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| Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] | |
| | Auteur | Message |
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Ziel Ock
Humain
Nombre de messages : 33 Âge : 2023 Date d'inscription : 25/01/2009
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Non-Initié
| Sujet: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Lun 26 Jan 2009 - 20:31 | |
| [[[[Bon et bien, j’ai préférer me lancé dans un BG pour la SSR, ayant plus d’inspiration sur ce sujet que pour les faiseurs de nuits, donc bonne lecture et j’espère que ma décision spontanée sera accepté et pitié me frappé pas….]]]]
Nom: Ock
Prenom: Ziel
Age: 24 ans
Sexe : Homme
Race: Humain
Alignement : Etrangement neutre
Métier : Chef de la S.S.R
Classe d'arme : Finesse par le corps a corps
Équipement : Le juste nécessaire, un kit de survie, des vêtements, quelques livres, un peu d’argent, ses katars usés par le temps, une pochette de dix couteaux de lancés, un arc court et quelques flèches pour la chasse et rien d’autres. Il ne s’attacha pas vraiment aux choses matérielles, sauf à l’argent bien sûr.
Description Physique : Beau garçon, au physique passant inaperçu parmi la foule. Dans ce monde de brute, au physique sans défaut, le pauvre garçon n’est guère gâté. D’une faible constitution, il ne possède presque que la peau sur les os, bien que certains muscles tentent de se faire remarquer. Mais cela lui convient, il préfère de loin être frêle et élancé se déplaçant gracieusement, que fort et majestueux dénué de grâce. Plus généralement, il n’est pas très grand, ses membres sont longs et fins, il doit mesurer dans les 1m80. Comme signe particulier son dos est criblé d’une cicatrice incrustée dans sa peau, fait par la griffe d’un être qui lui était cher. De peau claire, voire blanche, il n’aime que très peu le soleil de par la fragilité de sa peau. Son visage harmonieux possède des très fins et gracieux, sa tête est sûrement la plus belle partie de son corps, ses cheveux sont fins et lisses, légèrement ondulés aux pointes. Ils sont de couleurs nuit aux reflets lune, mi-long lui tombant dans les yeux. Deux fentes lumineuses, émerveillées par toute chose, admirant tout, semblable à ceux un nouveau né lançant son premier regard sur le monde, sans méchanceté, haine ou rancœur, un regard des plus neutres qu’ils puissent exister. Son nez fin et raffiné, sans impureté, blanc comme le sommet d’une montagne aux neiges éternelles. Et ses lèvres roses, fines et pulpeuses, que l’on pourrait confondre avec celle d’une femme. Des quelques accessoires que son visage possède, on peut remarquer quelques anneaux sur ses oreilles aillant chacun une signification, certains sont plus importants que d’autres, mais tous lui sont chères. Ses mains, sont comme toute les mains, rien de plus, il y a d’ailleurs mit quelque bague et bracelet pour les rendres plus attirantes. Il aime porter des vêtements sombres contrastant avec sa peau et se mariant avec ses cheveux, ils sont principalement amples pour lui laisser, une large liberté de mouvement, il les aime particulièrement lorsqu’ils ont un col long, lui prenant le cou sans le serrer. En un mot Ziel est un homme normal, sans plus, possédant juste une certaine beauté qui lui ait propre.
