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Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 33 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Björn, l'Ours d'Azur - Chef mercenaire Ven 8 Nov 2013 - 3:58
Nom/Prénom : Björn Djangaliev Âge : 31 ans Sexe : Masculin Race : Humain Particularité :
Alignement : Bon - Neutre Métier : Chef-mercenaire Classe d'arme : Corps à corps
Équipement : Deux marteaux, une hache de poing et un fléau.
Description physique : On ne peut s'y tromper dès qu'on aperçoit Björn au détour d'un sentier. Le regard d'acier, dur comme le fer dont les yeux ont la teinte, le crâne rasé volontairement, la barbe d'une vingtaine de centimètres, brune et épaisse comme la toison d'un ours dont il a le surnom. La musculature visible, dénudée, nerveuse, et la peau qui l'enrobe recouverte de cicatrices plus ou moins impressionnantes. Un soldat ? Un guerrier ? Sa tenue grossière, faites de peaux, de pièces de cuir et de fourrures sans aucun souci de l'esthétique, le ferait plutôt apparenter à un mercenaire. Nombreux sont-ils à parcourir les Terres miradelphiennes, mais peu ressemblent à s'y méprendre à Björn.
Premièrement, peu d'entre eux peuvent résister au mordant du froid comme lui au plus profond de l'hiver, dans la plus lointaine région nordique, même en restant torse nu. Sa peau prend alors une teinte légèrement bleutée due à une mauvaise circulation du sang, un problème bénin qu'il a toujours eu et qui lui apporte une grande résistance aux températures glaciales. Ce bleu lui aurait inspiré ces étranges tatouages linéaires qui lui barrent le corps de part et d'autres et dont seul lui et ceux lui étant proches connaissent la signification exacte.
A ses hanches pendant généralement ses deux marteaux de guerre, de fabrication grossière, ainsi qu'une hache de poing bien plus belle à l’œil, sertie d'une onyx grosse comme un poing d'enfant. Selon son envie, il accrochera en temps de bataille son fléau fétiche ou un cimeterre dans son dos. Cette dernière arme semble avoir été forgée par un artisan elfique, cependant, il le niera continuellement, ne laissant que le doute planer sur l'origine de cette longue lame...
Ce qu'on peut dire de Björn est qu'il est né pour se battre. S'il paraît plus puissant qu'agile, il ne manque pas non plus d'habilité et il ne manque pas d'occasions pour le prouver. Il ne semble pas effrayé par la peur, ni par la mort, et garde un sang-froid à toute épreuve - sauf lorsqu'il s'agit de son amour-propre. Ce trait de caractère donne l'impression que cet homme est dénué de sentiments... Cela lui est nécessaire pour affirmer son autorité, surtout dans l'univers des mercenaires ou les hommes, généralement sans foi ni loi, ne jure pas loyauté à n'importe qui. C'est dans ce but-là que Björn s'est construite une telle personnalité : il refuse d'être n'importe qui et a l'ambition solidement ancrée en lui de devenir quelqu'un, un jour. Cela est comme une promesse faite à lui-même... Ne pas mourir dans l'anonymat. Il ne supporte pas l'idée et déteste être ignoré ou mis sur le côté.
S'il garde la tête froide lors des duels ou dans le feu d'une bataille, ce n'est pas la même chose au quotidien, face à des situations qu'il n'a pas autant l'habitude de subir. Il peut alors s'avérer... primaire. Colérique. Blesser son ego est synonyme de mort, ou d'une chose s'en rapprochant et tout aussi désagréable. Loin d'être un adepte de la torture, il n'hésiterait pas tout de même à vous faire ressentir son mécontentement de manière inoubliable. S'il n'a pas l'air comme ça, et qu'il fera tout pour le cacher au point de se mentir à lui-même à ce sujet, il préserve au fond de lui une parcelle de tristesse, de peur de l'abandon et d'un manque crucial de repères dans la vie du à son statut d'orphelin. Ce fut un enfant sans famille, lâché dans le monde sans pitié des adultes, de la violence, du sang et de la poussière, poussé à survivre malgré lui, malgré ses compétences, et à se surpasser pour ne pas flancher. Ce genre de jeunesse forge des hommes solides, mais en général qu'en apparence, puisque cela n'est qu'une carapace de pierre et d'acier. Tout au fond, bien caché, bien tapi dans l'ombre des ombres d'une âme légère, se terrent, grelottantes, quelque tendresse et quelque affection. Tout cela reste toutefois un secret, envers les autres comme envers lui-même.
