Iseult Astranir
En attente de validation.. Nombre de messages : 4 Âge : 32 Date d'inscription : 29/05/2011 | Sujet: Iseult Astranir {Calli} Lun 30 Mai 2011 - 0:44 | |
| ASTRANIRIseult
« La Dame aux mains d’Argent »QUI EST-ELLE ?
Age : Iseult approche doucement de la trentaine. Du haut de ses vingt-huit ans, elle pourrait être considérée comme une « vieille fille » si elle ne paraissait pas si jeune… Quand on la questionne à ce sujet, elle répond que cela vient du fait qu’elle consomme parfois ses propres décoctions lorsque les temps sont durs. Vérité ou mensonge, elle seule le sait. Sexe : Jusqu’à preuve du contraire, la Dame fait partie des femmes. Bien qu’à ce jour, aucun homme n’ait encore partagé son lit. Race : Entièrement humaine. Métier : Depuis le décès de son père, elle tient l’herboristerie familiale. Elle n’est donc, officiellement, qu’une simple commerçante. Il n’y a qu’un cercle restreint de personnes, en qui elle a toute confiance, qui savent ce dont elle est capable ; elle n’offrira ses services qu’à quelques rares élus dont elle sera certaine de la sincérité. Sauf s’ils échouent à sa porte à deux doigts de se faire emporter par la Mort ou qu’ils viennent sur recommandation d’un de ses « amis ». Iseult n’accepte que rarement de l’argent contre les soins qu’elle prodigue. Alignement : D’apparence, neutre strict, mais plutôt neutre bon voire même chaotique bon. Classe d'arme : Aucune. |
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Petits plus ❧ Particularités.
Iseult est encore vierge, aussi saugrenu que cela puisse paraître. Elle a échappé à un mariage arrangé à ses seize ans, et son père a depuis abandonné l’idée de l’obliger à s’unir à quelqu’un. Seulement le temps a passé, et aujourd’hui bien peu d’hommes seraient prêts à épouser une « vieille fille »… seul l’amour les y poussera. Le dos de la main droite de la jeune femme porte une fine et longue cicatrice, presque invisible, et c’est l'unique marque qui enlaidit son corps.
❧ Équipement. Iseult possède tout un tas d’ustensiles d’herboriste, légués par son père, qui lui servent à créer moult décoctions et baumes qu’elle revend par la suite dans sa boutique. Citer chaque objet un à un serait une perte de temps, et leur nom – pour la plupart – n’éveillerait certainement rien si vous les entendiez ; outre cela, la jeune femme garde en permanence sur elle une dague qui n’a jamais servi. Elle la glisse dans sa botte gauche dès qu’elle se lève et la pose sur sa table de nuit au moment de se coucher. Une liste assez courte, en somme, puisqu’elle n’est pas matérialiste. Elle achète, revend et recycle dès que nécessaire. Le seul bijou qu’elle possède est un collier qu’elle tient de sa mère, laquelle l’a reçu en cadeau de mariage par son époux. Elle le porte en permanence et ne le quitte pour ainsi dire jamais.
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HISTOIREContenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - Contenu - ContenuCARACTÈRE« Observatrice, discrète, cultivée, méfiante, pure, déterminée… » Autant d’adjectifs qui correspondraient à la Dame aux mains d’Argent.
