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 Joy L. [Dame Protectrice de l'Epine Dorée]

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Joy Lìvìan
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MessageSujet: Joy L. [Dame Protectrice de l'Epine Dorée]   Joy L. [Dame Protectrice de l'Epine Dorée] I_icon_minitimeSam 6 Fév 2010 - 22:27

« Sous toute douceur charnelle un peu profonde, il y a la permanence d'un danger. »

    Nom/Prénom :
    Joy Lìvìan.

    [color=#000000]Âge :
    362 ans.

    [color=#000000]Sexe :
    Féminin.

    [color=#000000]Race :
    Elfe.

    [color=#000000]Particularités :
    Maudite par Arcamenel, la jeune femme subit d’étranges crises durant lesquelles elle est obligée de s’isoler pour ne pas céder à ses instincts les plus bas. Malgré ce que vous pourriez croire, cette tendance à désirer des contacts charnels de manière impromptue et répétée est loin d’être agréable et devient parfois une vraie torture. Cependant cette « particularité » reste soigneusement cachée. Il est à noter que des rumeurs circulent malgré tout quant aux absences répétées de la marquise.

    [color=#000000]Alignement :
    Bon.

    [color=#000000]Métier :
    Marquise de l’Epine d’or n’est qu’un titre. La véritable passion de Joy reste la peinture, art pour lequel elle s’investit beaucoup. Cependant, elle n’a jamais vraiment pu être peintre à cause de son père qui considérait cette ambition comme un passe-temps futile.

    [color=#000000]Classe d'arme :
    Aucune.

    [color=#000000]Équipement :
    A proprement parler, Joy ne possède aucune arme, tout au plus porte-t-elle une aiguille glissée en tant que broche sur ses vêtements, sur conseil de Dolce qui lui a inculqué les points vitaux à viser au cas où. Mais son père ne lui a jamais vraiment inculqué l’art de se battre, et sa mère a toujours tenu à en faire une femme parfaite et pas un garçon manqué. Joy porte la plupart du temps des robes élégantes dont les tons intelligemment choisis s’accordent avec la pâleur candide de son physique. A son annulaire de la main gauche, demeure constamment son bien le plus précieux à ses yeux, un anneau fait d’arceaux d’argent et serti de sept lapis lazuli où est gravé le mot « Oìalë », témoin de son mariage avec Dolce.

    [color=#000000]Description physique :
    L’élégante froideur dont se pare chacun de ses mouvements, chacune de ses paroles laisse penser que le personnage face à vous est bien peu habitué à la chaleur humaine. Joy garde en effet une constante retenue d’elle-même, et cela se ressent aisément à son attitude. De taille haute, mais raisonnable pour la population elfique, la jeune femme mesure un bon mètre 77, son corps à la peau de pêche diaphane est très fin, sa taille à peine prononcée et ses longues jambes fines et fuselées suivant la ligne d’un buste mince, à la limite de la maigreur. Ses formes sont tout juste exprimées, sa poitrine et les atouts de sa féminité ressortant avec ce qu’il faut de rondeur pour lui donner un aspect de douceur bien éloignée de la vulgarité des physiques humains bien grossiers.

    Souvent vêtue de tissus soyeux et élégants, Joy cultive son sens du beau et aime les tenues raffinées, et sans pousser jusqu’à porter et exhiber ses richesses en matière de joaillerie et de vêtements, la jeune noble apprécie de porter des apparats sophistiqués, et ce dans des couleurs tout aussi vives que sobres. Il n’est pas rare de constater que la jeune femme fait appel aux meilleurs pour élaborer ses tenues et généralement, dans une assemblée de nobles elfiques, elle fait souvent partie de celles qui sont les plus remarquées et appréciables du regard.

