Nombre de messages : 133 Âge : 33 Date d'inscription : 04/07/2009
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Sujet: Visite en terre humaine [Merwyn] Sam 21 Nov 2009 - 19:18
" Père, il me faut partir en terre humaine ! " " Pourquoi donc m'a fille ne sais-tu qu'un pareil voyage est dangereux ? " "J'ai besoin de connaître un peu plus le peuple de ma mère. Ne vous inquiétez pas Père je vous reviendrez un seul et unique morceau je vous le jure. Vous prenez les rênes de la Baronnie !? " " J'espère bien que tu me reviendras en un seul morceau m'a fille. " Le grand elfe aux longs cheveux blanc la prise dans ses bras, serrant sa tendre fille contre lui elle était tout ce qui lui restait. C'était la première fois qu'ils seraient séparés depuis la mort de Cilas le frère aîné de la jeune demoiselle. Il caressa les cheveux de sa fille, puis son visage posant sur elle un regard bienveillant d'un père et esquissant toute de même un sourire triste qu'en à son départ précipité. Elvéviel avait pour habitude de faire certaine chose sur un coup de tête, mais l'elfe savait que s'il la retenait elle serait malheureuse. " Je m'occupe de ces terres depuis bien avant ta naissance tu sais. " " Oui je le sais Père, vous me manquerez. " Elle embrassa son père une dernière fois et tourna les talons ne se retournant pas, car si elle le faisait elle ne partirait jamais. Elle dévalait les escaliers jusque la grande cours de la baronnie où l'attendait deux hommes armés à cheval et son compagnon Yakulou le grand cerf blanc. L'animal au pelage blanc porté un filet fait sur mesure pour lui et un simple tapis rouge posé sur son dos, le rouge qui était symbole de noblesse. Une selle alourdirait bien trop l'animal et le ralentirait. Elvéviel sauta sur le dos de l'animal le talonnant très légèrement celui-ci brama portant alors au galop vers de lointaine contrait que la demi-elfe ne connaissait pas le moins du monde. Son père la regardait partir tristement installé à l'une des fenêtres, il était inquiet pour elle son major entra et le rassura que sa fille avait prit les meilleurs garde avec elle avait de partir. Sa ne le soulagea qu'a moitié son coeur de père voyait partir son unique enfant sur des chemins bien dangereux une escorte que dix hommes ne lui aurait pas suffit.
Il fallut quinze jours à la baronne et à ses hommes pour traverser entièrement la forêt d'Anaëh qui et rejoindre la forêt d'Anduram où se tenait les premiers villages humain. La petite troupe mangea se qu'elle trouve en route n'emportant ainsi avec eux que très peu de chose au cas ou ils devraient fuir ils seraient ainsi plus rapide. Ils marchèrent de jour le vent les accompagnait tout le long de leur périple il jouait dans les cheveux long noir de la demi-elfe qui souriait elle se sentait aussi légère que celui-ci elle aurait voulu qu'il l'emporte. Les elfes sont d'une nature très méfiante et sur les sentiers qui parcourait les terres miradelphiennes on ne manquait jamais de se croiser des bandits de grand chemin qui vous promenait souvent par surprise. Malheureusement pour eux attaquer la baronne de nuit n'était pas possible les gardes ouvrait l'œil et le bon c'était chacun son tour chaque nuit il échangeait les rôles ainsi son partenaire pouvait se reposait une nuit et récupérer des forces. Elvéviel n'avait pas amené beaucoup de garde avec elle pour éviter justement de se faire attaqué, elle se faisait discrète les garde d'ailleurs ne portait pas d'armure juste leur épée accroché à leur ceinture. On les laissa tranquille pendant le trois quart de leur périple deux jours avant leurs arrivés les bondit commencèrent à s'impatienter on remarqua de plus en plus leur présence qui pourtant c'était faite très discrète au début du voyage. Les gardes se firent plus attentif à leur moindre mouvement quand la petite troupe perçu enfin les remparts humain ils furent soulagés se disant qu'ici les bandits n'oserait plus les attaqués. Ils baissèrent la garde, c'est alors qu’une troupe de trois bandits apparurent enfin deux le troisième était perché dans un arbre il croyait surement les elfes stupide pour ne pas le voir. Se fut le premier à attaquer un des