Visite et Découverte [PV Naylia]

Malgré la perte de son second bras, le drow après avoir poussé un hurlement de douleur continua à rire le plus fort possible, pourquoi, je n’en avais aucune idée, la scène actuelle n’était pas vraiment drôle à vrai dire, il devait perdre la tête en cet instant, la douleur le faisant perdre littéralement la tête. Derrière moi Naylia approchait, ne me regardant pas, posant plutôt son regard sur le drow allongé sur le dos, ses deux bras sectionnés à ses côtés, le sang ruisselait de son corps sur les dalles de pierres grises. J’attendais une réaction de la part de la demie drow mais ce ne fut pas ce à quoi je pouvais m’attendre, elle glissa sa main dans la mienne, la serrant du même coups et m’emmena dans une autre pièce voisine, gardé par de lourde porte en bois massif, comme dans la chambre de mon défunt paternel.

A l’extérieur, on pouvait toujours entendre le drow rigoler à bouche déployer, sa folie arrivée à son paradoxisme. Une fois les portes fermées, ses rires n’arrivèrent plus à nos oreilles, un vrai plaisir. La salle était comme toutes les autres grandes et richement décorés. Apparemment, c’était une salle de réception pour les invités, il y avait deux canapés et des fauteuils autour d’une table basse plutôt grande. Sur les murs, il y avait des tableaux qui représentaient certainement les anciens dirigeants du clan Galad car à l’avant dernier tableau était peint mon défunt père, le prochain était donc pour moi … Cette idée n’était pas vraiment réjouissante mais c’était la tradition alors je n’allais pas la changer, surtout que je n’étais pas dans les petits papiers des autres membres de la famille.

Naylia s’approcha de la cheminée, elle était dans ses pensées depuis un petit moment, elle se contenter de mettre des brindilles de bois pour ranimer le feux qui cherchait inlassablement à se rallumer, de mon côté, silencieusement j’allais m’assoire sur un canapé pour reprendre mes forces et réfléchir aux actions de la demie drow. Elle m’avait attaqué avec sa lame, avait elle voulu me tuer ou simplement me mettre en garde d’une façon bien clair. Ma lame mauve était posé sur la table en verre, quelques goûtes de sang goûtées sur celle-ci, je n’avais pas prit la peine de la nettoyer. Mon ventre me tiraillait, durant mon duel contre mon demi frère j’avais reçu un coup mais les événements qui avaient suivit m’avait complètement fait oublié cette douleur et maintenant que j’étais assis, je pouvais la sentir mais je préférais ne pas m’y attarder, préférant souffrir en silence.

Finalement, quelques minutes plus tard, Naylia tourna la tête dans ma direction, je la regardais droit dans les yeux, c’était la seule façon de lui parler de toute manière, elle n’aimait pas les faibles qui baissaient la tête, c’était une marque de soumission et donc je gardais la tête droite et haute. D’une voix faible et calme j’osais lui parler, il fallait bien que quelqu’un parle et cette fois ci ça aller être moi.

« Pourquoi m’avoir emmené ici ? Tout même tu m’as dis que la pitié était pour les faibles. »

Le jeune homme, songeur, observera un instant la Demoiselle, avant de finir par s’installer au sein de l’un des canapés, qui trônait en cette pièce, sa lame reposant sur la table basse, à proximité. Elle ne daignait lui accorder le moindre regard, elle même bien trop absorbée en ses songes, quelques brindilles glissant entre ses doits. Tout du moins, jusqu’à ce qu’elle n’en vienne à se retourner. Là, le demi-Drow affrontera son regard, sans ciller, en allant jusqu’à prendre calmement la parole. Chose plutôt surprenante, également, tandis qu’il ignorait tout de l’état d’esprit au sein duquel la belle se trouvait.

« Pourquoi m’avoir emmené ici ? Tout même tu m’as dis que la pitié était pour les faibles. »

Un sourire viendra glisser sur ses lèvres, doucement. La question se posait, en effet. Néanmoins, était-il vigilent de l’interroger quant à ces actes précédents ? Le demi-Drow l’avait suivi, docilement et sans nulle protestation. Quelle idée ! Le voilà désormais isolé, en sa compagnie. Compagnie qui aurait certes pu se montrer agréable si la Douce n’était nullement persuadée qu’il s’était servi d’elle. Et ce, haut plus haut point, la contrariait.

« Pourquoi donc priver un prédateur de sa proie… Si près du but… L’extase de la souffrance… Le désir ardent, tandis que l’on détient la vie à portée de main… »

La jeune femme se courbera, ses mains venant s’abattre de part et d’autre de son visage, tandis qu’elle prenait appuis sur le canapé, finissant par s’installer à califourchon au dessus de ses genoux, le privant là d’une mobilité certaine. Provocante, irritante, quelques mèches venant retomber sur le visage du jeune homme.

« Si je décidais, à cet instant et à mon tour, que tu ne mérites nullement la vie… Si, à mon tour, je m’accordais ce pouvoir de mettre un terme à cette âme, si chère à tes yeux… »

Se redressant légèrement, elle viendra glisser ses mains sur ses épaules, portant là une nouvelle pression, lui retirant ainsi un peu plus de liberté, bien que ses bras soient, finalement, toujours libres de tout mouvement. Cependant, il était évident qu’elle ne prêtait nulle attention à la plaie qui le tiraillait, ne lui accordant nulle douceur, ni compassion, quant à ce fait.

