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 Akiblaedÿl

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Akiblaedÿl
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MessageSujet: Akiblaedÿl   Akiblaedÿl I_icon_minitimeSam 27 Juil 2019 - 23:15

Identité
Nom/Prénom : Akiblaedÿl (Surnom: Aki)
Âge/Date de naissance : L'an 400 du Xième cycle
Sexe : Mâle
Race : Elfe de pierre
Faction : Cité de Lanthaloran
Alignement : Chaotique - Bon
Liens notables : Camaenor et Artiön furent respectivement ses Commandants. Son père est un alchimiste de renom. Il reçut les enseignements d'un druide durant le Voile.

Particularité :

Des cicatrices symétriques arborent son visage. Ce ne sont pas des cicatrices de guerre. C'est comme si sa peau avait été craquelée, fissurée. Des perçages sont divers recouvrent le long de ses grandes oreilles, qui semblent bouger ne serait-ce qu'un peu à toute les cinq secondes. Ses cheveux sont d'un gris sombre aux reflets d'argent. Son regard bleu foncé semble souvent distant sauf lorsqu'il prend le temps de s'adresser à quelqu'un. Dans ces moments, son regard devient perçant et il fixe toujours la personne droit dans les yeux jusqu'à ce que ça en soit malaisant, comme s'il ne prenait pas conscience du malaise. Et il a souvent tendance a laisser durer les silences et semble même les apprécier.

Métier : Ex-Capitaine des troupes de Lanthaloran avant que la Cité ne tombe, membre du Conseil de Cité de Daranovar depuis l'Aube après le Voile.
Classe d'arme : Corps à corps - Double Lame


Possessions & Equipements :

On le voit rarement sans ses apparats de Capitaine, sa cape bleu volant au vent. Il porte fièrement son armure robuste et flexible destinés aux cavaliers. Il traîne également toujours avec lui sa double lame et sa besace contenant quelques herbes médicinales, assez pour soigner des blessures superficielles et désinfecter des plaies. Il porte parfois avec lui un arc long et un carquois d'une vingtaine de flèche mais plutôt souvent qu'autrement son arc est accrochée, avec ses autres possessions, à la selle de sa jument - qu'il appelle Aube. On peut l'apercevoir souvent avec son Mirage d'Argent à l'épaule, et si l'oiseau n'est pas sur son épaule on peut certainement le voir survoler en cercle au-dessus de lui.

Il traîne dans un sac, qu'il laisse souvent aux soins de son cheval, des fioles vides, un petit couteau, une corde de 3 mètres, un outil pour émietter les plantes, une petite faux pour les couper, un miroir, un livre avec toute sortes de notes à l'intérieur, de l'encre, une plume, des rations de survie, des bandages, de la ficelle, une aiguille, une poêlonne et un tout petit coffre avec un cadenas.

Apparence :

  • Taille : 6"3
  • Couleur des yeux : Bleu très foncé

Il a une carrure svelte et élancé pour n'importe-qui mais n'importe-quel elfe le qualifierait de robuste. Sa posture est toujours droite et son visage est de marbre. Un visage de marbre qui a certaine tendance à offrir un sourire chaleureux et aimable. Son rire est contagieux bien qu'absolument bruyant. S'il y a bien un aspect chez lui dans lequel l'élégance elfique n'a pas trouvé sa place c'est son rire. Son regard peut inspirer de la douceur jusqu'au respect selon les situations. Il combat avec une élégance remarquable, comme si chacun de ses mouvements étaient un pas de danse d'une férocité sans pareille. Sa peau est lisse. Elle a toujours été parfaite jusqu'à récemment lorsque son visage s'est craquelé et sa peau s'est fissuré pour laisser place à des cicatrices presques symétriques sous ses yeux et tout au long de son menton. Ses cheveux ont été argent vif toute sa vie jusqu'à ce qu'ils deviennent d'un gris sombre récemment.