Description Mentale : Étrange, est un beau mot pour le décrire, du haut de ses 24 étés, il n’aime rien, enfin plutôt, il ne s’intéresse qu’a très peu de chose, qu'il pourrait compter sur les doigts de sa mains. Si il devait définir un classement, il serait ainsi cité : l’argent, sa personne, regarder le ciel, dormir. Plus concrètement, cet un homme intéressé et désinvolte, il n’aime pas la difficulté, il préféra choisir le chemin de le plus long et facile que choisir le chemin court et difficile. Si la difficulté est trop grande, il abandonnera, passant à autre chose. Versatile et lunatique, il est difficile de cerner se gentil personnage. Ce qu’il aime aujourd’hui, demain il pourra le détester. N’accordant pas facilement sa confiance à autrui, de par les nombreuses trahisons dont il fut la cible. Bien qu’au première abord, il parait sympathique et enjoué, voir attachant comme un enfant. Lorsque que quelqu’un devient trop proche de lui, il se renferme, et ne laisse plus personne s’approcher sentimentalement de lui. Tête en l’air, il oubli souvent ses priorités, se perdant facilement dans ses pensées, s’enferment dans un monde, ou il est le maître absolu, la ou ses rêves les plus fous sont une réalités. Paresseux et libre, il envi les nuages qui ne font rien d’autre que de se laisser porter par le vent. Quand une récompense est en jeu, il fera tout ce qui est possible pour l’obtenir, car l’un des vices de cet étrange homme est de faire parti de la haute société de ce monde. Curieux, il aimes l’alchimie, et crée de nouvelle potion qui pourront peut être lui servir dans une occasion bien spéciale. Simple, c’est principalement en combat ou en mission que son cerveau ce met en action. Cet dans ces uniques moment que le grand gamin devient un homme doué réflexion, supérieur a celle d'un enfant de 10 ans... Il pense aux conséquences de ces actes, bien que sommairement. Ses réflexions et pensées sont généralement envers sa propre personne, sur ce que peux avoir comme résultat de l’entaille d’une dague dans sa peau, ou qu’elle est le meilleur moyen de tué un garde en se fatiguant le moins possible. Cela ne va guère plus loin. Et pourquoi s’occuperait-il de ce qui pourrait arriver aux autres. Il est comme qui dirais un cavalier seul, n’aimant point le soutien des autres, il n’exécute que rarement des missions en équipe ou même en binômes. Bien que gamin dans l’attitude, il ne compte que sur lui-même pour vivre, autonome en un mot. Il est aussi très poli, enfin il s’adapte à la situation. Ses mimiques, ses gestes, sa façon de parler sont différentes selon l’endroit où il se situe. Car ne l’oublions pas, il aime la noblesse. Ziel est un grand enfant étrange, et, pour tout dire il ne serait pas lui, s’il n’était pas ainsi.
Histoire:
Un cri retendit dans la nuit couvrant le fracas de la foudre qui s’abattait sur terre.
Dans les sombres quartiers de la capitale, dans ces petites ruelles peut fréquentables, la ou les rats et maladie en tout genre sont domiciliés, dans ces lieux tout est permis, là ou la le crime, la prostitution, les combats, la mort sont choses courantes. Ces dans, une de ses nombreuses maisons closes que vivait cette jeune catin nommée Ciele résidait. Comme toute femme de joie, sont travail consistait a donner plaisir a celui dont la bourse était suffisamment pleine pour loué ses services. Cette jeune et fraîche femme, n’est que l’une de nombreuse et incalculable marchandise de ceux lieu. Bien qu’elle soit l’une des plus demandée part la clientèle du bordel.
Fille de noblesse, toute son enfance c’était déroulé dans des draps de soie. Eduquée comme une noble, elle connaissait toute de la bourgeoisie, de part le langage, de part sa posture ou de ses gestes, tout en elle lui promettait un brillant avenir. Sa beauté n’avait d’égale dans tout le bourg. Ses cheveux étaient d’un noir encre, long et lisse, ces yeux bleu ciel, sa peau délicate, ses lèvres sensuelles, son corps magnifiquement proportionné, ses formes… son sourire si joyeux, son rire mélodieux, ses fines mains, sa bonté sans pareille, sa joie infantile, tout en elle envoûtait les plus grand poète du château, elle était la muse de tous. Une vie parfaite, mais le destin vous joue de bien vilain tour. Une action, un geste, une parole peuvent faire basculer une vie et c’est d’ailleurs ce qui se passa.