« Dis moi… Petit Prince… Que ferais-tu, alors ? »

----¤----
¤------¤
----¤----

Au dehors, le Drow avait cessé de rire, toisant les quelques Drows qui en étaient venus à s’amasser autour de lui. Silencieux. Plus un mouvement. Seul quelques hoquets lui échappaient, de temps en temps, un sourire figé sur son visage. Finalement, il en viendra à prendre appui sur ses jambes, tant bien que mal, afin de se redresser. Personne ne vint à son aide, et personne ne viendrait, car tous se tenaient à distance respectable, effrayés, sans doute, par la scène qui prenait place, face à eux. Et en effet, la chose était étrange, surprenant. Quoiqu’il en soit, son sang ruisselant toujours au sol, il parviendra à ses fin, se redressant sur ses deux jambes.

Certes, beaucoup de sang avait coulé, et certes, il était bien plus faible. Mais qu’importe. Il saurait se faire soigner. Néanmoins, afin de parfaire à ce besoin, il se devait de quitter ces lieux au plus vite. Amusé, il avait observé la Douce emmener au loin le demi-Drow, épargnant ainsi sa vie. Cela ne le surprenait guère. Et, à nouveau, il s’en contentera, pivotant calmement. La sortie n’était pas bien loin, et il pousserait la porte, seul s’il le fallait, aussi bien qu’il le pourrait.

D’ailleurs, c’est ce qu’il fera car, à nouveau, personne ne viendra l’arrêter, tandis que, doucement, il en venait à se diriger vers la porte, et usant de son dos et de ses épaules, et libèrera le passage en direction des différentes rues qui arpentaient la cité. Sans tarder, il s’y engouffrera, accordant un dernier sourire, malin, aux quelques Drows qui le regardèrent partir, sans réagir.

Naylia sourit après mes quelques paroles, sa réponse fut énigmatique, effectivement, pourquoi l’avait elle emmené dans cet endroit, laissant sa proie à l’extérieur mourante, si je ne pouvais le tuer ou même le voir mourir, à quoi bon ça me servait ? Mon plaisir n’en serrait pas comblé comme je le désir. En parlant de ma proie, je la sentie se déplacer, mes sens magiques étant toujours en action, ce drow n’avait pas l’intention de mourir sur les dalles du hall de ma nouvelle demeure. Au moment ou j’allais me lever, Naylia m’agrippa la tête tout en me la plaquant sur le canapé, que lui arrivait il donc ? Même, elle s’installa sur moi de façon à ce que je ne puisse que peu bouger, assise à des endroits stratégiques. Son visage était proche du mien, quelques unes de ses délicates mèches de cheveux sombres tombèrent sur mon visage, j’étais surpris par cette réaction et je ne pouvais le cacher.

« Si je décidais, à cet instant et à mon tour, que tu ne mérites nullement la vie… Si, à mon tour, je m’accordais ce pouvoir de mettre un terme à cette âme, si chère à tes yeux… »

Mon regard cet fois ci s’assombrit, la Naylia que j’avais rencontré dans les marais n’était plus la, que lui était il donc arrivé, elle avait changé depuis qu’elle avait été emprisonné … depuis qu’elle était avec ce drow ! Enfin j’avais une part de vérité, cet être avait peu être corrompue la belle demie drow qu’il avait rencontré. Ses paroles étaient dures mais je ne pouvais m’empêcher d’avoir la conviction qu’elle n’hésiterait pas à me tuer si elle le désirait. Moi-même je ne pouvais l’affronter, mes sentiments à son égard m’en empêchaient, c’était pour ça que je la suivais tel un petit chat laissant sa proie quand son maître revenait. Ses mains glissèrent une nouvelle fois vers mes épaules, mon champs d’action ce raffermissait un peu plus mais mes bras étaient toujours libres de toutes actions, pourquoi me les laisser libre si elle avait l’intention de me supprimer.

« Dis moi… Petit Prince… Que ferais-tu, alors ? »

Me testait elle une nouvelle fois ? Je ne savais pas quoi faire, j’avais plusieurs possibilités mais aucunes ne me plaisait et j’en ferais les frais à un moment ou un autre. Finalement, je lançais un regard interrogateur à Naylia tout en lui attrapant ses poignés avec force.

« Pourquoi, pourquoi déciderais tu de mettre fin à ma vie ? Que t’ai je fais pour mériter pareille parole ? Toi qui m’as aidé, toi qui m’as appris tellement de choses, pourquoi réduire à néant tous tes efforts ? »

Le jeune demi-Drow l’observait, vaguement surpris par ses agissements. Mais qu’importe, car elle ne semblait nullement prête à s’arrêter en si bon chemin, tandis que, s’approchant, elle prenait la parole, sans laisser à son compagnon le loisir d’intervenir. Cependant, son regard, s’assombrissant peu à peu en disait bien long sur sa pensée. La Demoiselle qu’il avait rencontré semblait avoir laissé place à une jeune femme tout autre. Mais, n’était ce finalement point ce qu’il s’était passé en son propre cas ? N’était ce pas là un juste revirement de situation ?

