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 Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost

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Shar Aratyl
Drow
Shar Aratyl


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Âge : 780 années
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MessageSujet: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeMer 11 Sep 2013 - 20:46


Nom/Prénom : Shar Makala de la Maison des Aratyl du Puy
Âge : 780 années
Sexe : Homme
Race : Drow
Particularité : Tatouages de la Maison Aratyl représentant une rose noire sur l'épaule ; tatoutage d'un double cercle pourpre autour de son bras gauche

Alignement : Loyal Mauvais
Métier : Streea Jabuuk du 2eme Ost (Candidat au poste de Obok Senger d'thalass) - Gouverneur d'Abyssea (Candidat au poste de Seigneur Sombre du Puy)
Classe d'arme : Corps à Corps (Spatha)

Équipement :

Comme la majeure partie des guerriers Sombres j'ai appris à combattre avec de nombreuses armes et si je n'excelle pas en toute je peux me considérer comme un bon combattant en certains domaines. Ainsi je suis un véritable maître bretteur en épée et plus particulièrement avec une spatha. Cette lame a près de cent quatre ans mais je m'en occupe si bien qu'elle semble neuve comme au premier jour. Longue de 105 centimètres c'est une arme très bien équilibrée, me permettant de la faire tourner dans ma main. Plus légère qu'une épée longue classique sa garde est cependant plus courte, entraînant des difficultés pour pouvoir la tenir à deux mains - et donc porter des coups plus puissants. Sa lame est entièrement faite en acier et son tranchant si aiguisé qu'elle est en ai légèrement fragilisée à sa pointe, bien que je ne me serve que peu de l'estoc de peur de la rompre. Cependant je ne combat pas seulement avec ma spatha. J'ai également un arc long en bois d'if, l'un des meilleurs bois en archerie, très puissant. Mes plumes sont en générales noires, grâce à de la teinture, et leur pointes est divisé en quatre petites pointes, augmentant leur poids mais également leur puissance et leur force de pénétration. Je combat également à la lance, dirigeant principalement la cavalerie du 2eme Ost, mais celles ci se brisent très souvent. Pour ma défense rapprochée mais également mes apparitions hors d'un cadre martial je garde sur moi une longue miséricorde, attachée à mon avant-bras dans un fourreau.

Description physique :

Je suis loin d'être un Drow original, cela se remarque très vite. Très grand, pour ne pas dire immense, je domine la plupart des races du continent et même la majeure partie de mes compatriotes, de mes 2m10 de haut. J'ai une peau noire, légèrement bleutée, rugueuse et parcourue de plusieurs cicatrices, dont l'une en forme de demi-lune sous mon oeil droit. Mon corps est de manière générale fin mais aux muscles bien dessinés et puissants et mes épaules font des envieux même parmi ceux de ma race. Mon visage quant à lui est très beau - même pour les critères humains - de part ses traits fins et bien dessinés, me dotant d'un visage d'une beauté mystérieuse - bien qu'enlaidit par sa cicatrice. Mes yeux quant à eux sont d'une rare couleur ambrée, s'éloignant du classique rouge de mon peuple. Cependant mes cheveux sont d'un blanc éclatant et portés longs, bien que je les attache souvent pour combattre en catogan.

Comme bien des guerriers je reste très martial et il m'arrive que peu de porter des bijoux. Mis à part une chevalière d'or bleu, marquée des armes des Aratyl, je ne porte guère de frivoles. Il en est de même pour mes vêtements. Mon armure de combattant est plutôt simple, en plates et en mailles peintes en noire et finement ouvragée, comme cela est dû à mon rang. Mon heaume est très simple avec une protection nasales. Mise à part cet équipement martial il m'arrive de m'habiller d'habits civils, bien que toujours très sombre, noirs ou bleus. Une de mes tenues prédominantes est une gonelle que je porte serrée et avec une longue ceinture, avec de belles bottes de cuir faites sur mesure. J'aime porter un uniforme moulant noir et violet ainsi qu'une cape dont le tissu, en soie, est si fin qu'on le croirait auréolé de feu à chacun de ses mouvements. Un chapeau de feutre noir, un bicorne dotée d'une plume blanche vient compléter mes habits. Un léger sourire lugubre flotte presque à chaque instant de ma vie sur mes lèvres. Ma voix est changeante, tantôt sonore et habituée à se faire obéir et à commander tantôt susurrante, discrète et confiante.


