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 Ethan Menerian - Mercenaire

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Ethan Menerian
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MessageSujet: Ethan Menerian - Mercenaire   Ethan Menerian - Mercenaire I_icon_minitimeLun 14 Jan 2013 - 21:45

Nom/Prénom : Je me nomme Ethan Menerian
Âge : 36 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain

Particularité : Une particularité ? Et bien j'ai quelques cicatrices bien visible sur le visage comme beaucoup de soldat aussi je ne suis pas certain que cela soit une vrai particularité.

Alignement : Neutre Strict.

Métier : Je suis un mercenaire. Mais pas le genre de mercenaire habituel. Je suis une sorte d'homme à tout faire particulier, le type d'homme dont les puissants aiment à faire appel pour effectuer certaines taches pas toujours reluisantes. Mon champ d'action va donc des taches classiques des mercenaires en temps de vaches maigres, à diverses actions criminelles comme les assassinats ou les kidnappings.

Classe d'arme : Corps à corps (épée) / Défensif (Bouclier) / Distance (Arc)

Équipement :Je n'ai d'équipement particulier que pour certaines des missions qui me sont confiées. D'ordinaire je ne porte rien de plus que mon épée et mon armure.
Ainsi la seule arme que je porte constamment est mon épée. Une épée tout ce qu'il y a de plus classique. Oh une bonne épée c'est sûr mais juste une épée. De temps à autre il m'arrive de porter aussi arc, dague et bouclier mais c'est seulement quand j'en ai vraiment besoin.
Quant à mon armure, il s'agit de ma vieille armure de cuir, de même que mon épée elle n'a rien de bien particulier, mais c'est une bonne armure que je porte depuis des années et j'y suis bien habitué. Elle est autant souple que résistante. Une bonne armure.

Description physique : Je suis tel que vous me voyez présentement. Pas des plus grands, 1m70-75 je dirais, ni des plus gros, environ 70kg, je pense. Ces détails ne m’intéresse à vrai dire pas vraiment. Je ne suis certes pas le plus beau des hommes, et à vrai dire je ne cherche pas l'être et ne fait donc aucun effort en ce sens. Ma barbe n'est que rarement complètement rasé et je me coupe moi même mes cheveux bruns quand je les juges trop long. Comme vous voyez le résultat n'est pas très probant mais c'est pas trop mal considérant que je me les coupes à la dague. Et en ce qui concerne mes vêtements ce n'est non plus le grand luxe, ma vieille armure de cuir, ma vieille chemise sombre et mon pantalon de même ainsi que mon long manteau de marche me suffisent amplement. Ces derniers sont sombres, d'une couleur oscillant entre le noir et le gris, et s'ils leur arrivent de temps à autre de tourner au brun c'est plus à cause de la poussière de la route que par réel choix vestimentaire. Et encore vous ne voyez pas ce que tout ça cache, mon corps de vieux mercenaire, bien qu'encore bien battit, est couvert de cicatrices de tailles et de formes variées, comme vous pouvez le constater sur mon visage.
A m'écouter je dois bien avouer que je dois faire un peu peur à voir, et puis il faut dire que les sourires sont rare sur mon visage mais c'est ainsi que je suis, et puis mes clients ne me payent que très rarement pour mon apparence physique.

Description mentale : En quoi ma psyché vous intéresse ? Je suis comme tout le monde. Oh bien sûr je suis peut être un peu plus cynique et désabusé que d'autres mais si vous aviez vécu ma vie vous le seriez aussi, et si la tristesse d'autrefois a diminué avec le temps elle est toujours présente dans le fond.. Et même si la plupart du temps je peux donner l'impression d'être renfrogné et empli d'un immense désintérêt pour ce qui m'entoure ce n'est pas toujours le cas et il m'arrive encore de temps à autre de m'attacher et de montrer un brin d'intérêt. Ainsi si vous devenez jamais un jour l'une de ces rares personnes que je peux considérer comme l'un de mes amis vous disposerez d'un allié indéfectible en cas de besoin.
Au grand plaisir de mes employeurs je suis plutôt du genre molosse, donnez moi une tache ou un objectif et je ferais tout pour l'atteindre sauf si la mort m'arrête avant et même encore rien ne dit que celle ci pourrait réellement m'arrêter. Mais s'il y a une caractéristique que je ne partage pas avec le molosse c'est l'intelligence. Si je ne suis pas d'une intelligence supérieure au commun, je fais souvent montre d'une capacité à m'adapter et à analyser les situations qui elle est supérieure. Si cela ne m'a pas toujours aidé éviter les ennuis, ça m'a néanmoins éviter la mort à de nombreuses reprises.