    Le visage de la demoiselle n’est que finesse et grâce, entouré d’une longue cascade nébuleuse de cheveux fins si pâles qu’ils en ont adopté une teinte d’un blanc-bleu neigeux, aux reflets de glace - on dit que la couleur de cette crinière ne serait qu’un des effets secondaires de la malédiction que Joy a subi -. Son fin cou supporte une tête au nez droit, et ses yeux en amande sont frangés de longs cils caressant ses joues aux pommettes à peine plus rosées que sa peau. Les prunelles de son regard sont teintées d’un bleu givré tirant à peine sur l’azurin, non sans donner à ses iris un reflet polaire. Ses paupières sont généralement nuancées de légères touches de poudres claires. Quant à sa bouche finement dessinée, les sourires qui s’y peignent sont souvent radieux et larges, traçant deux petites fossettes de chaque côté de la commissure des lèvres.

    [color=#000000]Description mentale :
    Joy apparaît être quelqu'un de très réservé et très calme de prime abord. Peu adepte des discours grandiloquents et des démonstrations publiques, l'elfe conserve une attirance forte pour la sobriété et a une sainte horreur des gens qui cherchent à exister et à se montrer, ou plutôt à s'exposer par chacun de leurs actes. L'exhibition n'est pas une qualité innée chez Joy, qui peut parfois rester des heures silencieuse. Sa capacité de concentration est sûrement tout aussi développée que sa persévérance et son esprit de réflexion, aiguisé, qui lui permet de laisser libre court à un verbe à la fois doux mais tranchant : les critiques qu'elle peut donc adresser sont toujours suggérées de façon si diplomatique qu'on ne décèlerait même pas la sournoiserie de son ironie. N'aimant pas véritablement se livrer à l'expansivité des sentiments, la jeune marquise a appris à côtoyer la solitude sans la haïr, ayant par ailleurs très peu d'amis fidèles, l'image de la femme inaccessible, muette et spirituellement élevée étant une carapace bien plus résistance que toute autre protection face à un interlocuteur cherchant à briser la glace par tous les moyens. A tendance optimiste, Joy reste malgré tout une personne qui a confiance en ses actes et qui n'aime pas laisser la place au doute et à l'imprévu ; d'ailleurs, les nouveautés inhabituelles peuvent facilement la déstabiliser même si elle ne tiendra guère à le montrer - sa maîtrise d'elle-même est d'ailleurs parfois si aigue qu'elle en paraît extrêmement hautaine, orgueilleuse et froide comme la glace -. Qualifiée par les plus mauvaises langues d'insensible et de frigide, Joy maintient le reflet impassible et inatteignable d'une séduisante figure féminine appliquée et à la pensée complexe.

    A contrario, lorsque Joy subit ses crises - qui sont pour elle un handicap notoire -, ses nerfs sont parfois mis à une épreuve si rude qu'elle peut en être totalement chamboulée et ressentir une empathie terrible, exprimant alors ses passions et ses impulsions de manière quasi-instinctive, animale - une facette bien peu connue, voire ignorée de tous -. Très pudique d'apparence en ce qui concerne l'acte, Joy se révèle être une amante et une épouse totalement sous le charme, en harmonie avec l'homme de ses pensées, quasiment co-dépendante aux sentiments qu'il peut éprouver. C'est d'ailleurs le cas avec son mari, pour lequel son amour reste intarissable et aussi sincère qu'au premier jour de leur rencontre. Il est à noter malgré tout que Dolce est la seule personne avec laquelle Joy efface les barrières de sa retenue et devient alors une personne extrêmement affectueuse, attachante, tendre, parfois charmeuse et séductrice. Leur lien, marqué par la force de leur union, a fait que l'elfe se sent en totale confiance avec lui et ne se prive donc pas de demeurer naturelle.

    [color=#000000]Histoire :
    Beaucoup de personnes de mon espèce seraient ravies de vous conter leur histoire. Ce n'est pas mon cas. Non pas que je haïsse tout particulièrement la vie que j'ai pu mener ou mes ancêtres, ou que je méprise l'art du monologue - qui ma foi demeure à mes yeux une preuve d'égocentrisme -, mais je n'aime pas vraiment m'étaler sur les choses qui me concernent. Je ferai cependant un effort, car au fond, vous êtes ici pour cela, savoir les moments les plus importants de ce qui demeure mon vécu.