Il ne faut alors retenir que l'homme à l'autorité certaine, désireux de se faire une renommée parmi les hommes et, pourquoi pas, dans les autres peuples également, dont les coups de marteaux retentissent comme le tonnerre sur les montagnes et dont le hurlement de guerre ressemble à celui d'un ours enragé. Si sa réputation, encore petite et insignifiante, fait déjà parler de lui en ces termes, il ne compte pas s'en arrêter là. La vantardise l'emmène à se vendre de plus belle, à faire courir des paroles sur son compte de plus en plus incroyables, dans l'espoir d'amener des autres hommes sous son commandement et fonder la plus importance compagnie de mercenaires.
Histoire :
Les Wandres. Ce fut là que tout a commencé pour Björn.
Dans ces régions hostiles, une mère indigne, sans une once de remord, abandonna son enfant de trois ans seulement. Lui ayant fait croire qu'elle reviendrait, elle le laissa là, en compagnie, certes, d'un loup apprivoisé, mais elle l'abandonna à son sort. Le loup tenta vainement de retrouver la trace de cette mère irresponsable mais son flair ne put aller plus loin que la mer... C'est ainsi que le jeune Björn entama sa vie - qui ne devait d'ailleurs pas se nommer comme ça à cette époque de son enfance. Il survécut durant deux mois grâce à la louve qui se comporta en une bien meilleure mère que la véritable génitrice de l'enfant.
Un beau jour, la neige se mit à tomber. L'enfant serait mort de froid dans les jours proches si la louve ne l'incitait pas à jouer et à s'activer pour ne pas geler sur place. C'est d'ailleurs lors d'un de leurs jeux, certes un peu brutaux, mais inoffensifs, que Björn rencontra d'autres hommes. Malheureusement, ce ne fut pas dans les meilleures circonstances... Les hommes, membres d'un clan semi-nomade, ne virent pas un jeu dans le comportement de la louve envers l'enfant mais l'attaque d'un prédateur affamé. Ni une ni deux, l'un d'eux voulut tirer une flèche dans l'animal. La femelle remarqua alors leur présence et, sans hésiter, se rua sur les étrangers, craignant pour la vie de l'enfant. Elle réussit à arracher la gorge à deux d'entre eux avant qu'un autre décoche sa flèche, d'un geste fébrile, ce qui blessa profondément la louve. Sa patte, blessée, l'empêcha de retourner à l'assaut, et le même en profita pour lui envoyer une seconde flèche dans le gosier. Après seulement quelques secondes d'agonie, où son dernier regard se posa sur l'enfant, elle expira son dernier souffle tandis que son sang rougissait la première neige de l'année. Ayant cru bien faire, les hommes décidèrent de prendre le gosse sous leur aile et de l'emmener au clan. Ils crurent que les pleurs de celui-ci furent de terreur, une réaction au choc précédent, mais ils ne comprenaient pas qu'en réalité, Björn pleurait pour celle qu'il considérait comme sa vraie mère...