Histoire :

Mon histoire ? Oh je suis un vieux soldat vous savez, peut être pas si vieux que ça mais j'ai l'âge de ces sergents aux visages burinés qui gueulent sur les jeunes recrues à l’entraînement pour qu'elles évitent de se faire tuer avant même leur première mission.

Je suis né il y a maintenant bien longtemps dans un petit village humain comme tant d'autre, perdu dans la campagne de la péninsule. La vie n'était alors pas facile mais je ne pense pas qu'elle le fut jamais vraiment pour moi.
En ce temps là je vivais avec mon père et mon frère, notre mère étant morte peu après ma naissance et même si mon père m'a toujours aimé, j'ai néanmoins très vite senti qu'au fond de lui il m'en voulait, qu'il me tenait responsable de la mort de ma mère. Sa femme était ce qu'il avait de plus précieux dans la vie et nombreux de nos amis dans le village nous racontèrent, à moi et à mon frère, qu'après sa mort il n'était plus le même, qu'il était devenue plus solitaire, plus mélancolique et que nous n'avions pas été là tout les deux cela fait longtemps qu'il se serait donné la mort.
Mon père était un paysan libre, ce n'était pas un riche paysans comme il existe, loin de là, mais il avait son propre lopin de terre, qu'il cultivait, jour après jour, avec quelques autres du village. Nous cultivions principalement du blé et quelques légumes dans un petit potager aménagé derrière la maison. Comme je l'ai dit la vie était dure, un paysan est toujours à la merci du rythme des saisons et des caprices du temps et à cette époque nous ne mangions peut être pas toujours à notre faim et peut être que la viande était rare sur la table, mais cela aurait pu être bien pire.

Au village j'avais quelques amis, des cousins en fait, au nombre de six, issus de branches plus ou moins proche de la mienne mais dans un village comme le notre, cette distance généalogique n'avait pas réellement d'importance. C'était des cousins qu'ils le soient au premier ou au cinquième degré.
Je dois bien avouer qu'à l'époque, avec les cousins, nous étions les petits turbulent du village, toujours à faire les 400 coups, à courir dans les champs plutôt que d'aider à travailler ceux ci. Toujours à se demander ce qu'il y avait au delà. Au delà des limites du village d'abord, puis au delà des champs alentours, plus simplement au delà des limites fixé par nos parents. Notre curiosité nous emmena très jeune à explorer les champs et les bosquets environnant, au grand dam de nos parents. Cette vie d'insouciance dura jusqu'à ce que nos parents considèrent qu'ils seraient mieux pour nous d'aider aux champs qu'à courir en tout sens pour le seul plaisir de brasser de l'air.

Finalement quand nous eûmes tous aux environs de seize ans, la différence d'age n'excédait pas deux ans entre le plus jeune et le plus vieux de la bande, l'appel de l'aventure se fit plus forte que celui de la terre et après avoir difficilement réussi à convaincre nos parents respectifs, et après une fête assez mémorable il faut bien le dire, les fils prodiges quittèrent le village en direction du monde. Nos parents, bien que déçu et triste de nous voir partir, nous donnèrent néanmoins de quoi nous assurer de ne pas finir à la rue trop rapidement et dans les sacs de vieux trésors ressorti des greniers pour l'occasion. C'est à cette époque que j'obtins mon épée, aussi bonne qu'elle l'est encore aujourd'hui. Une bonne arme qui avait jadis appartenu à mon arrière grand père à en écouter mon père, il avait jadis fait je ne sais plus quel guerre avec. Une arme qui finalement ne me quitta jamais en près de vingt ans. Ainsi harnaché nous prîmes la route pour la ville la plus proche. A cette époque nos vies nous semblaient déjà toute tracées, aujourd'hui repos du voyage, demain mercenaire et après demain héros de la nation,

Dans cette optique nous nous mirent en quête d'une compagnie de mercenaire pas trop mal famé pour l'intégrer, nous avions des avis alors bien tranché sur ce qu'un membre bien éduqué de la société, fussent il mercenaire, se devait de faire ou non. Notre quête ne dura pas longtemps et après moins d'une semaine nous intégrions la compagnie des Eaux Sombres, une modeste compagnie qui ne fit jamais grand bruit mais qui avait réussi à se tailler une petite réputation dans la région où nous vivions. Si le nom peut sembler peu engageant, la vie au sein de cette compagnie fut l'une des périodes les plus heureuse de ma vie. Nous avons très vite apprit tout les rudiments de la vie d'un mercenaire de savoir dormir en faisant semblant de monter la garde sans se faire prendre à comment en faire le moins possible tout en faisant croire tout l'inverse en passant par savoir à qui demander pour avoir du rab' de nourriture. Je grossis peut être trop un peu le trait car il est vrai que la vie d'un mercenaire est souvent dur, que se soit par manque ou par surcharge de travail, mais l'atmosphère qui régnait au sein de la compagnie était souvent suffisamment détendu et joyeuse pour que de jeunes recrues comme nous s'y sentent bien et en garde au final de bon souvenir des années après. Et si j'attache encore aujourd'hui beaucoup d'importance à cette époque c'est que c'est au cours de cette période que j'appris beaucoup des compétences que j'utilise encore aujourd'hui au quotidien.