    Ma naissance. De ce que ma mère m'en a raconté, je suis née une nuit orageuse d'été, alors que les épais nuages masquaient avec lourdeur l'enveloppe tiède et obscure de l'atmosphère nocturne. Quelques éclairs zébraient au loin la toile noire du ciel. Mon père avait bien du atteindre des jours et des nuits entières, le visage froid et sec, immobile et figé comme une statue de sel ma venue. Le sourire qui avait cependant illuminé son visage avait été à la fois l'ultime et unique signe de joie qu'il manifesterait : ma mère, bien que subjective, me fit souvent remarquer qu'il n'avait jamais semblé plus heureux qu'à un autre moment de sa vie. Son sourire faisait tout, éclairait les prunelles de glace qu'il avait - les mêmes que moi -, effaçait les traits austères de son visage et illuminaient son teint trop clair.

    Ma mère - Deneyna, ainsi s'appelle-t-elle - a toujours cru qu'elle aurait droit à un fils, après moi. Mais elle s'est trompée. Peut-être pour punir mon père de ses absences trop longues et du manque flagrant d'attentions envers sa famille, Mère n'a jamais eu d'autre progéniture que moi. Oh, elle n'en souffrait pas : il n'y avait que Père pour gémir de cette absence de masculinité. Il n'aurait donc pas de descendance, et c'était peut-être ca qui le blessait à chaque fois qu'il posait son regard sur moi. C'est peut-être cette haine du sexe faible et de ce que je représentais - disparition de la lignée brillante et faste des Sahelian définitive - qui rendit mon éducation si draconienne que je crus bien qu'il me faisait payer mon existence chaque seconde que ma taille, comprimée dans des robes trop belles et trop richement décorées pour une enfant de mon âge, se tordait pour respirer péniblement. Ce n'était évidemment pas lui qui allait me forcer à apprendre l'épée : oh non, il se contentait de payer des tutrices et des professeurs aptes à m'enseigner l'élégance physique, la musique, l'art, les bonnes manières, la diplomatie et le beau-parler que tout elfe de haut rang savait parler avec aisance. J'étais une fille de nobles, et ce groupe nominal incluait malheureusement, selon mon géniteur, que je n'avais pas le droit à autre chose que l'avenir qu'il me réservait. Je me marierai d'amour, certes, mais tant que j'étais sous sa coupe, rien ni personne ne l'empêchait de me diriger et de me dicter ma conduite. Chose à laquelle j'avais toujours été habituée, non sans en souffrir. Mon père a toujours eu des principes bien trop humains ... Et dire qu'il les méprisait.

    Pas d'apprentissage au combat, pas d'activités dangereuses, non : sa fille devait rester cloitrée, soigneusement cachée de tout regard d'homme. Depuis ma plus petite enfance, je n'avais connu que les grands murs décorés avec opulence. Ils finirent par devenir petits, bien trop petits pour moi ... Mon père "prenait de l'âge", sans que son physique ne s'altère bien sûr, mais je sentais que plus je grandissais, et plus lui à contrario faiblissait, se murant peu à peu dans un mutisme et une froideur qui déconcertaient suffisamment ma mère pour que je sente le malaise. Mon père était protecteur, affreusement étouffant, et pire qu'un lierre fermement enserré au tronc de l'arbre jeune et fertile qu'il parasite, il voulait que je reste éternellement innocente. Mais à peine sortie du cocon, le papillon fringant qui ignore tout de la vie ne peut pas s'en sortir s'il n'a jamais fait d'erreurs. Et c'est ce qui est arrivé.

