Ssinssrin [Haute(s) Prêtresse(s) d'Isten]

Nom, Prénom : Elles sont Ssinssrin, le désir. Elle est Kultressin, celle qui domine, et Vee, celle qui se soumet. Baisse le regard, tu fais face à Kul’Ssinsrin et Vee’Ssinssrin.
Âge : Il y a 253 ans, Natha Repalninkiz posait son regard sur leur mère et lui accordait la fécondité.
Sexe : Elles sont les dignes filles d’Isten Okhras'Gaath.
Race : Sombre est leur peau, à l’image de leur âme.
Particularité : « Une et deux, semblables et opposées, deux esprits pour un savoir, une apparence pour deux corps. »

Alignement : Leur cœur est à Isten et à Elle seule.
Métier : Haute Prêtresse d’Isten Okhras’Gaath.
Classe d'arme : La Magie, qui les unit et les sépare, forme leur seul rempart.

Équipement : Elle est son parfait reflet. Ssinssrin est deux, créature abstraite, idéale car somme de deux caractères opposés, et ses possessions sont à son image : doubles. Ses corps se parent des mêmes tissus, légers comme le souffle du damné. Parfois, la danse des couleurs se fige, et s’offre alors aux yeux fatigués de ceux qui cherchent à les dissocier une lueur d’espoir, mais toujours le trouble revient, quand de nouveau le jeu reprend. A leur cou, Son collier trône fièrement, porteur de Son sceau, clé de toutes les serrures mise à part celle qui les retient à Elle. Caresse délicate sur le dos de ses mains droites, Son gant n’enlace que l’index vengeur, le dotant d’une griffe délicate mais incontestablement tranchante… Avidité de métal forgé, elle n’est arme que quand on sait en user fièrement.

Description physique : Beauté… Notion abstraite, soumise aux caprices du temps et des individus. Aux yeux de son peuple, elle est belle et fait naître son nom dans le creux des ventres. Elle est un corps, tant elles se sont échinées à gommer leurs différences. Blesses-en une, et elles saigneront à l’unisson, honores-en une en oubliant l’autre, et subis leurs courroux conjoints. Elle est frêle, semble même fragile, alors que ses yeux rougeoyants contemplent leur univers, tantôt dur, tantôt tendre, mais toujours fier. Ses cheveux, noirs tel l’oiseau d’infortune qu’elle incarne, cascadent librement, frôlant ses épaules, s’aventurant à tâtons le long de son dos. La cendre est son manteau, teinte naturelle luttant contre l’encre translucide aux reflets de glace courant sur sa peau. L’ombre de ses formes se dessine sur la roche froide du sombre Puy quand flamboie le braséro de leur antre. Le ventre ferme de celle qui n’a jamais connu Natha se targue de la perfection mortelle, alors que la courbe délicate de son dos s’inscrit dans le panthéon du culte de l’agréable. Ses fontaines de vie complètent et subliment la toile éphémère et vacillante au moindre filet d’air. Le pas léger de celle qui, toujours, dissimulait son secret dans l’ombre virevolte au rythme de la danse… leur danse, celle de leur vie unie.

Description mentale : « Des deux, je suis la face cachée, celle qui murmure dans l'ombre juste derrière vous, le rictus moqueur qui suit vos pas. Je suis « l'autre », les chuchotements qui sommeillent dans vos coeurs. Alors que ma soeur enflamme vos corps, moi j'embrase votre esprit. Désir inassouvie, envie débordante, venez a moi. J'use de la félonie d'Isten a outrance, susurre le vice délicatement ancré en vous, je suis cette ombre derrière vos ambitions terribles, mais je suis aussi cette soeur implacable, terriblement furieuse, horriblement enragée par ses regards qu'elle pose sur vous, langoureux et obscènes. Vous penserez être unique, précieux, meilleur que les autres sous l'ardente flamme de ses prunelles, mais vous ne serez rien parce que je veux qu'il n'y ai que moi, il ne doit y avoir que moi. L'autre partie de son âme, sa mémoire et son coeur jumeaux. Un ensemble, un tout dont vous n'effleurerez jamais l'immensité ni la perfection. Mes rages sont dévastatrices, irrationnelles, un brasier qui flamboie a la gloire d'Isten, une flamme qui la ronge inlassablement. Je suis la voracité et l'inconstance, ma volonté sera la votre. »

