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 Fënáro Silmariel [Assassin]

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MessageSujet: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 9:44

Nom : Silmariel

Prénom : Fënáro ( L’esprit du feu )

Âge : 90 ans

Sexe : Féminin

Race : Elfe Sylvain

Particularités :

La jeune elfe possède plusieurs cicatrices, suites de ses combats, vols ou autres méfaits qui auraient pu mal tourner au cours de ses débuts d’aventure dans ce monde dangereux. Mais la cicatrice la plus flagrante et possédant la plus grande histoire est celle qui zèbre sa joue droite, épousant le contour inférieur de son œil et allant jusqu’à son cou. Il s’agit d’une marque laissée à cause d’une personne qu’elle chérissait énormément, et qu’elle chérit sans doute encore, même si elle vous dira bien le contraire.

Pour l’heure, son mental reste une particularité qui fait d’elle ce qu’elle est, qui couple son métier et sa race, mais nous laisserons la partie psychologie vous l’expliquer.


Alignement : Neutre

Métier : Assassin et voleuse

Classe d'Arme : Corps à corps / A distance un peu

Équipement :

Spoiler:

L’elfe n’affectionne pas les armures. Les seules protections qu’elle porte sont au niveau de ses jambes et de ses bras, protégés par des plaques de métal léger. Une écharpe rouge autour du cou, une cape noire autour des épaules. Elle porte des cuissardes noires et une tunique la dénudant plutôt… bien. A ses cuisses se trouvent les fourreaux de ses deux dagues coup-de-poing, armes exotiques anciennes mais aux lames acérées. Son arc court composite et ses flèches sont généralement attachés à la selle de son cheval, utilisant ces derniers éléments assez rarement.

Description physique :

Outre la cicatrice de son visage, Fënaro est une elfe dans toute la splendeur du terme. Elle n’est pas très grande, cependant, avoisinant à peine le mètre septante. Fine, légère et élancée, sa taille est menue ainsi que ses formes. Une planche à pain presque parfaite ! Presque ? Hé bien oui. L’assassinat reste un métier dangereux, et nombreuses auront été les blessures déjà reçues. Généralement bien soignées, elles ne laissent presque pas de marques. Mais il y a eu des jours où les soins avaient dû attendre.

La première chose que l’on remarque dans son visage sont ses yeux : deux pupilles faites d’ambre mêlé de noisette. Un somptueux mélange caramel qui vous fixe avec intensité, renfermant des secrets qu’elle se garde bien de dévoiler. Et pourtant, une ombre y règne, une tristesse sourde et muette qui sommeille sous les mèches sombres d’une chevelure sauvageonne.

Car lisses ont beau être ses cheveux, ils semblent bien impossible à coiffer. Les longueurs asymétriques règnent en maître : tantôt longs devant, tantôt courts derrière, et vice versa, elle n’arrive qu’à en faire deux fines tresses à l’opposée l’une de l’autre, ce qui lui facilite légèrement la vue. Noirs ? Pas vraiment. Avec le temps, ils ont pris une couleur plutôt étrange, mélange de gris, de brun et de noir. Certaines mèches tirant plus sur l’une des trois que sur les autres.

Et voilà. Des couleurs étranges pour un visage simple, sans apparat. Des yeux en amandes, un nez petit et fin, et des lèvres fines et dessinées… Une coquille physique pour une elfe voleuse, qui préfère toujours se cacher sous le capuchon épais et sombre de sa cape, gardant ainsi le nom de sa race muet lui aussi. Car ses oreilles sont pour le moins… elfiques, on n’en doute pas.


Description mentale :

L’esprit du feu… Quel beau nom. Les parents de la petite demoiselle ignoraient sans doute qu’en donnant un tel nom à leur fille, elle le suivrait à la lettre !

Rebelle et bagarreuse, Fëna a toujours été la mauvaise herbe du village elfique dans lequel elle a vécu. Sujette aux crises de violences, elle perdait très vite son calme et pouvait devenir dangereuse. Si, avec le temps, ces tendances se calmèrent peu à peu, rien de comparable à l’effet qu’avait sa grande sœur sur son caractère. Elle était la kryptonite de sa colère. Elenweï avait le don de calmer sa sœur par un geste, un mot, une parole. Mais lorsqu’Elen’ ne fut plus là ? Ca, c’est une autre histoire.