Personnalité :

Il a fait face à des changements majeurs tout récemment et il est donc souvent enclin à la réflexion. Il a toujours été de nature songeur mais il semble avoir des moments durant lesquelles il est en profonde introspection. Il fut toujours de nature joviale lorsqu'il savourait l'existence auprès des siens. Il est méticuleux lorsqu'il ne laisse pas ses émotions l'emporter sur sa raison, sans quoi il devient vite passionné et impulsif. Sa capacité de discernement et d'analyse n'ont toutefois que peu d'égales, particulièrement sur un champ de bataille. Il est de nature généreux et sait faire preuve d'humilité. De la vrai humilité, de celle qui ne nous dénigre pas ni ne nous valorise à outre-mesure - l'humilité qui permet à celui qui la pratique de reconnaître et de faire valoir sa valeur authentique. Il apprécie la compagnie des autres mais se plaît à être en mesure de se débrouiller seul.

Depuis peu, la nature lui parle plus que jamais et il l'écoute consciencieusement. Elle le berce dans les eaux douces ou dans les tempêtes et il se laisse naviguer par le son doux et puissant de la Symphonie.

Capacités magiques :


Une grande écoute de la Symphonie consciente et une capacité de discernement par rapport à celle-ci.
En effet, durant le Voile, l'Éveil de Kÿria, la Symphonie s'éleva en lui. Il erra dans la nature à la recherche de compréhension et un Mirage d'Argent le guida jusqu'à un druide - ou le druide guida le faucon jusqu'à lui. Le Druide lui enseigna comment accepter en lui la Symphonie, comment en faire l'écouter, en prendre conscience, comment ne pas être submergé par celle-ci et comment la laisser s'imbiber en lui.


Histoire
an
Né à l'an 400 du Xième cycle, cent ans après l'assassinat de Glorfindel mais durant une période relativement stable malgré les conflits entre Noss et Cités, Akiblaedÿl grandit entouré de ses deux parents. Son père était un alchimiste de renom au sein de la Cité de Lanthaloran et sa mère faisait partie des mages des guerre. Ils prirent tout deux un peu de recul sur leurs activités respectives le temps que leur soit assez mature pour apprendre seul ce qui pouvait se faire. Aucun des deux parents ne poussèrent le jeune elfe dans une direction ou une autre et à l'adolescence on l'encouragea à avoir plusieurs mentors dans plusieurs domaines distincts afin d'obtenir une clairvoyance sur la personne qu'il voulait devenir. Son père était un fervent de la science et sa mère une adepte de la magie et du combat mais aucun d'eux n'a essayé d'influencer leur fils dans une direction ou une autre. Ils avaient apprit à s'aimer dans le respect de l'entièreté d'un être et de toute ses différences et ils désiraient inculquer davantage leurs valeurs que leurs savoir à Akiblaedÿl.

Et c'est dans l'art du combat que le jeune elfe trouva sa voie. Il réalisa que plus rien n'existait autour de lui lorsqu'il s'entraînait avec son mentor, comme si le monde était au ralenti. Bien que ce n'était que son ressenti, cela lui procurait un tel calme que de s'entraîner et nourrissait la paix et la sérénité en lui. Akiblaedÿl n'était encore qu'un enfant âgé de 60 ans seulement lorsque son mentor le prit sous son aile. Il voyait dans le maniement des armes un art : L'art de la guerre tel qu'enseigné par la Cité de Lanthaloran.
Il ne pouvait cesser de s'entraîner tant il aimait cela. Son père en vint même à lui concocter des potions qui soignait les tensions musculaires afin qu'il puisse d'autant plus pousser ses limites durant son développement, et le corps de l'elfe s'adaptait.

Dès son entrée dans l'âge adulte il rejoignit les rangs militaire et ses prouesses physique étaient remarquable. Il aurait probablement toutefois fait le meilleur des caporals sans plus si sa mère n'avait pas prit le temps de lui enseigner les stratégies et de lui indiquer comment se distinguer des autres sans devoir désobéir ou montrer trop d'orgueil. Effectivement, la mère du jeune guerrier avait eu maintes reprises de se démarquer et de monter les échelons chez les mages de guerre mais ce n'est pas ce qu'elle désirait. Elle n'avait aucun appétit pour la gloire mais sentait en son fils le désir des grandeurs, la flamme que certains ont d'aller faire ce que personne d'autres n'auraient fait avant.

Après plusieurs années on l'envoya dans diverses petites missions dans les terres avoisinantes, accompagnés de quelques autres soldats. Son père en profitait dans ces moments pour lui demander de ramener certaines plantes spécifiques qui poussaient dans des régions données alors qu'il travaillait sur de nombreux projets pour la Cité afin de faire avancer la science.