Kul'Ssinssrin, face indomptable de Ssinssrin, Haute Prêtresse d'Isten

« Je suis la luxure paresseuse, celle qui s’incline devant ta puissance et te laisse agir à ta guise. Je suis la récompense à tes efforts, le baume à ton cœur. Je suis le joyau tentateur qui brille sous ton regard avide. Je suis la douce parole qui t’accompagne dans ton sommeil, la subtile caresse qui aide ton réveil. Je me donne sans compter, t’abandonnant la clé de ma cage dorée, mais seulement si tu en as gagné le droit. Je suis celle que te regarde te débattre, au milieu de tes semblables, celle qui te souris à toi en même temps qu’aux autres, qui admirent tes sacrifices sans les apprécier à sa juste valeur. Je suis la luxure avide, qui prend autant qu’elle donne, sans que jamais tu ne te doutes de rien. Mon renoncement est ma victoire, car pour moi tu sacrifieras ton âme. Je suis celle qui se prélasse, qui attend et qui accepte ce qu’on lui tend. Tes bras sont mes liens tant que tu le désires, mais jamais je ne serais à toi. Ce sont ses sourires qui font battre mon cœur, ses volontés qui animent mes bras et son plaisir qui enfante le mien. Nos voix résonnant dans notre idyllique union déclament les paroles de l’envoutante Isten, et ce sont nos mains enlacées à Sa dague qui appliquent son ire. »

Vee’Ssinssrin, visage soumis de Ssinssrin, Haute Prêtresse d’Isten.

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Comment trouves-tu le forum ? Aux hasard de nos errances dans le nébuleux Internet
Comment as-tu connu le forum ? Le regard se pose sur le grimoire, et l'avidité avec laquelle le lecteur le dévore témoigne de son enthousiasme.
Crédit avatar et signature : L'Âme Ténébreuse de la Nuit d'Adelevin

Histoire :

Les fonds du Puy. Un paysage familier, ô combien déroutant pour le non initié. La lie se mêle aux puissants, ombres dissimulées sous les manteaux de leurs mensonges. Nuls ne doit les voir, cela serait entacher leur réputation et pourtant, malgré tout, ils errent dans les rues sombres et crasseuses. C'est là qu'elles sont nées. Un miroir parfait, un reflet exact, un même cri, une même volonté de vivre. Jumelles désirées mais oubliées, abandonnées par la mort peut être, qui sait ! Même les Soeurs ont oubliés ce que fut leur enfance, relent de souvenirs qu'elles prefèrent cacher, seule Isten la Terrible a droit de regard sur leur passé, leurs actes et leurs songes. Enfants aux visages si semblables, lorsqu'une crache l'autre susurre, l'une griffe, l'autre caresse; l'une hurle, l'autre murmure, ainsi fut jeté le dé de Teiweon, ainsi sont les âmes unies. Des contraires parfaits aux liens d'or et de cuivre. Bravant les épreuves avec la traine improbable du destin en parure, elles parcourent les rues salies de vos immondices, fouillent dans vos rejets et apprennent votre âme, votre peau et votre odeur impure. Etait ce l'éclat de l'une ou la douceur trompeuse de l'autre qui attira les regards d'Isten ? Peut être les chants de leur âmes double sut combler la Terrible Déesse, sustenter sa faim éternellement innassouvit ? Personne ne pourra jamais le dire, mais nul n'a douter alors que Nec'Perya gémit dans son sommeil. Non, nul n'a parlé alors que Nec'Perya soupire. Nulles objections, nuls remparts alors que Nec'Perya susurre et par a la recherche d'un reflet, d'un miroir, image double soumise a ses rêves par Isten, songe extatique et jouissif, murmure abhérant et sensuel qui commande Nec'Perya en cette heure où son pied léger foule le sol pierreux des bas fonds du Puy. Sur ses lèvres écarlates sommeille encore l'extase et la perversion, un reste de chimère accroché a sa peau comme une caresse empoisonnée. Où se cache le reflet ? Où se dissimule le tout ? L'indissociable brisé ? Le sourire se teinte d'absolue victoire et la terrible Prêtresse saisit des poignets fins et sombres, implacable, elle arrache a la rue son miroir, s'approprie la vile déchéance des semblables. Elle fera sienne les opposées, les poussera sur l'échiquier du...Jeu. Elle embrasera l'obsession déjà naissante, forgera la volonté, sculptera la soumission, transformera les liens d'or en chaines de sang, maillons d'airains qui pénétrerons les chairs.