Par une banale journée d’automne, sous un ciel nuage. Comme chaque vendredi, la jeune noble se rendait de sa campagne a la ville pour rencontrer on se sait qui, dans on ne sait quel bal de la noblesse des cités. Accompagnées de son père et de sa mère, dans leur carrosse familial, la jeune enfant admirait « l’extérieur ». Rêvant d’un beau prince charmant sur son destrier blanc. Le voyage se passait sans embûche, quand tout d’un coup, surgit de on ne sait ou et d’on ne sait comment, une bande de brigand sans foi ni loi attaque la voiture. Prit par la célérité des brigands, l’escorte du père de Ciele fut vaincu. Il faut dire que ces maudits hors la loi étaient bien organisés. Le chef de famille de bâtit vaillamment pour protéger sa conjointe et sa progéniture. Mais, seul contre six, aussi fort soit t’il, l’issue du combat était connue d’avance. Le jeune enfant vue son père se faire égorgé sous ses yeux, mais le pire était à venir. A peine âgée de treize hivers, la fillette vit sa mère se faire violé…en pleure criant a la mort, qui d’ailleurs arriva lorsque l’un des brigands la décapita, sans peine ni remord. Mais par chance ou malchance, l’enfant ne fut ni violée, ni frappée. Elle avait trop de valeurs pour ces voyous. Une si belle enfant, se vendrait si bien dans un bordel de la capital. Et cet ainsi qu’elle devint, l’une des catins les plus renommée du royaume. Mais cela avait un prix, et au file des années, sa joie disparue, plus personne n’entendit son rire mélodieux, n’y son beau sourire.
Un enfant dont on ne connaît pas le père, un Bâtard….
Dernière édition par Ziel Ock le Dim 1 Fév 2009 - 2:16, édité 5 fois |
| | | Ziel Ock
Humain
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| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Lun 26 Jan 2009 - 20:33 | |
| L’été était magnifique cette année là, la nuit était tombée depuis a peine une heure et déjà la maison close était pleine de garde, d’ivrogne, de voleur, d’assassins et surtout de femme. Dans la maison juste en face de son lieu de travail, Ciele ne travaillait pas cette nuit là. C’était ces congés mensuels, et pour cause, elle se trouvait dans la période ou elle pouvait être enfantée.
Mais le destin est toujours imprévisible et on ne sait jamais ce qu’il nous réserve . Un homme entra dans le bordel, bien habillé, majestueux, sur de lui, il se dirigea vers la Patronne. Dans un grand fracas, il déposa une bourse, non, un baluchon ou un sac de pomme de terre remplit de pièce d’or sur le comptoir. Il donna un nom : Ciele. Bien qu’en congé la matrone ne pouvait refusée une telle offre, dans ce sac, il y avait presque une semaine, voir deux semaines de recette. A contre cœur, elle ordonna a son fils de chercher la dite jeune fille et de lui expliqué la situation. Quelque minute plus tard, la personne concernée entra dans la bâtisse. Tous les hommes la regardèrent, seul deux ou trois hommes présents dans la salle pouvaient s’offrir les services de la star. N’accordant pas le moindre regard, à toutes ses bêtes assoiffées de chair fraîche et douce, elle monta à l’étage s’enfermant dans la suite royal. La matrone fit signe au riche bonhomme, qu’il pouvait monter, mais il n‘en fit rien, il s’installa a une table prêt de la fenêtre et regarda les passant jusqu'à que la lune soit suffisamment haute dans le ciel. Quand, il se leva enfin, des commentaires, des rires, des sarcasmes, des encouragements s’élevèrent et toutes en direction du riche voyageur. Quand entra le jeune homme, la catin de luxe pensa que parfois cet horrible métier avait certains avantages. L’inconnu était beau, très beau, l’incarnation même de la beauté masculine. Ses traits fins contrastaient avec sa carrure d’athlète, ses yeux pétillants luisaient dans l’obscurité de la pièce, et ses cheveux blanc et pur comme la neige envoûtait la jeune femme. Il retira sa ceinture… Je vous laisse deviner la suite. Mais ce qui est sûr, c’est que cette nuit fût enchanteresse, mais hélas, la beauté ne sut jamais le nom de son compagnon de nuit.