Cette emprise qu’elle maintenait fermement rendait la situation délicate, et précaire. Il ne semblait certes point décidé quant à ses agissements si la Douce se décidait à s’en prendre à lui. Mais finalement, qu’est ce donc qui pourrait bel et bien l’en empêcher, effectivement ? Il se posait des questions, et nul doute que cela était à juste de titre. Il en aurait fallu bien peu à la Demoiselle pour empoigner sa lame et venir la placer sous sa gorge.

Cependant, cette éventualité ne viendra pas, bien qu’elle se positionnera tout de même de manière à l’empêcher d’avantage de se soustraire à cette emprise. Pourtant, ses bras étaient libres, bien entendu. Erreur, ou agissement tout à fait étudié ? Certes, si son désir était de le tuer, ce simple fait aurait pu lui causer beaucoup de tort. Pouvait-on ainsi en déduire qu’elle ne comptait nullement sur cet agissement ?

Tout ses muscles étaient tendus. Son dos était désormais droit, et, de par sa posture, elle semblait bien plus imposante, par le seul fait qu’elle le dominait en taille. Tout du moins, en temps normal, les choses n’étaient nullement ainsi. Mais, à califourchon au dessus de ses jambes, il ne pouvait en être autrement, tandis qu’elle maintenait son interlocuteur sous elle.

« Pourquoi, pourquoi déciderais tu de mettre fin à ma vie ? Que t’ai je fais pour mériter pareille parole ? Toi qui m’as aidé, toi qui m’as appris tellement de choses, pourquoi réduire à néant tous tes efforts ? »

Le visage du jeune homme laissait place à une profonde interrogation quant aux agissements de la Douce. Cependant, lui même semblait fort indécis quant à ses choix, et ses actions. Cependant, il finira par attraper fermement les poignets de la Demoiselle, retrouvant quelque peu de ce terrain sur lequel elle s’aventurait, dominante, depuis quelques instants. Là, elle effectuera tout d’abord un bref mouvement pour se défaire de cette action. Néanmoins, constatant qu’il maintenait la pression, elle cessera rapidement de s’agiter, s’abandonnant à son emprise.

« T’es tu donc posé telle question, tandis que, en ce jour, tu arrachais la vie à tant d’êtres, en ce seul but de prouver ta domination, ou bien par simple excès d’humeur ? Mais qui sera là pour toi, tandis que tous en viendront à gésir (ndlr : Comment passe-t-on de « je gis » à « gésir » ? xD Je cherchais le futur… Impossible…Il ne se conjugue qu’à trois temps… xD) à tes pieds… »

Doucement, elle haussera les épaules. Peu à peu, ses muscles semblaient se détendre, tandis qu’elle ne cherchait certes plus à se soustraire à son emprise. Bien au contraire. Elle restait là, en pareille position, chacune de ses jambes d’un côté de son corps. Que le Drow se soit ou non échappé ne semblait guère plus l’intéressé, bien qu’elle fut sans nul doute la cause première de cette possible évasion.

« Mon aide… Bien entendu, je te l’ai apporté… Je fus naïve, et le regrette amèrement. Ton père mis à mal et ton frère assassiné, voici le nouveau « Prince » qui en venait à quémander le départ de quelques protagonistes… Encombrants ? Et te voici, désormais, cherchant à savoir en quoi ces paroles te reviennent ? Est-il nécessaire de te rafraîchir la mémoire, fils de la lignée des Galad… Dois-je remémorer tout ces faits, depuis notre arrivée ? »

La demie drow assise sur moi essaya de ce soustraire à mon emprise sur ses poignets mais elle n’y parvint pas et donc décida d’abandonner cette idée, je reprenais un peu plus de pouvoir, couché sur le canapé, Naylia sur moi. Suite à mes interrogations, elle me répondit, toujours sur un ton détaché.

« T’es tu donc posé telle question, tandis que, en ce jour, tu arrachais la vie à tant d’êtres, en ce seul but de prouver ta domination, ou bien par simple excès d’humeur ? Mais qui sera là pour toi, tandis que tous en viendront à gésir à tes pieds… »

Elle avait raison sur un point, j’avais arraché la vie à plusieurs personnes en cette journée, certaines pour des raisons personnelles et d’autres non, des vies auraient put être épargné effectivement mais je ne le fis pas.

« Les drow ne voient la domination que par la puissance et le sang, aujourd’hui je suis devenu le nouveau dirigent des Galad, j’ai affronté mon frère dans les règles et j’ai vaincu … Mais de part mon sang, personne ne veux de moi en temps que leader, toi qui à l’air d’en savoir plus que moi sur ma lignée, dis moi, dis moi comment être accepté avec un sang si impur coulant dans mes veines ? »

Le ton de ma voix s’était élevé, je m’énervé très vite ce qui était plutôt inhabituel venant de moi qui est souvent calme et réfléchit, cette conversation devenait un peu un règlement de compte entre nous deux, toutes les choses qu’ont avait à ce dire allait être dit. Les paroles suivantes m’enragèrent vraiment et me déçurent, elle regrettait donc de m’avoir aidé ?

