Rosalie Keth [ Apprentie joaillère & Dragonnière ]

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Rosalie ( & Evan )
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MessageSujet: Rosalie Keth [ Apprentie joaillère & Dragonnière ]   Rosalie Keth [ Apprentie joaillère & Dragonnière ] I_icon_minitimeJeu 23 Déc 2010 - 9:43

    Prénom & Nom : Rosalie Meredith Josephine KETH
    Âge : 17 ans et demi
    Sexe : Feminin
    Race : Humaine
    Particularité :
    Depuis l'incendie de sa maison et la mort de ses parents, Rosalie est victime d'une attirance toute particulière pour feu, comme si chaque fois qu'elle en voyait elle était irrémédiablement attirée...

    Alignement : Neutre
    Métier : Apprenti-Joaillère & Dragonnière
    Classe d'arme : Aucun pour le moment.

    Équipement :
    Rosalie a dû rassembler quelques affaires en hâte lors de son départ, elle ne possède donc que très peu de choses. Deux trois robes, de quoi manger et boire, une couverture... Elle a emporté avec elle les deux seuls objets de valeur qu'elle possède. Une petite boite à musique en bois avec sur le côté un emplacement pour mettre la clef, la tourner dans la serrure remonte le mécanisme et la boite délivre alors sa musique, Rosalie ne peut s'endormir sans. A l'intérieur se trouve la bague de fiançailles de sa mère, l'unique objet qu'il lui reste d'elle.

    Description physique :
    Si Rosalie n'est dans sa tête qu'une enfant, il en va autrement de son corps qui est indubitablement celui d'une adulte. Une poitrine ronde, des hanches larges... Le tout accentué par sa petite taille - à peine un mètre soixante-trois. Rien d'indécent ou démesuré bien sûr, juste un corps de femme épanouie. Sa peau est très légèrement halée, renforçant très fortement le blond platine de ses cheveux. Ses yeux, d'une teinte vert foncé avec des paillettes marron, sont très légèrement renfoncés dans un petit visage en forme de coeur. Ils sont surplombés par des sourcils très fin le plus souvent caché par sa frange. Son nez est droit et sa bouche fine. Rosalie est très adroite et précise, la maladresse dont elle fait pourtant parfois preuve peut donc être tout de suite expliquée par une gêne ou un trouble. Ses mains sont longues et fines, sur la droite apparait au niveau la paume une marque plus claire, cicatrice d'une morsure jeune de quelques mois. Sur son corps apparaissent également d'autres traces ou la peau, plus pale, semble plus lisse. Ce sont les séquelles irréversibles de l'incendie.
    Rosalie ne porte que des robes simples et pratiques, peut-être parce qu'à cause de son métier elle n'a jamais eu autre chose à mettre que cela. Si elles la mettent en valeur, c'est parfaitement involontaire car la jeune femme, naïve, n'a aucunement conscience du désir qu'elle pourrait provoquer chez certains. Pour s'en rendre compte et prendre conscience du changement opéré chez elle, encore faudrait-il qu'elle se contemple dans un miroir.

    Description mentale :
    Avant que sa vie ne prenne un tour parfaitement inattendu, Rosalie se complaisait à vivre une existence monocorde et répétitive entièrement bâtie sur de solides et rassurants piliers. Les deux principales étaient son oncle, Alfred, auquel elle obéissait au doigt et l'oeil, et la bijouterie qui en plus d'être son lieu de travail était sa maison et l'atelier de sa passion. Le reste de ses ancrages tenaient sur de futiles habitudes tels que regarder chaque soir le coucher du soleil depuis le toit de la bijouterie - on pouvait y accéder par une petite trappe au grenier - ou de toujours noter scrupuleusement ses actions de la journée et ce qu'elle aura à faire le lendemain avant de se coucher. Je vous passerai le détail de chacune d'elles. Plus que de simples habitudes, c'était des règles de vie stricte qu'elle s'imposait et appliquait avec une discipline si poussée qu'elle pouvait même devenir gênante pour ses proches. Pourquoi fait-elle ça ? Elle ne sait pas. Et ce ne peut être un mensonge, car la jeune dragonnière ne sait pas mentir.
    Tout ceci vous aura surement suffit pour cerner le personnage : Instable, fragile, dépendante... Crédule, naïve, manipulable. Avec toutes les perturbations qu'elle a endurée ces dernières semaines, la jeune femme est au bord du précipice. Ce trouble pourrait-il révéler quelques noirs aspects de sa personnalité ?

