Shaelyss Sang-mêlé
Nombre de messages : 3 Âge : 54 Date d'inscription : 06/11/2009
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Non-Initié
| Sujet: Shaelyss d'Oësgard [Baronne d'Oësgard] Ven 6 Nov 2009 - 22:22 | |
| Nom/Prénom : Shaelyss d’Oësgard. Originellement Shaelyss de Nebelheim, ayant acheté son nom au près du duc Merwyn de Serramire pour une somme considérable. Âge : 39 ans se sont écoulé depuis sa naissance, ravissant ses traits à ceux d’une jeune femme d’une vingtaine d’année. Sexe : Féminin. Race : Semi-Drow à tendance humaine. Particularité : Son sang sombre lui confère des oreilles aiguisées, ainsi qu’une couleur de peau ternie à l’égard des autres humaines. Des yeux azurs ravissent son regard océan. Son apparence est dite ensorcelée, décrite comme étant une fontaine de jouvence. L’allusion n’étant pas anodine. La pratique de la magie laisse planer un long mystère sur sa personne, et son jumelage…
Alignement : Neutre mauvaise. Métier : Dame noir d’Oësgard, elle est fait parti des princes Barons dirigeants du territoires. Classe d'arme : Magie Équipement : Vêtue de robes avantageuses, et pourtant loin d’êtres fastueuses, la simplicité règne dans la garde robe de Shaelyss d’Oësgard. Le noir se marie au rouge et au violacé, et tout en elle évoque cette luxure débordante, et cette envie de chair âcre. Plus intense que le feu, ses charmes sont dévoilés au grand jour, supportant les corsages serrés afin de raffermir la poitrine. Elle ne tolère pas le superflu, et sa cruauté émane même de ses vêtements amples. Un pendentif en forme de cœur brisé trône autour de son cou, d’une couleur écarlate. Bien souvent, des rubans noirs retiennent ses cheveux. Les tenues fendues dévoilent les voiles pourpres de ses jupons, dans une indécence sulfureusement marquée, attendant que quelques regards s’y glissent avec lenteur et extase.
Description physique : D’une taille moyenne, la silhouette nue de Shaelyss dégage les sentiers mêmes de la passion ardente. Être du vice, née du viol, elle perpétue les envies folles de sa mère dans son savoir de courtisane, agencent un corps émacié à son avantage, marié aux avenages du sang de sombre. Semblable à la rose épineuse, elle se délecte de faire couler le sang qui ose profaner sa fraicheur, et se dresse, fier avec le même éclat que la rose éclose. La lourde poitrine la ravit d’une beauté sombre, presque exquise tant bien que le goût prononcé de la chair laisse avide le courtisant qui veut y goûter. La pointe raffermie de sa poitrine exprime en de nombreuse circonstance la folie de la luxure, et les parfums de la délicatesse enflammée abritée par son corps. Lourde et ronde, elle est bien souvent presque dévoilée aux yeux masculins, en emphase constant, laissant imaginer les contours engourdis du plaisir, et la pointe sensuelle de la saveur de l’extase. Sa taille affinée laisse apparaitre légèrement ses cotes où de très fines cicatrices se dessinent, témoins de quelques coups d’atrocités fouettées, subies dans le passé luxuriant. Le creux de sa taille de guêpe aiguise la sensualité dans un vomissement de plaisir, exaltant presque uniquement les sens, indignement et provocant. Ses hanches rondes soulignent l’appartenance à la gente drow à ses confrères, et savourent cette chair tendre et ferme, refermant le gouffre de la perdition et du plaisir. Souvent caressée de l’air libre, l’intimité de la jeune demi-drow est soigneusement entretenue, dépourvue de toute pilosité. Les tempêtes de pluie enivrent sa saveur d’un parfum délicat, à la chair de rose et de saveurs fruitées se dégageant avec candeur. La fermeté de son postérieur invite les regards tant bien qu’il lui à la lumières. Un sceau divin est apposé à même son corps, marquant invisiblement l’appartenance à l’homme qu’elle vénère avec extase. Ses cuisses témoignent d’une certaine fébrilité, souples et agiles, à l’écart somptueux. Ses jambes gracieuses se meuvent avec désir, et se parent de posent évocatrices. Sa gestuelle permet d’évoquer le brasier même du stupre, et la luxure de sens invite au parfum charnel le plus tendre. Subtile et agile, ils visent, avec savoir, la sensibilité des hommes sans inattentions, dévoilées. Presque provocatrice, elle se fait une joie d’alimenter les brasiers. Fille même du diable, elle dispose d’un visage doux et légèrement émacié. Ses pommettes doucement saillantes soulignent un regard azur et clair, océan. Les vagues du tumulte et de la passion mouillée s’y déchainent, détachant ses yeux de son visage. Ses sourcils épilés surplombent son regard d’un air sévère, et accentuent la sensualité. Ses lèvres rouges luisent doucement à la lumière, renfermant une langue habile aux plaisirs de l’extase, sous sa chaire sensuelle. Sur son crâne, s’éprend une longue chevelure de satin, lisse, et brune, tombant jusqu’aux genoux. Sa peau claire, légèrement grisée, laisse apparaitre ses vaisseaux sanguins, et quelques cicatrices, ça et là, jonchant son corps. Le vice semble s’engouffrer en elle, et se délecter de couler en éclats mouillés.