« Aurais tu préféré que je me laisse battre par mon frère ? Toi-même tu m’as dis que la pitié était pour les faibles … Mon père n’était qu’un être pourrit, il était au seuil de la mort à cause de mon sois disant frère … Tout à l’heure … Je me suis embrouillé et voila le résultat de mon erreur, je ne voulais pas que tu me quitte mais apparemment, tu n’en as plus rien à faire maintenant. »

Ma rage était à son paradoxisme, j’en voulais tellement à celle envers qui j’avais des sentiments …

( j’ai abrégé, je vais manger ^^’ )

Nul regret. Nulle remise en cause. Il l’écoutait, certes, mais ces quelques mots sonnaient faux à celui qui aspirait tant à devenir un être cruel et sans pitié. Apprécierai-t-elle le nouveau personnage ainsi crée ? Prudemment, elle laissera son esprit vagabonder en ses songes. Ses pensées iront à un autre, et, à nouveau, elle tentera vivement de se soustraire à son emprise. Non, ce nouveau personnage ne lui plairait pas. Si cela était réellement son souhait, elle ne le partagerait pas.

« Les drow ne voient la domination que par la puissance et le sang, aujourd’hui je suis devenu le nouveau dirigent des Galad, j’ai affronté mon frère dans les règles et j’ai vaincu … Mais de part mon sang, personne ne veux de moi en temps que leader, toi qui à l’air d’en savoir plus que moi sur ma lignée, dis moi, dis moi comment être accepté avec un sang si impur coulant dans mes veines ? »

Le jeune homme ne dissimulait nullement son agacement, haussant indéniablement le ton de sa voix. Pourtant, elle ne cillera pas. Sa poitrine se soulevait en un rythme lent, et régulier. La situation devenait grotesque. La discussion en elle même l’était, d’ores et déjà. Voici là un règlement de compte bien futile, car l’issu en semblait bel et bien prédéfinit. Mais enfin… Prendrait-elle la peine d’y répondre, sous peine de laisser percevoir quelconque ressenti en sa voix ? Peut être bien… Ou peut être pas…

Quelques secondes s’écoulèrent, laissant aux deux protagonistes le Silence pour seul compagne. Cependant, elle finira tout de même par reprendre la parole. Son visage était neutre, impassible, à l’image de l’intonation arboré par sa voix.

« La puissance et le sang… Voyez vous donc… Les Drows, comme tout à chacun, possèdent également un soupçon d’éducation… De bon sens… Quant à ton sang… Tu as choisi seul de venir en ces lieux. Tu as choisi seul d’accepter les responsabilités de tes actes. A toi seul de prendre les bonnes décisions. Cependant, tu sembles bien trop aisément te laisser dicter par tes émotions… Vois tu là un choix convenable et judicieux ? »

Sans attendre, elle enchaînera. L’un et l’autre semblaient posséder une certaine rancune. Pourtant, les choses n’étaient certes pas claire. Mais comment remettre les évènements en leurs places et en leur contexte si nul échange convenable ne pouvait s’effectuer ? Car, là était les choses ; ni l’un, ni l’autre, ne semblaient décidé à céder un tant soit peu de territoire au second. Néanmoins, le jeune homme semblait perdre patience.

« Aurais tu préféré que je me laisse battre par mon frère ? Toi-même tu m’as dis que la pitié était pour les faibles … Mon père n’était qu’un être pourrit, il était au seuil de la mort à cause de mon sois disant frère … Tout à l’heure … Je me suis embrouillé et voila le résultat de mon erreur, je ne voulais pas que tu me quitte mais apparemment, tu n’en as plus rien à faire maintenant. »

Elle ouvrira les lèvres, légèrement, tandis que la phrase du jeune homme parvenait à mi parcours, désireuse d’intervenir. Cependant, elle n’en aura nulle occasion, ce dernier en venant à affirmer son erreur. A ce mot, elle haussera un sourcil. Pourtant, tout comme si elle souhaitait tel aveu depuis un certain temps, elle achèvera de se détendre, délaissant la raideur adoptée, son corps retrouvant toute sa souplesse. La Demoiselle ne lui offrait plus aucune résistance. Pourtant, cela ne l’empêchera certes pas de le relancer, une nouvelle fois, en une réprimande. Simple, claire.

« Ne détourne point mes propos en ce seul but de les user à ton avantage… »

Une silence de plomb s’installa dans la salle après ma tirade, seul le bruit de nos deux respirations étaient audibles, j’étais toujours couché sur le canapé, sur moi était assise Naylia, me bloquant, m’empêchant de bouger comme je le désirais. Quelques secondes passèrent puis la demie drow répondit. Effectivement, ils avaient tous une éducations, mais pouvait elle me reprocher d’avoir été éduqué par une humaine et donc je n’avais aucune connaissance ou si peux sur leurs cultures. La fin de sa phrase me choqua quelque peut, je m’emballais cette fois ci.