Iseult a une certaine réputation à Erac. Une double réputation, en vérité. D’une part, l’officielle, celle de la commerçante. L’honorable herboriste dont les produits, assez peu chers en somme, sont de très bonne qualité et toujours de première fraîcheur. Les clients la connaissent comme étant une femme aimable bien que peu bavarde, toujours de bon conseil et aussi une féroce marchande. Dans sa jeunesse, toutefois, la jeune femme a dû affronter les rumeurs blessantes dues à son refus de se marier – la cause étant la plus souvent sa virginité perdue dans un champ, mensonge éhonté propagé par les langues de vipères. Puis, avec le temps, les gens ont cessé de s’intéresser à son cas pour le moins unique. Ils ont accepté l’idée qu’elle reprenne la boutique de sa famille et ont cessé d’attendre qu’elle trouve un mari ou qu’elle mette un enfant sans père au monde. Ces mêmes personnes qui taxaient son comportement d’irréfléchi disent aujourd’hui qu’elle est une femme courageuse et déterminé, avec beaucoup de volonté. Quoi qu’il en soit, Iseult ne prête plus attention à ces commérages futiles. Elle a d’autres choses nettement plus importantes qui occupent son esprit. Notamment celle-ci « comment continuer plus longtemps à guérir certaines personnes en secret sans finir par être découverte ? » Très jeune, la Guérisseuse s’est découvert d’étonnants pouvoirs qui ont grandi en même temps qu’elle. Elle a gagné en maîtrise et en puissance, mais aussi en humilité. Elle qui était excitée à l’idée de pouvoir soigner des blessures par une simple apposition des mains devint vite discrète sur ses dons – un cadeau du ciel, selon sa mère. Iseult a donc cherché à dissimuler ses pouvoirs tout en leur trouvant une utilité. C’est dans cette optique qu’elle a commencé à recevoir des blessés chez elle, à les soigner sans rien exiger en retour, puis à leur transmettre un message : elle userait de ses dons uniquement pour sauver les bonnes âmes. Sa morale et ses principes lui ont valu le surnom de la Dame aux mains d’Argent. Bien que beaucoup connaissent ce nom, peu savent qui se cache derrière. Elle n’a donné son adresse qu’à des personnes qu’elle juge dignes de confiance – et elle sait que lesdites personnes préféreront souffrir plutôt que de dévoiler son secret.
Iseult n’agit que rarement de façon impulsive, elle essaie de peser le pour et le contre à chaque parole, chaque geste, de façon à ne pas faire d’erreur. Bien qu’elle soit de bonne compagnie, la jeune femme n’est pas réputée pour son humour mais plutôt pour sa franchise un peu trop… abrupte. Néanmoins ses amis savent qu’ils peuvent compter sur elle et qu’elle sera toujours présente pour eux, dans n’importe quelles circonstances. Etant fille unique, la Dame a bénéficié de toute l’attention de ses parents et ces derniers, s’ils n’étaient pas riches, pouvaient malgré tout lui offrir une certaine éducation : ainsi la belle sait lire, écrire, faire des comptes pour sa boutique mais elle possède aussi un certain talent pour le dessin qu’elle n’a jamais exploité autrement que pour faire des croquis de plantes ou d’ingrédients pour ses décoctions. Contrairement à beaucoup de femmes, elle n’a pas réellement l’oreille musicale même si elle se plaît à écouter les ménestrels ; elle n’aime d’ailleurs pas la poésie et serait bien embarrassée si elle devait broder un quelconque motif. Mais Iseult vit seule, elle a donc rapidement apprit à repriser ses propres habits, à cuisiner des plats assez bons ainsi qu’à s’occuper seule des quelques réparations qu’elle pourrait avoir à faire. Ce n’est jamais facile, néanmoins elle a toujours envie de prouver au monde qu’elle peut « tout faire toute seule » : une mauvaise habitude dont elle ne parvient pas à se débarrasser. En ce qui concerne l’amour, elle ne l’a jamais ressenti. Certes, elle a eu de nombreux attachements sentimentaux mais ce n’était que des vagues d’affection à sens unique qu’elle ne menait jamais à terme. Iseult est effrayée par le mariage, l’idée de passer sa vie avec une personne à peine quelques mois après l’avoir rencontrée. S’il n’en tenait qu’à elle, elle ne lierait certainement jamais sa vie à un homme – bien qu’elle les trouve charmants et sympathiques – toutefois elle garde certains besoins… En particulier celui d’enfanter. Elle n’est pas pressée mais elle ne désire pas non plus mourir sans descendance. Un choix cornélien, une torture de tous les jours. PHYSIQUE« Plutôt grande et élancée, des formes légèrement dessinées, un visage frappant au regard sombre et mystérieux. C’est une belle femme, mais c’est sans doute l’aura de secrets qui l’entoure qui la rend encore plus attirante. » Commentaire retenu au hasard.