Nous y restâmes pendant environ 10 ans. Nous avions alors 26 ans et nous étions considéré comme des fossiles dans la compagnie, plus à cause de notre ancienneté et des petites habitudes que nous avions pris au fil du temps, ce genre d'habitudes dont on ne déroge pas comme ont les petits vieux, que pour notre age. Nous avions fait nombre de missions et de campagnes en tout genre, vu des amis tomber au combat, eu des périodes de vaches maigres et d'autre d’opulence, et surtout nous avions perdu trois des nôtres. Du groupe originel seul quatre étaient encore en vie et de ces quatre j'étais alors le plus mal en point, lors de notre dernier travail j'avais reçu un méchant coup d'épée dans la jambe et si le médecin de la compagnie m'avait assuré un rétablissement total, il m'avait aussi dit que cela prendrait du temps et que je ne pourrais pas continuer mes activités au sein de la compagnie comme je le faisais avant. Aussi, avec quelques peu de regrets nous prirent la décision de quitter la compagnie, au moins le temps que je me remette.

Il y a peu de temps, j'ai appris à regret que la compagnie n'avait pas survécu à la guerre civile et qu'un grand nombre de ses membres avaient périt lors des diverses batailles.

Avec le pécule amassé après ces dix années de mercenariat nous pûmes acheter une petite maison en ville et monter une petite affaire de mercenaire - hommes à tout faire. Contre monnaie sonnante et trébuchante nous nous occupions de vos problèmes tant que ceux ci restait légaux, encore à l'époque nous avions des idées arrêté sur ce que nous pouvions ou non faire. Besoin de garde du corps ? Nous pouvions nous en charger. De porter un message à l'autre bout du pays en main propre et rapidement ? Nous nous en chargions aussi. La vie était calme en ce temps, même si le travail ne manquait pas. Trop calme peut être mais il faut dire que je ne faisais rien de tout cela. À cause de ma blessure j'étais cantonné à la gestion de nos comptes et presque astreint à résidence. De temps en temps on me laissait sortir de la maison pour aller marcher dans les rues de la ville, faire quelques courses, aller voir quelques amis mais jamais trop loin ou trop longtemps. La blessure guérissait mais il me fallait encore du temps et du repos pour que celle ci le soit complètement.

Quand enfin ma blessure fut remise, je pu rejoindre mes amis dans leurs missions d'hommes à tout faire. Depuis dix mois que j'étais coincé dans la maison, je comptais bien profiter du grand air et surtout récupérer mon niveau d’antan. Dans ce but je m'astreins à un entraînement rigoureux et je multipliais au possible les missions, profitant des contacts et des expériences de mes compagnons pour rattraper au plus vite leur niveau. Ce fut à cette époque que je nouais la plus part des contacts et amitiés que j'ai encore aujourd'hui dans nombre de ville de la péninsule, ainsi si certains de nos contacts de l'époque sont mort ou à la retraite, la plus grande part m'aide encore volontairement.

Les quelques cinq années qui suivirent furent, je pense, la période la plus heureuse de ma vie, tout d'abord je rencontrais enfin le vrai amour, comme décrit par les poètes. Ah ma belle Séléne, ma belle brune aux yeux de jais. Des yeux dans lesquels je prenais plaisir à me noyer. Je l'aimais d'un amour fou à cette époque, j'étais prêt à tout pour elle, je lui déclamais des poèmes, lui offrais des fleurs, enfin ce genre de trucs romantiques qui plaisent aux dames.
N'ayant pas encore assez d'argent pour pouvoir déménager, nous vivions alors avec mes cousins. Ces derniers avaient très vites adopté ma tendre comme membre de la famille. Durant cette période elle ne fut d'ailleurs pas la seule à être accepté comme membre de la famille et certains de mes cousins eurent aussi leur idylle et contrairement à moi et à ma Séléne ils s'unirent officiellement avec leur aimée. En effet à mon grand regret Séléne et moi n'avons jamais était unis officiellement. Nous avons toujours repoussé cette échéance et si j'avais su ce qu'il devait arriver par la suite je pense que je ne l'aurais pas tant repoussé.