« Comment trouver la bonne solution quand tout le monde veut me voir mort ? Mes sentiments … C’est tout ce qui me reste à présent et ceux-ci me plongent dans de biens sombres pensées … »

La conversation continua, elle ouvrit à moitié la bouche lors de ma prise de parole mais je ne lui laissais aucunement le temps de répondre, j’étais en colère et je n’aimais pas du tout ça. Au finale, je pus sentir son corps ce détendre complètement, que lui arrivait il ? Elle qui était constamment sur ses gardes, la elle semblait détendu, son dos n’était plus droit mais quelque peut voûté. Peut être que finalement elle avait crut que je voulais me débarrasser d’elle en même temps que l’autre drow ? Ma révélation l’aurait détendu car elle ne voulait pas me quitter ? Temps de questions tourbillonnaient dans mon esprit, le pour et le contre, mes sentiments, une nouvelle fois, elle me relança, elle aimait ça …

« N’est ce pas un choix judicieux comme tu le dis ci bien que d’utiliser les arguments des autres à ses fins ? »

Il y avait une petite pointe d’ironie dans ma voix, je ne savais plus quoi dire, la demie drow qui se trouvait sur moi me rendait complètement fou, je n’arrivais plus à mettre mes idées en places. Je lâchais les poignets de la belle pour venir placer mes mains contre ma figure, encore une fois, j’étais complètement perdu. Pourrais je donc un jour être aussi fort et fier qu’un drow ?

La Douce se détendra, peu à peu, et il vint à s’en rendre compte, rapidement. Surpris. Ses mouvement étaient plus calme, sa posture plus mesurée. Pourquoi ce changement soudain d’attitude ? La question se posait, en effet. Pourtant, il semblait viser un tant soit peu en cette bonne direction car, effectivement, elle ne semblera s’abandonner contre lui qu’après la fin de sa phrase. Ceci semblera également avoir une répercution sur l’état d’esprit du jeune homme, car, celui ci également, semblera quelque peu s’apaiser.

Quelques instants plus tôt, Ithil continuait, inévitablement, à s’empourprer, s’énervant d’avantage à chaque remarque de la belle. Se complaisait elle en pareille torture ? Car il était bel et bien évident qu’elle n’était nullement sans savoir ce qu’il se passait en son esprit. Ainsi donc, pourquoi ne point mettre un terme à tout ce petit manège ? A cette conversation ?

« N’est ce pas un choix judicieux comme tu le dis ci bien que d’utiliser les arguments des autres à ses fins ? »

Elle haussera les sourcils, doucement, l’interrogeant un instant du regard. Elle ferait certes bien plus attention à ses propos à l’avenir, car il semblait effectivement apprécier tout particulièrement le fait de les user en mauvais contextes à ses propres fins. Et cela pouvais s’avérer être fort mal perçu. Néanmoins, elle ajoutera simplement, en guise de réponse.

« En bon termes, et en bon temps… »

Puis, elle retrouvera le Silence. A nouveau, il semblait perdu en ses songes. Ses iris glisseront dans les siennes, l’étudiant avec attention. Finalement, elle glissera contre lui, doucement, unissant leurs corps. Ses lèvres s’approcheront des siennes, mais seul un murmure s’en échappera. Doux.

« Laisse donc les choses venir à toi, sans précipitation. Soit fier, mais ne soit pas prétentieux. Soit juste, mais ne soit pas naïf. Ecoute tes désirs… »

Elle n’achèvera pas sa phrase, laissant ces quelques mots en suspend, tandis qu’il relâchait son emprise, laissant libre court aux mouvement de la belle. Là, il posera alors ses mains sur son visage, semblant perdu en ses songes, et en ses réflexions. Elle glissera alors ses mains vers les siennes et les écartera, venant les déposer sur ses hanches.

« Ecoutes tes désires, et sache les satisfaire… Mais également y mettre un terme. Ne t’impose point des choses qui te sont étrangères, et ne cherche pas à être celui que tu n’es pas… Le temps viendra… »

Et une nouvelle fois, elle ne viendra pas au bout de sa phrase, laissant ces quelques mots sans le moindre dénouement. Néanmoins, et contrairement à quelques instants plus tôt, elle ne viendra nullement remédier à se faire, se contentant de se redresser quelque peu, bien que restant sur lui. Elle lui accordait tout de même là bien plus de loisir quant à ses mouvements. Bien plus de mobilité. Certes, il ne pouvait toujours pas se lever, mais il pouvait se redresser, ou bien même la repousser sur le côté s’il y tenait. Elle n’était pas bien lourde, et ne l’empêchait finalement plus guère de se mouvoir.

Une simple remarque en guise de réponse de la part de Naylia puis le Silence revint dans cette pièce aux dimensions disproportionnées comme toute la demeure. Je restais pensif, mes conversations avec Naylia ne s’étaient vraiment jamais terminée, à chaque fois, un événement imprévu c’était passé, alors pourquoi pas maintenant ? Un drow voulant encore une fois me tuer entrerais silencieusement, un arc et une flèche armée pour me tuer alors que la situation m’empêchait de bouger … Heureusement pour moi, il semblerait que personne ne voulait nous déranger en cette pièce, nous laissant discuter en toute tranquillité si l’on peu dire ça comme ça.

Nous étions en train de nous regarder, les yeux dans les yeux comme ci nous nous affrontions dans un duel mais ce n’était pas le cas, car quelques secondes plus tard, la belle changea de position, se faisant glisser sur moi, son visage s’approchant du mien, maintenant elle était complètement couché sur moi, doucement elle me parla, elle aussi avait dut réfléchir durant cette pose. Dans un simple murmure, elle me parla, me conseillant, disant de rester fière et juste, et d’écouter mes désirs. A mes désirs, en cette pièce ils étaient profondément enfouis dans mon âme, depuis que nous avions quitté la dîtes maison de la belle, je m’étais dis que ces désirs ne se réaliseraient plus et qu’il fallait que je m’en débarrasse.