Fënáro hait sa famille, ainsi que les elfes en général. A jamais blasée de leurs niaiseries et de leur vie trop parfaite, chassée par ceux qu’elle aimait pourtant, elle s’est rapprochée des hommes et de leur mode de vie. Humaine adoptive si l’on veut, chose étrange, elle est toujours bagarreuse et violente. Elle vole pour sa survie, elle tue lorsque l’on lui demande. Et pourtant, elle n’a pas un mauvais fond. La seule réplique qu’elle vous dira, c’est qu’il faut bien gagner sa vie. Et qu’elle n’a jamais réussi à faire autre chose.

Mélancolie quand tu nous tiens, elle en est pleine. Pleine à ras bord. Sa tristesse provient du sentiment d’avoir été trahie et abandonnée. Mais seul un bon observateur pourrait le remarquer. Car Fënáro a longtemps pris soin de cacher ses sentiments. « On marche sur le fil d’une lame, les sentiments sont les vents qui nous en font tomber. Et la chute est mortelle. » Voilà un adage que son maître lui a fait comprendre par bien plus que des mots. Et elle a adhéré très vite à cette philosophie de vie : tuer pour vivre, chasser les sentiments et la peur, oublier le passé.

Mais voilà… Le passé est là, à sa porte, et elle doit l’ouvrir pour continuer d’avancer dans cette vie qu’elle aime et qu’elle n’aime pas …


Histoire :

Prologue
Une musique dans le noir


Une douce musique avait chassé le silence, ce matin-là, parmi les branches nues des arbres de la forêt d’Anaëh. L’hiver avait donné à ce début de journée une douceur froide mais tellement belle, bien que la neige ait totalement fondu la veille pour laisser lentement place au printemps qui s’installait lentement à son tour. La musique emplissait la forêt, lente comme un requiem, mais bien plus belle et joyeuse. La boite d’où elle provenait, se trouvait dans l’une des maisons elfes d’un petit village, collée contre le ventre rond d’une mère, tenue par les mains d’une sœur…

C’est là le tout premier souvenir de mon existence. Je ne voyais rien. Mes sensations étaient encore engourdies mais je sentais tout autour de moi les muscles de ma mère me pousser vers l’extérieur. Et je ne voulais pas sortir, je ne voulais pas quitter la chaleur et la douceur qui m’entourait. Et, de ce fait, j’arrachais de terribles hurlements à ma mère. La pauvre femme, les cheveux blonds en pagailles, le visage couvert de sueur, tentait tant bien que mal, avec l’aide de la sage-femme, de me faire admettre ce qui était impossible à accepter pour moi. J’étais déjà têtue comme une mule avant même d’être née, m’avait dit mon père, un jour que je lui racontais cette histoire. Mais aussi qu’il était impossible que je me souvienne de ce moment comme je le racontais…

Et pourtant, j’en avais déjà parlé à ma sœur… Elle se souvient très bien, elle aussi, avoir entendu notre mère hurler. Alors, âgée de cinq ans seulement, elle avait saisi la boite à musique et était venue la poser auprès de moi. Cette musique avait été la seule chose capable de freiner mon instinct combatif et de me détendre…

La suite n’avait été que lumière indistincte. Je ne m’en souviens plus à partir de ce moment. On m’a raconté que j’avais déjà les cheveux sombres et drus, et que je m’étais endormie, épuisée, au son de la musique, dans les bras protecteurs d’une mère dont la joie avait irradié tout le village. Vous savez, les parents, cela exagère beaucoup, en général. Mais les elfes, encore plus.


Chapitre 1
Deux sœurs, une demi elfe, une humaine et un pervers


Elenweï et Fënáro Silmariel, c’était ainsi que nous nous appelions. Les gens de notre village nous appelaient généralement « Le sœurs Silmariel » ou bien encore « Les opposées ». Au fur et à mesure que nous grandîmes ensembles sous les arbres, nos traits de caractères s’étoffaient, se marquaient, plus chez l’une de chez l’autre. J’étais brune, Elen’ était blonde. J’étais bagarreuse, et elle était la seule à me rendre mon calme. Elle était à l’écoute lorsque je fuyais la conversation trop sérieuse ; douce quand moi je ne savais que prononcer la plus dure des vérités,… Ma grande sœur était diplomate, gentille, peu bavarde, calme, souriante… Et moi je me faisais souvent réprimée par Maeglin, notre père, que je persistais à appeler par son prénom alors qu’il nous demandait à toutes les deux de l’appeler « Papa » ou « Père », à la limite.