Description mentale : Dame noir au cœur précieux, Shaelyss est une dame énigmatique, froide et cruelle d’apparence, domptée en vue d’être reine-courtisane à la cour du duc Merwyn de Serramire. Provocante et sensuelle, elle use de ses charmes sans pareils, et laisse des signes sulfureux se dessiner aux yeux des mâles alanguis, se donnant en un spectacle rougissant aux yeux des frigides. Habile manipulatrice, elle joue de son sang aux vertus de beautés charnelles pour laisser voler en éclat les pécher qui enivre ses sens, et marques ses lèvres douloureuse d’avoir goûté. Fille de mal, elle est la tension, le péché, la tentation du vice incarné, combattant la pureté avec une étrange moquerie se dessinant sur ses lèvres. Son intimité ouverte n’est que le miroir d’un plaisir sain et malsaint, œuvre même d’une délicate éducation à la vise de courtisane la plus influente du royaume de Serramire : Quoi que le duché soit sous la vassalité de Trystan d’Erac, la folie de Shaelyss la pousse a considérer le duc Merwyn comme un dieu vivant, lui dédiant même un temple dans son énigmatisme satyrique. Jouissant d’une relation de proximité avec son frère, elle s’est prise de sa protection, s’assignant d’une douceur possessive sur la peau, invisible, appartenant à son bouclier, et ayant trouvé le chevalier défendant sa vertu. Cependant loyale au souverain qu’elle vénère, elle suit, sans faille, les directives du duc de Serramire, à genoux devant lui. Habitée d’un grain de folie, elle le dessine comme un dieu, une véritable incarnation des statues d’argent, qui parsèment l’idéal d’une délicatesse absurde. Pourtant, sa vassalité au duc n’est aucunement remise en cause, et elle jouit d’une délicate passion à son égard, voyant en lui l’incarnation nouvelle d’un destin et lui devant la reconnaissance des actes, et du titre qu’elle obtint. Véritablement cruelle, Shaelyss établit aux cotés de son frère une dictature sans nom sur les terres d’Oësgard, profitant au maximum du rendement, des richesses et des biens au déterminent d’un peuple battu, apeuré, appauvri et menacé. Sadique, l’être de luxure profonde possède un goût prononcé pour la torture, fessant sans le moindre appel le premier récidiviste à son courroux de braise. Profondément protectrice de son frère, elle éprouve pour lui une sainte tendresse, immense et paradoxale, flux même d’une cascade de plaisir. Possessive, elle tolère mal les dames qui apposent leurs mains sur lui, et prend plaisir à les châtier, et a abuser d’elle, tant physiquement que mentalement. Un fin sourire aux éclats de folie parsème son visage du grain de l’extase.
Histoire : Dans la pénombre du château d’Oësgard, le colosse massait les épaules de la jeune demi-drow, laissant, par égarement, le tissu glisser le long de son bras. Sa peau nue luisait au soleil illusoire des troches enflammées. Les lèvres douces du mâle se glissaient, avec extase, à effleurer l’enveloppe grisée, dénuée, sous le frémissement taquin et les soupires avantageux de la courtisanes aux doigts de fée. Brusquement, Shaelyss s’écartait, fière de lui accorder la punition méritée, s’évadant en un jeté délicat dans sa robe de nuit blanche.