Lentement je relâchais les poignés de la belle pour la libérer de mon étreinte et pour finalement poser mes mains sur mon visage, le couvrant, j’étais confus, Naylia avait encore changé, mais qu’est ce qui lui arrivait et qu’est ce qu’il m’arrivait ? Je sentis les mains de la belle prendre les miennes pour les déposer sur mon torse, laissant mon visage troublé visible à celle qui me demandait d’écouter mes désirs. Comment allais je résister ?

« Ecoutes tes désires, et sache les satisfaire… Mais également y mettre un terme. Ne t’impose point des choses qui te sont étrangères, et ne cherche pas à être celui que tu n’es pas… Le temps viendra… »

Encore une fois elle trouvait des mots justes, j’étais moi et je ne serais sûrement jamais un drow à part entière du moins, pas pour le moment, il fallait que j’apprenne encore beaucoup de choses et je prendrais le temps qu’il faudra.

« Tu as encore raison … Le temps viendra … Mais pour le moment je vais écouter mes désirs …»

Ce fut à mon tours de laisser en suspend ma phrase, depuis sa dernière phrase, Naylia s’était quelques peut redressé me laissant une bonne marge de manœuvre. Les lèvres de la belle étaient à moitié ouvertes, mon désirs d’elle avait ressurgie depuis qu’elle m’avait reparlé, à présent, je n’arrivais plus à contrôler se sentiment. Mais mains glissèrent jusqu’au bassin de la jeune femme que j’agrippais fortement et je la fis basculer sur le côté, à la limite du canapé, s’il n’avait pas était aussi grand, il était certain qu’elle serait tombé au sol. A présent elle était à mes côtés et je me redressais sur mes coudes pour aller embrasser la belle demi drow, un baiser remplit de désirs et de sentiments bestial, elle avait encore sut réveiller en moi mes sentiments, mes envies, mes désirs.

« Tu as encore raison … Le temps viendra … Mais pour le moment je vais écouter mes désirs …»

Un instant, elle le toisera, surprise par ces quelques paroles. Effectivement, la scène produite au sein de la demeure de la Demoiselle n’était certes pas pour lui permettre d’envisager pareil revirement de situation. Néanmoins, elle semblait tout particulièrement avoir insisté sur quelques détails en ces paroles, en ses conseils. Adroitement.

La douceur dont elle avait fait preuve en ses paroles n’était plus. Elle brûlait de désir. Son corps, souple, ondulait contre le sien. Ses paroles n’étaient certes pas innocentes, tandis que, se laissant guider inconsciemment par la belle, il la faisait basculer à ses côtés, ses mains se refermant fermement sur son bassin. Hoquetant de surprise, elle accueillera ses lèvres. Néanmoins, ce contact ne se verra que de courte durée, tandis qu’elle en viendra elle même à se redresser. Là, elle reportera une pression sur ses épaules, ne lui laissant de la sorte guère d’autre choix que de revenir en sa position initiale. Là, féline, elle l’enjambera, à nouveau, s’installant au dessus de son bas ventre.

Finalement, ses mains glisseront sur son torse, tandis qu’en son mouvement précédent, la Douce s’était emparé de sa lame. De celle ci, elle se servira afin de mettre à mal le vêtement qui recouvrait la chaire du jeune homme, sans autre procès. Déposant par la suite sa compagne meurtrière à ses côtés et à portée de main, elle en viendra à entremêler ses doigts, fins, aux siens, relevant ses bras et finissant par bloquer ceux ci au dessus de sa tête, maintenant fermement ses poignets.

Suite à cela, elle écartera légèrement les jambes afin de faciliter ses mouvements, maintenant une constante pression sur son bassin, tandis qu’elle pliait légèrement les genoux afin de glisser ses lèvres contre son torse. La plaie du jeune homme éveillait ses sens. L’odeur du sang l’enivrait, augmentant ce désire ardent qui s’insinuait en ses veines, tandis que quelques mèches, soyeuses, ça et là, glissaient le long de son corps.

L’une de ses mains, finalement, glissera le long de son corps, venant suivre les courbes de son torse en une cuisante douleur, tandis que sa chaire subissait les meurtrissures causées par la lame à nouveau maintenue en sa main libre. Cependant, la plaie était superficielle. Mais celle là sera suffisante pour qu’un filet de sang ne s’en échappe. Un sourire effleurant ses lèvres, sa langue viendra cueillir les perles de sang qui, lentement, glissaient sur sa peau. Et elle s’en délectait, sans retenue, savourant le goût de sa chaire.

Il avait éveillé en elle ce désir cuisant qui éveillait les sens, et faisait fi de toute convenance. Sa chaire était douce, délicate, et ses courbes attrayantes. Sa poitrine se soulevait toujours, au rythme de sa respiration, en une cadence effrénée.