Je ne dirais pas que je n’avais pas ma place dans ce monde-là. J’étais encore trop jeune pour me rendre compte que je blessais mes parents à être aussi franche et têtue dans une société qu’ils se voulaient de garder « en harmonie ». Ils m’aimaient, je le sais, mais si on leur avait donné l’ordre de choisir de garder une et une seule de leur fille, je sais que ce n’est pas moi qu’ils auraient choisie. Elenweï incarnait l’idéal elfique. Moi, je n’incarnais que l’esprit rebelle de la famille. Et, dans ces moments-là, on se dit souvent que si l’âge ne change rien à ce fait, c’est qu’aucune sagesse n’arriverait à entrer dans ma tête brûlée.

Et donc, le temps avait passé, sans que je ne change, sans qu’Elenweï ne change non plus. Nous avions beau être opposées en tout, parfois les opposés s’attirent, se complémentent même. Inséparables, nous formions un duo de jeux et d’aventures plutôt unique dans notre petit village. Nous parcourions la forêt, toujours plus fort, toujours plus loin, sans peur des frontières.

C’est au bord d’un lac que nous passions la plus grande partie de nos journées. Non loin des frontières de la forêt, les arbres s’éclaircissaient partiellement, ce qui donnait à l’endroit une lumière qui ne régnait nulle par ailleurs, mélange d’or et de la couleur tamisée des feuilles. Cet endroit respirait le calme et la paix, et nous nous baignions très souvent dans l’eau tiédie par les rayons. Ce lieu fut le théâtre de tant d’évènements… C’est là, par exemple, que nous fîmes la connaissance de deux jeunes filles : Kanah et Gwenhael Claringis, toutes deux filles du village humain voisin, qui s’étirait dans la vallée en contre-bas. Kanah était humaine tandis que Gwenhael ne l’était qu’à moitié. Demi elfe mise en retrait par son propre village, c’est avec plaisir que nous l’accueillions, moi et ma sœur, dans notre petit groupe avec Kanah. Quatre adolescentes, un lac, du soleil et du bonheur,… Ce fut une magnifique période qui vint à nous, dans notre petit paradis protégé des parents, des malheurs, des hommes comme des elfes, et des mauvaises nouvelles du lointain, qui pourtant s’approchaient avec une remarquable habileté…

Je trouvais en Gwen et Kanah deux amies fidèles. Je devins donc plus calme et plus souriante. Mais un jour, alors que les autres se baignaient et que j’étais en train de prendre un bain de soleil, j’entendis un bruit suspect venant des fourrés qui entouraient la clairière. M’apprêtant à débusquer un lapin ou quelque autre animal de ce genre, quelle ne fut pas ma stupéfaction de me retrouver nez à nez avec un jeune garçon de treize / quatorze ans qui matait nos ablutions…

Ma rage fut terrible, ce jour-là. La colère qui tonnait dans mon cœur depuis tellement de temps sans avoir le droit de sortir éclata et il s’en suivit une rude bagarre qui offrit à Renfer Barden un nez cassé et une chute dans l’eau. Ce fut une rencontre plutôt violente. Le pauvre jeune homme se fit rapidement, et sans que nous nous en apercevions vraiment, une place dans notre groupe. Pire ! Je me rendis compte que je m’entendais bien plus avec lui qu’avec les autres et qu’il était toujours fourré dans un coup foireux. Vol, détérioration, blague pas drôle… Alors que les filles, elles, préféraient jouer au soleil, je partais de temps à autre avec Renfer.

Il nous fallait tout deux un moyen d’extérioriser notre rage de vivre et notre colère contre le monde…Et nous le trouvions dans les excursions nocturnes au sein de Bérégost…


Dernière édition par Fënáro Silmariel le Jeu 10 Avr 2008 - 17:07, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 9:50

Chapitre 2
A dans cinq ans !... Ouais, c’est ça…



Une nuit, Renfer et moi nous trouvions à l’orée de la forêt. Souriants des bêtises que nous avions faites ce soir-là, nous dégustions une tarte de la bonne femme du coin qui avait eu la mauvaise idée de l’abandonner sur une fenêtre ouverte. La pâte encore chaude et les pommes sucrées étaient bonnes, voire très bonnes, moi qui raffolais pourtant uniquement de la nourriture elfique… Cette nuit là, donc, je quittais mon compagnon de méfaits le ventre plein, souhaitant rentrer chez moi avant que mon père ne rentre de sa ronde… J’ignorais que c’était là la dernière tarte aux pommes chaude que je mangeais avec l’humain.