-Sois à moi...

murmure l'une en faisant glisser, telle un effleurement délicieux, la lame tranchante et déjà écarlate d'une dague sacrificielle. De l'argent né une blessure qui trouvera sa soeur sur le sein même du Reflet tant aimé. Blasphème, outrage porté par un rustre, un galeux sur la peau trop tendre, trop parfaite. Leur appartenir, n'être qu'une, se noyer dans l'obsession de ses prunelles rougeoyantes, se retrouver dans les plis parfumés de sa couche. Blessures terribles, cris écarlates et gémissement soyeux.

Elles sont Une alors que le Jeu commence...

La démarche est la même, la danse similaire, le sourire est le reflet de l'autre. Sauras-tu voir qui s'exhibe a tes prunelles avides ? Sauras-tu discerner au delà de l’idéale image ? Miroir a jamais désuni sous ton regard, essences enlacées au creux du lit de soie. Les règles du Jeu sont immortelles et intransgressibles, elles jouent, rient et hurlent selon les règles établies. Elles virevoltent le long de ses limites sans jamais les franchir.

L’enseignement est dur et impitoyable. Elles servent un dessein plus grand qu’elles, une Déesse aux yeux vides, éternelle insatisfaite, elles se fondent dans Sa volonté et s’y perdent, renonçant à ce qu’elles ont pu être. Des enfants des rues qu’elles ont pu être, il ne reste bientôt plus qu’un vestige morcelé, un souvenir qui s’étiole avec le temps, jusqu’à disparaître complètement. Elles apprennent leur nom, Ssinssrin, et l’épousent sans hésitation. Elles s’approprient la pièce sombre, perdue dans les méandres de l’Elda, le seul espace où leurs essences sont libres de se séparer de nouveau. Tour à tour, elles s’aventurent au-delà des limites de leur Sanctuaire. Eblouies par les lumières blafardes des torches éparses, elles observent alors, épient, écoutent avec attention. Chaque détail à son importance, et devra être ajouté à la grande toile de leur savoir commun. Elles sont deux, n’ont qu’un corps, n’ont qu’une mémoire, et c’est pourquoi il ne peut exister nul secret entre elles. Alors elles s’avouent tout, se murmurent tout, dans les moindres détails. L’œil vigilant de Nec’Perya observe les progrès, rattrape les erreurs inévitables de celles qui apprennent encore et l’observe naître des ses « enfants ».

Ses « filles » qui grandissent, beauté assombries de noir projet. Entre leur mains habiles nait bientôt l'éclat d'Isten, l'une recevra la passion brulante et vicieuse, étincelle éternelle au sein de ses prunelles d'écarlate, elle sera le jus de vos bas instincts, l'essence de vos plus avides envies, elle sera le réceptacle, le temple dans lequel se perdront les impudents. L'autre, l'autre a la volonté corrompue sera vos murmures ambitieux, vos vils desseins susurrés a l'oreille de la Déesse aveugle. Elle sera ce poison qui coule dans vos veines, rongeant votre âme cupide tel un acide divin, ce chuchotement qui ne vous quittera pas. Les désirs se mêlent, ne sont qu'Un et pourtant, les chemins sont différents. Apprenez l'immensité du désir d'Isten en côtoyant ses plus ferventes servantes. L'une sera le désir charnel incarné, l'autre le désir ambivalent de votre avidité mais qui sait réellement celle qui vous embrasera.

Véritable mimétisme de leur dualité, leur Magie est à leur image. Deux faces d’une même pièce, lancée d’un regard aveugle, elles seront les deux visions de chaque émotion. De l’une naîtra désir de conquête, de l’autre naîtra envie de soumission. Ouroboros parfait, leurs dons se mêlent et se complètent, leurs magies sont un regard jeté sur leur folie, elles se soutiennent et entretiennent le lien.

Elles furent offertes à son Temple, y apprirent ses Lois et s'y plièrent. Elles suivirent Son enseignement, jouant le rôle d'élève et de professeur, tour à tour, offrant aux yeux surpris de leurs Aînés un aperçu de celle qu'elle formait. Ils la guidèrent, aidant la « mère » sans même le savoir. Fille prodige, elle lui attire désormais louange et reconnaissance, respect et considération. La belle Ssinssrin évolue avec grâce dans ce monde de luxure, dans ce monde qui déjà lui appartient. Et vint ce jour, couronnement d'un Jeu qui ne connaitra jamais de fin, alimenté par leur étreintes sauvages et soumises, cette nuit où le souffle d'Isten parcouru leur nuques offertes, déjà se complait le désir arrogant de leur « mère », regarde, tes « enfants » sont parfaites, ainsi offertes en pâture aux doigts voraces de la déesse.