L’écho brusque s’étendait à perte de vue, rappelant étrangement la scène de naissance. Virevoltant dans une luxure affligeante, l’essence maternelle étaient violé de la folie des sombre. Le mâle habile n’était que le reflet du stupre, baignant l’intimité dans l’alcool, versant à flot sa folie féconde. L’intensité même de la virilité semblait déchirer à chaque pas la courtisanne de cris d’extases. S’agrippant aux cheveux du sombre, elle ne pouvait que céder, à chaque instant davantage, quelques parcelles de son être. Montant dans les saveurs du sang, elle cédait, entièrement, à la folie de l’être même, pansant les blessures de son bas ventre par l’extase qui jonchait le désir marqué, dont le sombre se jouait sur la poitrine tendue, et les liens exigus du paradis. Et la chute n’en fut que plus douloureuse. Lâchement abandonnée à son plaisir, mainte fois retrouvé dans ses rêves sur la frontière d’Oësgard. Son ventre grossissant de sa gourmandise, bientôt alarmant pour chaque âme sereine en ces lieux. La noblesse grinçante s’empressait de la marier, évitant les troubles encourus, lorsque le prestige s’efface sous les huées des foules en liesse. Le seigneur de Nebelheim héritait de l’affreuse. Et déjà enceinte des deux-être rejetés, la dame semblait s’être éprise, non sans illusions, de son ravisseur incongru. Son ventre bombé portait la semence du sombre, dont les gémellaires naitraient sous son extase particulier. Digne même de son rang seigneurial, elle apposerait un sceau d’éclat sur les enfants du plaisir, destinés par les étoiles à courtiser mieux que tous. Telle était sa volonté.
« -Chuuuut ! Tendre fou, tu éveilleras la curiosité des fourbes ! »La voix de Shaelyss résonnait en échos sourds dans la salle d’eau. Ses doigts doux caressaient l’amant, habilement, passant de sa joue à ses lèvres, tandis que son regard sulfureux toisait les traits altérés du mâle. La pointe de ses ongles caressait passionnément les cicatrices du souvenir, tandis que l’instant les rappelait à ces longues heures complices, où Shaelyss avait, d’une main légère, pris soin de son enfance.
La naissance des deux jumeaux avait lié leurs intimités à jamais. Choyés dans un berceau commun, leur mère semblait encline à les promettre à une carrière d’éclat, tandis que ses amers souvenirs comblaient l’amour d’un père absent. Les deux enfants grandissants nouaient cette essence gémellaire, semblant psychiquement liés, presque inséparable. Etrangement complémentaires, ils étaient deux parts emboitées l’une dans l’autre, deux âmes commune au cœur de soi. Les enfants décriés pour leurs sang pourtant invisible, que par leur croissance ralentie, subissaient le courroux Oësgardien, traités comme des galleux du sud. Le loup Raekh était une créature protectrice et profondément marqué par sa sœur. Shaelyss était d’une candeur féline, et noire dans l’âme, attentionnée et douce envers son frère. Si le mâle défendait ardemment sa sœur, il défiait quiconque osait lui manquer de respect en combat ouvert, se soldant bien souvent, ça et là, de cicatrices diverses. Enfant, elles n’étaient qu’égratignures. La jeune Shaelyss, moins vive, pensait les blessures de son frère, suivant les indications douces de sa mère, voyant là les premiers pas de deux maîtres de cour, à tort. Raekh était chaleureusement soigné, liant son intimité à celle de sa sœur. Leur enfance se développait sous cette complicité douce, et toujours plus intense. Seuls détenteurs de leurs vrais visages respectifs, ils découvraient non sans émois les âmes destinées. Le caractère noir et sombre de leurs âmes s’intensifiait, et leurs cruautés les séduisant, tant bien que Shaelyss encourageait, murmurant à l’oreille de son preux, les douces batailles de souffrances.
« Tes mains sont délicates et fortes, ton corps a le goût de l’extase » Et des lèvres au corps , elle s’en prenaient à la forteresse inébranlable du mâle divin, qu’elle avait tant idéalisé et qui, déjà, jouissait de l’immensité trempée de son cœur, où les gouttes de dévotion complète perlaient avec soin et délicatesse. Le geste si précis ravivait les pulsions, et était l’incarnation même d’un miroir reflétant le passé, déroulé bien des années au paravent.
Le décès du seigneur de Nebelheim n’avait pas causé grand-perte, et était l’une des tragédies que la mère de la petite Shaelyss se devait de lui inculquer. Se jouer du malheur était la clé de voute de bien des tourments, et c’était dans l’âpreté sentimentale que tombaient les hommes, aveugles de leur protection virile, dont le corps câlin et féminin exigeait la présence. Cette fragilité apparente se devait d’être jouée et exhibée, finement, afin de faire plier les sentiments des hommes en leur faveur, les jetant face à leur suprématie. Et doucement, la jeune demi-drow glissait vers le perfectionnement de cet art, et la magnificence de sa maîtrise. Elle se souvenait encore de la texture des leçons de sa mère au bout de ses doigts, effleurant et découvrant l’anatomie du mâle sur l’objet de chair. La féminité trônait sur une splendeur libertine tandis qu’elle explorait les failles du désir dans ses moindres recoins, et cherchait la sensibilité jusqu’à sa rupture. Lentement, sûrement, la peau adhérait à ses doigts, y répondait d’elle-même, et créait l’extase d’un toucher simple, appuyé et précis. Ses yeux de vierge s’étaient désinhibés face à l’immensité des mâles, parfois atteignant les sommets les plus inattendus, lorsque la force du sang faisait vibrer le corps de tensions inassouvies. Et quoi qu’elle pu avoir nombre de portrais compromettants, le plus marquant resta à jamais l’unique du divin de son cœur. Dès lors, sa mère lui avait laissé découvrir les supplices des mâles alanguis, et à maîtriser son propre corps jusqu’à en inventer les moindres réactions. Promise à l’avenir de courtisane, elle se devait de s’immortaliser dans cet art de luxure.