Une fois au sein de notre logis creusé dans les arbres, Elenweï, les yeux rougis par les larmes, m’apprit que Gwen et Kanah étaient parties. Parties ? Je tentais d’avoir plus de renseignements sur cette rumeur. J’avais effectivement entendu parlé d’une fugue, pendant la journée, au village, mais j’étais alors cachée dans une grange avec Ren’ et nous n’avions pas pu entendre bien plus de la conversation. D’ailleurs, nous avions un fermier aux fesses et donc pas le temps de traîner dans les parages.

Je n’appris de la bouche de ma sœur que le rendez-vous qu’elles nous avaient données, dans plusieurs années, lorsque nous aurions fait notre vie et que le temps aura effacés les rancoeurs que le village avait montées contre la demi elfe qu’était Gwen. J’acceptais, soupirant, et m’endormis sur des pensées chaotiques.

Mais le lendemain n’allait pas être une meilleure journée pour nous. Du moins moi. Elen’ avait été mandée pour une quelconque tâche, et moi je me promenais seule dans le village. Je m’étonnais alors des changements. L’hiver approchait et les préparatifs pour cette période froide également. Je me rendis compte que je délaissais peu à peu ma communauté trop parfaite pour nos voisins humains bien plus intéressants à explorer. Mais je n’avais pas été la seule à m’en rendre compte alors…

Aldraíon était le fils du meilleur ami de mes parents. Son père et le mien faisaient tous deux partie du conseil du village et il avait été chargé de m’amener à eux. Lorsque je le rencontrais au détour d’un magnifique chêne, ce fut non sans violence. Je ne l’aimais pas. Plusieurs fois, il avait tenté de m’approcher de trop près et plusieurs fois ça c’était mal terminé. Ce jour-là ne fit pas exception, mais je fus tout de même traînée devant le conseil des elfes.

Je fus accusée de « fraternisation avec humain mâle », « manquement aux règles du village », « déshonneur envers ma famille » et j’en passe. Sans aucun moyen de me défendre contre leurs accusations, je les écoutais pendant des heures, rageuse devant l’air goguenard d’Aldaríon, honteuse devant le regard de Maeglin. Je ne fis que demander une faveur au conseil, qui l’accepta avant de me faire conduire à la frontière d’Anaëh par le fils trop parfait et l’un de ses amis, bien armés tandis que je n’avais le droit, moi, de ne rien emporter. Ils m’obligèrent, ce soir-là, à tout abandonner ! Je ne devais donc jamais revoir ma sœur ? Jamais dire au revoir à ma mère ? Et ma boite à musique ? Et les chevaux que j’avais sculptés pendant des heures qui reposaient au pied de mon lit ? Et tous nos souvenirs ? Bannie ! Sans sommation ! Lorsque m’apparut la vallée, embellie par la lune, je saisis l’épée de l’ami de mon ennemi et portait un coup à Aldaríon.

Tout elfe recevait une éducation sommaire des armes dans notre village. Le maniement de l’épée n’avait jamais été mon fort, et était sans doute bien plus celui de mon adversaire. Il para, je reculais, il attaqua. Je parais, mais il était plus fort que moi. La lame glissa, et le sentit une douleur à la joue tandis que je perdais l’équilibre et tombait sous lui…

« Hey, la bannie… Tu partiras d’ici, je te l’assure, même si pour cela je dois te dégoûter à vie de ce que nous sommes, ce qui ne devrait pas être difficile, vu l’amour que tu attaches à ces êtres primitifs que tu côtoies sans cesse… »

Je préfère oublier ce moment…


Chapitre 3
Elle dormait entre les jambes d’un cheval…



Mon errance solitaire me mena bien loin de ma forêt et de tous ceux que j’aimais, loin de tout ce que je connaissais. J’espérais secrètement que le conseil avait bien laissé le mot à Elen’, qui lui expliquait une fausse raison de mon départ précipité. J’espérais aussi qu’elle se mettrait à ma recherche tout en ne souhaitant pas affronter son regard.

Diantra… Capitale et cité humaine florissante ! J’y mis les pieds des semaines après mon départ d’Anaëh. Vêtue de loques, je ne possédais qu’une bourse vide dont j’avais déboursé le dernier écu volé pour m’acheter du pain sur la route. Et j’avais désormais faim. Lorsque je franchis les portes de la ville, cette nuit-là, ce fut sous le regard bourru d’un garde qui me dévisagea longuement avant de se décider à me laisser entrer.