    A l'aube de ce qui pourrait être pour vous, humains, vos jeunes années, je dirais ... 17 ans ? je m'étais échappée une énième fois en douce de la demeure. Il faut dire que j'aimais beaucoup me promener et profiter de la voûte étoilée. Les paysages nocturnes m'avaient toujours inspiré pour la peinture, ma passion première ... Sauf que ce soir là a été le pire moment de toute ma vie, que je maudis et maudirai sûrement jusqu'à ce que mon cœur cesse de battre. Vous a t-on déjà conté de quelle manière peuvent agir les fidèles d'Arcamenel ? Vous est-il seulement déjà arrivé de croiser l'un des leurs ? Dévorée par les sentiments parfois les plus nuisibles, même notre "merveilleuse" race - si je puis dire - est atteinte par ce mal des passions dangereuses. Et les prêtres du Dieu de l'Amour - aussi bon puisse t-il parfois être, comme je vous le certifierai aussi - avaient cette particularité de ne pas aimer les refus de belles créatures. Sous ce crépuscule, je revois encore la silhouette de cet homme, quittant le temple de celui qu'il vénérait avec ferveur. Ses yeux qui me dévisagèrent longuement, sans même prendre la peine de se cacher de tant de voyeurisme. Jeune et prude, j'en étais profondément dégoûtée. Il me suivit bien pendant un bon moment, tentant une conversation douceâtre, cherchant à m'apprivoiser, guettant mes sourires enjôleurs ou un réchauffement de mon attitude qui demeurait polaire. Insultante, je le fus très certainement tandis qu'au bout d'un moment, je lui lançai maladroitement en pleine figure qu'il était hideux et qu'aucune femme ne pouvait désirer de lui.

    C'était mon seul moyen de m'en dépêtrer, et cela fonctionna d'ailleurs. Mais à quel prix ? La rancœur agit comme un poison pour ceux qui n'ont pas la sagesse d'esprit de certains de nos compères. Cette nuit là, l'homme avait été froissé, déchiré dans son honneur. Profondément blessé d'avoir été repoussé, son geste, tout aussi impuissant que mes mots douloureux envers lui, fut d'avoir recours à celui qui l'observait là-Haut, amusé et moqueur. La grande prêtresse d'Arcamenel eut du travail, ces jours-là.

    Les premiers symptômes du retour de bâton m'apparurent nettement une semaine après ma rencontre désagréable. Le feu qui rongea mes entrailles et le bas de mon ventre fut si intense que je dus m'enfermer pendant deux jours dans ma chambre, hurlant dans mes draps de soie, crispée et tendue. Je peinais à me contenir, à retenir cet élan de folie pure qui me faisait griffer le tissu, ma peau, qui pressai mes dents contre mes propres lèvres à m'en faire saigner. Je n'avais pas mal, non, mais c'était bien pire : je me battais contre le brasier ardent et ininterrompu du plaisir de la chair, inextinguible. La seule chose à laquelle je pensais, c'était me perdre dans les bras d'un inconnu. N'importe qui, n'importe quand, n'importe où. Je n'avais même plus conscience de qui j'étais et de ce qui pouvait découler de tels actes.

    Alors je passais parfois des heures terribles, vivant ces crises devant l'incompréhension totale de mon père et l'angoisse de ma mère. Une panique qui leur fit du mal à eux aussi ; les ayant mis au courant, je leur avais communiqué une partie du fardeau pénible et divin qu'on m'avait attribué parce que j'avais été trop "prude". Ma frigidité avait déplu au Dieu des Passions, quelle ironie ! J'étais le jouet d'une Entité, et j'allais le rester ... Jusqu'à la fin. Les remèdes, bien sûr, beaucoup, pour ne pas dire tous, furent vains. Certains atténuaient, d'autres empiraient l'état de transe charnelle dans lequel j'étais plongée, et ce de manière totalement aléatoire. Je pouvais couler des semaines heureuses, et vivre parfois un mois entier dans la crainte et l'apogée du désir interdit.