La mère tenait en le creux de ses bras, le nouveau né, un jeune garçon à la peau lisse et aux yeux lumineux. L’enfant n’était guère désiré, une nouvelle bouche a nourrir, pourquoi ne pas plutôt l’abandonner. Chose courante d’ailleurs. Mais la mère ne pouvait se résigner à délaisser la progéniture de cet homme, cet amour d’une nuit. Et cet ainsi que le jeune garçon fut nommé Ziel.
Les années passèrent, le petit garçon grandissait comme tout autres enfants. Plein de vie, il apportait au bordel un air convivial, ce qui ne déplaisait pas à la gérante. Car depuis sa naissance toute les catins du dit bordel étaient devenues plus douces et sensuelles, plus belles aussi, de l’intérieur comme de l’extérieur. Le chenapan avait pour lui seul seize mères, toute aussi gentilles que sa vraie mère. Mais la présence d’un père manquait à son éducation. Bien que tous les clients fidèles de la maison close, le traitaient comme leur fils d’adoption, rien ne pourrait remplacer le sourire chaleureux et protecteur d’un père.
Une lueur jaune courait à grande vitesse à travers la foule, évitant les passants. Il tenait ferment un étui a parchemin dans sa main gauche. Il devait la remettre au plus vite au chef de la caserne, ce message était d’une importance capitale pour le livreur, et oui car lorsque qu’il délivrera la marchandise, il aurait enfin terminer sa journée de dur labeur et pourra ainsi rejoindre sa mère pour célébrer son huitième anniversaires. Colis livré, l’enfant aux cheveux sombres put enfin rentré chez lui. Sur le chemin du retour, il saluait toutes les personnes qu’il connaissait et même ceux qu’il ne connaissait pas. Eh oui, le petit coureur était connu dans le coin, comme le plus rapide, efficace et jeune coursier de la cité. Les autres ne jouaient pas dans la même court que lui, alors qu’il pouvait allée de la porte sud à la porte de nord de la ville en seulement une vingtaine de minute, les autres en prenaient le double. Un exploit pour certains et pour d’autres quelque chose d’inhumain.
Joyeux, le petit Ziel rentra au bordel, sa demeure et aussi son terrain de jeu préféré. Et souffla sa huitième bougie en compagnie de toute sa famille sauf son père.
Le destin est cruel, bon, hasardeux. On ne sait jamais ce qu’il nous réserve.
C’est à son huitième hivers que la tragédie s’abattit sur lui, ou pour être précis sur sa mère. Souffrante, elle était cloîtrée au lit avec une forte toux, normal pour la saison, mais pas quand la malade tousse du sang. Sa vie s’envolait chaque jour qui passait. Et puis quand le printemps arriva, son existence disparu dans le gouffre infini de la mort. Ziel, orphelin, fut terriblement touché par ce douloureux évènement. Il s’en voulait de ne pas avoir pu sauvé la personne qui était la plus chère a ses yeux. Pensant que si il avait eu plus d’argent, elle serait encore en vie. Au fil du temps, il changea, son sourire joyeux et naïf s’effaça pour être remplacer par des cernes et un visage froid et impassible. Ses yeux si lumineux s’assombrir et il entra dans une période de déni total. Il n’était plus connu pour être le coursier le plus rapide, mais comme le plus rapide voleur à la tire. L’argent était devenu sa seule préoccupation. Volant a droite a gauche, commettant de petit larcin. Il était solitaire, parlant peu, il errait en ces lieux, hantant chaque quartier de son enfance. Sans amis, son unique distraction était de s’allonger sur les remparts de la cité et de regarder la lune, seul…