Naylia ne refusa pas et accepta mon baisser bien qu’il soit ne soit que de courte durée car, la belle n’appréciait pas la situation, être sous la domination de quelqu’un et très vite elle se redressa, me repoussant sur le côté pour revenir à ma position initiale, c'est-à-dire couché sur le dos. La belle en vint à revenir elle aussi à l’état de départ, mais cette fois ci elle m’enjamba, elle ne voulait pas me priver de mes membres, me laissant donc une marge de manœuvre plutôt grande. Le bruit d’une lame sortant de son fourreau se fit entendre et très vite, mes vêtements furent mis en lambeaux par la belle. Ces beaux vêtements qu’elle m’avait offert n’était plus que des morceaux de tissus, mon torse était cisaillait, des légers traits rouges faisaient leurs apparitions la ou la lame de Naylia avait découpé mes vêtements.

A ce moment, la belle déposa sa lame à ses côtés pour prendre mes mains et les plaquer au dessus de ma tête, maintenant je ne pouvais plus l’arrêter dans ses mouvements, bien entendu, je pouvais utiliser ma force mais je me complaisais dans cette position car la belle maintenant se faisait glisser sur moi pour que ses lèvres puissent goûter à mon sang, elle s’enivrait de cette substance rouge qu’elle aimait temps et sûrement devait éveiller tous ses sens. Une nouvelle fois sa main glissera le long de mon torse mais cette fois ci elle était accompagné par sa lame qui caressera ma peau jusqu’à en faire sortir du sang, encore plus de sang. Je ne pu que me pincer les lèvres, la blessure était superficielle mais la sensation de douleur était bien présente. La langue de la belle vint lécher mon torse, emportant en même temps le petit filet de sang, je pouvais sentir son excitation à boire du sang.

Il était temps à mon tour de réagir, je n’allais pas la laisser se complaire en cet instant, mes poignés étant simplement maintenu par la seule main de Naylia, il me suffit de forcer un peu pour me délivrer de ses fines et délicates mains de guerrière. Je me relevais de quelques centimètres pour contempler la douce en train de déguster mon sang, je ne pus que sourire à cette demie drow qui avait sut ravir mes sentiments. Je ne pu que la prendre par la taille et la refaire basculer sur le côté et cet fois ci, je ne me laisserais pas remettre à ma place. Mes mains glissèrent sous les vêtements de la belle pour aller caresser sa poitrine et ses si généreuses courbes, pendant ce temps, je l’embrasser sauvagement, au préalable, j’avais mordu ma lèvre intérieur pour que mon sang puisse se déverser dans mon palais ainsi que dans celui de Naylia qui en profiterais tout autant que moi.

[Surement mon dernier post avant la semaine prochaine ... Désolé de mon abscence et de ce ridicule post ... Je n'ai pas le temps et je dois répondre à mes rps >.<]

Désireux de reprendre la main sur la suite des évènements, le demi-Drow s'extirpera à son emprise, bien que sans y ressentir de réelle résistance. Non. Ses lèvres savouraient sa chaire, se délectant de ce subtil arômé ainsi déversé. La pression exercée sur ses membres sera telle qu'il se redressera aisément, tandis que la jeune femme glissait ses iris sur sa personne, achevant par se relever, également et quelque peu, sa langue glissant sur ses lèvres afin de ne perdre nulle "miette" de son met. Elle notera ainsi son sourire, sans mal, et penchera légèrement la tête sur le côté, impassible. Puis une esquisse, discrète, de contentement.

Bien tôt, ses mains glisseront sur sa taille, et, une nouvelle fois, la Douce se retrouvera sur le dos. Cependant, nulle question cette fois ci de protester, car le jeune homme semblait déterminé à s'imposer. Mais elle ne s'en plaindra pas. Certes non. Si elle n'appréciait que peu qu'il ne se soit montré que trop fier et trop sûr de lui ces dernières heures, cet instant, en revanche, était le moment idéal qu'il n'en vienne à s'affirmer.

Et elle frissonnera, tandis que ses doigts parcourront sa chaire, tandis que ses lèvres viendront cueillir les siennes, et tandis qu'un filet sa sang s'y insinuera. Sans plus de procès, elle s'en délèctera, répondant à son baiser avec la même ardeur qui guidait le moindre de ses mouvements. Ses mains, en revanche, glisseront le long de son corps, le poussant à venir contre elle, tandis que sa jambe glissait derrière la sienne, le maintenant, là. C'est que, même en pareille situation, elle conservait son caractère. Une chance, probablement.

Satisfaite, sa main glissera sur sa chaire et se refermera au bas de son dos, y apposant une nouvelle pression, tandis que sa poitrine, contre son torse, conservait ce rythme, soutenu, bien que, quelque peu plus posé. Là, profitant de la position offerte, elle achèvera de retirer les quelques morceaux de tissus qui avaient survécu à sa lame, et les laissera glisser de sa main, achevant leur course sur le sol. Leur état ne semblait guère l'émouvoir, malgré la qualité du vêtement fourni. Qu'importe, cela n'était certes pas sa préoccupation première. Et puis, ce n'était jamais que quelques morceaux de tissus.