    Le malheur n'arrive jamais sans son lot de coïncidences qui peuvent se révéler terribles, ou merveilleuses. Ma chance fut cette fois-là au rendez-vous. Prise de ces spasmes langoureux que je vivais avec difficulté, j'avais fuit au plus vite le domaine de mon père, me réfugiant au lac d'Uraal qui n'était pas très éloigné de là où nous vivions. L'eau froide avait cet effet bénéfique d'apaiser les tumultueuses flammes d'Arcamenel. Sans même y réfléchir, j'avais plongé dans l'étendue, ignorant la belle robe coûteuse, la chevelure soigneusement coiffée et les bijoux. C'est lorsque je rouvris les yeux, sentant les perles froides s'insinuer sur ma peau et doucher mon mal que je le vis.

    Il était là, perdu, tout autant que moi sûrement, me fixant comme si j'étais une apparition monumentale de son imaginaire, à la fois irréelle et transcendante. Je le sais, car ce fut le sentiment que je reçus de plein fouet alors que mon coeur s'emballait férocement. Apeurée, je crus premièrement à une rechute. Mais ce n'était pas ça. Je n'avais pas faim de plaisirs physiques : bien au contraire, mon coeur et mon esprit se repaissaient de ce que je voyais et appréciais, comme si au fond une partie de moi venait mystérieusement d'être comblée, comme si je sentais à présent que j'avais eu un vide et qu'il venait d'être rempli par la bonne pièce du puzzle.

    Dolce. Ses mots eurent tout autant si ce n'est plus, l'effet sur moi d'une douce pluie d'euphorie et d'insouciance. Mes propos, au début hasardeux, se firent légers, aisés, lumineux. Il éclairait ma pensée tout comme j'avais soudainement simplifié son univers, et inversement. Le temps passa, et notre étrange affection muta. J'avais découvert l'amour. Il me paraissait à la fois naturel, impromptu, mais c'était un remède plaisant face à ce que j'avais pu vivre jusque là.

    Ma malédiction ne disparut pas, non, cela aurait été trop facile de me laisser m'en sortir ainsi. Mais je vivais mieux ma douleur en faisant face, avec Dolce. Lorsque je ne pouvais pas rester en sa présence, ou quand il ne pouvait faire acte de présence - et ce bien malgré lui -, nos lettres respectives nous parvenaient à profusion, nos mains ne cessant de retranscrire notre manque de l'autre. Comme vous vous en doutez sûrement, Dolce et moi nous mariâmes. Oh, mon père aurait pu avoir quelque chose à dire ... Mais il ne le pouvait plus. Il nous quitta, ma mère et moi, presque en même temps que ma rencontre avec mon futur époux. Mon deuil fut certes long et triste, mais je ne pleurai pas autant la perte de mon père, qui, sans avoir été un calvaire, m'avait laissé autant de bons souvenirs que de mauvais, qu'il l'aurait fallu selon la décence.

    Ma vie était alors là, stable mais fragile, soutenue cependant par l'amour infaillible que Dolce et moi partagions. Tout cela aurait pu rester paisible et calme, notre couple coulant une vie qui se voulait insouciante sur les bords de l'Uraal ... Mais le pouvoir rappelle toujours à l'ordre ceux qui l'ont réclamé, et en ces temps, Dolce est ainsi devenu marquis. Je l'ai suivi, bien sûr, ne pouvant imaginer faire autrement. Mais le titre de marquise ne sera t-il pas trop lourd de contraintes pour la distraction d'Arcamenel que je représente ?



    ~~~~~

    [color=#000000]Comment trouves-tu le forum ? :
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    Katalinouille a écrit:
    *donne l'accord*
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    [color=#000000]Comment as-tu connu le forum ? :
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MessageSujet: Re: Joy L. [Dame Protectrice de l'Epine Dorée]   Joy L. [Dame Protectrice de l'Epine Dorée] I_icon_minitimeMer 10 Fév 2010 - 17:01

Allez, je valide, tu connais le chemin.

Like a Star @ heaven Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Like a Star @ heaven Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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Joy L. [Dame Protectrice de l'Epine Dorée]
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