Avatar [Caporal][Validé]

Nom/Prénom : « Avatar » Racha
Âge : 27 ans
Sexe : Féminin
Race : Humain
Particularité : Caporal d’infanterie dans l’armée humaine.

Alignement : Mauvais
Métier : Soldat
Classe d'arme : Corps à corps

Équipement : Une hache massive de manufacture naine, et une armure de cuir bouillie.

Spoiler:

Description physique : Grande et imposante, Avatar ne semble pas être l’archétype de la féminité. Non pas qu’elle soit laide, ou bien même plate, la vie à la naine avait su lui tailler un corps trop musclé pour être celui d’une dame. Et les arts de la guerre avait laisser les cicatrices indélébiles du combats partout sur son corps. Mais plutôt que l’enlaidir, elles lui avaient donné un charisme bestial, une beauté animale. Renforcé encore par ses boucles blondes, décoiffées, pareil à celle d’une lionne. Elle avait aussi de beaux et grands yeux bleus, pareils à deux saphirs juchés dans les orbites, doué d’une intensité solaire. On voyait au travers de ses pupilles comme une lumière vive, qu’on ne faisait jamais qu’apercevoir, de peur d’y perdre l’âme. Ses yeux n’avait enfaîte pas grand chose d’humain, et lui avait valu ce surnom d’Avatar.

Description mentale : C’était pas très Jojo. Racha était une bourrin réputé, en comparaison le plus viril des Drows faisait princesse de polichinelle à son côté. Ce n’était pas pour autant un garçon manqué : elle gardait dans ses frasques « bucoliques » une certaine... distinction. Une retenue toute féminine. Et elle ce revendiquait comme telle, et en concevait même un orgueil immense, quoique un peu déplacé. Elle chérissait son genre comme elle chérissait sa hache ou le contenue de sa bourse. Elle n’était donc pas d’une lucidité et d’une clairvoyance exceptionnelle. Au contraire, le peu qu’elle comprenait était vite oblitéré, pour le bien de tous. Car ce qu’elle comprenait était toujours motif à finir par terre.

Histoire :

L’histoire commence dans un village nain. Avec une petite fille blonde courant avec les garçons. Une petite humaine parmi les males nain. Ils ne riaient pas. Ils étaient poursuivit par le Pire. Par le Cauchemar en personne. La puissante Bête qui avait tué les pères de leurs pères de leurs pères. Celle à laquelle il fallait à tout prix échappé. Alors ils fuyaient aussi vite que leurs petites jambes leur permettait. Un des nains trébucha. Il s’écroula par terre, roulant sur quelque mètre… La créature le faucha sans même s’arrêter. Les autres, devant, ne ralentir pas, même: c’était tant pis pour lui. Et de toute façon ils étaient bien trop préoccupés par la faiblesse qui envahissait leurs jambes pour remarquer une absence seulement. Ils tournèrent à l’angle d’une rue. Peut être que le monstre ne les verrait pas tourner ? Espérons. Ils décrivirent un angle serré et se planquèrent là où ils pouvaient.
La bête passa… Les enfants se crurent sauvés. L’un deux sorti même de sa cachette et alla voir. Il ne revint jamais… La créature venait d’entrer dans la ruelle. Elle avança. Plus aucun des fuyards n’osait bouger, respiré… La créature passa devant la planque du premier. Du second. Il passa devant la petite humaine blonde. Il la vit. Il lui sauta dessus… Mais l’humaine était vive, elle décampa. Branle bas de combat dans la rue. Les bambins couraient en tous sens, se percutant les uns dans les autres. Et la créature qui les attrapait, tous, un à un…
Seul la petite blonde réussit à sortir. Elle coura, bousculant les passants. Des heures lui sembla-t-il. Et puis voyant le soleil décliné devant elle, fit une pose. Elle était suffisamment loin désormais. Elle avait gagné. La créature devait rentrer chez elle à la nuit. C’était la règle… La jeune fille surpris un mouvement du coin de l’oeil. Elle se retourna… Et fut renversé ! Elle avait perdu ! Il allait voir ! Courant après la redoutable Bête, elle essayait de lui botter les fesses… Le nain qui avait eut le rôle du chat, lui, riait, tonitruant. Ce ne serait pas aujourd’hui que Racha lui échapperait.
Si il c’était douté un jour que celle-ci jouerait avec lui… Il avait été là quand elle avait débarqué, quand ce n’était encore qu’un petit bébé. Il l’avait vu grandir- très vite en comparaison d’un nain. Il savait qu’elle était né après lui et qu’il mourrait bien longtemps après, comme tout humain, mais ça ne l’avait pour autant pas moins choqué cette croissance aberrante… Quand il aurait tout juste l’âge de tenir une hache, elle serait déjà une femme dans la force de l’âge… C’était pour ça que l’adoption avait été difficile. Quand les frères avaient récupéré l’enfant, ils avaient craint qu’elle ne soit pas acceptée, à raison… Et puis en grandissant elle avait été bien plus Naine qu’aucun Nain (et déjà plus grande qu’eux à dix ans). Elle était vite devenue membre puis meneuse du groupe d’enfant.