Je me mis à déambuler dans les rues, observant les curiosités des humains, d’une ville, chose dans laquelle je n’avais encore jamais mis les pieds en 85 ans d’existence. Plusieurs jours, je déambulais ainsi, volant ce qui me passait sous la main avec discrétion, bien que je fus une fois pourchassée par la garde, que j’arrivais à perdre dans un dédale de ruelle. Reprenant alors mon exploration d’un lieu que je ne connaissais pas, la nuit tombante, je me faufilais dans une écurie de fortune d’une maison comme les autres d’un quartier plutôt pauvre. Là, une large jument noire et blanche, pleine d’un poulain apparemment tardif, me fixa pendant un moment, avant d’accepter ma compagnie et mon installation dans un coin de sa stalle, où je m’endormis d’un sommeil lourd…

Qui dura très peu de temps. Réveillée en pleine nuit par un hennissement strident, je sursauta et faillit m’assommer contre un mur. Je me retrouvais alors nez à nez avec un nouveau né, jeune cheval qui me fixait avec curiosité, mais également face à deux hommes … de mauvais poil. Peu ravi de trouver une clandestine bien au chaud dans le box de leur jument, je pense, l’un deux me saisit par le col et me traîna dehors, tandis que l’autre calmait l’animal et le poulain. Suite à la douceur de la paille, la rudesse du pavé … Il me jeta sans retenue. Légère comme j’étais, il n’en eut aucun mal d’ailleurs.

« Et que je ne te reprenne plus à mettre les pieds ici !!! »

Une porte qui se ferme… Et une errance qui reprend.

Qu’allais-je faire de ma vie ? Je ne savais que voler, à l’époque. Voler et provoquer des problèmes, maudire mon père et tous les elfes. Je tissais une rancœur de plus en plus forte envers tous ceux que j’aimais et qui, pour moi, m’avaient abandonnée ce jour-là. Ils étaient tous partis, pour ne jamais revenir… J’avais très peu d’espoir de les revoir, même si nous nous étions convenu de nous retrouver un jour…

Mais je n’attirais pas que des problèmes. La chance me souriait peut-être un peu. Un jour, alors que j’avais encore quelques problèmes avec la garde, un homme me chopa au passage d’une ruelle sombre et, me plaquant contre un mur, me bâillonna. Les yeux écarquillés, je regardais les gardes passer devant la cachette sans me remarquer. L’homme, plus grand que moi, était musclé. Et malgré mes origines, je n’avais pas la force de lutter contre lui. Le manque de nourriture saine avait détérioré ma force et ma vigueur.

« Suis-moi, pose pas de questions ! » M’avait-il dit. Je le suivais donc, sans poser de question, jusqu’à une maison … Maison dont j’avais déjà visité l’écurie.


Chapitre 4
Sur le fil d’une lame… ?



« Qui es-tu ? »

L’homme qui me faisait face, assis devant un dîner copieux, me fixait avec un regard bleu aussi froid que l’acier. Cheveux noirs, barbe de quelques jours, il devait avoir dans la quarantaine et ne semblait pas très enclin à la chaleur et la gentillesse. Il me lorgnait, cherchant un défaut dans mon visage, dans ma stature, dans mon corps. Mais je me tenais droite et, même si une certaine appréhension m’avait envahie, je ne comptais pas lui montrer cette infime peur qui coulait en moi. Je répondis.

« Fënáro »

« Elfe, n’est-ce pas ? Pourquoi une elfe avec un tel visage vagabonde-t-elle dans Diantra ? Tu as investi mes écuries l’autre jour. Je t’ai faite surveillée. Tu as un bon potentiel de voleuse, tu sais ? Mais tu pourrais aller plus loin, bien plus loin… »

Voix froide, ton acerbe. Il voulait me casser, avec des paroles qui n’avait pourtant rien de cassantes, mais rendue tranchantes par son ton. Je penchais la tête sur le côté, que devais-je répondre à cela ?

« Une chambre t’attend au dessus. Tu travailleras pour moi désormais. Sebastian Starfist, retient bien ce nom. »

Et on m’emmena sans me donner mon avis dans une petite chambre contenant un unique lit sur lequel étaient posé une étoffe et un plateau. Je me jetais sur ce menu repas.

Les jours qui suivirent, j’appris que Sebastian était le chef d’un tout petit groupe de voleur du coin. Rien de bien exceptionnels, ils n’étaient pas non plus les plus en vue de la ville, ce qui n’avait pas que des inconvénients étant donné qu’eux n’avaient donc pas la moitié de la garde sur le dos tous les soirs. Ils n’étaient que de petits voleurs de rue, qui mangeaient à leur faim, assassinaient lorsque l’on leur demandait et buvaient beaucoup dans les tavernes du coin.