    Histoire :
    Adrian et Hélène se connaissaient depuis toujours. Vivant dans la même rue, ils avaient joué, ris, comploter ensemble... Et, ils avaient grandi. Lorsque le couple avait annoncé son mariage, il avait fait sourire et beaucoup n'avaient pu retenir quelques remarques telles que "Je vous l'avais bien dit !" ou "Depuis tout ptit qu'on le voyait !". La cérémonie avait été simple mais particulièrement joyeuse. Adrian, qui était l'aîné, hérita de la bijouterie familiale, une petite boutique de bonne réputation qui, sans faire de bénéfice faramineux, permettait à toute la famille de vivre très convenablement. Hélène s'occupait de la vente des bijoux que son époux et Alaric, le frère de ce dernier, fabriquaient. Peu de temps après le mariage, elle tomba enceinte et donna naissance à une ravissante petite fille que l'on nomma Rosalie.

    On n'aurait pu imaginer enfance plus heureuse que celle de cette petite, chérie et cajolée de toute part, presque élevée au rang de huitième merveille du monde. Ses parents veillèrent à ce qu'elle ne manque jamais de rien et consacrèrent tout leur temps libre à lui expliquer le monde qui l'entourait. Les années passèrent, Rosalie passait de plus en plus de temps près de son père à l'observer pendant qu'il travaillait. Toujours plus curieuse, elle lui demandait le nom des différentes pierres, leurs qualités, pourquoi ceci, pourquoi cela... Parfois il la laissait essayer, et si elle tremblait au début, elle prit rapidement confiance en elle. Elle semblait prédestinée à reprendre la bijouterie de ses parents, mais le Destin en décida autrement.

    Ce ne fut pas la peste qui détruisit le bonheur et l'équilibre de la famille, dès les premiers cas dans leur quartier, Adrian, Alaric, Hélène et Rosalie abandonnèrent la bijouterie pour se réfugier à la campagne chez des cousins. Fort heureusement, avec l'arrivée du printemps et de l'été on eut besoin de main d'oeuvre pour les champs, la présence des quatre diantrois ne fut donc pas trop un poids pour ceux qui les accueillaient avec gentillesse. Rosalie, alors âgée d'un peu plus de douze ans, découvrait la campagne pour la première fois. Les premières semaines furent difficiles, l'agitation de la ville lui manquait, mais elle s'y fit relativement vite. Elle fit toute sorte de découvertes et, chaque jour, apprenait un peu plus de ces territoires qu'elle ne connaissait que très peu, ses parents eux-même n'ayant pas souvent quitté la capitale. Ils restèrent un peu plus d'un an avant de reprendre la route de la capitale.