Description mentale :

Il est difficile de réfléchir à sa vie, à ce qu'on l'était et ce que l'on est et ce que l'on pourrait devenir. Mais au fil des années j'ai appris à vivre ma vie comme je le souhaitais et désormais je me connais tout comme je connais l'esprit de l'homme. L'esprit, le mental de tout être vivant est comme un parfum, unique et indivisible mais en chacun nous pouvons reconnaître trois couches, chacune apportant quelque chose à notre comportement et à nos choix. Dans le domaine des parfums nous appelons les notes de tête, de coeur et de fond. La première est représentative de ce que l'on voit de nous au premier abord, de notre essence la moins pure et la moins réelle certains politiciens la créant de toutes pièces par ailleurs, tout comme moi. La seconde est une part de nous mobile mais qui souvent reste, dans le fond, la même. Et enfin la dernière est notre véritable esprit, à jamais le même cette note définit notre véritable nature, qui nous sommes et ce que nous serons...

Voilà bien des mots pour ne pas se dévoiler. J'ai bien du mal à le faire... Mais tel est mon devoir. Commençons donc par ma note de tête. Ai je vraiment cette note ? En tant que général et façonné par l'esprit des Sombres, et ayant connu bien des gens, je me sens si différent en surface. Je joue sur cette couche de mon esprit pour parfaire mon rôle de politicien et de militaire. Tantôt souriant et ouvert à tout propos tantôt officier sérieux, à la mâchoire carrée et voulant détruire jusqu'au dernier de ces ennemis je ne saurais définir cet état d'esprit. Mais lorsque je rencontre quelqu'un en dehors de mes "obligations" et que cette même personne me plaît, ce qui revient à dire que je ne m'adapte pas à son caractère, je suis honnête avec elle et mes traits d'humours fusent à tout va, mes sourires éclatants vont de prime et j'use de tout mon charisme pour l'approcher. Voilà ma véritable nature lorsqu'on m'aborde, un homme qui s'adapte à chaque personne qu'il rencontre, rarement pleinement honnêtes avec eux. Tant d'années de solitude m'ont façonnés de cette façon que je ne me rends presque plus compte de jouer des rôles...

Désormais nous allons attaquer ma note de coeur. Seuls mes véritables amis la connaissent, ceux qui ont compris qu'il fallait se méfier du premier contact. Si je n'étais pas un espion cette note de coeur pourrait être aussi bien une note de tête tant elle est vivante et pourtant peu commune, du moins telle est la façon dont je la ressens. Bien les gens qui me connaissent savent qui je suis réellement. J'aime me voir comme un homme torturé et ténébreux, encore poursuivi par un passé cauchemardesque mais tout cela est faux. Certes ma vie passée au sein du corps des difficiles classes militaires du Veldruk Ata'Ra, mais également en tant qu'étudiant, est une série de souvenirs difficiles à me remémorer et qui m'ont profondément changés mais au fond ce passé m'a permis d'avancer et devenir celui que je suis réellement aujourd'hui. Souriant j'ai confiance en mes amis et je prends la vie d'un oeil, ne sachant jamais comment celle-ci va se terminer. Bon vivant je suis un camarade de beuverie des plus intéressants mais doté d'un strict code de l'honneur (par ailleurs certains de mes amis plaisent à me comparer aux Elfes - ce qui leur vaut d'être frappé sans remords) mais également d'un respect des règles et des lois quasi-absolu. En proie à de profond dilemmes je suis cependant concentré et souvent plongé dans de profondes réflexions bien qu'ayant toujours l'oreille tendue pour entendre ce qui se dit autour de moi...

Attaquons désormais l'essence même de mon existence. Ce que je suis réellement. Seule une poignée de personne me connaît aussi bien. Outre ma famille proche, mes amis les plus proches ainsi que mon ancien Etat Major je m'ouvre aux femmes avec lesquelles je me sens les plus proches. On découvre alors un homme passionné par la guerre, haïssant profondément la majeure partie des êtres vivants, n'ayant de place que pour s'élever. Mais aussi un homme façonné à la façon impériale, doté d'un puissant sens du pouvoir ce qui crée un véritable paradoxe entre son présent et sa volonté de servir un gouvernement, un peuple ou quelqu'un créant un aura de mélancolie tout autour de lui, se ressentant dans ses gestes et son regard. Voilà ce que l'on découvre de moi. Je suis également impitoyable, de part ma formation de soldat mais également mon poste de général.