Je devais travailler pour eux désormais, et en contrepartie, je serais nourrie, logée et entraînée. A l’épée d’abord, Sebastian testa ma force. Mais il se rendit compte tout aussi vite que moi que ce n’était pas mon arme de prédilection. Non, celles que j’aimais par-dessus tout étaient les deux dagues coup-de-poing qu’il m’offrit, et, par temps dangereux, l’arc court, plutôt pratique lorsqu’il s’agissait d’assassinat à distance.

Mon « maître » était froid et dur avec moi. Les coups s’abattaient souvent lorsque je faisais mal mon travail, au départ. Mais son enseignement finissait toujours par porter ses fruits : « La vie, c’est comme le fil d’une lame, qu’il me dit un jour, et les sentiments sont les vents qui tentent de vous faire tomber. La chute est mortelle. » J’acquiesçais, la réalité de sa phrase me touchant bien plus qu’il ne put l’imaginer, et nous reprîmes le duel de dagues que nous avions entamé.

Il m’avait, en plus de toutes les autres tâches que j’avais à faire, assignée aux écuries. La jument et le poulain étaient toujours là. Le poulain avait grandi, et grandissait encore. C’était l’un des travaux que j’affectionnais le plus, car il me reposait l’esprit. Je cessais de penser à mon passé lorsque j’étais en compagnie de Lolia et Phantom, ces grandes bêtes calmes et gentilles. Je ne pouvais renier mes origines elfiques, après tout… J’avais assisté à la naissance du poulain, et j’avais eu la surprise, la première fois que j’avais remis les pieds dans l’écurie, de voir qu’il semblait se souvenir de moi… Mais alors, Sebastian était dans mon dos. Et je retenais ma joie de gamine pour m’atteler à mon travail.
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 9:51

Chapitre 5
Le fil d’une lame, c’est pas fait pour marcher dessus.


Sebastian était un maître d’arme hors paire mais un très mauvais diplomate. Il se faisait beaucoup d’ennemi, disait son clan. Et moi, dans tout cela ? J’étais devenue sa disciple. Et s’il n’était pas un maître assassin des plus connus, cela nous faisait tout de même de belles réputations. Mais il nous avait fallu quitter Diantra, un beau jour d’automne, avant la tomber des premières neiges, pour rejoindre Ydril. Ce jour-là, Sebastian m’offrit les reines de Phantom, accompagné d’un regard froid qui voulais dire « Prends en soin ou c’est la dernière chose vivante que tu sentiras entre tes jambes ». Je montais ce magnifique étalon pie pour la première fois, au galop sur les routes de Miradelphia.

Si je ne vous raconte pas mes assassinats dans cette histoire, c’est tout d’abord parce que cela n’en vaut pas la peine, et deuxièmement parce que je ne saurais pas par lequel commencer. « Le début ! » Me dirait-on. Le début fut un raté. L’amant de la femme de l’employeur a survécu malgré mon coup de poignard et il fallut toute la chance de mon côté pour qu’il ne me reconnaisse pas. Diantra était grande, heureusement. Mais les poings de Sebastian taillés dans du roc… J’avais appris à utiliser la discrétion de ma race et la fluidité de mes gestes. Mon mentor disait que j’étais redoutable lorsque je ne réfléchissais pas. Malheureusement, pas facile de ne pas réfléchir à votre vie lorsque vous vous apprêtez à détruire celle d’un autre. Mais au fil des mois, des années, au fil des assassinat, j’adoptais peu à peu cette philosophie de vie et mon regard ressemblait de plus en plus à celui de Seb : froid. Les yeux ambre d’un prédateur sur le point d’attaquer, m’avait dit son bras droit un jour avec un ricanement léger. Il était avare en compliment, pourtant.

Ydril… Merveilleuse cité ! Vous pouviez tuer n’importe qui et le laisser crever dans le caniveau sans qu’on ne retrouve son cadavre avant qu’il soit identifiable. Vous pouviez, dans la foule, attraper une bourse sans vous faire courser pendant une demi-heure. Même si je ne prenais guère plus de temps à accomplir des contrats qu’à faire les poches, on ne rechigne jamais contre une bourse bien pleine.