    Ayant emporté le maximum de choses, les Keth n'eurent pas trop à souffrir des pillages, il y eut quelques passes difficiles mais l'activité reprit. Tout recommença comme avant, du moins... pendant quelques temps. On parlait beaucoup, des rumeurs inquiètes et angoissés couraient mais personne, personne n'imaginait à Diantra combien l'Automne 998 serait meurtrier. On parlait d'une révolte des nobles contre le pouvoir royal, d'une alliance, d'un possible coup d'Etat... Il y eut le siège de Diantra, cette fois aucune fuite possible. Les portes furent ouvertes et la terreur commença... Un flot d'hommes en armure envahit et saccagea la capitale, plusieurs foyers d'incendies débutèrent un peu partout dans la Belle Diantra. Le feu se rapprochaient, Rosalie et ses parents rassemblaient en hâte quelques affaires, ils avaient encore du temps... Encore un peu de temps... Non. La maison toute de bois construite s'enflamma telle une torche. En moins de quelques minutes, la maison se remplit d'une fumée noire intense. Adrian attrapa sa fille et l'obligea à sauter par la fenêtre. Le linteau de la fenêtre enflammé tomba et sa robe prit feu. Un des diantrois occupé à éteindre l'incendie eut le réflexe immédiat de lui vider le sceau d'eau qu'il portait dessus. On peut dire sans mentir qu'il lui sauva la vie. Rosalie sombra dans l'inconscience.

    Lorsqu'elle se réveilla, on avait pensé tant bien que mal ses brûlures et bander son poignet. Lors de sa chute, elle se l'était cassé. La suite de la Guerre Civile ne fut pour elle que des récits au travers de quelques conversations à voix basse. Elle avait été apportée, recueillie et soignée dans l'orphelinat de la ville qui par magie ne semblait pas avoir été trop affectée par la Guerre Civile. Elle y resta confinée jusqu'à la libération de la ville, dormant la majorité du temps, s'occupant un peu des autres enfants et pleurant le reste du temps. Un homme se présenta à l'orphelinat, demandant si une enfant nommée Rosalie n'avait pas été retrouvée. Lorsqu'on vint la cherchée, elle crut à ses parents... En vain. La maison s'était écroulée avant qu'ils n'aient eu le temps de s'en sortir. Cet homme n'était autre qu'Alaric, son oncle... Mais elle ne reconnut que sa voix. Son visage était brûlé sur une bonne moitié du visage, son crâne dépourvu de cheveux était lui aussi marqué par le feu. Il toussait beaucoup.

    Puis il fallut tout reconstruire... Des quartiers entiers avaient été rasés, sans compter la profonde blessure que cette guerre avait provoqué chez les Diantrois. Tout le monde pleurait. Un époux, un amant, un fils, un ami, un proche... Rosalie participa à sa mesure à la reconstruction mais l'incident l'avait profondément marqué, elle cherchait désespérément et partout des repères, des gens, des choses auquelles se référer. N'avait été sauvé de son ancienne maison que ce qu'elle avait avec elle lorsque son père l'avait sauvé : La petite boite à musique et à l'intérieur la bague de fiançailles de sa mère.

    Il fallut attendre le printemps 999 pour que la situation revienne enfin pleinement à la normale. Rosalie avait servi comme servante à une famille aisée revenue, Alaric avait effectué de multiples travaux. L'argent qu'ils avaient gagnés servi de mise de fond pour acheter le minimum afin de pouvoir relancer la boutique. Le Tournoi organisé par le Roi Trystan apporta de nombreux clients et la petite bijouterie repartie comme avant.

    Alaric faisait appel à des caravanes de marchand pour lui apporter les matériaux dont il avait besoin pour ses bijoux. C'était rare, mais il arrivait pourtant parfois que certains client apporte leurs propres pierres. C'est ainsi que Rosalie arriva en possession de l'Oeuf. Un homme, un étranger, se présenta un jour à la bijouterie avec une grosse pierre ovale. Il déclara l'avoir "trouvé" et demanda à Alaric quel était cette pierre... mais surtout combien elle pouvait se vendre. Rosalie n'avait jamais vu de pierre précieuse de cette taille, de cette forme, de cette régularité. Elle était noire mais à la lumière semblaient apparaître des veines bleu. Elle était tout simplement magnifique. Alaric observa longuement la pierre, la soupesa, en admira la couleur... Son verdict tomba, de l'Hematite. L'étranger semblait courroucé d'apprendre le peu de valeur de l'objet qu'il possédait et proposa un prix que le bijoutier accepta. Il ne savait pas à quoi pourrait bien lui servir la pierre, mais elle était magnifique et nul doute qu'elle était l'oeuvre d'un maître car il n'y avait nulle part de traces d'outils. La pierre rejoignit une étagère.