Puis on le nomma Caporal et il était en charge d'une petite poignées de jeunes recrues. On le forma au combat monté puis aux maniement de l'arc. Chaque mission qu'on lui confiait était un succès, certaines missions réussissaient mieux que d'autres mais il obéissait aux ordres sans poser de questions et ses supérieurs appréciaient. Sa progression allait pour le mieux jusqu'à ce qu'il assiste à la première perte d'un des soldats à sa charge. Il avait 200 ans à ce moment-là.

Alors qu'ils campaient pour la nuit, lors du retour d'une mission, et qu'un des soldats montaient la garde, ce dernier n'avait pas entendu le Kerkand s'approcher et il fut prit de surprise. Un hurlement de douleur réveilla le reste du groupe et Aki sortie de sa tente en vitesse mais il était déjà trop tard pour son ami. Ils combattaient la bête et les ordres de formation ainsi que les prouesses physique du Caporal elfe parvinrent à faire fuir la bête après un combat ravageur faisant plusieurs blessés. Ils ramenèrent le corps du soldat défunt à la Cité

Ses confrères racontèrent le récit des événements et devant le leadership qu'avait fait preuve Aki, on le plaça bras droit d'un Lieutenant afin qu'il puisse apprendre de ce dernier. Et bien qu'il ne dit rien et ne s'opposa pas, la mort qu'il avait vu l'avait profondément atteint. Si les Noss et nous n'étions pas en éternel conflit, ils nous auraient peut-être averti d'un tel danger sur le territoire ? Peut-être que le peuple elfique pourrait bénéficier d'une harmonie entre Noss et Cité ? Et il essayait d'en parler à certains de ses confrères et consoeurs de confiance mais tous lui disaient que les règles devaient être suivis et qu'il était mieux de ne pas s'opposer ou essayer d'en faire trop, que cela nuirait à son cheminement. C'est à ce moment que naquit la remise en question des traditions, des règles préétablis versus la morale des choses. C'est là qu'il comprit que ces deux concepts n'étaient pas toujours parallèle.

De nombreuses années plus tard, le palais de la Capitale était attaqué de surprise par les drows. Les troupes de Lanthaloran et de Daranovar se mobilisèrent pour aller affronter l'ennemi sous le commandement d'Arthïon avec les mages de guerre et de Camaenor pour les soldats. Durant cette bataille, de nombreux soldats sont morts ainsi que des officiers - dont le Lieutenant qui était chargé de la formation Akiblaedÿl ainsi que plusieurs Capitaines tandis que plusieurs individus se démarquèrent de leur bravoure et de leur initiative, dont Aki, qui ne fut pas nommé Lieutenant avant d'être nommé directement Capitaine pour combler les postes des officiers vacants suite aux nombreux décès durant la longue bataille.

Te voilà Capitaine mon fils. Un jour, tu pourra façonner le monde comme tu le vois, avec ton coeur. Vint souffler doucement la mère à son fils, alors que ce dernier observait le coucher du soleil, debout sur le balcon de la grande demeure familiale.

Une ombre pèse sur nous. Les ténèbres ont emporté plusieurs des nôtre dans le sang et l'acier, mais aujourd'hui les ténèbres resserrent leur étreinte sur nos coeurs pour emporter ceux qui restent.. dans la nuit.



Les jours passèrent, et les semaines, et le temps. Il devait assumer son nouveau rôle de capitaine, ainsi soit-il qu'il fut ensuite formé sous le commandement de Camaenor puis du fils de ce dernier : Artiön. Rien de majeur ne vint marquer sa vie jusqu'au crépuscule de ce dernier cycle. On attendait tous le Voile, mais personne ne s'attendait à ce Voile là. Le chaos. Le noir totale et seulement les étoiles pour se guider. Le déchaînement de la nature et les dieux marchaient sur la terre que nous foulions. La terre se mit a trembler légèrement, et sous nos pieds l'on pouvait apercevoir les racines se frayer un chemin dans les entrailles de notre monde. Les murs tombèrent, la magie perdit le contrôle de son art dans la Cité et elle s'effondra sur son peuple qui dût fuirent.

...