Si on devait faire un bilan de mon mental ce serait celui ci : Un être qui même reste très simple et martial, est galant au possible, souriant toujours d'une façon des plus plaisantes. En général il trouvera toujours les mots juste pour vous ravir, vous émerveillez devant une telle politesse mais il est un expert pour les menaces voilées et discrètes par lesquelles vous ne pourrez pas crier au scandale mais seulement craindre. Impitoyable sur le champ de bataille et dogmatique il saura aussi bien se faire craindre qu'apprécier...

Histoire :

Naissance - Enfance

Puy d'Elda, 231ème année du 10eme Cycle. Les hurlements de ma mère déchiraient l'air tandis qu'autour d'elles les esclaves s'acharnaient à rendre l'accouchement plus confortable tandis qu'une jeune femme lui faisait boire une concoction destinée à la faire moins souffrir. Voilà près de vingt heures que la riche Sombre était couchée dans son lit, son ventre travaillant à me faire sortir tandis que chacun des contractions lui arrachaient un cri de douleur intense. Mon père avait été rappelé de son poste, il était un riche marchand du Puy - tout comme ma mère - et il était fier de voir son premier fils arriver. Mais cela prit bien plus de temps qu'il n'était prévu. Au bout de vingt neuf heures d'intense travail je naquis enfin. J'étais un vigoureux Drow, fils digne de son père et héritier de la maison des Aratyl - composé non pas moins de cinq familles. Dès mes premiers jours on s'occupa de moi, me lavant quotidiennement et j'étais gardé presque toujours par deux mercenaires eux même surveillés par les plus loyaux des esclaves de la maison. Bien entendu ma mère restait le plus possible auprès de moi, m'apprenant lentement les rudiments de notre langage prévoyant déjà une grande carrière militaire et peut être même politique pour son jeune fils. J'étais un jeune bébé très actif et curieux de tout. Dès mes premiers pas j'esquivai la surveillance de mes protecteurs et exploraient les différents pièces de notre domaine du Puy. Ainsi mes seize premières années furent faciles, et j'appris les bases naturelles de tout être vivant sur ce continent.

Peu après ma vie changea du tout au tout. Ma mère arrêta très vite mon éducation et l'on me confia à un précepteur. C'était un drow certes plus âgé que mon père mais ayant toutes ses capacités - rien d'étonnant étant donné l'immortalité acquise par mon espèce. Il m'apprit les affres de la politique, les bases du combat armé et particulièrement de l'auto-défense mais également les moeurs de ma société. Je me souviens avoir pris grand plaisir à chasser et tuer un chien pour étudier le fonctionnement des corps. J'étais un élève intéressé et passionné mais je n'appréciai guère les cours de langues, bien que je me plia devant la menace que représentait la baguette de bois - et en particulier la pointe aiguisée à son bout - qui se trouvait éternellement dans la main de mon maître. Ainsi mon enfance fut particulièrement dure et violente mais surtout axée sur des études plus calmes. Je n'était pas un drow très original ayant de nombreux traits communs à mon peuple mais j'avais une logique assez particulière me permettant de cacher facilement mes méfaits mais également mes sentiments. Bien que loin d'être le plus malin des enfants j'étais déjà un politicien et futur stratège de talent.

Adolescence

A la fin de mes quatorze années auprès de mon précepteur je fus soumis à un test qui allait marquer mon passage de mon enfance à mon adolescence. Pour définir la Voie que j'allais suivre j'eus plusieurs choix on m'ordonna de régler le sort d'un autre enfant de ma Maison. Je pouvais aussi bien le combattre en duel et le tuer par les armes, qui m'aurait amené à embrasser la Voie des Guerriers, mais également l'empoisonner ou en le maudissant me donnant accès à la Voie des Dieux ou alors le laissez vivre et en faire mon esclave. Je choisis la solution la plus plaisante et la plus dangereuse - tout en étant excitante. Un matin pluvieux je vins le trouver, ayant pris une épée de mon père et je le défiai de me combattre. Sans grande surprise il accepta le combat et celui fut âpre mais violent. Nos coups volèrent en tout sens et la pointe de sa canne s'enfonça plusieurs dans mon épaule, sans jamais me blesser gravement et je réussi à lui ouvrir la gorge d'un large coup de ma lame, première épée aussi que j'utilisai habitué que j'étais au couteau et au glaive. Ce fut un véritable sentiment de jubilation et de puissance que de sentir sa chair et ses os s'écrasaient et s'ouvrir sous la violence de mon cou, d'admirer son pitoyable regard tandis que le vital fluide s'écoulait à grands flots de sa gorge. La victoire était mienne.

