de l'âge. C'est un homme coquet, très propre sur lui, et qui ne manque pas de faire radier cette image par son allure et sa prestance. Sa posture est digne, le dos droit et les jambes légèrement fléchies, le bassin ferme et la gestuelle fluide. Ses cheveux sont courts, noir à l'image du jais et coiffés convenablement. Si le nobliau n'a guère de barbe, il taille et prend soin de sa moustache, que beaucoup considèrent comme une marque de fabrique de la famille Hardancour. Ses yeux, marrons sans grande surprise, se démarquent par leur air fin et malicieux.

De corps, le jeune Hardancour est en bonne santé physique. Le ladre s'entretient par de nombreuses joutes et entraînements, supervisés par les maîtres d'armes dont il peut profiter à la cour de Sainte Berthilde. La chasse et la course sont ses activités favorites, de même que la baignade et la lutte. Ses épaules sont larges, tout comme ses bras et tous ses autres muscles. En soit, Henri d'Hardancour n'a guère à rougir de son physique, bien qu'on ne puisse affirmé qu'il soit une référence en terme de musculature.

Ce qui caractérise le mieux le jeune Hardancour est sans aucun doute le charisme dont il sait faire preuve. Enfant gâté et sachant tirer profit de la faible volonté d'un père aimant trop son fils, Henri d'Hardancour s'est forgé autour d'une fierté teintée d'arrogance, qu'il met le mieux à profit lors de ses jeux de provocation ou de séduction. En effet, conscient qu'il ne laisse indifférent la gente féminine au premier regard, il aime se délecter de ses jeux auquel il excelle. Son talent dans ce domaine-là n'est égalé que par sa capacité à agacer autrui par ses réparties finement travaillées et son arrogance toute faite de chevalier péninsulaire.

Personnalité : « Un gros tas de merde dans un bas de soie. » S'il est difficile de trouver quelqu'un à qui attribuer cette maxime à propos d'Henri d'Hardancour, c'est pour la seule et unique raison qu'il y a un certain nombre de berthildois qui aurait pu la prononcer. Adulé ou haï, apprécié ou toléré, Henri d'Hardancour peine à laisser son entourage indifférent, tant il aime occuper le devant de la scène et se faire voir, pour le meilleur ou pour le pire.

Le jeune seigneur d'Hardancour est un homme extrêmement fier, susceptible, hautain si ce n'est arrogant. Excellent bretteur de son état, il a conscience de ses capacités au dessus de la moyenne, et apprécie le rappeler à maints reprises. Cependant, il n'est guère dénué de bon sens, ne se considérant ni comme un vilain, mais encore moins comme une personne bonne. Pour lui, la morale n'est qu'un frein à la véritable liberté de l'Homme, qui est de jouir de ce que le rang confère comme bienfaits.

La guerre est pour lui un terrain de jeu, une piste de course sur laquelle il faut arriver à tout prix premier. Les amours, voilà ce qu'Henri chérit par dessus tout. Aussi impitoyable sur le champ de bataille qu'en duel ou en quête d'un cœur, le véritable potentiel de l'Hardancour se révèle lorsque son honneur, sa réputation ou sa fierté sont en jeu. Son oncle, Charles d'Hardancour, avait grand plaisir à le sermonner afin de tirer le meilleur d'un homme tirant habilement son épingle du jeu dans une famille dont il est l'unique héritier mâle.

Cependant, ce portrait ne saurait retirer à Henri d'Hardancour un certain sens des responsabilités et une connaissance du champ de bataille. Comme beaucoup de nobles berthildois, le ladre figurait au sein de l'armée berthildoise envoyée pour châtier le Médian. Cependant, il ne se trouvait point parmi ceux qui furent massacrés aux Champs Pourpres dont peu ressortirent en vie, à l'image de son oncle Charles. Brillant combattant, Henri n'en est pas moins un piètre meneur d'hommes, pour des raisons évidentes déjà énoncées.


Capacités magiques : Aucune.