Le nain constata qu’il était réveillé. Sous ses yeux les boucles blonde de sa sœur d’arme et d’âme. Le cachot était particulièrement lugubre. Il lui faisait peur. Aussi ce n’était pas elle mais lui qui avait besoin d’être rassuré ici…Tout du moins de ne pas être seul. Il se sentait bien dans les bras de sa cadette, désormais plus vieille que lui physiologiquement. Il savait être des deux celui ressemblant à un enfant, ainsi lovés l’un contre l’autre. Mais cela ne le dérangeait pas, ne le dérangeait plus. Il n’avait plus d’orgueil depuis bien longtemps. Il lui semblait être devenu ainsi du jour ou lendemain… Lorsque les brigands avaient attaqué le village et les avait fait prisonniers. Pas de survivant. Juste eux et quelques autres nains. Et ils avaient combattus. Parce que les nègres les avaient vendu comme gladiateurs, à une sorte d’académie spécialisée. La Guilde, qu’elle s’appelait. Là bas, la chair humaine n’avait de prix que si on savait la défendre une épée à la main. Lui et Avatar avait eu le temps d’apprendre ça. Les autres non. Ils étaient tous morts avant.
Et eux ne vivaient plus qu’à demi.
Ils espéraient s’en sortir. Ardemment. Il voulait que son nom soit connu de par le monde. Mais pas pour avoir survécu dans l’arène. Pas pour avoir été une bête parmi d’autre bête pour divertir. Il voulait être un héro. Défendre plus que sa triste vie. Gagner loyalement un combat… Et surtout il voulait pareil pour Racha.
Elle n’avait pas tant d’ambition. Elle voulait juste combattre pour une cause juste. Et défendre sa vie était suffisamment « juste »pour elle. Il la comprenait. Ils n’avaient de toute façon pas suffisamment de temps pour penser à autre chose
qu’à la survie.

Ont poussa la porte de la cellule. Le Nain sauta sur ses jambes. Racha ne tarda pas elle non plus. On leur dit que c’était à eux. Qu’il devait y aller. Sans un mot ils se mirent en marche. Le trajet sembla duré une éternité, alors qu’ils ne parvenaient pas à se souvenir des couloirs qu’ils empruntaient. Mais il l’avait tant traversé ce couloir. Ils pouvaient s’y orienté les yeux fermés, connaissait chacune des infractuosités de la pierre au sol… Mais ne seraient même pas capable de dire la couleur de celle-ci. Ils entendirent le frémissement de la foule… Des centaines et des centaines de pied tapé le sol en cœur. Le hurlement des hommes se faisant étripés, dans l’arène.