Ce drame n'empêcha pas le garçon de s'épanouir dans ce clan qui voyageait au rythme des saisons et surtout de la migration des rennes. On peut même dire qu'il fut heureux très longtemps. Il n'oublia jamais le visage de ceux ayant tué sa « mère » mais, le temps passant, il comprendra de lui-même la raison de cet acte. Sans pouvoir pour autant pardonner totalement, il essaya de ne pas avoir de haine envers ces cinq hommes. Un jour, lorsqu'il eut douze ans et qu'il avait atteint l'âge d'un jeune homme conscient de ses actions et de sa force aux yeux du clan, il avoua pourquoi il ressentait une certaine rancœur envers ceux qui l'avaient pourtant « sauvé des griffes d'un loup ». Sa version des faits stupéfia le chef du clan, à qui il s'était confié, et qui était également son père adoptif. L'homme d'âge mûr, sage et compréhensif, lui offrit des excuses au goût fade et fit la promesse de tenter la réparation de cette terrible faute. Björn, ne désirant pas que les hommes responsables de la mort de la louve soient punis pour une erreur, fit par de cette crainte. Le chef sembla étonné et félicita le garçon de leur pardonner. Cela ne l'empêcha pas d'en discuter avec les concernés, ce qui les amena à se confondre en excuses. Six mois plus tard, Héruld, celui qui avait lâché la flèche mortelle, revint au clan, un louveteau dans les bras. Le petit animal étant aussi blanc que la neige (excepté le bout des pattes) et ses yeux d'un gris de brume. Il l'offrit alors à Björn, à l'aube de ses treize ans, avec ses quelques mots :
« Elle ne remplacera jamais la louve qui t'a élevée, mais accepte-la ; elle errait seule, sans mère ni frères ni sœurs, et semblait proche de la mort. J'ai réussi à l'amadouer avec du lapin et je n'ai eu aucun effort supplémentaire à faire pour la prendre dans mes bras... Prends-la. »
Björn écarta les bras et Héruld lui déposa la grosse boule de poils au creux de ceux-ci.
« Ce n'est pas une petite louve ordinaire. » continua Héruld. « Elle est de la race du Nord, une race essentiellement blanche, plus grande, plus puissante et ayant une espérance de vie bien plus longue que les loups de nos régions. Il est rare que ceux-ci descendent jusqu'ici, sauf en cas d'hiver trop rude tout au Nord. Ils ont du sentir que ça allait être le cas. »
Björn le remercia d'une réponse laconique avant de s'en aller sous sa tente, sans lâcher des yeux la vie entre ses mains. Il sentait sous ses doigts les os saillants de la jeune louve. Il entreprit alors de la nourrir, encore et encore, à son détriment s'il le fallait. Il le fit tout le jour du lendemain également, et encore le surlendemain, et ainsi toute une semaine. Plusieurs personnes se plaignirent que la réserve de nourriture diminuait trop vite et certains voulurent se débarrasser du louveteau. L'un de ceux s'opposant à la présence d'un tel animal fut bien trop agressif, et même si Björn n'était alors qu'un gamin aux yeux de tous, il n'hésita pas et brandit un tisonnier encore brûlant pour se défendre de la lame de cet homme. Le face à face dégénéra rapidement ; Björn, enragé, planta la pique rougie dans l’œil gauche de son assaillant. Brûlé jusqu'à l'intérieur du crâne, l'homme hurla à s'en casser la voix. On tenta de le sauver mais la blessure était bien trop importante et l'homme se vida de son sang toute la nuit, attrapa une horrible infection et mourut dans d'atroces souffrances. Malgré cela, peu en voulurent à Björn et ceux qui eurent une dent contre lui furent dissuadés de toute mauvaise intention par le chef lui-même qui plaida la légitime défense. D'autres continuèrent pourtant de rouspéter contre l'animal. Björn passera tout l'hiver et l'année suivante à riposter. « L'année prochaine, elle m'aidera à la chasse, et on ramènera bien plus de gibier. Elle vous remerciera de l'avoir nourri et sauvé. » Mais peu de ces gens-là l'écoutaient vraiment...
Les années passèrent. Björn devint un adolescent vigoureux et fier. Etant le seul à avoir un vrai loup - les autres de son âge n'ayant que le chien de leur famille comme compagnon, ou un lynx dressé - il passait son temps à se pavaner. Il devint un très beau jeune homme, qui plus est. Physiquement, il avait les traits plus beaux que ces semi-nomades aux visages anguleux, aux petits yeux sombres et aux cheveux ternes. On remarquait aisément qu'il ne venait pas de la même souche que les autres, mais la différence ne dérangeait pas tellement dans le clan. Ses membres y étaient plutôt tolérants globalement et respectait Björn autant qu'un autre. Jusqu'à sa vingtième année, il apprit en compagnie des autres de sa génération les rudiments de la chasse, du combat à la hache, à l'épée et à une arme de son choix personnel, qui fut le marteau. On lui enseigna aussi le cours du soleil, l'astronomie et l'art de la guérison par les plantes. A partir de vingt ans, chaque jeune homme pouvait choisir dans quelle discipline ils souhaitaient se perfectionner et entamait un apprentissage en compagnie d'un spécialiste. La plupart en restait à la chasse, à l'astronomie et au maniement des arbres. Björn choisira d'approfondir d'abord ses connaissances en guérison et s'avérera doué, ayant une bonne mémoire pour les plantes médicinales, malgré les railleries des autres garçons puisque ce savoir était principalement destiné aux femmes. Toutefois, il ne fit cela que deux ans et exprima le désir de se forger un corps plus puissant ; on accepta exceptionnellement qu'il change de discipline et on l'envoya chez le maître d'armes, un vieil homme bien conservé contre les ravages du temps, qui lui enseigna l'art du combat. A vingt-trois ans, Björn lui demandera le nom d'une étrange arme, sous forme d'une boule à piques pendant au bout du chaîne, elle-même raccrochée à un bâton solide servant visiblement de manche. Le maître d'arme lui prit des mains, lui montra rapidement quelques figures, et lui révéla le nom de l'arme qui était le fléau. Björn tomba amoureux de ce maniement original et supplia le maître de lui apprendre également son usage, chose que le vieil homme accepta avec un sourire.
A l'âge de vingt-cinq, où la plupart des autres hommes de sa génération avaient cessé leur apprentissage et se consacraient à la spécialité qu'ils avaient choisi, Björn continuait régulièrement d'aller voir le maître d'armes et, parfois, le maître-guérisseur du clan. Jusqu'à ses trente ans, il continua, quoique progressivement de moins en moins souvent, à vouloir apprendre, encore et encore, jamais satisfait de ses connaissances. Auprès de sa louve aussi, il apprit plusieurs choses, essentiellement au niveau de la chasse. Il ignora totalement l'enseignement du maître-chasseur pour se consacrer à ses chasses nocturnes en compagnie de sa louve, Chinook, ce qui vexa un peu le maître en la matière... L'animal, une jeune adulte pour sa race, portait à présent diverses plumes, blanches, noires et brunes, attachées à sa crinière, ainsi que plusieurs petits anneaux d'argent à ses oreilles. Ses yeux avaient troqué le gris brumeux de sa jeunesse contre l'éclat lumineux de l'argent. Elle était magnifique. Son encolure atteignait pratiquement les coudes de Björn, qui n'était pas petit ; sur ses quatre pattes, il lui suffisait de tendre le cou pour lécher son visage... Et, comme l'avait prédit Björn, elle ramenait du très gros gibier au clan, ce qui remboursait en quelque sorte sa dette de quand elle était louveteau.