Ainsi j'étais destiné de part cette action à joindre la Voie des Guerriers mais j'étais encore loin de pouvoir faire parti de cette glorieuse formation. Il me restait bien des années à m'entraîner et à apprendre et ainsi je fus de nouveau mis sous la garde d'un précepteur mais cette fois ci d'une femme. C'était une ancienne prêtresse ayant quitté les Ordres. Elle m'enseigna comme il se devait le chant et l'histoire tandis que les professeurs s'enchaînaient pour ce qui était de l'art martial et quelque peu la religion. Mais elle ne fut pas seulement cela. Durant les trente dernières années de mon adolescence les hormones firent leur effet et je devins grand, plus agressif encore et bien plus qu'hautain mais également affamé de sexe. Ce fut elle qui m'initia aux arts du lit et aujourd'hui encore il m'arrive encore d'être excité en pensant à nos longues de découvertes. Ainsi durant cette longue période j'affirmai être un drow, fier et puissamment bâti tout en étant un fin parleur.

La Voie du Guerrier

A l'âge de quatre vingt huit ans je fus envoyé dans un camp militaire non loin du Puy pour suivre la voie que j'avais choisi en tuant des années auparavant mon premier précepteur : celle du Guerrier. J'étais fier d'y aller et comme bon nombres de mes frères j'étais impatient de me mesurer aux autres et montrer à tous ma puissance, celle de ma famille mais également de la maison à laquelle j'appartenais. Ma promotion comptait près de trois cents Drow et près de deux cent cinquante d'entre nous survécurent. L'entraînement fut extrêmement rude mais également d'une rare complexité. Pour une petite quantité d'entre nous, une trentaine environ, nous suivions des cours plus poussés aussi bien au combat qu'en stratégie militaire. Ce bonus - mais également un malus de part la colère que l'on s'attrait vis à vis des autres cadets - nous était offert pour notre comportement exemplaire mais également notre capacité à combattre mais également notre vivacité d'esprit et notre autorité naturelle. Nous formions une élite et nous profitions bien entendu de ce statut. Plus violents que la moyenne et soudés nous nous surnommions nous même "Les Maîtres de la Voie" - cela restait bien entendu entre nous. Forts de nos avantages nous faisions régner notre domination sur les cadets.

Ainsi pendant vingt années j'appris à devenir non seulement un guerrier mais également un officier, préparé à combattre le plus férocement possible tout en étant malin. Encore une fois j'appris des bases sur la politique à travers cet entraînement pourtant majoritairement martial et nous fûmes bientôt une autre élite parmi l'élite. Cinq combattants, mes "frères", comme je les appelais qui dirigions naturellement notre équipée d'une trentaine d'homme. Ainsi nous étions unis bien que méfiants les uns des autres. Finalement notre formation prit fin et nous fûmes soumis à différents tests qui modifièrent ma vision des choses. Nous fûmes divisés en plusieurs groupes et mes frères catapultés à leur tête, mais également moi. On nous confia des armes certes émoussées mais non pas moins dangereuses et nous dûmes nous combattre. Intrigué par ce défi je ne fis pas ce que l'on s'attendait de nous. Contrairement à la majeure partie des autres Sombres je ne me jetai pas dans la mêlée, prêt à pourfendre nos ennemis. Mais au contraire je ne risquai pas mes hommes et me plaça en position défensive. Lorsque les combattants se tournèrent leur attention vers leurs ennemis nous fûmes presque oubliés et mes forces purent jaillir dans le dos des autres cadets, les mettant très rapidement à terre. Cette légère victoire - car plus de la moitié de mon groupe fut cependant blessé et donc mis hors "jeu" - me permit cependant de me démarquer des autres et ainsi obtenir mon premier poste : Kiorl de cavalerie au sein du Quatrième Ost...

Carrière militaire et ambitions

Ce poste m'avait été offert grâce à l'argent et les relations de mon père, sans compter sur mes résultats durant les longues années à pratiquer la Voie. Ainsi je fus mis au service du Quatrième Ost, basé en Ithri'Vaan. Jeune Sergent - ou Kyorl - de l'armée j'étais plein de fougue et l'on me confia le commandement d'un petit groupe de l'escadron de cavaliers lourds. Lors de mon arrivée ce dernier ne comportait que de légers éléments, souvent parmi les plus combatifs, les combats dans le paysage accidenté de notre contrée n'étant guère propice à nous entraîner. Je servis vaillamment dans ce corps durant deux cent longues années, me battant avec courage et méthodologie. J'étais un sous-officier exemplaire, respectant les ordres mais bien entendu préparant son avènement. Cela me prit du temps mais peu à peu je réussi à devenir plus habile, un meilleur politicien. Je réussi à faire augmenter le nombre de membres de mon escadron et le tonnerre des sabots soulevé par prêt de cinq cents cavaliers du Quatrième Ost furent bientôt craint...

Au bout de deux cents et deux longues années et l'année de ma trois cent dixième années je quittai la cavalerie et fut promu au grade de Veldruk au sein du régiment d'archers du Quatrième. Là j'appris à manier plus précisément et particulièrement l'arc long que j'appris à chérir mais j'appris surtout le commandement pendant ces longues années. Je restai au sein de ce régiment durant près de quatre cent années. Les combats furent nombreux et je devins un vétéran respecté parmi les officiers mais également au sein de la classe politique Drow. Peu à peu je devins plus ambitieux encore et je briguai différents postes. Ainsi je pris pour femme Nata'Sha'Lik Drokm ajoutant une puissante famille à ma maison et je lui donnai trois enfants, tout en ayant nombre de maîtresses et différents bâtards mais je ne me risquai guère à jouer à leurs jeux d'influence et de pouvoir préférant me concentrer sur ma carrière. Ainsi je participai à la guerre qui eut lieu en territoire humain et participai au siège d'Alonna. Quelle honte fut ce cette débâcle où cette hérésie qu'était la Communauté de la Lumière nous mis en retraite du fait de la trahison des Chaotiques. Mais j'eus également la chance de participer à la bataille de Fort Elyrion où je fus remarqué par mes prouesses. Lorsque finalement le Quatrième Ost s'effondra sur lui même je pris le commandement de deux cents soldats et nous quittâmes l'Ithri'Vaan pour revenir dans nos contrées.

J'étais cependant fidèle au Seigneur Sombre du Puy et malgré mes ambitions politiques ma carrière se stabilisa durant quelques mois jusqu'à ce que je fus envoyé à Abyssea pour participer également à son siège. Je fus un pion important pour prendre d'assaut la ville et cela me fit gagner bon nombre de soutiens militaires mais également politique. Ainsi je fus stationné en tant que Veldruk pendant encore quelques années puis ma loyauté fut récompensée. Je fus nommé Streea Jabuuk du 2eme Ost et Gouverneur d'Abyssea. Dès lors mon ambition se transforma et se tourna vers le Puy. Là bas m'attendait un pouvoir vacant mais instable, dangereux mais tellement excitant...


HRPComment trouves-tu le forum ? : Excellent
Comment as-tu connu le forum ? : Googe a été mon ami
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Dernière édition par Shar Aratyl le Sam 5 Oct 2013 - 19:30, édité 29 fois
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Johann
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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeMer 11 Sep 2013 - 21:23

Bonjour et Bienvenue !

N'hésite pas à nous signaler une fois que ta fiche est terminée.
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Shar Aratyl
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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeDim 15 Sep 2013 - 17:57

Bonjour et merci !

Ma fiche est terminée :) Bonne lecture !
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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeMer 25 Sep 2013 - 16:21


Bienvenue parmi nous, je vais m'occuper de ta fiche ! Pour que ce soit plus clair et plus précis, je vais procéder point par point :

Métier : Lorsque tu te dis « combattante pour les Elfes », tu veux dire par là que tu es un soldat au service de l'armée, dans l'armée, ou plutôt que tu te bats contre les ennemis des elfes, contre les drows par exemple, ou contre les hommes trop enfoncés dans Anaëh ? S'il s'agit du deuxième cas, ce que je pense, tu n'es pas obligé de le préciser, il va de soi qu'un elfe défende plus ou moins son « territoire », sa demeure, et les siens.

Equipement :
Citation :
 tout desserator
Ici, cela n'existe pas. J'ai d'ailleurs eu du mal à entendre le sens ce mot, mais après avoir compris qu'il s'agissait d'un type de combat, d'une école (dis moi si je me trompe), il s'avère que cela n'existe pas dans cet univers.
Ensuite, la rapière apparaît aux alentours du 16e siècle, et l'univers est ici basé sur le 12e siècle. Aussi, elle n'existe pas encore, au même titre que la dague recouvrant ta main, chose qui est aussi apparut lors de la renaissance.

Citation :
constituée de wootz
Alors, je ne pense pas qu'au 12e siècle, les occidentaux (puisque nous sommes dans un contexte occidental, comme tu as du le remarquer) utilisaient le wootz. A mon avis, ils ne devaient pas connaître son existence, et encore moins savoir le forger.

Citation :
 bleus et rouges
Attention, le rouge reste à l'époque une couleur difficile à obtenir, et dans le même temps, très rare. S'en procurer était donc compliqué et onéreux. Je ne pense pas que ton personnage puisse s'offrir le luxe d'en gaspiller pour les hampes de ses flèches, qu'elle ne semble pas récupérer chaque fois.

Sinon, tu t'inspires beaucoup de cette technique de combat que tu nommes « desserata », ce qui t'oblige à, finalement, changer beaucoup de choses.

Description physique :
Citation :
 de grande taille pour mon espèce (environ 1m68)
On ne peut pas dire qu'un mètre soixante huit soit une grande taille, mais plutôt une taille moyenne. Comparés aux humains, les elfes sont grands. Aussi, on n'applique pas les mêmes critères de taille.

Citation :
des desserator humains
Là encore, tu dois modifier, remplacer par « maître d'arme » peut-être.

Citation :
Je porte plusieurs bisous dont une tiare
Tu peux certes la posséder, mais il semble étrange qu'une guerrière porte ce genre d'ornement. Parce qu'entre nous, au combat, ce n'est pas très pratique.

Citation :
une arme assez particulière
Comment cela, « une arme assez particulière » ? Il serait bon de développer, même si au final, ce n'est pas d'une importance capitale, c'est plus de la curiosité.

Histoire :
Citation :
que les Anciens gardent leurs âmes
Ce n'est pas une formule que l'on utilise. On dira plutôt quelque chose en rapport avec Tari, la déesse de la mort.

Citation :
Durant mes vingts premières années j'appris
Non, on commence à apprendre aux alentours de la vingtième année, pas avant, surtout à écrire, etc... Pendant ces vingts première années, tu apprends plutôt à marcher, à parler et à manger toute seule. C'est la petite enfance en somme.

Citation :
 Par chance je ne fus pas affectée par la mort de mes parents
Ca tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, tu dis les aimer beaucoup, vivre des moments de bonheur à leurs côtés, mais cependant, tu n'es pas pour le moins affecté de leur mort. Pourquoi ? Et surtout aux vues du contenu du paragraphe suivant, qui semble largement dire le contraire.

Citation :
la terre des Anciens
Non, on préférera à cette expression quelque chose comme « La Prime Forêt ».

Attention, pour la suite, les elfes ne sont pas forcément bien vu par les humains, et les hommes sont assez méprisables aux yeux des elfes.

Et ensuite, tu embraye sur la desserata. Bon, tu dois changer pas mal de chose, ce qui est assez gênant pour toi, puisque tu t'appuies beaucoup sur cette technique de combat. Il faut que tu trouves autre chose, pour remplacer en quelques sortes. Tu peux lui faire apprendre le maniement de l'épée, de la dague, ou d'autres lames si le cœur t'en dis, entrer dans une guilde ensuite, si tu veux garder cette optique d'honneur et de droiture du à une discipline. Mais la desserata est hors contexte.

Si jamais tu as besoin d'aide, où si tu as des questions, n'hésite pas à me mp Wink
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Shar Aratyl
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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeMar 1 Oct 2013 - 19:34

Personnage complètement refait ! En espérant que cela sera cette fois la bonne :)
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Kiran
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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeMar 1 Oct 2013 - 21:57

Salut !
Etant donné le changement d'orientation de ton personnage, c'est moi qui vais m'occuper de la correction de ta fiche à présent.

On commence tout de suite :

Citation :
Mes yeux quant à eux sont d'une rare couleur ambrée, s'éloignant du classique rouge de mon peuple.
Les yeux rouge ne sont pas la norme chez les elfes noirs. Au contraire, c'est même assez peu courant.

Citation :
Comme bien des guerriers je reste très martial et il m'arrive que peu de porter des bijoux. Mis à part une chevalière d'or bleu, marquée des armes des Aratyl, je ne porte guère de frivoles. Il en est de même pour mes vêtements.
Citation :
Si on devait faire un bilan de mon mental ce serait celui ci : Un être qui aime les riches habits et qui est galant au possible[...]
Petite incohérence, non ?

Citation :
Bien entendu ma mère restait le plus possible auprès de moi, m'apprenant lentement les rudiments de notre langage mais également celui des hommes
Cela m'étonnerait que le langage humain soit enseigné aux drows en bas âge. La plupart des sombres (et particulièrement ceux du Puy) n'ont que mépris pour les humains.

Je ne comprend pas bien l'histoire du test durant l'adolescence... Ce n'est pas très clair et il manque des bouts de phrases (ce n'est d'ailleurs pas le seul endroit de ta fiche, pense à te relire un peu !).
Qui devait-il affronter ? Quel était l’intérêt de l'épreuve ? Pourquoi le laisser choisir alors que ses parents le destinaient clairement à une carrière militaire ?

Citation :
Ma promotion comptait près de trois cents Drow et seuls cent cinquante d'entre nous survécurent.
Un taux de survie de 50% ? Même les drows répugneraient à gâcher autant de vies... Les naissances sont faibles chez le peuple sombre, et un guerrier médiocre vaut mieux qu'un guerrier mort avant même son premier combat.

Citation :
Cette légère victoire me permit cependant de me démarquer des autres et ainsi obtenir mon premier poste : Veldruk de cavalerie au sein du Cinquième Ost...
Veldruk dès la fin de l'enseignement militaire ? Je ne pense pas, non... Commander autant de soldats est une tâche difficile, et même un novice brillant n'a pas l'expérience nécessaire pour cela. De plus, cela puerait complètement le piston et aucun guerrier sous son commandement ne l'aurait réellement accepté.

Fais attention : les transferts d'un ost à un autre sont assez exceptionnels. La plupart des officiers restent toute leur vie dans le même, parce qu'ils sont plus efficaces à commander des soldats qu'ils connaissent déjà bien et parce que la rivalité entre les osts est souvent forte.

Après la prise d'Abyssea, la cité fut laissée à l'abandon. Ce n'est que très récemment que les drows ont commencé à la réinvestir en y installant un important avant-poste (mais celui-ci a effectivement été placé sous la supervision du second ost).

Le poste d'Obok senger n'est pas disponible à la création (mais tu ne pouvais pas savoir). Il faut si tu veux ce poste créer un personnage possédant un grade inférieur et jouer en RP son ascension.

Voilà. Dernière chose, essaye de revoir un peu ton avatar pour éviter qu'il soit complètement déformé. Demande à un de nos graphistes si tu as du mal Wink

J'attends tes changements. Bon courage !

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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeMer 2 Oct 2013 - 18:12

J'ai donc corrigé la fiche selon vos demandes. Je vais cependant apporter quelques petites précisions. Tout d'abord excusez moi pour les bouts de phrases manquantes, mon clavier ne suit plus son temps et bien souvent il ne marche pas (ce qui me fait cliquez sur les touches comme une excitée :paf: ).