    Le soir venu, Rosalie tournait en rond dans son lit. Qu'est-ce que cette pierre ? Son oncle assurait qu'il s'agissait d'Hématite mais elle n'avait jamais vu si belle gemme, et les veinages bleus étaient trop réguliers et discrets pour qu'elle fasse parti d'un minerai si commun. Par acquit de conscience, elle voulut l'observer encore. Elle monta sur un tabouret et prit très délicatement la pierre entre ses mains. Elle entendit craquer et s'empressa de descendre du tabouret de peur que celui-ci ne s'écroule sous son poids. Elle ne voulait surtout pas que son oncle se réveille car, depuis qu'elle avait enflammer quelques draperies, il lui interdisait formellement tout contact avec le feu hors elle venait d'allumer une bougie. Il fallait absolument qu'elle observe cette pierre. Lorsqu'elle se pencha sur l'objet, elle remarqua une fêure... Etait-ce elle ? Un autre craquement sourd et une autre craquelure. Mais... Cette chose n'était pas une pierre, c'était un oeuf ! Rosalie était émerveillée et terrifiée à la fois. Qu'allait-il donc bien pouvoir sortir de cet oeuf ? Quelle créature... Quelle... Plusieurs minutes passèrent... Une sorte de petit lézards sorti de l'oeuf. Il mesurait six ou sept centimètres à peine, il darda son regard bleu sur la jeune fille tétanisée qui le regardait. Et, il la mordit. Rosalie poussa un petit gémissement de douleur et les larmes lui montèrent presque aux yeux, au nom des cinq cette créature avait les dents pointues ! Pourtant... La douleur fut très vite remplacée par d'autres sensations. De la curiosité envers tout ce qui l'entourait, la faim... Mais aussi un besoin irrépressible de cacher les débris de l'oeuf et le petit lézard. Comment allait-elle justifier ça à Alaric ? Non. Le plus simple était de ne rien dire, au final. En voyant la "pierre" disparu, il croirait que l'étranger était revenu la voler et ce serait fini.

    Une journée passa mais, même après que Rosalie eut piller le garde manger, la faim persistait. Elle n'avait pas trouvé l'opportunité de dire à Alaric sa découverte, mais d'ailleurs qu'aurait-elle pu lui dire ? Qu'elle venait de recueillir un lézard noir ? Un lézard qui ne cherchait d'ailleurs ni le soleil ni la lumière. Rosalie ne prit conscience du lien que tard dans la soirée, lorsqu'elle vit le petit animal se débattre pour sortir le cadavre d'une toute petite musaraigne de la tapette qui l'avait tuée. Elle désarma l'objet et observa presque avec dégout le lézard grignoter puis avaler goulument la pauvre bête. La faim disparut. Quel genre d'animal cela pouvait-il bien être ? Alaric aurait surement sur... Mais elle persistait à ne pas vouloir partager son secret. Une semaine, puis deux, puis trois passèrent, l'animal grandissait très vite et tous les rongeurs ne tardèrent pas à disparaitre du quartier. Elle avait trouvé en lui un confident, elle lui racontait en pensées beaucoup de choses et avait l'impression que, même s'il ne la comprenait pas forcément toujours, il l'entendait. Parfois, elle recevait des émotions et elle avait même entendu des mots résonner dans sa tête. Il devenait de plus en plus difficile à cacher et à nourrir, surtout qu'il vivait en grande majorité la nuit. Il commençait à pousser de petits cris et chaque nuit elle craignait qu'il ne réveille son oncle. Que devait-elle faire ? Partir ? Mais à des kilomètres à la ronde il n'y avait rien d'autre que des plaines... Rosalie avait commencé à prendre un peu dans la caisse du magasin pour acheter de la viande chez un boucher à l'autre bout de la viande car il devenait de plus en plus vorace et c'était presque insupportable quand la faim la tiraillait car celle du lézard - avec des ailes et qui commençait d'ailleurs à esquisser le vol - était bien pire que la sienne. La situation ne pouvait pas durer... Chaque nuit, elle faisait sortir du grenier le reptile par la petite trape qui lui servait à monter sur le toit pour qu'il se dégourdisse les ailes et les pattes et lui donner sa nourriture. Une nuit, elle sentit un étrangecourant d'air froid dans sa nuque, un peu comme quand il s'amusait à voleter autour d'elle. Elle se retourna vivement quand une voix l'interpella.