Dix ans, qu’il vivait, deux années étaient passées depuis la mort de sa mère. Errant en ville en recherche d’une bourse ou d’un objet de valeur. Ses mains habiles, lui suffisaient pour s’emparer de n’importe qu’elle objet, le temps où il devait courir pour voler était passé. Ce jour la sur la place principale de la ville, il avait une victime de choix dans sa ligne de mire. Un épéiste ignare ne devait pas savoir où il se trouvait pour laisser pendre sa bourse au regard de tous. D’ailleurs Ziel n’était pas le seul à avoir remarqué cet énergumène, d’autres voyous bavaient déjà a l’idée de dérober ces quelques pièces d’or. Tous savaient que si Ziel se lançait dans la course, il serait le 1er a l’attraper et il en faut du courage pour courir après se fin limier. Cet alors qu’un jeunot, sans renom se lança dans la bataille, tous le suivirent, la course aux pièces d’or était entamée. Bien que Ziel, soit le plus loin de tous de la cible, il ne partit qu’après avoir regardé une dernière fois le ciel. Et comme on pouvait le deviner, il fut le premier arrivé. Il s’empara de la bourse et s’en alla en exécutant une magnifique rotation sur lui-même pour esquiver deux de ses compères se jetant sur lui. Une centaine de mètres plus loin, il remarqua une silhouette courant vers lui. Le pigeon n’était pas qu’un simple idiot, il était aussi un fin coureur. Et une incroyable course poursuite débuta. Son adversaire était de loin plus rapide que lui. Et pour gagner la course le voleur devait redoubler inventivité. Car chaque seconde qui passait était un mètre de moins entre les deux sportifs. Une chance que son concurrent soit imposant, la foule le retardait à l’instar de Ziel qui était petit et mince qui se faufilait aisément entre les passants. Il est sûr que si, la course se passait sur un sentier désert, il ne faudrait au guerrier que quelques enjambées pour capturer le fuyard. Une seule option s’offrait a Ziel pour gagné sa récompense, il devait à tout pris s’engager dans la rue commerçante pour réussir a semer son poursuivant. Mais, il ne céda pas. Les deux coureurs traversèrent la moitié de la cité en l’espace de quelques minutes, jamais le voleur n’avait tant lutté pour gagner. Et cela l’ennuyait, il n’avait pourtant commis aucune erreur, c’est mouvement était parfait, aucun obstacle ne le ralentissait, mais il ne pouvait le semer. Pourquoi courir, la fatigue se faisait sentir, il suait à grosse goutte, ses membres inférieurs souffraient. Un court instant, le fuyard se sentit prisonnier de son destin. Un sentiment d’impuissance l’envahi, il n’avait guère de choix, soit il continuait de courir et peut être l’homme se lasserait, un court instant il regarda par-dessus son épaule et en apercevant son poursuivant, le fugitif savait de source sûr que l’homme ne se lasserait pas et son autre choix était de laisser son butin en arrière et fuir… Décision prise, Ziel lança la bourse le plus loin possible, espérant que le volé récupère son bien et le laisse tranquille. Et ce fut le cas, et enfin Ziel put se cacher dans l’ombre d’une ruelle et s’endormir.
Mais l’avenir est bien incertain… et le destin cache bien des choses ! L’homme dont la vitesse surpassait celle de Ziel, le retrouva deux jours plus tard.
Dernière édition par Ziel Ock le Dim 1 Fév 2009 - 2:30, édité 5 fois |
| | | Ziel Ock
Humain
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| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Lun 26 Jan 2009 - 20:33 | |
| Dormant sur l’un des remparts de la ville, un homme s’approcha sans bruit. D’apparence calme et aimable, il réveilla l’enfant assoupis. Dans les brumes du réveille, le garçon ne reconnut pas son interlocuteur, il crut d’abord à un garde lui demandant gentiment de rentré car la nuit tombait, mais le soleil était encore haut dans le ciel. Et enfin il reconnut son poursuivant. D’un seul geste, il se leva et partit, mais la main de l’homme le rattrapa. Ziel apeuré le regarda droit dans les yeux, sur le rebord du rempart, ils faisaient tout les deux la mêmes tailles.