Elles grandissent, elles apprennent, et grâce à elle, elle vit plus que jamais. Mieux, elle rayonne sous leurs efforts conjoints. Ssinssrin n’est qu’une prêtresse parmi tant d’autre, mais elle est celle que l’on remarque. Ses deux visages s’approprient les cœurs, balayant les convictions fragiles et y ancrant Ses volontés. On la craint autant qu’on l’admire, on observe son parcours, méfiant. Elle ne possède aucun titre, ne jouit d’aucun prestige autre que celui qu’elle glane. Mais quand, finalement, le Rêve vient, on se tourne vers celui qu’Elle a élu… Dathlyn. Elles n’en prennent pas ombrage, et continuent leur manège, indifférente à ce mâle qu’elles jugent sans intérêt. La luxure est une histoire de femme, lui n’est qu’un divertissement, un mâle qui a attiré son regard, un éphémère qui sera bien vite oublié. Et le temps leur donne raison, car voilà qu’il fuit. A-t-il rêvé ? A-t-il pris peur, face à l’inévitable changement, face à sa propre fin, murmurée au creux de son oreille par celle qu’il croyait avoir conquis ? La désillusion est parfois cruel, la peur des griffes de Teweion aussi. Avec lui, c’est Son choix qui s’envole, insaisissable. Le Temple sait quoi faire, ce n’est pas la première fois. Alors il se réunit, il débat, il s’agite… Qui sacrifier ? Peu importe leur choix, il ne sera pas le Sien. Alors, le malheureux rêvera à son tour, et cédera à qui de droit la place qu’il aura usurpée. Isten la belle obtient toujours ce qu’elle veut. Les regards convergent vers leur « mère », mais elles ne se permettent pas de douter. Nec’Perya sera la prochaine Haute Prêtresse. Ce choix scelle son destin, celle qui les a sauvées s’en ira bientôt, mais elles n’interviendront pas. Elle les a bien éduquées, et leur amour va au divin.

Elles étaient là, ombres suaves et sensuelles alors que dans le brasero dansent les couleurs nuancées de Sa volonté. Là, alors que se tord de divine convulsion le corps de Nec'Perya, elles sont là, tremblantes d'envie devant cet ultime don, serrées l'un contre l'autre dans cette perfection que Ssinssrin, seule, peut faire naitre. Les vapeurs odorantes du Vice aveugle s'échappent a gros bouillon, enveloppe l'antre divin d'une lueur blanchâtre. Vison ? Prophétie ? Peu importe le nom qu'on lui donne, peu importe le mépris, elles savent, Ssinssrin sait que les lèvres d'Isten sont en mouvements, déversant dans l'oreille impie ses désirs implacables et la folie frapperait celui qui s'y opposerait. Un nom se hurle, un nom se crie comme une supplique extatique, jouissance retrouvée dans Sa voix, un nom qui raisonne entre les murs de pierres noircies...Un nom...Le sien. « Les Ssinssrin ». Mais a-t-il réellement comprit ce Prêtre qui reçoit en cadeau le murmure essoufflé ? A-t-il réellement saisi toutes les nuances du miroir ? Sait-il les fragrances subtiles qui s'échappent de Ssinssrin ? Non, hélas non, car la déesse ricane dans son antre de délice, caresse de ses orbites vides les silhouettes qui s'avancent, mains liées sur un poignard d'argent. Une marche enchantée de perversion, une danse vicieuse et enivrante. La surprise se lit sur les traits du Prêtre alors que devant lui se dessine les contours de Ssinssrin. Elles ne sont qu'Une, n'as-tu donc pas comprit, inconscient ? Parce qu'elles sont un tout, opposée et pourtant identiques, elles sont les faces d'Isten. Elle est le visage d'Isten et elle est sa main unique qui frappe la poitrine maternelle dans un feulement mystique, elle est le sourire exalté et le regard fou, elle est Son choix, incline toi...

Le Jeu repart de plus belle, valse des figures envoutantes, chants des voix reflets...Car l'une n'apparaitra jamais plus avec l'autre. Domination ou soumission...Joueras-tu a ton tour ?

Oh une (deux?) drow!!