Notre clan effectuait un métier dangereux, nous en étions conscients. Mais le danger faisait partie de notre existence, et nous l’avions choisi. Une vie tranquille nous répugnait. Et je ne pensais guère plus à mon passé douloureux. Parfois, les visages d’Elen, de Renfer, de Kanah ou de Gwen réapparaissaient dans mon esprit, et je leur inventais une vie, quelque part. J’imaginais ma sœur magicienne. Kanah ? Elle avait toujours adoré les bateaux. Gwen, mercenaire, peut-être ? Tandis que Renfer, il devait parcourir les rues de ce monde comme le rebelle qu’il était depuis la mort de sa mère. Nous avions passé tant de temps ensemble, mais alors je me souvenais de ce qui nous avait séparer, et ma gorge se nouait…

L’heure du rendez-vous approchait. Un an… Quelques mois seulement… Mais jamais je n’en parlais aux autres. D’ailleurs, ils ignoraient à peu près tout de moi. Sauf Sebastian. Un soir, il m’avait conviée dans ses appartements. Torse nu, allongé sur le lit, il m’avait fait signe d’approcher. J’avais eu peur un instant de ce qu’il allait me proposer mais il ne me demanda qu’un massage. Son dos, couverts de bleus, avait alors été la cible de mes doigts habiles, tandis que nous discutions. Ce soir là, je lui avais quasiment tout raconté, sur un timbre doux, comme une berceuse qui n’en avait que le rythme. Lorsque j’eu finis, il n’eut qu’un mot avant de s’endormir : « Désolé ».

Je n’avais pas eu le courage de lui annoncer mon départ prochain, même lorsque les jours et les semaines passaient. Il buvait de plus en plus, se faisait vieux, moins dur aussi. Mais toujours aussi bagarreur, il fit l’erreur de provoquer un marchand un jour dans une taverne, marchand qui m’accusait toujours de nombreux crimes sans rien pouvoir prouver. Une bagarre éclata et… Sebastian fut touché au torse par la rapière de cet enfoiré de vendeur de pastèque.

Ce fut l’émeute dans la planque du clan lorsque les deux gaillards ramenèrent notre chef en quatrième vitesse. On avait fait mandé un guérisseur, mais ces charlatans coûtaient diablement cher et nous n’avions pas été très florissants ces dernières semaines. Il était dans un tel état ! Je me souviens encore de son regard voilé, de la plaie béante et saignante, de ses lèvres éclatées et de son œil tout ecchymosé. Moi qui le considérais comme un père, un frère, un ami, même lorsqu’il me corrigeait durement… Encore un être que j’allais perdre ! Je ne pouvais pas y croire… On m’amena à son chevet, dans sa chambre, et on nous laissa seul. Face à face. Maître et disciple. Je voulus tenter ne serait-ce que d’apaiser sa douleur, il semblait endormi, la respiration douloureuse, mais il arrêta ma main à mi-chemin.

« J’ai trébuché, Fënáro. Trop longtemps, j’ai cherché à fuir mes émotions. Elles ont finies par me rattraper et me faire tomber… Laisse-moi parler… Je t’ai longtemps considéré comme ma petite sœur, ma fille peut-être, petite elfe. J’ai beau avoir cherché tous les prétexte, c’est la stricte vérité. J’ai été très dur avec toi, à chaque faux pas, car la vie que nous menons ne les accepte pas. Tu es douée, Fëná. Ne gâche pas ce potentiel. Mais ne fuit pas ton passé. La peur ne te réussit pas… »

Ce fut les derniers mots de mon professeur, tandis que sa main serrait la mienne à l’aide de ses dernières forces. Je n’arrivais alors déjà plus à retenir mes larmes.

« Tu es forte. Je suis fier de toi. Prends soin de Phantom. Il est à toi désormais… Il t’emmènera loin de ta peur… Fais-lui confiance… »


Epilogue
Lui faire confiance…


Sans chef, le clan était dissout. Et, recherchés par la garde avec plus d’ardeur, nous ne mîmes que quelques heures à plier bagage et à fuir les lieux, non sans prendre le temps de brûler le corps de Sebastian, sous une lune ronde et pleine.

Je ne savais guère où aller d’autre qu’à Bérégost. Pour l’heure, je promis juste à mes compagnons d’infortune de ne pas mourir et de porter le souvenir et l’histoire de Sebastian Starfist aussi loin que je le pouvais. Nous nous quittâmes à la sortie d’Ydril, à l’aube d’un jour nouveau. Assise sur le dos de l’étalon noir et blanc qui était désormais le mien, ils ne virent que mes cheveux noirs, mon écharpe rouge et la queue noire de ma monture disparaître à l’horizon.



