Appartement de Matador Kondor

Les appartement de matador étaient magnifique. il avait un manifique vue sur le ville, sur la cathédrale, sur les jardins, et plus loins encoe sur le grande route qui s'engouffrait dans la forêt. C'était un bel appartement au sein même du château. C'était sa place antant que conseiller u roi qui lui avait valu un si beau logement. Mais tout cela ne vallait rien. Il n'aiamit pas cet endroit, il n'aimait pas se chateau, il n'aimait pas cette famille royale. Pouvoir profité d'un si bel endrot était semblable à profiter de la mort de son père et de l'éclatement de sa famille. Et cela, Matador ne pouvoir s'y résoudre.

Dans sa tête, des plans s'échafaudaient. Des plans tout plus machiavéliques les uns que les autres. De plans que seul un esprit comme le sien pouvait imaginé sans éprouer le moindre remord. De plans qui aboutissaient tous, sans aucune éxeptions à la mort de la famille royale régnante. Et a son accèssion au trône.

Il était à présent apuié sur le rebord d'une grande fenêtre que donnait une vue sublime sur les jardins du roi. Il regardait les hommes qui passaient là. il étaient tout là pour servir ce roi ue lui même servait depuis tant d'année avec le seul but de lui nuir. mais un homme attira son attention, un homme qui se dirigeait droit vers a porte de bois des ses apparetement.

Il se dirigea vers la porte, et attendit que cet personne frappa à la porte.

Ordure... pourriture que cette femme qui venait jusque dans ses appartements pour lui faire du tord. ( Bien que dans le fond cela ne soit pas faut entendons nous bien). Elle lui avait ardonné de fermer la porte comme s'il était le pire de animaux. Et lui avai lançé à la figure qu'elle ne le laisserait pas mené à bien ses projets. Soit. Il faudrait donc régler le compte de cette femme en premier. Matador allait y réfléchir.

Ma reine... Je... Que... Je veux dire, je ne sais pas de quoi vous ovulez parler. Venez vous sur ordre du Roi?

il s'était composé un voix emplie de stupéfaction et d'imcompréhension. Cela était simple pour lui qui avait grandit avec la famille royal et avait mentit sur ses bonnes intentions des années durant. Il semblait véritablement outré par les propos de la reine, même vexé.

Un souire affable apparu sur le visage de Matador quand la Reine parla de la tuer. Biensur qu'il l'envisageait. Bien entendu qu'il ferait tout son possible pour y parvenir. Mais pas tout de suite. Et de plus ne se,blait totalement faut qu'elle saches se qu'il mangancait... Raison de plus pour l'éliminer. Avec son sourire affable et un ton de compréhension très naturel dans la voix il dit.

Ma Reine, je ne sais pas se que vous me reprochez, mais soyez sur que je sert votre époux, le Roi, comme je l'ai toujours fait, c'est à dire avec amour et dévouement.

Il la regardait toujours avec cette de compréhention. il ne voulait qu'une chose, c'était inverser la tendance. ne plus que se soit elle qui le domine, mais lui qui la domine malgrés sa petite taille. Il fallait qu'il trouve la parade. Et petit a petit elle se faisait dans sa tête. Prenant soudain un air un peu inquiet ettoujours aussi comréhensile te afable, et il reprit la parole.

Ma Reine, comment pouvez vous pensr que je pourrais vous tuer? Je vous aime autant que j'ai mon roi. Je ne comprend vraiment pas se que vous me repprochez ma Reine?

Lelyan poussa un soupir intérieur, vraiment agacée, si le conseiller cherchait à l'exaspérer il y parvenait sans mal ... Le fait qu'elle soit si facilement irritable était peut être du au fait que sa tête était semblable à un champ de bataille, et qu'elle sentait des sueurs sans doute du à une fièvre couler dans son dos. Se retenant de porter sa main à sa tête dans le but de l'apaiser, elle se reconcentra sur les paroles du conseiller. Cette vipère allait finir par avoir sa peau, et sans avoir recourt à un assassin, mais plutôt en prenant son air mielleux qui lui donnait envi de le secouer comme un prunier pour qu'il révèle enfin ses plans.

-"Je doute fortement que vous soyez capable d'amour." Dit-elle en levant un sourcil et en se redressant légèrement sans le quitter des yeux. "Quoi que peut être avez vous « aimer » Ultuant un jours lointain. Ne dit-on pas que l'amour est proche de la haine ? Car c'est ce que vous ressentez en ce moment n'est ce pas ? Vous êtes presque transparent pour moi Matador. Je me demande encore combien de temps vous parviendrez à cacher votre véritable nature. Votre temps est compté parmi nous conseiller, j'y veillerais personnellement."

La voix de Lelyan ne pouvait pas être plus froide qu'un glaçon, elle se redressa de toute sa hauteur pour faire face à Matador qui la regardait d'un air innocent. La Reine savait pertinemment qu'elle maîtrisait la conversation et qu'elle dominait d'une certaine façon cet homme. Mais malgré cela, elle était incapable de faire voir la vérité à Ultuant.

-Vous m'aimez ? Ciel, dois-je donc comprendre que votre haine n'a donc pas de borne si je reprends mon raisonnement précédent ?Répondit-il la Reine théâtralement et non sans ironie. Vous m'avez toujours détesté Matador et ce depuis le premier jours où nous nous sommes croisé, bien sur cela a été réciproque. Pourquoi je pense que vous souhaitez me tuer ? Sans doute parce que je remarque que plus les jours passe, plus les membres de ma garde personnelle change mon cher, des hommes valliant qui m'étaient loyaux sont remplacés par des hommes sous votre commandement pour des motifs tout à fait ridicules. Lelyan fit un rictus. Moi aussi j'ai mes sources conseiller, ne vous croyez pas tout puissant, la chute risque d'être douloureuse pour vous.

Lelyan était bien sur persuadée qu'il allait tout nier en bloque, la seule chose qu'elle souhaitait c'est qu'il comprenne qu'il ne serait jamais tranquille pour ses manigance, et qu'au moins une personne dans ce château était au courant de ses agissements, sans oublier Conrad ...

Matador prit un air inquiet. Il ne le voulait pas, mais cela pouvait donner l'impression qu'il était inquiet de la tournure que prenaient les choses. Ce qui était le cas mais cela ne devait pas être connu de la Reine. Il prit donc cet air inquiet et la regarda avec un regard qui la scrutait comme une bête engarée...

Ma Reine, Je me doute que le devoir qui vous incombe en regnant sur le royaume au côté de votre royal époux est une lourde tâche. mais il me semble que la fatigue vous rend quelque peu étrange... Voulez vous que je trouve un remède à cela?

Certe en proposant cela, il pouvait être prit comme une tentative de meurtre directe sur la Reine qui le soupsonait, mais si elle acceptait, il lui donnerait réelement une médicament. Cela aurait alors le bien fait de donner une preuve au roi qu'il était de son côté, en apparence.

La fatigue est la pire des maladie ma reine et si vous ne soignez pas de vous même, il faudra sens doute que j'en touche un mot à votre mari.