Bienvenue sur Mira, c'est moi qui vais t'embêter :D

Pour commencer, bien que l'image soit très jolie, c'est pas une (deux?) drow. C'est une blanche aux cheveux noirs, alors que les drows ont la peau noire aux cheveux blancs (à l'exception d'une famille les Nehleän)

Ensuite ... Je vais vérifier mais il me semble que y à déjà un HP de Isten (si c'est Dathlyn, il est inactif donc ce n'est pas un problème)

Pardonne mon insensibilité à l'usage poétique, mais j'avoue ne pas avoir tout saisi (je critique pas le style hein! Je trouve ça bien écrit) Une des soeurs est morte? Elle est dans l'autre? scratch

Y en a une qui a tué l'autre? Elle est juste schizo? Tu pourrais me donner quelques précisions là dessus stp

et voilà :D

Gaucelm d'Odélian a écrit:: Pour commencer, bien que l'image soit très jolie, c'est pas une (deux?) drow. C'est une blanche aux cheveux noirs, alors que les drows ont la peau noire aux cheveux blancs (à l'exception d'une famille les Nehleän)

J'ai vu quelques drows a la peau bleuté, car si on regard bien, elles ne sont pas blanches ^^ Par contre, l'image est plus portée du coté de la symbolique, je l'avoue sans problèmes, quand aux cheveux noirs...Honnêtement, j'ai vu des cheveux avec des mèches rouges, ou violettes alors est ce tellement étrange ? Ce n'est qu'un noir, même si l'image donne des reflets bleutés ( désolée, je n'ai pas réussis a les atténuer :/ )

Gaucelm d'Odélian a écrit:: Ensuite ... Je vais vérifier mais il me semble que y à déjà un HP de Isten (si c'est Dathlyn, il est inactif donc ce n'est pas un problème)

Il me semble qu'il l'est ^^

Gaucelm d'Odélian a écrit:: Pardonne mon insensibilité à l'usage poétique, mais j'avoue ne pas avoir tout saisi (je critique pas le style hein! Je trouve ça bien écrit) Une des soeurs est morte? Elle est dans l'autre? Y en a une qui a tué l'autre? Elle est juste schizo? Tu pourrais me donner quelques précisions là dessus stp

et voilà :D

Pas de soucis ^^

Alors non, elles sont bien vivantes toute les deux, mais leur niveau de fusion est telle qu'elles ne font plus qu'une. Elles sont jumelles fusionnelles si tu préfère, elles tiennent a deux le rôle de Haute Prêtresse, en sachant qu'elles se complètent totalement et qu'elles n'apparaissent plus ensemble. En somme c'est un jeu de dupe et de faux semblants. Kul' représente la domination des désirs ambitieux et Vee la soumission du désir charnel et c'est ce genre de relation qu'elles ont entre elles.

Elles possèdent bien la peau de ses frères...

Citation :: La cendre est son manteau, teinte naturelle luttant contre l’encre translucide aux reflets de glace courant sur sa peau.

Pour ce qui est des cheveux, ils sont certes noirs... Mais ce n'est pas un cas unique. Prenons en exemple Fae'Lisshyn qui possède cette même caractéristique. L'avatar nous a inspiré nos personnages en grande partie, nous ne pouvions en prendre un autre. La nuit, tous les chats sont gris... nous dirons que c'est une affaire d'éclairage Razz

Citation :: Elle ne possède aucun titre, ne jouit d’aucun prestige autre que celui qu’elle glane. Mais quand, finalement, le Rêve vient, on se tourne vers celui qu’Elle a élu… Dathlyn. Elles n’en prennent pas ombrage, et continuent leur manège, indifférente à ce mâle qu’elles jugent sans intérêt. La luxure est une histoire de femme, lui n’est qu’un divertissement, un mâle qui a attiré son regard, un éphémère qui sera bien vite oublié. Et le temps leur donne raison, car voilà qu’il fuit.

Tu ne nous as pas lu Crying or Very sad

Plus sérieusement, nous avons pris en compte le personnage Dathlyn, mais il nous a en effet semblé inactif.

Sinon, il s'agit bien de deux comptes, et de deux personnages. Juste qu'elles sont physiquement identiques, et que leur vie est "commune". Nous avons préféré faire une seule fiche, rédigée à deux.

Allez zou, j'suis trop gentil ...

Vous connaissez le chemin ...

EDIT: Flemme de changer de compte

Merci !

Euuh, juste une chose, le chemin...Porte de droite ou de gauche ?

tout droit ... y a pas plus simple

» Baranthea, Haute-Prêtresse de Brissea
» Wilwarin [Haute Prêtresse de Teysith]
» Arrivée de la Haute Prêtresse de Tari.
» Courrier à la Haute Prêtresse de Kÿria (PV)
» Dame Jamais (Haute prêtresse de Teiweon)

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