On les harnacha. Maculèrent leurs visages de boues pour le spectacle. Ils attendirent. Des gens sortirent puis revinrent avec les corps. On les fit sortir. L’arène n’était pas à ciel ouvert. Ce n’était pas une splendide air de combat. Juste un bac de pierre que le sang avait noirci. Contre les barrières des gens de toute classe, race et origine hurlait. Sans doutes autant d’ethnies n’avaient-elles jamais été aussi proches. En face une autre porte, d’où sortir deux, cinq, douze hommes. Non pas des hommes… Ils n’avaient plus rien d’humain. Ce n’étaient plus que des carcasses décharnées et souffreteuses à qui on avait donné des épées. Certains pleuraient. D’autre déféquaient d’après l’odeur.

Racha grogna. Brandit la hache de pierre qu’elle avait dans les mains. A son côté le nain faisait de même avec l’épée. Derrière eux ils remarquèrent quatre autres personnes rentrées. Mais ça ne changeait rien, ils devraient tous s’entre tuer de toute façon… Au dessus de leurs têtes une voie grondait, haranguant la foule. Mais ils ne la comprenaient pas. Racha fixait son ongle noir de crasse pour rester calme, une petite astuce qu’elle avait apprise grâce ou à cause de la guilde. Les fauves humains d’en face s’élancèrent sur eux… Ils hurlaient comme la mort.

Racha se fendit. Bloqua une épée de la hampe de sa hache… Ecrasa son poing dans le visage de l’assaillant. Les bruits des os qui cède sous sa main. Le cri beaucoup plus aigu de la douleur dans son oreille. La sensation que toute son âme cherche à sortir de son corps, par tous les trous, brûlant sa peau. La peur. Elle brandit la hache au dessus de sa tête et l’abattit. Des fragments d’os couvert d’une bouille de cervelle se répandirent.
Les cris redoublèrent dans ses oreilles. Au point de la désarçonnée. Elle ne cherchait plus à comprendre ce qu’elle faisait. Elle agitait sa hache de droite à gauche désormais, fauchant ce qui se présentait, dans une terrible folie sanguinaire. Elle n’aimait pas ça, ce n’était pas un combat, ça. C’était une fièvre de laquelle on voulait se détourner. Elle s’inquiétait de détails anodins. Elle discerna une tête volante au dessus de la masse des combattants. Une main sous son talon gauche. Une tache sur son pourpoint de cuir. Un corps au bout de sa hache. Elle la dégagea et trancha les giboles d’un autre spadassin à côté d’elle. Tiens il était de son côté celui-là… Trop tard.

Elle regarda la bataille autour d’elle. Du sang, des morts, des armes, des humains, un nain. La foule. Elle qui brandissait ça hache, parce qu’elle était vivante, parce qu’on lui demandait. Parce qu’elle était libre. Tel était l’enjeu d’aujourd’hui. Alors ça y était. Elle n’avait plus qu’à se diriger vers la sortie.

Elle passait la nuit suivante dans les dortoirs de la garde de Diantra.

kelen t'as demander la permission a un admin? :p pour le double compte

Je crois que Galen est au courant, fouettez-moi si je me trompe... ^^

say galen alors qui as pas fait son taf dans la section cheftaine huhu

*fouette quand meme aeth*

*Fouettée.*

Oh, oui...

J'aime quand tu prends soin de moi comme ça, Rév. ^^

...Euh , sinon , on a discuté , caporal à 17 ans , c'est trop jeune ^^' Il faudra rajouter quelques années ^^'

Oups, en effet, c'est une faute de frappe, j'voulais en mettre 27, wait, je rectifie ça =X

EDIT: C'est good

Bon bahsi tout est ok... ^^ Fiche validée!

Viens jeter un coup d'œil à ces deux liens :
Le comptoir (ouvre ton compte)
Parlons RP ~ au cas ou tu ne saurais pas par ou commencer !


et t'as plus intérêt à me traiter de barbare ><"