Enfin, ses mains glisseront à nouveau vers le bas de son dos, Malins, bien que la situation ne lui permettait guère de satisfaire son désire. Mais qu'importe, suivant sa colonne vertébrale, elle laissera ses doigts glisser sous le vêtement. Allait-elle lui réserver le même sort ? Probablement pas, la lame gisant toujours à ses côtés, bien que la pointe, suite au changement de position, avait glissé sous son dos. Mais à nouveau, elle ne semblait là nullement s'en émouvoir.

Une vague de sensation m’emplit en cet instant, enfin j’allais céder à tous mes désirs avec Naylia, cette demie drow qui me faisait temps d’effets depuis que nous nous étions rencontré. Sa lame termina par découper complètement mon haut tandis que nos lèvres étaient collées l’une à l’autre, elle se délectait de mon sang qui giclait abondement de ma plaie que j’avais moi-même faite. Ses jambes me retenait au niveau de mes propres jambes, je reconnaissais bien la son caractère de vouloir avoir le contrôle des choses et d’une certaine manière et je savais qu’elle aimait ça. Une pression au bas de mon dos et me voila encore plus collé à elle, mon torse nue contre son poitrine recouverte par de simple morceaux de tissus, ma main était toujours en train de caresser ses formes si généreuses qui me faisait tourner la tête mais je n’en pouvais plus. De ma main libre, j’agrippais fermement le haut de la belle et d’un geste assuré et puissant je déchirais violement cette tenue qui était de trop, laissant libre la chair tendre de la belle.

Dans mon dos, je sentais la pointe de la lame de la belle mais je ne m’en faisais plus, mes pensées étaient parfaitement brouillées et je n’avais plus que l’envie comme seul pensée. Ma bouche descendit vers la tendre poitrine de Naylia ou je léchais goulûment ses seins, je n’étais plus humain, j’étais une bête emprise de désir bestiale. Une de mes main remontait jusqu’au cou de la belle et l’autre descendait bas, en dessous de son ventre, en dessous de ses vêtements, je ne pouvais plus tenir en place mais Naylia m’empêchait de bouger car celle-ci me tenait avec ses jambes. Finalement je remontais embrasser ses tendres lèvres, mon sang coulait toujours mais à un flot moins important, il lui suffisait de me mordre la lèvre pour que le sang jaillisse de nouveau.

[ Hahaha ... J'arrive pas vraiment à m'exprimer à la première personne ... ]

[Pardon pour toute cette attente… Je profite de mon jour de repos pour te répondre… ^^]

La Douce, encore une fois, parvenait à ses fins. N’était ce là qu’une aventure de plus à son compte ? Un homme de plus, sans importance, manipulé en ce seul but que de satisfaire à la louve affamée ? Peut être bien… Mais quelle aventure ! Car la Demoiselle était délicate en ses choix, et en son sein, n’appréciait que la bonne chaire. Et désormais, elle languissait…

D’un geste ferme, voici les vêtements fragiles qui se séparaient, en quelques filaments soyeux, de ci, de là, glissant tel de la soie le long de la chaire de la Douce, jusqu’à l’en quitter et laissant à nu les courbes délicates ainsi mises en évidence. Et cela sera vers la poitrine découverte que les lèvres du jeune homme glisseront, s’en délectant sans retenue. Ses mains allaient, de part et d’autre, suivant là le désire brûlant qui animait désormais les actes du jeune homme.

Finalement, il reviendra poser ses lèvres contre les siennes, et c’est d’un baiser ardent qu’elle l’accueillera. Cependant, cela ne lui suffisait guère plus. Alors, une nouvelle fois, elle remontera ses mains le long de sa colonne vertébrale, laissant ses ongles glisser le long de sa chaire, puis, contournera ses épaules avant de redescendre sur son torse. Là, elle relâchera l’étreinte marquée par ses jambes, et apposera une pression nécessaire pour repousser le jeune homme en arrière, se redressant également, suivant la le mouvement qu’elle lui imposait. Alors il se retrouvera assis, et elle le délaissera là, se relevant, face à lui. Les quelques morceaux de tissus arrachés qui composaient sa robe glisseront, jusqu’à ce que la totalité du vêtement ne finisse à terre, sans que quiconque n’ait à s’en préoccuper.

La lumière ambiante se jouait alors des formes de la belle, qui se tenait toujours droite, devant le demi Drow. Courbant légèrement l’échine, elle reprendra sa dague en main, et s’agenouillera au sol, entre ses jambes. Alors, elle laissera à nouveau courir la lame sur le tissu, glissant sur ses jambes sans lui causer le moindre mal. Seul le tissus alors en subissait les effets, jusqu’à ce que, finalement, il ne reste plus qu’à la jeune femme à attraper celui ci de part et d’autre pour que plus en aucun point il ne puisse tenir au corps de son propriétaire, les morceau restant glissant de ci, et de là.

Elle laissera alors glisser sa langue le long de ses cuisses, puis le long de son membre, avant de se relever, et de revenir s’installer par dessus son bassin, ses jambes de part et d’autre de son corps, sa main gauche fermement déposée sur son torse, la seconde se jouant de lui, glissant sous son ventre.

» Une visite à Essenbourg, une visite au roi.
» Naylia Adria.[Guerrière]
» A chaque idée son expression... [pv Naylia]
» A la découverte du marquisat.
» Découverte {:LibRe:} ...

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée