Course et bousculade

Gallif, tout exité d'être dans une grande ville pour la première
fois, courrait pour voir le plus de choses possibles, de
l'armurerie aux écuries en passant part la place publique.

Il tourna brusquement le coin d'un batiment quelquonque, il ne
connaissait pas assez la ville pour pouvoir dire le quel c'était. Dans
cette folle entrain, il percuta une svelte silouette entouré d'un halo
doré. Vu la force de l'impact surment dût à la vitesse à laquelle il
courrait, il tomba à la renverse. Le choc passé il se releva et vu
qu'il avait fait tomer une dame d'une beauté époustouflante.

Elle est si belle qu'elle ne peut être que de haute naissance. pensa-t-il

Ne lui voulant que du bien, il lui tendit la main pour l'aider a se relever.

-Veuiller me pardoner noble dame, je ne voulait qu'observer les merveilles de cette grande cité.

Il lui fit son sourire le plus charmeur pour l'amadouer et l'inciter a le pardonner.

La fantaisie prit ce matin l'esprit de la duchesse, elle souhaitait apprendre a mieux connaître sa nouvelle ville; après tout elle ne rentrerait surement plus jamais chez elle et elle ne pouvait pas rester enfermer dans un chateau toute sa vie.
Il fallait qu'elle reprenne gout a tout ce qui l'entourait, en effet la mort des personnes qu'elle avait le plus chéri l'avait bouleversé elle qui avait déjà été si étrange pour le peuple humain.
Aphraël sortit donc dans la capital, refusant d'être accompagné d'un soldat elle préféra simplement cacher sa dague dans sa botte laissant sa longue robe d'une couleur blanche qui faisait ressortir son épaisse chevelure blonde et ses yeux d'un gris bleuté.
Elle avançait dans les rues sans savoir ou elle allait, essuyant les regards parfois curieux des humains qui voyait bien dans son apparence qu'elle n'était pas totalement comme eux; heureusement ici aussi les elfes étaient plus ou moins courant sinon il lui aurait été impossible de faire un pas.
+Sbaf+ On venait de lui foncer dedans et la jeune demoiselle se retrouva par terre tant le choque avait été violent, quelques passent se retournèrent et murmurèrent des paroles qu'elle ne comprit pas, finalement une mit d'homme apparut devant ses yeux, elle l'attrapa.

-Veuiller me pardoner noble dame, je ne voulait qu'observer les merveilles de cette grande cité.

Le jeune homme face a elle lui offrit un sourire charmeur, surmant pour prouver sa sincérité et a présent sur ses pieds elle l'observa avec attention, c'était un humain a n'en point douter, apparement jeune mais tout de même vigoureux a en croire la facilité avec laquelle il l'avait remise debout.

-Ne vous excusez point messire, j'était moi même fasciné par tant de richesses.

Le jeune homme l'observa quelques instant surement comprenait-il qu'elle n'était pas aussi fragile qu'elle en avait l'air, ou du moin physiquement.
Le temps qu'il réponde elle secoua sa robe dont le tissus s'était bloqué au niveau de ses genoux d'écouvrant une jambe longue et fine a la peau pâle.
Autour d'eux la marée humaine était de plus en plus dense, cependant personne ne les bousculaient et beaucoup de personnes semblaient craindre quelques choses.... va savoir quoi; a nouveau la voix du jeune homme fit vibrer l'air.

-Alors pourquoi ne pas la découvrir ensemble? À deux, ça ne peut
qu'être plus enrichissant. Si jamais vous accepter, gente dame, la
compagnie d'un homme du peuple comme moi.

-Avec plaisir messire, un peu de compagnie ne peut être refusé.

Aphraël perçut sur les traits du jeune homme une interrogation, il semblait troubler et si c'était le cas il masqua ce sentiment avec un sourire chaleureux. Elle n'était pas doué par sourire, non pas que ses dents était brunes et de travers, non simplement elle n'y arrivait plus vraiment. Cependant on sentait emmaner d'elle une sorte de douceur qui compensait plus ou moins la chose.
Le petit groupe commença a avancer mais pour le moment il se trouvait devant les des vitrines ou l'on affichait de la viande, du poisson et toute sorte de nourriture. La vue de tout ce sang n'était pas agréable a la duchesse mais elle feint de ne pas s'en rendre compte se concentrant sur le jeune homme qui marchait a ses côtés.
C'était amusant de se dire qu'il devait surement imaginer qu'elle avait son âge alors qu'elle devait être plus veille que sa mère.

Le jeuen homme la regarda et l'esquisse d'un sourire apparut sur ses lèvres apparement satisfait de la réaction de la duchesse devant ce décor époustouflant. Les oiseaux chantaient de toute par dans une symphonie digne du paradis et les plantes dont la diversité et la beaué était étourdissante donnait l'impression d'évasion dont avait besoin tout les gens aimant la nature et ne supportant d'être enfermé.

-Visiblement vous aimer les plantes Aphraël, mais est-ce que vous
avez le même sentiment à l'égard des animaux? Petit comme gros?

- Oui j'aime beaucoup la nature et je la trouve bien plus belle que toute les invensions des dieux... mais ce n'est que mon avis personnel. J'apprécie également les animaux petit comme gros et vous même ?

Observant son compagnon de marche elle remarqua qu'il tatait ses poches et comprenait ses pensées elle rougit vexé qu'on la prenne pour une voleuse elle qui était une femme noble et qui ne manquait assurément pas d'argent et d'éducation. Elle tourna la tête pour cacher sa réaction au jeune Gallif et se contenta d'observer le décor elle comprenait bien qu'il ne faisait pas cela pour la blesser mais tout de même avait elle l'air d'une guenon?

-Je ne sait rien de vous à part un nom,d'où vener vous?
- avez vous de la famille, un chien?
-Qu'aimer vous?
-jouer vous d'un instrument?

-Et bien mon père est mort voila plus d'un an, ma mère s'est contenter de me donner la vie et a disparut, je suis donc maitresse de mes terres a présent bien qu'elles se trouvent loin de Diantra et de Miradelphia tout simplement. Je ne sais maleheureusement pas jouer d'un instrument mais je connais l'art de l'épée et vous même Gallif?

[Aphraël Aurënen n'ayant pas répondu aux plusieurs
mesages que je lui est envoyer pour lui demander de répondre quoi que
se soit, je me suis permis de fermer le Rp]

Gallif,remarquant qu'elle ne répondait pas lui redemanda
-Venez vous ou vous rester?

elle ne répondit même pas. Gallif,fatiqué qu'on se moque de lui déclara d'un ton sérieux ou tout le plaisir s'était évanoui:

-C'est à vous que je parle!!!

la femme esquissa un mouvement, mais ce n'était pas pour lui
répondre, mais pour aller voir un marchant de tissus de l'autre côté de
la rue. Gallif, n'en tenant plus s'en alla sans un regard en
arrière, se demandant ce qu,il avait pu trouver a cette femme. Il alla
voir son loup et quitta la ville, cete endroit n'étant pas pour lui
semblait il.