Alors pour les yeux rouges je ne l'ai pas changé car il est spécifié dans la description de la race ceci :

Citation :
Leurs yeux sont rouges comme le sang, bleus, ambres, rosés ou même violets... mais tout comme pour leurs crinières blanches, le rouge est prédominant
L'épreuve qu'il a subi est une épreuve assez particulière : ses parents étaient pour le faire suivre la Voie des Guerriers mais cependant il fallait obtenir les meilleurs avantages que l'on pouvait tirer d'un fils. Ainsi on lui ordonna de tuer ou du moins faire perdre toute dignité à son précepteur. La façon de procéder aurait défini la voie qu'il aurait "arpenté". Etant donné qu'il l'a tué par les hommes il était donc logique de suivre elle des Guerriers.

Voilà :)
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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeVen 4 Oct 2013 - 12:02

Citation :
Alors pour les yeux rouges je ne l'ai pas changé car il est spécifié dans la description de la race ceci :
Citation :
Citation:
Leurs yeux sont rouges comme le sang, bleus, ambres, rosés ou même violets... mais tout comme pour leurs crinières blanches, le rouge est prédominant
En effet, mais ce passage est un peu éculé et ne reflète pas vraiment la réalité du jeu. Enfin, admettons. Je ne peux pas te reprocher d'avoir correctement lu le background ^^


Citation :
Ainsi je fus stationné en tant que Streea Jabuuk pendant encore quelques années puis ma loyauté fut récompensée.
Je pense que tu as oublié de changer cette phrase... Tu voulais dire veldruk, non ?


Le passage du duel contre ton précepteur me paraît assez peu cohérent. Tout d'abord parce qu'il est fort peu probable qu'un drow à peine adolescent (même très doué) soit capable de défaire en combat un maître d'armes plusieurs fois centenaire, mais également parce que celui-ci n'accepterait jamais de participer à une épreuve qui se terminerait soit par sa mort soit par l'esclavage.

Je ne suis pas certain que le 4ème ost ait participé à la bataille d'Ellyrion. Je vais me renseigner.

Attention aussi, le quatrième ost est composé de drows doeben et se détache ainsi de la mentalité des drows du Puy comme le souligne ce passage du background :
Citation :
Enfin, l'éclatement du IVème Ost, armée de garnison installée depuis plus de quatre siècles à Sol'Dorn, peut en partie s'expliquer par le phénomène Doeben. Assez autonome, bien implanté, l'Ost, bien que symbole des valeurs du Puy, se doebisa peu à peu. Les vétérans s'attachaient à une terre, s'inscrivant ainsi dans la vie économique et politique d'Estrévent, et leurs fils rejoignaient à leur tour l'Ost, modifiant peu à peu la nature de l'armée, passant d'une garnison d'occupation à une véritable institution doeben. Bien sûr, cette lame de fond ne reste qu'une hypothèse, et la dispersion du Quatrième Ost peut également se lire comme la conséquence de l'attitude opportuniste des chefs militaires, qui profitèrent de la faiblesse de leur Obok Senger et de la disparition du Karlik Glenn d'Elda pour gagner plus de libertés.

Cependant, il faut remarquer que ces chefs militaires devenus chefs de bandes ne tournèrent pas leur regard vers le Puy et le pouvoir suprême, mais sur l'Estrévent, plus réel à leurs yeux que la lointaine métropole. Cette doebisation de l'armée et des colons pourrait donc expliquer la conquête de régions purement estréventines par les despotes/senger de feu le Quatrième Ost.
Dans ce contexte, je trouve peu logique qu'un des officiers de l'ost et 800 soldats décident de tout quitter pour retourner au Puy. Leur influence et leur pouvoir auraient été bien plus importants sur place que tout ce qui les attendait là-bas.
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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeSam 5 Oct 2013 - 19:32


Donc en effet j'avais oublié de changer cette phrase (maladroite que je suis :D ). J'ai changé le duel et l'ai remplacé contre un autre adolescent du même des Aratyl. Pour ce qui est de revenir au Puy j'ai baissé le nombre de soldats restés loyaux. Pour ce qui du "pourquoi il est revenu" c'est plus par ambition que par réelle loyauté. Devenir Obok Senger voir même Seigneur Sombre du Puy est bien plus haut placé qu'un "simple" seigneur de guerre de l'Estrévent.
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MessageSujet: Re: Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost    Shar Aratyl - Streea Jabbuk du second ost  I_icon_minitimeMar 8 Oct 2013 - 19:21

Et cette fois c'est bon !
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