Histoire

La famille d'Hardancour est une lignée dont les origines remontent si loin qu'il est difficile d'en établir l'origine. A l'instar des familles portant le nom de leur castel, comme les Saint-Aimé ou les Kelbourg, les gens d'Hardancour disposent de branches éparses, diverses et variées. Là où les Kelbourg préféraient la carrière des armes et les Saint-Aimé la voie de la piété, les Hardancour se tournaient souvent vers les guildes marchandes, où on les confondait souvent avec des bourgeois fort aisés. C'était d'autant plus vrai que beaucoup des unions organisées au sein de la famille se concluaient avec des membres éminents, ou éminentes, des guildes. L'une des unions, très profitables non seulement pour la noblesse mais également pour la bourgeoisie, fut celle de Rémond d'Hardancour, fils de Gontrand d'Hardancour et de son épouse Ségolène. Rémond était le second de la fratrie, frère cadet de Charles, et aîné d'Ildegarde.

Au vu de la loi en vigueur dans le pays d'Hardancour, à savoir la primogéniture masculine, Charles était donc en passe d'hériter du castel familial et de porter le titre. A la mort de Gontrand, le nouveau seigneur d'Hardancour récupéra tous les fruits de la famille, et supervisa l'union de son jeune frère à une femme nommée Marie de la Tourelle. Rémond était de cinq ans le cadet de Charles. Âgé donc de dix neufs ans lorsque son grand frère prit la tête de la seigneurie, le benjamin de la famille prit donc femme. Cette dernière n'était autre que la fille et unique héritière de Raphaël de la Tourelle, intendant à la guilde des Joailliers. Cependant, beaucoup disaient que la jeune Marie était maudite, car elle fit deux fausses couches avant, enfin, de donner vie à un petit garçon. Ils le nommèrent Henri, et l'affublèrent de nombreux prénoms venant ensuite. Le plus marquant était Néeradonné, tant l'enfant était attendu par ses parents après tant de peines.

Henri d'Hardancour fut choyé dès le berceau, et fit l'objet de milles soins et attentions de la part de ses parents, mais aussi de la part de son grand-père Raphaël. Disposant des ressources du castel et des larges richesses de la famille de la Tourelle, Henri ne connut nulle autre chose que le luxe sur-attentionné de parents trop protecteurs, cédant au moindre de ses caprices. Véritable vitrine vivante de la famille, Henri eut tôt fait de se constituer une petite cour de façade à Hardancour, triant sur le volet ses amis parmi les tourtereaux les plus aisés de la région. Ses dépenses étaient largement couvertes par ses géniteurs, qui s'assurèrent de lui dispenser la meilleure éducation possible, dans les lettres et dans les armes. Des deux, ce fut de loin ce dernier domaine qui plut le plus à Henri.

Henri d'Hardancour montra très tôt des signes de virtuosité en tant qu'écuyer. Il se forma, auprès des meilleurs maîtres d'armes du marquisat, au maniement de l'épée, de la lance et du fléau. Il sut monter à cheval plus tôt que la moyenne, et ses excellentes capacités n'aidaient guère au travail sur soi qu'aurait pu espérer sa mère, si elle n'était pas occupée à céder aux caprices de son fils sous la pression du père et du grand-père. En effet, l'arrogance du jeune Henri n'avait d'égal que sa capacité à épater son entourage, pour le meilleur ou pour le pire, en concédant ou reprenant son amitié selon son bon gré, mais surtout selon l'image que ses suivants laissaient transparaître.

Lorsque sa cousine, Judith, avait qui il s'entendait fort bien, monta sur le trône du marquisat avec son époux, c'était après moult événements ayant chamboulé ladite terre. Mais pour Henri, tout cela ne le concernait guère, lui qui n'avait ni goût ni intérêt à s'intéresser à des choses si futiles que la politique. Il ne manqua pas, cela dit, de saisir l'occasion de séjourner à la cour. Henri s'y rendit, profitant ainsi non seulement des largesses de ses concepteurs, mais également des privilèges dû à son sang et à son rang. Au sein de Cantharel, il eut tôt fait de s'entourer de braves gentilhommes avec qui il prenait un certain plaisir à rappeler à la cour qu'il était le meilleur bretteur, et le meilleur courtisan. La grande gueule d'Henri n'était tempérée que sa peur viscérale de Godfroy.