~

Comment trouves-tu le forum ? C’est une question piège ? … Si je m’y suis inscrite, c’est que forcément, je le trouve bien, nan ? Oo… Non, en fait… J’suis juste fan du design. Pour le reste, période de test ^^

Comment as-tu connu le forum ? Kanah a dit un jour « On va là ! » et comme on aime Kanah, on l’a suivie sans poser de question ! Parce que le forum il était joli. Et voala ! Vous vous tapez maintenant cinq énergumènes complètement fous sur votre beau faux rhum. ( Il y a une erreur dans la phrase, trouvez laquelle :p )

~ Fiche réalisée avec l’accord des personnages Renfer Barden, Elenweï Silmariel, Kanah Claringis et Gwenhael Claringis ~
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 14:44

Salute et bienvenue! ^^

Donc, malheureusement, j'ai des petits problèmes avec ta fiche (t'en fais pas on est tous passé par là!)

En premier, les elfes n'ont pas de formes fournies, elle sont plates commes des planches à repasser (désolé pour l'expression mesdemoiselles). Ca correspond en équivalent actuel à un bonnet A.

En second, euh, les elfes sont pudiques! En aucun cas une femme ne mettrait une armure qui montre aussi avantageusement ses formes (qu'elle n'a pas d'ailleurs).

Pourrais-tu corriger ça s'il te plait?

Sinon tout le reste est bon pour moi! Wink

Au plaisir de te lire, et de rp peut-être avec toi!
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 17:14

Bonjour et merci.

Premièrement, j'ai changé la description de ses formes, bien que je n'aie lu ça nulle part ( autant sur le forum qu'ailleurs d'ailleurs, ni même dans les bouquins de jeu de rôle, enfin bref, on s'est déjà expliqué là dessus ^^' ). Peu m'importe de jouer une plate ou autre, c'est franchement pas ça qui compte.

Par contre, pour la pudeur, ...

Les elfes sont sensés aimer la nature, les petits oiseaux, la vie, le respect, les belles paroles, tout ça. Mais Fënáro ( J'ai cru l'avoir expliqué quelque part dans la fiche... ) n'est pas vraiment de ce genre là : bagarreuse, violente, chiante, elle ne fait pas vraiment un métier qui ressemble aux elfes des bois en général, et pourtant... Pas pour rien qu'elle a été " bannie " de la forêt de son enfance. Je ne vois pas en quoi le fait qu'elle ne soit pas pudique poserait un problème.

Et, sauf votre respect, je ne ferais ni drow ni demi drow. Je joue la soeur d'Elenweï, je pense qu'une drow ferait un peu tâche au milieu d'un village d'elfes sylvains...
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 17:17

l'élément ayant été changé je te valide donc.


Fiche validée!

Viens jeter un coup d'œil à ces deux liens :
Like a Star @ heaven Le comptoir (ouvre ton compte)
Like a Star @ heaven Parlons RP ~ au cas ou tu ne saurais pas par ou commencer !

Merci de ne point en rajouter :) le staff fait son job ^^ il a déja été autrement plus dur avec certain.
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 18:12

Bienvenue à toi soeurette :love:
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 18:12

Bienvenue^^
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 18:20

Et voilà pour vous belle demoiselle ! Niveau et professions ajoutés.

Bienvenue et bon Rp a toi
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 18:22

Merci beaucoup à tous ( et toutes ).
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 18:29

Bienvenu toi
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 18:35

Bienvenido Miss :D
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 18:58

Bienvenue la tite soeur d'Elenwei!
J'espère te croiser toi et toute la bande en rp! Wink
Eclate toi!
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Dryae
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeJeu 10 Avr 2008 - 20:48

Aléa a écrit:
Ha ! C'tout un groupe de folles qui débarque sur le forum ^^"
*se cache*

Bienvenues, les filles Razz

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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeVen 11 Avr 2008 - 7:51

Qu'elle fiche :drunken:
Bienvenue et bon RP

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Ultuant
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeVen 11 Avr 2008 - 18:31

Bienvenue !
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Darcia
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeVen 11 Avr 2008 - 18:50

Bienvenue jeune et séduisante voleuse
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Archi
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitimeSam 12 Avr 2008 - 16:56

bienvenue voleuse^^
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MessageSujet: Re: Fënáro Silmariel [Assassin]   Fënáro Silmariel [Assassin] I_icon_minitime

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