Première apparition de Conseiller.

L'homme marchait d'un pas lent. il était seul ans la grande salle du trône, chose qui était suffisement rare pour quela savour pleinement. Vêtu d'une grand robe de soie de couleur de violette, orné de quelques parures d'or. Il était magnifique. Il était habillé comme l'ordonnait son rang. Conseillr du roi de Diantra.

Il arriva à la hauteur du trône. Il tourna autour durant quelques se condes, le regardant sous tout les angles. il ne voulait pas perdre une si belle occasion de regarer son futur siège. Car oui, un jour il serait assit ici même sur ce même trône. Et la famille qui avait réduit sa vie à rien, serait à se ordres, de pauvres esclaves rien de plus.

Il posa sa main sur les accoudoir du grand siège. Magnifique lui ausi orné de pierres présieuses et d'or. Soudain une folle envie lui prit de s'asseoir sur sur ce siège. il se place en face, et se retourna, voyant ainsi toute la grandeur de la salle du trône depuis son point culminant. Il fit un mouvement pour s'asseoir, mais il entendit un bruit de pas qui venait vers lui, et se ravisa.

Matador avait bien fait de ne pas s'asseoir sur le trône, car le bruit en question était la porte de la salle du trône qui s'ouvrit pour laisser passer le noble maître d'arme Conrad de Payn. Élégamment vêtu de noir, les cheveux coiffé en catogan et affichant son attitude austère, il fronça des sourcils en voyant le conseiller trafiquer près du trône. Qu'est-ce que cette vipère manigançait encore? S'approchant davantage sous le regard de Matador, il remarqua que celui-ci semblait s'intéresser particulièrement au fauteuil sacré, un peu trop même, cela Conrad.

- Ce fauteuil est réservé au roi uniquement, Matador, j'espère que vous vous en souvenez, commença le maître d'arme. Je n'aimrais pas avoir à vous jeter au cachot pour une raison aussi stupide... D'autant que les prisons abondent ces temps-ci...

Conrad de Payn... Encore un Gêneur. Le revoila qui s'approchait de lui avec cet air sévère et hautain qui le caractérisait tant. Matador se trouvait sur l'estrade où se trouvait le trône, donc sa petite taille ne l'empêchait pas de se trouver plus haut que le maître d'arme. C'est donc sous un regard qu'il tenta de rendre joyeux qu'il laissa approcher son interlocuteur.

Conrad De Payn... Comment pouvez avoir pensez une seule seconde que j'avais oublié ma place au près de mon seigneur et maître notre très cher souverain le Roi de Diantra?

On put remarquer un sourcil s'arquer d'interrogation sur le visage du maître d'arme lorsque Matador eut terminé sa tirade. Pourquoi parler ainsi du roi, avec autant de qualité, comme s'il était une divinité incarnée? Conrad savait que le conseiller possédait des manières exagérées, mais tout de même pas à ce point... Et puis, pourquoi était-il là? C'était seulement qu'avec le roi que devait s'entretenir Conrad, le conseiller n'avait pas à être là! Se frottant la tempe comme si un mal de tête soudain l'avait pris, le glorieux militaire prit la parole d'un ton autoritaire:

- Je ne veux pas vous chasser, mais Sa Majesté et moi-même avons une réunion ici dans quelques instants, vous devrez donc quitter.

Entre nous, ce que le maître d'arme espérait, c'était que Matador quitte sans poser de question. Malheureusement, ce n'était pas dans les habitudes de ce dernier.

Le regard de Conrad devint interrogateur. Et c'est cet instant que Matador choisit pour marcher dans sa direction. Il avança vers le grand homme qui avait tellement de merite, lui qui servait si bien son roi. Lui qui servait si bien le fils d'un assassin. lui qui devait subir le même sort que le roi et toute sa famille. Il leregardait touours avec un air aimable sur le viisage, quelque chose de courtois dans les yeux, et parla quand Conrad eu finit de parler.

Mon cher Conrad, Il me semble qu'entent que conseiller de Notre souverin, il est de mon devoir d'être à ses côtés afin de pouvoir l'aider dans ses choix n'est-ce pas?

Il regardait toujours le maître d'arme. Il le regardait de bas, l'homme étant bien plus grand que lui. Il le regadait avec cet air courtois qu'il avait apprit à imité au fil des ans.

Le roi se tenait adossé sur une porte caché par un pillier de la salle du trône et il regardait Conrad et son conseiller se juger. C'était si divertissant, il n'allait tout de même pas les interrompre, ils auraient été de mauvaise humeur s'il avait interrompu leur jeu préféré. Et puis c'était le moment ou jamais de vérifier les dires de sa femme, d'observer son conseiller.

Comment pouvez avoir pensez une seule seconde que j'avais oublié ma place au près de mon seigneur et maître notre très cher souverain le Roi de Diantra?

Il sourit en entendant cette phrase, il se sentit comme une divinité. Toujours aussi flatteur ce Matador, et le roi adorait être flatté.