L'extravagance d'Henri était cependant fortement nuancée par son désir de s'approcher des gens de pouvoir, non pour profiter de leur influence, mais pour se faire bien voir. Ainsi, dès l'avènement des Saint-Aimé, Henri eut tôt fait de renouer une amitié qui avait débuté depuis de nombreuses années avec Louis, le plus jeune fils de Judith. En effet, les cousins éloignés s'appréciaient grandement malgré leurs divergences, et l'amitié d'Henri s'étendait également à Éléonore, qui s'était souvent entendue dire de la bouche d'Henri, que « ma mie, si vous n'étiez point ma cousine, vous seriez ma femme ! » Les grandes péripéties qui chamboulèrent la vie du marquisat semblaient bien peu déteindre sur le quotidien d'Henri, qui se tint, à l'instar de son oncle, près de celui qui avait été baptisé malgré lui le Jeune Faon. Lorsque Charles fut congédié et renvoyé à Hardancour après l'affaire d'Etherna, Henri n'avait guère manqué de faire part, de la plus virulente des manières, de son désaccord à Louis.

« Mon cousin, mon ami ! Je te connais homme fort occupé, mais si d'aventure tu avais quelques minutes, j'en serais grandement reconnaissant à monsieur le marquis ! »

« Cesse de m’affubler de ce titre, tu sais comme tous les autres que je n'en suis que le Régent, mais oui, volontiers. Je te suis tout ouïe. »

«  Ma foi, mon bon cousin, je sais beaucoup de choses, et beaucoup de ces choses, on me les a conté. Elles n'en sont guère vraies pour autant. Je m'en venais justement t'entretenir à ce sujet. Pourquoi as-tu donc fais revenir mon brave oncle d'Etherna ? »

« J'ai dû le remercier de ses fonctions, car il a tenté d'assouvir ses trop grandes ambitions pour le Berthildois en m'utilisant. Je n'ai crainte de t'avouer l'inexpérience que je ressens face à tout ce litige. Mon grand-père fût de loin l'homme le plus à même à me conseiller et me diriger dans le sentier le plus sécuritaire à l'obtention du trône marquisal. Pourtant, ce qu'il fit ne fût autre que de mettre en péril mes chances d'accéder à cette place qui me revient de droit.  »

«  Que tes paroles sont dures, mon cousin. Toi qui veut des conseils et des sentiers sûrs, après le règne de ton père, tu devrais savoir que cela n'existe guère. Ne lui en tiens donc pas rigueur trop longtemps, Louis, mon oncle ne pensait pas à mal. On ne peut en dire autant du vilain de Wenden. Enfin ! Comme tu es le marquis, tu as du temps pour toi ! Viens donc t'entraîner ! »

« Ou plutôt qu'un sentier sécuritaire, un chemin battu, au moins! Car la route qu'il me conseilla d'emprunter n'était autre que celle du lèse-majesté. Or, c'est une avenue qu'il m'est souhaitable d'éviter. " Louis acquiesça à sa requête, il n'avait guère levé le glaive de la journée et le temps s'y prêta bien. " Après la guerre, de l'eau aura couler sous les ponts, je l'espère. »

«  Oh, le lèse majesté, pour ce qu'on dit du roitelet, maintenant ! Quant à la guerre, mon bon cousin, tu la feras depuis ta tente si tu ne travailles pas ta garde ! »

Pour ainsi dire, la colère d'Henri portait plus sur la tenue correcte d'une garde que sur le renvoi de son oncle. Questionné sur le sujet, le concerné avait répondu que la politique n'était guère une affaire qui le concernait, qu'il préférait grandement la laisser à ceux qui en avaient fait leur carrière. L'amour qu'Henri portait à son oncle ou à son cousin lointain n'entraient guère ici en ligne de compte. Le jeune Hardancour figurait, de par son rang mais surtout son talent, au sein du cercle privé de Louis non seulement à la cour mais également en campagne. A l'inverse de son oncle, Henri figura parmi ceux qui accompagnèrent le Faon à la guerre, et qui assista pleinement à sa conversion en Cerf.