Le cri d'un faucon le ramena à la conscience. Il n'avait pas encore les yeux ouvert qu'il s'étouffa dans la poussière. Il était sous les débris de la muraille qui s'était effondré, emporté par la végétation, il était couvert de lianes mais n'était pas sous étreinte. C'était comme si elles l'avaient protégé de la chute du mur. Alors qu'il se libérait de toutes ces entraves et qu'il se leva finalement pour regarder autour de lui, il faisait un noir total. Un bourdonnement sonnait dans ses oreilles, de plus en plus fort. Ou était-ce vraiment dans ses oreilles ? Il sent son coeur battre, ou du moins il ne cessait d'entendre des battements de coeur, et les oiseaux, et les feuilles, et la rivière, et l'écorce. Les battements coeurs... et la douleur jaillit. La souffrance du monde venait de pénétrer son âme. Il tomba sur ses genoux dans un hurlement de douleur. Ce n'était rien comparé à toute la douleur physique qu'il avait subie dans toute son existence. C'est désormais son existence qui était douloureuse. La souffrance est l'émotion que l'on ressent le plus fort, celle qui nous pousse à changer. Et la souffrance du monde dans son âme prit forme physique alors que la peau de son visage fissurait et fendait pour former de large plaies sous ses yeux et tout au long de son menton. Ses yeux s'assombrirent tout comme ses cheveux. Il n'en pouvait plus, quand est-ce que cela se terminerait ? Pour la première fois de sa vie, il entendait la Symphonie alors que sa Cité venait de tomber au désespoir. Une lueur d'espoir argenté se posa devant lui, un Mirage d'Argent vint frotter son bec sur la joue de l'elfe, doucement, puis alla se percher sur un arbre un peu plus loin et fixait son regard sur l'elfe.


Il entreprit de suivre le Mirage d'Argent, qui semblait vouloir le guider quelque part, et ce durant trois jours. Il n'arrivait pas à se concentrer, il marchait en se tenant la tête et tombait à plusieurs reprises. Il se relevait de peine et de misère et continuait sa route jusqu'à ce qu'il tombe à nouveau puis qu'il lève la tête et aperçu un être qui émanait une telle sérénité, même dans un tel moment de désespoir. Comment pouvait-il demeurer aussi paisible alors que les ténèbres sont à notre porte, jusque dans nos âmes ? Songea-t-il. L'elfe qui se trouvait devant lui était parsemé de tatouages de la tête au pied, son regard brun profond sonda l'âme d'Akiblaedÿl.

J'ai entendu ton appel. Et je ne sais que penser de ce que tu m'apporte. Il semble vouloir porter le monde sur ses épaules. Pourquoi veut-il le faire seul ?

Alors qu'Aki, toujours au sol, leva les yeux dans une incompréhension totale de ce que disait le druide devant lui, réalisa que son compagnon animal était perché sur l'épaule du druide et c'est au Mirage d'Argent que ce dernier s'adressait. À bout de souffle et complètement épuisé, le jeune elfe guerrier se laissa choir sur le sol et emporté dans un sommeil profond.

...

Il ouvrit les yeux doucement alors qu'une paix immense l'habitait et de douce arômes se faufilait jusqu'à ses narines. Il regarda autour de lui et il semblait être dans un grotte alors que divers encens et tisanes fumaient autour de lui et que le druide lançait différentes herbes dans un petit feu de brasier.

Comment t'appelle-tu? Souffla difficilement Aki, d'une voix brisé.

De connaître mon nom ne t'aidera en rien dans ta quête, mais tu peux m'appeler Étoile Ardente. Lui répondit le druide, alors qu'un mince sourire réconfortant se dessinait sur son visage.

Et c'est ainsi que débuta l'enseignement de l'acceptation de la Symphonie pour Akyblaedÿl. Les apprentissages durent toute la durée du Voile, soit 80 jours. Jusqu'à ce que Étoile Ardente appelait l'Aube : Le lever d'un nouveau cycle, le début d'une nouvelle Ère.

L'Anaëh t'a donné une seconde chance de vivre, porteur du monde. Fais-en bon usage.

Quelque chose me dit que nous nous reverrons, Étoile Ardente.