-Suis moi, dit t’il d’une voix forte.
Et l’enfant obéit. En bas des remparts plusieurs tavernes faisaient guerres et ils entrèrent dans l’une d’elles. L’homme dans son dos, Ziel ne pouvait fuir et de toute façon, il était bien curieux de savoir ce que l’homme lui voulait. Ils s’assirent à une table éloignée de l’activité principale de la taverne et ils commandèrent. Une bière pour l’homme, une chope de lait pour l’autre. Ils se dévisageaient l’un l’autre. Et enfin l’homme parla.
-Bon et bien, vu que tu as l’air pressé d’en finir, je vais allé droit au but. Je suis un recruteur pour l’armée, habituellement je vais dans les villages pour essayer de convaincre je ne sais quelle adolescent à rejoindre nos rangs, mais là, c’est toi que je veux recruter, bien sûr tu n’as pas l’age, mais tu as certaine capacité qui pourrait faire de toi un élite dans l’armée. Ta vitesse et tes réflexe, m’ont beaucoup impressionné à ton age faire égal à égal avec l’un des meilleurs éclaireurs que l’armée est eu, cela en revient a un exploit. Donc ma proposition est très simple, je souhaiterais que tu chemines les villes avec moi jusqu'à tes 16 ans, pour que tu entre dans les rangs de l’armée, sur cette période je subviendrais à tes besoins et je t’entraînerais. Alors qu’en dis tu ?
Le monologue de l’homme aurait fait envie à des centaines de garçons que Ziel connaissait, mais devenir soldat, enchaîné à une nation, non très peu pour lui. Et de sa voix enfantine, il répondit simplement non et s’en alla en le remerciant pour la boisson. Mais l’homme n’abandonna pas est lui affirma qu’il l’attendrait a la porte de nord de la capital a dix heures précise.
Une semaine plus tard à dix heure du matin, l’homme était là et il l’attendait. Cet homme avait piqué la curiosité de l’enfant. L’envie d’avoir une situation stable lui plaisait au final. Et dans un élan de folie et de courage, il se dirigea vers le recruteur. Lorsqu’il le vit un grand sourire s’afficha sur sa mine réjouit. Et il courut vers son futur protégé.
Les politesses furent échangées et la discussion s’engagea. -Et bien, je pensais que tu ne viendrais pas…
« Moi aussi… » Souffla l’enfant.
-Hum, et bien l’important ces que tu sois là, je me nomme Ellor Ock et toi ??
« Ziel… » Répondit t’il simplement. -Bon et bien suis moi, je t’expliquerais en quoi consiste nôtre voyage en chemin, affirma le recruteur.
Et Ziel s’en alla en direction de la grande porte.
L’age pour entrer dans l’armée étant 16 ans, Ziel passa six longues années en compagnie de Ellor qui devint petit à petit, une personne importante pour l’enfant. Aux fils des années, il fut, son entraîneur, son compagnon, son père adoptif. Pendant six longues années, Ziel s’entraîna au combat, il était d’ailleurs relativement doué, bien qu’une épée soit trop lourde pour lui, il maniait bien mieux les dagues, les katars et les arcs que bien des hommes. Ellor avait une femme, qui stérile ne put donnée d’enfant pour la descendance et elle aussi devint l’une des mères du rêveur. En grandissant, L’enfant, enfin le jeune homme changea autant physiquement que mentalement. Restant une personne très étrange, avec un esprit quelque peu tordu. Et son physique devint d’une beauté rare et tout aussi étrange que son attitude, de loin il ressemblait à un elfe sauf de par la couleur de ses cheveux, peut être que son père biologique était un drow, un elfe ou même un hybride. Mais cela n’importait guère sa « famille » était les Ock, dont d’ailleurs, il en hérita le nom.