Les épousailles entre Louis et la baronne d'Alonna eut de quoi surprendre Henri. En effet, ce dernier se prêtant grandement aux jeux des murmures et des rumeurs, n'eut de cesse de rire sur tout ce qu'il entendait sur la Broissieux. Cependant, Henri n'avait point de raisons de ne point l'aimer, ni de motifs pour l'apprécier. Ce fut peu après cet événement festif qu'un grand drame survint. Le père d'Henri, le brave Rémond, s'éteignit suite à une mauvaise grippe qu'il avait contracté en forêt. D'une manière fulgurante, le brave chevalier de cinquante-sept années fut prit de froid et de toux. Son état s'aggrava rapidement, à tel point qu'au moment où les médecins se mettaient à craindre pour sa vie, il était déjà trop tard.

***

A la mort de Charles, en la neuvième ennéade de Karfïas de la onzième année du onzième cycle, ce fut son neveu Henri qui reprit le flambeau de seigneur du domaine. En effet, Hardancour étant une terre empreinte des traditions nordiennes de la primo-géniture masculine, il était hors de question pour les baillis que ce fusse la fille de Charles, fut-elle la marquise-mère Judith, qui héritât du domaine. Le jeune frère de Charles, Rémond, étant mort peu de temps avant, on murmura que c'était un coup du destin que son frère aîné trépasse peu de temps après, laissant ainsi Henri Raphaël Rémond Sébaste Néeradonné d'Hardancour, troisième du nom, hériter du castel.

Bien que bon vivant et courtisan, et ayant consacré la majeure partie de ses années jusque là à affûter ses talents tant à la lame qu'à la verve, le « jeune » Henri eût tôt fait de prendre femme. A l'image de son père, il se maria avec une femme de haut rang au sein de la guilde des Joailliers dont était issue sa mère, Marie de la Tourelle. Leur union fut célébrée durant la même année que son accession au trône d'Hardancour. Anne Régisson, une bonne bourgeoise berthildoise, lui donna un fils l'année qui suivit, qui fut baptisé Rémond. Il mourut quelques semaines après d'une fièvre. L'année d'après, un autre fils vit le jour, qui fût baptisé Charles - on espérait ainsi obtenir du précédent seigneur un peu plus de bienveillance depuis l'au-delà que n'en avait eu son frère cadet pour son homonyme.

Bien que passant de courtisan à père et mari, Henri ne changea guère pour autant ses habitudes. Chevauchant de Cantharel à Hardancour, ses allers-retours ne déviaient que pour visiter sa cousine, Judith, ce qu'il faisait autant que faire se peut. Durant ces années, la famille d'Hardancour s'enrichit considérablement grâce à ses connexions avec la guilde des Joailliers, qui ne manqua pas de profiter de la bienveillance du marquisat après les tremblements de terre au début de l'an 12, et la découverte des gisements d'opale et de marbre dans les montagnes voisines de Laraus. Toutefois, sur l'impulsion de sa femme - et aussi, dit-on, par un devoir de noble qui surprit par sa bonté -, une grande partie de ses gains fut redirigée vers les sinistrés de la région de Laraus, qui par là ne souhaitait point qu'on lui reprochât de ne point honorer la politique souhaitée par le marquis en faveur des victimes du séisme.

De plus, le chantier de l'université d'Hardancour, projet souhaité par le marquis Louis, occupera la plupart du temps et des comptes des Régisson. Sur le reste, Henri aura rempli ses devoirs de vassal envers son marquis : le conseillant lorsque demandé, passant de plus en plus de temps sur les derniers mois à Cantharel. Il aura donné, comme l'exigeait le droit, son renfort aux troupes armées envoyées pour endiguer les gobelins.

Henri fut aux côtés de Louis et de la marquise lors des épreuves qui les éloignèrent à l'occasion des fausses couches successives d'Alanya. Ce fut bien la seule occasion où Henri, friands des murmures et des échos de couloirs, usa de tout son savoir-faire et de ses connexions de filous à la cour pour faire taire les plus infâmes rumeurs. Soutien de son cousin, il s'affaira à lui changer les idées et à lui faire traverser ses temps nuageux - sans grand succès.



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Dernière édition par Henri d'Hardancour le Sam 28 Déc 2019 - 23:42, édité 2 fois
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Qui a dit que c'était le nord qui allait conquérir le sud? Moi je vois plutôt l'inverse! Wink

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MessageSujet: Re: Henri d'Hardancour (Fini) [Maé]   Henri d'Hardancour (Fini) [Maé] I_icon_minitimeDim 29 Déc 2019 - 16:43

Je te surveille @.@

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