Se dirent-ils tout les deux alors que leur chemin se séparait. Aki suivit son nouveau compagnon animal, le Mirage d'Argent, jusqu'à ce qui restait de la Cité de Lanthaloran et il aperçut alors des elfes qu'il connaissait venu sur les lieux pour récupérer les matériaux qui pouvaient encore être utilisés. On lui mentionna que les réfugiés avaient trouvé refuge dans la Cité de Daranovar et ce ne fut pas long qu'il s'y installa également. Il se hissa une place au Conseil de Cité pour représenter les réfugiés de sa Cité Natale dans leur Cité voisine. Et c'est ainsi que son récit débute vraiment.

[spoiler=HRP]
HRPComment trouvez-vous le forum ? : Très complet avec une trame géo-politique intriguante et permissive aux joueurs d'exercer de l'influence sur le développement du jeu en général d'autant plus que la mythologie et les autres aspects culturels ou militaires sont superbement complets.
Comment avez-vous connu le forum ? : J'ai écris Forum RP médiéval fantastique sur google et me voilà !
Avez-vous utilisé le Guide du débutant ? : Oui
Quels BGs avez-vous eu du mal à trouver ? :Mon tdah a rendu ma recherche un peu chaotique mais j'ai réussi grâce aux tonnes de questions que j'ai posé (Merci Artion!)
Comme ça, en tant que nouveau, des conseils pour améliorer le forum ? : Rien qui vient à l'esprit
Crédit avatar et signature : http://www.ventsombre.net/pnwn3.php?ident=29
Compte autorisé par : Indiquez le nom du membre du staff qui l'autorise ainsi que le nom de votre perso principal (uniquement en cas de compte supplémentaire bien entendu).
Parrain/Marraine : Je ne sais pas s'il se considère comme tel mais Artion m'a vraiment beaucoup aider !


Dernière édition par Akiblaedÿl le Dim 28 Juil 2019 - 22:27, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Akiblaedÿl   Akiblaedÿl I_icon_minitimeDim 28 Juil 2019 - 0:39


Alors !
Il est tard, du coup je n'ai pas encore eu le temps de m'attarder sur l'histoire, mais déjà par rapport à la partie HRP :

• C'est un détail, vu que de toute façon ce n'est plus le poste qu'occupe le personnage, mais un un capitaine n'a autorité directe que sur un corps d'armée et pas sur l'armée entière. Du coup, dans le cas où tu ne veux pas préciser de quel corps, ton personnage peut avoir été "un" ex-capitaine des troupes Lanthaloranes, mais pas "le" capitaine des troupes Lanthaloranes.
Par contre, si tu veux préciser, je pense que le mieux ce serait que tu fasses ton choix selon le style de combat de ton perso entre capitaine de l'infanterie ou des cavaliers.

• Niveau Symphonie : attention pour le lien avec l'aigle.
Les animaux ( dont les elfes ) peuvent percevoir la Symphonie, par contre, ce sont les plantes exclusivement qui en sont le vecteur. Du coup, pas possible d'avoir ce genre de lien avec l'animal. D'ailleurs, même dans le cas où vous vous retrouviez en forêt et avec les plantes autour pour "relayer", la forêt et capricieuse, et sans avoir la même autorité que celle d'un druide, difficile d'obliger la flore à te transmettre ce que ressent l'aigle.
Par contre, tu peux tout à fait simplement bien connaître l'animal, et te rendre compte à son attitude quand il y a quelque chose qui cloche. Tu peux même lui avoir appris des signes pour vous permettre dans une certaine mesure de communiquer. Les talents de messagers des Mirages d'Argents sont d'ailleurs parfois utilisés dans cette optique par les patrouilles elfiques.

• En parlant des animaux
Je n'ai pas encore lu l'histoire, mais il faut garder en tête que les elfes ne "domestiquent" pas les animaux. Les relations qu'ils développent avec eux sont plus de l'ordre de la relation de meute ( et l'elfe n'est pas toujours l'alpha ) ou d'une amitié d'égal à égal que d'une simple relation maître - animal.
Ensuite, peut-être que je fais du zèle mal placé ( vu que je n'ai pas encore lu l'histoire ) mais attention aux durées de vie des animaux. Parce qu'on oublie parfois que nos amis à plumes et à poils sont rarement capables de nous suivre pendant 500 ans Wink