gardes sur son flanc gauche avec une dague ce qui lui infligea une blessure au bras celui-ci râla dégaina son épée et attaqua l'assaillant. L'autre garde s'occupa celui qui se trouvait à sa droite et Elvéviel se retrouva face à face avec un bandit masqué elle récita une incantation créant ainsi deux reflets d'elle-même. "Laquelle de nous trois est celle que tu cherche ?" prononcèrent-elles en même temps pendant que le bandit réfléchissait la demi-elfe chargea celui-ci se protégea en portant ses bras devant son visage par réflexe il ferma aussi les yeux. Deux secondes plus tard il ouvrit les yeux il avait rien et Elvéviel se trouvait loin derrière galopant. Les deux elfes se débarrassèrent des deux bandits et partir à la suite de la baronne. Mécontent ils appelèrent de l'aide d'un coup de sifflait et ils se mirent à la poursuite de la petite troupe, Yakulou qui n'était pas une monture comme les autres il se mit à bondir, mais guerres plus haut d'un mètre, mais long de plus de deux mètres il dépassa les chevaux blanc des gardes sa cavalière était toute à fait à l'aise sur son dos. Ils entrèrent dans le duché de manière précipitait quelque garde sortirent du duché pour repoussait les bandits et on ferma les portes. Elvéviel se dirigea vers son garde, inspecta la plaie qu'il avait bras elle n'était pas très profonde malheureusement elle ne pourrait le soignait qu'à la nuit tombé. Elle le félicita pour son courage et le remercia sincèrement de veillait sur elle. Durant sa petite discussion elle fut interpelait par un homme qui lui demanda qui elle était. Elle avança son intimidant animal blanc près de l'homme à pied qui lui avait demandé son nom. Bien sur chez les elfes elle était connue ici par contre comme elle n'y avait jamais mise les pieds il était dure pour eux de savoir qui elle était, elle se présenta donc : " Je suis Elvéviel de Solith, Baronne de elfe de la baronnie de Solith." Sur l'équipement des chevaux et le tapis de Yakulou se trouvait représenté les armoiries de la famille de Solith. Les yeux vert intense de la baronne plongèrent dans celui de homme qui se trouvait en face d'elle, son iris était composé d'un jeu de vert qui allait d'un vert pâle à un vert foncé donnant de la profondeur à son regard. Qu'importe qui si plongeait il avait tous du mal à en sortir comme s'ils étaient il était absorbé par son regard certain si noierait presque. Yakulou brama très fort pour sortir l'homme de ses rêvasserie. Car il faut dire Elvéviel n'était pas une jeune femme comme n'importe qu'elles autres il planait dans son regard, dans sourire et surtout sur son visage comme un voile de mystère. L'homme secoua la tête et fixa de nouveau le visage de la demi-elfe il remarqua alors les arabesque sur la partie droite de son visage. À la baronnie le peuple disait que c'était de la que provenait le pouvoirs de la baronne, il regarda la baronne des pied à la tête il remarqua ses longues oreilles pointue derrière sa chevelure de jais. La baronne en eu assez de se faire dévisager elle toussota avec force et regarda avec un peu plus de mépris le sous-fifre. " Qui est le noble qui détient ces terres ? " "Le Duc Merwyn de Serramire. " " Très bien, où vit-il ?" " Un peu plus loin de ces terres sa demeure sa trouve à quelque minute d'ici. " " Pouvez vous me conduire jusque là bas ? " "Certainement..." "C'est très gentil à vous. " L'homme les guidèrent à travers les terres faisant les éloges de la famille de Serramire que la jeune dame assise sur son cerf écoutait avec attention. Il arrivèrent à la grille de la demeure du Duc qui était luxueuse mais d'un style d'architecture toute autre que celle des elfes. Ils passèrent les grilles entrèrent dans le jardin vaste et entretenue on le croirait sortit tout droit d'un tableau. La baronne se permit de mettre pied à terre elle ne risquait rien ici, elle s'approcha d'un magnifique rosier en fleur elle n'eut pas en s'en approchait trop pour en sentir la délicate odeur. " C'est un fort belle endroit et un très belle demeure. " " Je vais vous faire annoncer. " La baronne acquiesça regardant partir l'homme elle attendit dans le jardin elle le trouvait splendide.