Question taille, Iseult n’atteint pas des sommets mais elle est toutefois bien assez grande pour paraître impressionnante lorsqu’elle le juge nécessaire. Heureusement pour elle, cette même hauteur ne fait pas d’elle une géante – un mètre soixante-treize, tout de même. Contrairement aux femmes de sa famille, elle ne dispose pas d’une plantureuse poitrine et d’un tour de taille impressionnant. Elle a hérité sa ligne élancée du côté paternel, et ses formes discrètes, quoi que suffisamment présentes pour être vues, n’appartiennent qu’à elle. Lorsqu’elle était enfant, la Dame aimait s’habiller comme un petit garçon et crapahuter dans les rues d’Erac pour revenir couverte de glaise et de suie, un grand sourire sur le visage. Avec le temps, elle s’est assagie et a consenti à se vêtir comme une jeune femme. Pourtant, dans la grande armoire à double fond demeurent quelques habits masculins qui lui vont comme un gant et qui cachent à merveilles sa féminité. Dans le cas où elle aurait besoin de dissimuler son identité, les tenues qu’elle garde en secret lui seront utiles. Seule la longue et indomptable chevelure de jais qui cascade sur ses épaules l’empêcherait de parfaire son déguisement ; dans ce cas-là, elle l’arrangerait en chignon sous un large béret – ou tout autre chapeau y ressemblant. Le visage d’Iseult est, quant à lui, plus difficile à masquer. Les traits sont fins mais bien marqués, la bouche pulpeuse et désirable, le menton volontaire, les pommettes hautes… Un visage de femme, à n’en point douter. Mais ce qui retient le plus l’attention, c’est son regard. D’un vert émeraude profond, presque noir à l’ombre, ourlé de longs cils sombres et surmonté d’une paire de sourcils très expressifs. L’on dit que les yeux sont les fenêtres de l’âme, et c’est sûrement le cas pour la jeune femme. D’intenses émotions passent par ses iris mystérieux, et lorsqu’ils vous observent attentivement, ils vous donnent l’impression de lire en vous. Iseult ne se maquille pour ainsi dire jamais, sa beauté est naturelle et elle s’en satisfait pleinement. Contrairement à certaines femmes qui s’escriment à masquer les imperfections de leur visage, elle le laisse apparentes : ainsi un œil averti pourra sans doute remarquer la petite cicatrice qui orne le côté gauche de sa mâchoire, souvenir d’une escapade en ville, ou encore le minuscule grain de beauté qu’elle possède en-dessous de la commissure de sa lèvre gauche aussi. Sur son corps, d’autres vestiges de ses folles aventures demeurent cachés sous les vêtements : une brûlure d’un centimètre au mollet droit et une autre cicatrice à l’épaule droite. Outre cela, Iseult possède une marque de naissance en forme d’aile de papillon dans le bas du dos de couleur beige.
La Dame approche doucement de la trentaine. Quelques rares cheveux blancs s’infiltrent dans sa chevelure noire, mais elle ne cherche pas à les dissimuler. Son front se plisse souvent lorsqu’elle est contrariée ou perdue dans un problème qu’elle cherche à résoudre ; cela lui est arrivé tellement de fois au cours de sa vie que de très fines lignes barrent désormais son front. Lorsqu’Iseult sourit, de petites pattes d’oie apparaissent au coin de ses yeux. Néanmoins, on la questionne régulièrement sur le secret de sa « jeunesse » – ce qui sous-entendrait qu’elle paraît plus jeune qu’elle ne l’est – et elle répond que cette cure de jouvence vient certainement des fois où elle se retrouve à consommer ses propres décoctions et herbes. © Never-Utopia |
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Callista
Ancien
Nombre de messages : 1675 Âge : 31 Date d'inscription : 26/08/2008
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Spécial
| Sujet: Re: Iseult Astranir {Calli} Sam 16 Juil 2011 - 18:02 | |
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