Et la tension grimpait dans le corps même de la féminité langoureuse. Et les émotions choyaient le passage d’un instant éphémère aux saveurs exquises. Et la beauté frissonnait sous les doigts d’un divin alanguis, tandis que les corps se mêlaient dans une étreinte charnelle, sous l’espace fulgurant des envolées passionnelle. Les enveloppes se distillaient de la chair commune, savamment mélangé dans la musique orchestrale des soupires et des gémissements. Et tandis que la folie trônait, le miroir de l’amour reflétait les amants dans leur période passée. Cette première fois était loin de s’effacer… « -Encore ! »
L’éducation de Shaelyss se comblait de conquêtes quelconques, sans le moindre incident, n’habitant qu’un embrasement inassouvi, et venait bientôt à la jeter dans la cour du seigneur de Serramire. Quoi que la jeune-demi drow fut réputée pour être une fontaine de jouvence, elle en gardait l’alléchant spectacle de l’inaccessible, laissant le chantage et les promesses apporter les richesses de sa condition, sous le regard manipulateur de sa mère vieillissante. La peau se souvenait pourtant de tout, du plus beau trésor aux yeux de Shaelyss. Ses mains rassurantes avaient parcouru le corps de son frère, lorsque le sang d’un prétendant avait entaché ses vêtements déchirés, tandis que sa présence était la sainte apparition de la salvation. Âgée de 24 ans, elle était lentement apparue où on ne l’attendait guère, comme la coutume libertine l’exigeait. Sa présence lente et digne avait surpris l’affrontement d’un frère et d’un prétendant, écharnés à s’ensanglanter sans détour. A peine avait elle pu esquisser un sourire que l’homme meurtrier avait pris la fuite. Forte de son réconfort, elle s’était glissée au près du corps de son frère, laissant glisser ses doigts voluptueux dans le dos de l’assassiné. Soutenant le colosse, elle avait mordillé son oreille, susurrant bassement d’une voix embrasée. « - L’épée de tes entrailles sera bientôt lavée de tout sang, durcit du torrent de soin… Viens, Raekh.. Oublie!» Ensorceleuse de charme, la jeune demi-drow avait lentement connu les sombres soins, communément accomplit, dans le bain parfumé. La passion s’était imbibée du lieu, renforçant la fusion étroit des jumeaux alanguis. Lentement, étroitement, l’étau de sa mère avait été laissé loin derrière elle. Shaelyss jouissait de la haute protection de son frère, allant, de couche en couche, détrôner le monde fastueux de sa mère. Entretenue par les faiblesses des hommes de Serramire, la cour lui ouvrait lentement les portes de son intimité. Sa cruauté n’avait d’égal, tant elle se délectait de les briser, moralement et sexuellement, avant de le jeter en pâture aux fauves. Tant bien qu’Arcam l’habitait, a bien des égards, mouillant atrocement son corps d’un fébrile désire constant, bien que simulé ou exagéré, mais qui l’eut su ? Sa folle course du temps la menait, encore jouvencelle, à la couche du puissant et divin duc de Serramire en personne. Encore jeune, sa fougue de jeune homme s’était éprise des courbes de Shaelyss, jouant atrocement de ses charmes pour l’homme qui la faisait rougir. Et l’amant, alanguis, trouvait dans sa couche l’extase d’un bonheur dit partagé, sans que jamais elle n’en dérogea. Glissant à son oreille les mots passionnés du paradis, elle n’avait laissé aucune partie du corps du jeune homme ne pas souffrir de son expertise, savourant par la même le goût distillé de la peau en un arôme divin. La nuit du duc fut tellement marquée d’extase qu’elle se soldat par la construction d’un temple, à son effigie. Cette même dévotion qu’elle semblait lui vouer la conduirait, des années plus tard, à la couronne d’Oësgard, lorsqu’elle retrouva le duc, à peine flétrie, et qu’elle pu tâter de ses bourses d’or…
~~~~~
Comment trouves-tu le forum ? : Merveilleux Comment as-tu connu le forum ? : Sur la couche du divin Merwyn Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : |
|