Un jour, pourtant, ce bonheur quotidien cessa d'être. Le clan fut attaqué par un clan ennemi, bien préparé, qui désirait piller leurs réserves. Cela coûta la vie d'un grand nombre des membres du clan ; les survivants furent emmenés comme esclaves dans l'autre clan. Björn fut l'un des rares rescapés et, en compagnie d'une jeune fille, il prit la fuite. A deux, avec Chinook, ils vécurent une histoire d'amour légèrement torturé par la perte de leurs proches. Cet amour fragile fut leur force mais aussi leur faiblesse. Quatre mois seulement plus tard, suite à une dispute, un accident survint et la jeune fille glissa au fond d'un ravin. Elle mourut sous le coup. Accablé, Björn continua seul. Il lui faudra plus d'un an pour se remettre totalement de cette succession de perte, et plusieurs fois il pensa à mettre fin à ses jours... Mais la présence de Chinook l'aida à surmonter ses chagrins plus efficacement que l'aurait n'importe qui en ce monde. Björn, pour survivre, dut se lier à des brigands et autres pillards de chemins. Au fil des semaines et des mois, des amitiés naissaient entre lui et certaines autres, et, petit à petit, il vint à fonder sa propre bande qui grossissait. . Si celle-ci n'aurait pas belle allure au départ, il lui vint doucement l'ambition de devenir quelqu'un sur ces terres... Doucement mais sûrement, un désir fou lui empoigna les entrailles : celui que ce monde n'oublie jamais son nom, celui de devenir un... héros.
Dernière édition par Björn Djangaliev le Lun 18 Nov 2013 - 20:49, édité 2 fois
Arsinoé d'Olyssea
Ancien
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Sujet: Re: Björn, l'Ours d'Azur - Chef mercenaire Lun 18 Nov 2013 - 18:59
Je m'excuse du long retard et vais donc m'occuper de ta fiche.
à premier abord il y aurait juste quelques détails qui me dérangeraient. Son clan adoptif étant visiblement originaires du fin fond des Wandres, semi-nomade et tout, je pense que certains termes et idées sont inadaptés. “A partir de vingt ans, chaque jeune homme pouvait choisir dans quelle discipline ils souhaitaient se perfectionner et entamait une sorte de stage en compagnie d'une personne de métier.” Déjà là le terme stage est à proscrire, mais même celui de métier. Je pense pas en effet que l'on puisse parler de professions dans le cadre de vie assez sauvage que tu décris, des spécialisations plutôt (même si là il doit y avoir un terme mieux)
“et se consacraient au métier qu'ils avaient choisi - forgeron, chasseur, guérisseur,... –" C'est la meme histoire, mais je vais aussi m'attarder sur les "métiers" que tu cites. Ta tribus nomade, voyageant avec ses rennes, ne peut pas accommoder de forgeron qui est par essence fixé à sa forge. On peut s'imaginer que ses biens métalliques viennent plutôt de trocs avec des clans plus au sud, eux-memes forgés ou volé lors de pillages. On s'attendrait aussi à une répartition des taches selon les sexes, la guérison étant plus le domaine des femmes là ou les hommes participeraient tous à la chasse. " Il s'aventura dans les villages d'abord, y fit quelques boulots pour tenir l'hiver essentiellement, puis s'engagea dans de plus grandes villes. La plupart du temps, Chinook restait en-dehors de la vie citadine, Björn craignait qu'on ne lui fasse du mal..."
Il faut bien se rappeler du coté insulaire, xénophobe, des hommes de "l'époque". Ton bonhomme, seul et accoutré comme il est, est le genre de brigand que les paysans et manants chasseraient à vu. Si on rajoute en plus une louve et son coté Wandre...il n'y aucune chance qu'il arrive à s'intégrer dans les terres serramiroises et les grandes villes que tu mentionnes. Je te conseillerai plutot de partir sur du brigandage, la voie du paria, et la constitution de sa compagnie en découlerait naturellement.
Björn Djangaliev
Humain
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Sujet: Re: Björn, l'Ours d'Azur - Chef mercenaire Lun 18 Nov 2013 - 20:58
C'est fait :)
Arsinoé d'Olyssea
Ancien
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Sujet: Re: Björn, l'Ours d'Azur - Chef mercenaire Lun 18 Nov 2013 - 21:05
Et tu es validé.
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Björn Djangaliev
Humain
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Sujet: Re: Björn, l'Ours d'Azur - Chef mercenaire Lun 18 Nov 2013 - 21:14
Merciii !
Le Vaisseau de la Voilée
Ancien
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