Vers la fin de ces cinq années de bonheur, Séléne et moi eurent notre petit Eyrik, un adorable bambin qui faisait fondre mes amis comme moi même quand nous le regardions faire risette. Si je fus le premier à être père, je ne devait pas être le seul à le devenir, certains de mes cousins attendaient aussi un enfant. Notre maison allait bientôt devenir trop petite pour nous tous et si l'un de nous avait déjà quitté la dite maison, ceux restant n'avait pas encore réuni assez d'argent pour mais ça ne devait globalement plus tarder. En ce qui me concernait il ne me manquait qu'une petite somme d'argent pour pouvoir déménager. Une somme d'argent que je devais obtenir au cours d'une dernière missions. Mais malheureusement, comme le dit la sagesse populaire, le bonheur ne dure jamais et ce fut encore le cas pour moi.

Je n'étais pas là quand le malheur vint frapper à notre porte, j'étais en mission pour un notable de la ville, cette fameuse dernière mission avant de pouvoir déménager. Une mission de tout simple, je devais simplement transporter je ne sais plus quelle cargaison à l'autre bout du pays. Ce n'est qu'à mon retour que j'appris la nouvelle, un incendie avait ravagé la partie de la ville où nous vivions tous et avait fait un grand nombre de mort. Dans le lot il y avait ma femme et mon fils ainsi que deux de mes cousins et leurs femmes. Seul mon cousin Tormund et sa femme s'en sortir. C'était eux qui avait déménagé peu de temps avant. Mais s'il s'en sorti, il ne s'en sorti pas indemne pour autant, il fut gravement brûlé et dû être amputé d'une jambe et d'un bras, complètement dévoré par le feu alors qu'il tentait de faire sortir ceux coincé à l'intérieur de la maison. De même que la notre sa maison brûla lors de l'incendie mais heureusement pour lui ni sa femme, qui n'était pas en ville à ce moment là car partie vivre chez sa mère la fin de sa grossesse, ni lui n'était à l’intérieure de celle-ci quand l'incendie se déclara.

Le souvenir fut douloureux et ni Tormund ni moi ne pouvions rester dans cette ville. Tormund décida de partir pour la capitale, ne pouvant plus effectuer le métier que nous avions de tout temps exercé à cause de son bras et de sa jambe en moins, il investi tout son capital dans le commerce, il m'arrive d'ailleurs de temps à autre de protéger une de ses caravanes. Il y a peu il a même racheter une petite taverne de la ville. Le Mammouth qui penche qu'il l'a appelé, je me demande bien où il est allé pécher ce nom. Il en à fait le repère des mercenaires et aventuriers de passages, c'est un bon coin pour les gens comme moi, on y trouve facilement travail et information. J'aime bien m'y poser quand je suis de passage. On discute du bon vieux temps autour d'une bière ou d'une dizaine. De temps en temps de vieux compagnons des Eaux viennent nous tenir compagnie.
Tout comme lui je n'ai pas pu rester en ville, c'était trop dur, affligé d'une infini tristesse je préférais partir. Peu m'importais où tant que ce n'était pas trop près de cette ville honnis. Mais contrairement à lui je ne pu me résoudre à simplement partir m'installer dans une autre ville. Tout recommencer comme avant. Non, je ne pouvais pas.
Je me mis alors à errer sur les routes, ne me fixant jamais bien longtemps nulle part. Lentement je commençais à accepter tout le travail que je trouvais. Même ceux que d'ordinaire j'aurais refusé au premier coup d’œil. Tout était bon pour m'éviter de repenser à ça. Je me jetais à corps perdu dedans pour oublier la douleur. Au fur à mesure du temps passant la douleur s'estompa mais elle ne disparu pas complètement, me rendant lentement tel que je suis aujourd'hui.

Depuis cette époque et jusqu'à maintenant j'ai continuer ce travail d'homme à tout faire si particulier, profitant de mon expérience et de mes contacts, acceptant tout travail ou presque, les choisissant presque par hasard suivant mon humeur du moment.

HRPComment trouves-tu le forum ? : Très bien.
Comment as-tu connu le forum ? : Tour de Jeu.
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MessageSujet: Re: Ethan Menerian - Mercenaire   Ethan Menerian - Mercenaire I_icon_minitimeMer 16 Jan 2013 - 12:38

Salut Ethan,

Tout d'abord, bienvenue sur le forum ; c'est moi qui vais m'occuper de ta fiche. Elle est, somme toute, plus que correcte, aussi n'ai-je guère à redire. Je te valide donc.

Like a Star @ heaven Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Like a Star @ heaven Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {facultatif}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Code:
[Métier & Classe] : Mercenaire

[Race & Sexe] : Humain & Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps, défensif, à distance

[Alignement] : Neutre strict
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MessageSujet: Re: Ethan Menerian - Mercenaire   Ethan Menerian - Mercenaire I_icon_minitimeMer 16 Jan 2013 - 16:51

Plop Anseric,

Merci bien pour tout et à bientôt en jeu peut être. =]
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MessageSujet: Re: Ethan Menerian - Mercenaire   Ethan Menerian - Mercenaire I_icon_minitime

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