Je m'occupe du reste demain o7

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MessageSujet: Re: Akiblaedÿl   Akiblaedÿl I_icon_minitimeDim 28 Juil 2019 - 14:11

J'ai corrigé quelques trucs et j'ai précisé d'autres trucs :)

Tu me dira si c'est okay
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MessageSujet: Re: Akiblaedÿl   Akiblaedÿl I_icon_minitimeDim 28 Juil 2019 - 19:34


Je reviens à la charge pour les corrections dans l'histoire cette fois-ci !
Alors déjà le tout premier grand souci dans ton histoire, c'est que les elfes n'ont jamais eu d'interaction avec les Drows entre l'assassinat de Glorfindel en 300:X et l'embuscade de Caranthir en 700:X. Rajouter le moindre affrontement aurait des conséquences beaucoup trop drastiques sur la timeline pour qu'on le laisse passer.
 Du coup, si tu veux mettre en scène une bataille qui se situe temporellement entre les deux, tu as le choix entre les régulières échauffourées avec les Noss autour de Lanthaloran / Daranovar ( mais attention, les attaques des Noss ne sont généralement pas non plus gratuites ! Sans un territoire de chasse, un lieu de campement, ou un secret à défendre, ou sans l'intention de faire entrave à l'exploitation de mines / carrières, il est extrêmement rare que les Noss s'en prennent à la vie des Citadins ) et simplement la défense d'un convoi face à des bêtes sauvages.
Chose à noter dans les deux cas : les Citadins tendront à éviter de faire des morts dans les deux cas.


Citation :
De nombreuses années plus tard, le palais était attaqué de surprise par les mêmes ennemis qui avaient embusqués Aki et sa poignée de soldats.

Ensuite, c'est Alëandir, la Capitale qui a été assiégée par les Drows en 700:X. Dire "le Palais" c'est beaucoup trop vague. Parce qu'Alëandir n'est pas juste un palais et de palais, il y en a un dans chaque Cité.

Citation :
Jamais aucun Noss n'avait combattu avec des boules de feu auparavant dans la forêt sacré.

Petit détail aussi, mais en particulier dans les monts Norns c’est très faux. L’une des deux plus vieilles Noss du Protectorats est exclusivement composées de mages dont des élémentalistes de feu

Citation :
On attendait tous l'ellipse, mais personne ne s'attendait à cette ellipse là.

L’événement dont tu parles à ce moment-là c’est le Voile, pas une ellipse Akiblaedÿl 657689250  
Les « ellipses » sont des événements qu’on organise HRP pour faire avance rapide et jouer beaucoup de temps RP en peu de temps HRP. Dernièrement par exemple, sur 3 mois de jeu ( ce qui habituellement représente une durée d’un mois IRP ) on a joué 5 ans. Maintenant par contre, le rythme est revenu à la normale.

Sinon, pour le rituel de liaison avec les faucons ce n’est vraiment pas possible par contre. La magie sur Miradelphia requiert sauf cas exceptionnel une concentration de chaque instant, et du coup, sans mage de l’esprit pour maintenir un lien entre l’animal et toi, ça ne marcherait pas. Ensuite, même si c’était possible, ce genre de rituel s’apparente plus à de l’esclavage mental qu’autre chose, du coup, d’un point de vue elfique c’est pas top-top.
Pour le coup vraiment, tu peux largement te contenter de travailler avec un faucon dressé. Pas besoin de lien magique pour comprendre un animal avec lequel on est habitué ( on comprend bien nos chiens, nos chats et nos chevaux etc IRL après tout ). Au final, ça te rajoute juste du fluff pour pas grand-chose.

Puis au passage, fais gaffe aux mots anglais qui se glissent parfois dans tes phrases :/.

Je reste dispo via MP / Discord si t'as les moindres question =D

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MessageSujet: Re: Akiblaedÿl   Akiblaedÿl I_icon_minitimeDim 28 Juil 2019 - 21:12

Je crois avoir rectifié tous les points mentionnés :) Dit moi si j'ai oublié quelque chose ou si tu vois autre chose, merci !
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MessageSujet: Re: Akiblaedÿl   Akiblaedÿl I_icon_minitimeDim 28 Juil 2019 - 22:40


Ne fais pas attention aux chaînes et aux barreaux, c'est pour ton bien c'est promis :mrgreen:

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