Au bout de quelques minutes, il décida de s'avancer et fit claquer ses talons sur le marbre blanc de la salle pour s'anoncer. L'heure ne s'arrêtait pas pour eux et il devait s'entretenir en privé avec Conrad. C'était surement la première fois qu'il n'avait pas convié son conseiller, et celà le contraria légèrement qu'il s'incruste ainsi. Le roi ne pouvait pas lui refuser, mais il connaissait trop ses manières et était persuadé qu'il ne serait pas d'accord avec ce qu'Ultuant avait prévu de faire. Il allait devoir être brusque, ce n'était pas ce qu'il préférait, mais aux grands maux, les grands moyens, comme disaient ses ancêtres.

Un bruit de pas sur le sol marbré... un bruit de pas digne et fiers... Pas de toute, il ne pouvait s'agir que du Roi qui venait de faire son entrée dans la salle du trône. Etait-il là depuis longtemps? Avait-il entendu leur conversation? Peut-importait en fait. Il n'y avait rien de comrpomettant dans ce qui avait été dit. Mais Matador sentit tout de même quelque chose de different. il y avait l'homme qu'il voulait faire disparaitre dans la salle. Il y avait ce Roi avec qui il avait grandit. Le fils de se roi qui avait tué son Père. Il y avait l'homme qu'il haïssait le plus qui venait de faire irruption dans la salle.

Matador Se retrourna lentement, le temps de se composer un regard bienveillant et admiratif sur le visage. Il s'inclina devant le roi. Pas trop bas tout de même mais assez pour laisser entendre qu'il le respectait. ( De l'extérieur on ne pouvait en douter).

Mon Seigneur, Monseigneur Conrad me disait à l'instant que vous deviez vous entretenir présentement? J'ai peine à croire que je ne sois pas convoqué également...

Ultuant arriva un sourire sur les lèvres, comme à son habitude, joyeux. Il ne devait de toutes façons pas laisser ses émotions transparaitres sur son souverain visage.

"Conrad" le salua-t-il en inclinant légèrement la tête.

Il n'allait pas le prendre dans ses bras, même s'il en avait envie, pas devant le conseiller en tout cas.

"Conseiller" fit-il à son attention.

Il leva un sourcil lorsque celui-ci lui attrabua le même titre qu'à Conrad. Ce n'était jamais arrivé. Devenait-il irrespecteux pour sa place ? Lelyan avait-elle finalement raison ? Non, non ! Ultuant se reprit. Ce ne devait être qu'un tour joué par ses oreilles. Matador avait été à son service si longtemps, ce devait être la tension de la guerre qui le perturbait, comme tout le monde.

"Je crains que oui cher conseiller. Je ne vous ai pas convoqué car nous devons nous entretenir, Conrad et moi, d'une affaire de la plus haute et de la plus secrète importance. Le moins de personne possible doit être au courant, et je suis désolé de ne vous en point informer. Peut-être ultérieurement, mais pas pour l'instant. Je sais, j'aurais du au moins vous tenir au courant de cette entrevue, mais certaines décisions doivent être prises sans attendre ces temps-ci. Je suis navré."

Conrad, toujours silencieux, ne changea pas d'expression lorsque le roi expliqua la non invitation du conseiller à la réunion. Cela ne le concernait pas et de plus, même si le conseiller restait, qu'est-ce que cela changerait? Même si ce serpent crachait son venin, Conrad le nettoierait après. C'est donc de son même ton qu'il prit la parole.

- Sire, commença-t-il après l'avoir salué comme le veut le protocole. Maître Matador peut bien rester après tout pour cette réunion, il est après tout votre conseiller attitré. De plus, ajouta-t-il discrètement au roi, cela l'empêchera d'aller fouiller dans mes cachots.

Ultuant regarda alternativement Conrad puis Matador et souffla en haussant les épaules.
Il n'avait pas vraiment envie que Matador farfouille dans ses pieds, pas maintenant en tout cas, mais il ne pouvait tout de même pas le priver de savoir ce qui se tramait. C'était son conseiller tout de même, il ne fallait pas qu'il l'oublie. Certes il était son conseiller et devait être au courant de tout.
Ultuant pensa qu'il faudrait qu'il lance un décret rapidement pour pouvoir prendre des décisions rapidement sans toujours devoir passer par l'accord de Matador. Il l'aimait bien mais il était roi tout de même. Pourquoi ne pouvait-il pas prendre des décisions par lui-même lorsque le temps pressait ? Ce n'était pas logique.
Enfin, il décida de lui communiquer les informations qu'il demandait.

"Nous devons parler stratégie contre les attaques très prochaines des elfes noirs. Etant donné que je connais votre penchant pour la stratégie pure et dure, et que cela vous execre plus qu'autre chose, je n'avais pas jugé bon de vous ennuyer avec cela, cependant si vous voulez vraiment vous ennuyer et..."

Il jeta un coup d'oeil à Conrad.

"... comme Conrad à l'air d'accord, peut-être pourrez vous venir somnoler au coin de notre table ?"

Il avait présenté les évènements sous un angle affreusement rébarbatif espérant vraiment qu'il n'accepte pas, cependant il ne pouvait pas lui refuser totalement le droit d'y assister, surtout après que Conrad est accepté inplicitement.