    - Gamine ? Comment tu t'appelles ?

    - R... Rosalie.


    Sa voix était hésitante, elle ne savait pas trop à quoi s'en tenir. Elle avait prit l'animal dans ses bras et le serrait fort contre elle. On l'avait vu... Allait-il la dénoncer ? Que voulait-il ? Que se passait-il ? Aurait-il des réponses à ses questions ? Soudain, elle se sentit étrangement sereine, une émotion complètement en contradiction avec ce qu'elle ressentait quelques secondes auparavant...

    - N'aie pas peur, je ne te veux pas de mal. Dis moi, c'est un joli animal que tu as là... Tu me le montres ?

    Pour toute réponse, la jeune fille raffermit sa prise sur l'animal... Un court instant. Le courant d'air d'il y a quelques minutes revint et entraîna l'animal avec elle. Elle sursauta violemment alors que toute la douceur qu'elle avait ressentie s'évaporait d'un coup. Elle entendit l'homme se rapprocher et entendit son murmure.

    - C'est impossible... C'est..

    L'homme en question s'appelait Evan, et le courant d'air qu'elle avait ressenti n'était autre que son dragon Niel. Depuis plusieurs mois, Evan servait comme Architecte au service du Roi. Il avait accepté ce travail sans trop savoir ce qu'il en attendait, sinon peut-être un statut, de quoi manger et une possible évolution des choses après sa rencontre avec la belle Roxanne. Et il avait découvert quelque chose qui dépassait de loin toutes ses espérances. Un autre dragon avait éclos... Mieux, un autre dragon NOIR avait éclos. Lui qui avait toujours cru que Niel était le dernier... Mais la petite ne semblait rien savoir aux dragons - à vrai dire même pas qu'il s'agissait d'un dragon. Il devait faire son apprentissage et qui sait, peut-être se rallierait-elle à lui ? A deux, le combat serait déjà plus équitable que lui, seul, contre tous les autres. Il s'efforca pendant plusieurs heures à la convaincre de partir avec lui, de faire de lui son maître... Et reussit. La jeune crédule se laissa manipuler sans montrer la moindre résistance sinon par rapport à son oncle. Après tout, cet homme qui venait lui parler avait pu répondre à ses questions et lui offrait une solution alors qu'elle était acculée. Seulement... Comment convaincre Alaric, comment expliquer ce départ ? Oh, il n'y avait pas de doute à se faire là-dessus, Evan réussirait à le convaincre de laisser partir sa nièce... Peut-être un peu aidé de Niel si besoin. Il se contenta d'un :

    - Je m'en occupe..

    Et ils quittèrent la capitale. Mais, si elle s'était imaginée rester des années et des années avec lui afin d'apprendre, elle s'était trompée... Encore une fois, le Destin avait tranché. Il ne serait son mentor que pour quelques mois...
    ~~~~~

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MessageSujet: Re: Rosalie Keth [ Apprentie joaillère & Dragonnière ]   Rosalie Keth [ Apprentie joaillère & Dragonnière ] I_icon_minitimeLun 10 Jan 2011 - 10:31

Tamponay o/

Manque plus que la fichounette du gentil baybay dragon *_*
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