Ziel Ock était sa nouvelle identité, un enfant étrange, habile et silencieux.
Ces le lendemain de ses 16 années de vie que pour la 1er fois Ziel retourna à la capital, pour s’inscrire dans l’armée. Cette idée ne lui plaisait guère, être sous les ordres de quelqu’un, mais il voulait faire plaisir à son « père ».
A son grand étonnement, ils ne se dirigeaient pas vers l’une des casernes de la cité, mais directement au château. Ellor lui avait vaguement dit que dans le temps, il avait été haut gradé dans l’armée, il ne lui avait pas spécialement préciser dans qu’elle partie de l’armée, mais bon… autant que Ziel soit au château à protéger la noblesse que dans les campagnes avec ces ivrognes de soldats qui veillent sur les vaches.
C’était la 1er fois qu’il entrait dans le château, n’importe qui sentirais un je ne sais quoi dans le cœur ou je ne sais ou, en voyant de l’intérieur ce splendide fort, mais Ziel n’avait que faire de cela et se dirigeait déjà vers la caserne, mais son « père » l’interpella, en l’incitant a le suivre. Sur le chemin du château beaucoup de gens regardaient Ellor et d’autres le saluaient, il avait dû sûrement tenir un rôle important dans le temps. Puis ils entrèrent à l’intérieur même du château, et grimpèrent de long escalier dans l’aile nord, pour finir par se planter devant une porte en bois sombre. Ellor frappa et quelques instants plus tard, un homme sombrement vêtu leur ouvrit, aussi vieux qu’Ellor, mais certes un peu plus fin. D’un visage étonné, il s’exclama haut et fort :
- Noms des Dieux, Ellor, Ellor Ock, mais je ne rêve pas c’est bien toi !!!
- Et oui, c’est moi Dallin !
Les deux hommes se serrèrent la main, il nous invita à entrer, ne remarquant même pas la présence du jeune homme au côté de son ami. Et un long dialogue commença. Ils se trouvaient dans un grand bureau, des étagères de livres couvraient les murs et le bureau était comblé sous la paperasse. Ziel debout prés de la fenêtre regardait tous les ouvrages qui traînait, la plus parts étaient des rapports de missions et d’autres d’histoires ou même d’alchimies. Cet au bout d’une vingtaine de minutes de Dallin interpella le jeune homme qui regardait à présent la court du château par la fenêtre. Ziel s’approcha et se posta au côté du recruteur.
- Tu es sûr, qu’il est aussi bon que tu le dis, moi, j’ai du mal a y croire en le regardant, rétorqua Dallin. - Puisque je te le dis, il aussi bon que moi a l’époque de la mission de Rasiola. Je l’ai moi-même entraîné, répondit le père en défendant son « fils ».
D’un air perplexe. Il demanda à ce que Ziel s’approche. Et l’intéressé s’exécuta. Puis il lâcha un long soupir.
- Bon si, il est aussi bon, une petite série de test devrait être aussi facile qu’il est de respirer !
Ellor acquiesça sachant qu’il avait gagné la bataille. Et ils se levèrent et sortirent de la salle, Ziel leurs emboîtant le pas.
Dans la court des soldats en formations s’entraînaient. Dallin ordonna à leur entraîneur de lui envoyer sa meilleure recrue. Et à peine une minute plus tard, un robuste jeune homme apparaissait, une épée en bois en main et il en tendit une autre à Ziel qui ne s’occupait guère des évènements, préférant les douces poésies que le ciel lui murmurait.
Finalement il la saisit. Apparemment le test était de se défaire de cet homme. Cela ne devrait pas trop être difficile vu que depuis presque 1 ans, il faisait d’égal à égal avec Ellor. La recrue le salua et ce mit en garde. Ziel lâcha un long, mais un très long soupir lorsqu’il vit la pose du soldat. Tenant son épée à deux mains, ces bras étaient trop hauts, sa poigne trop souple et le positionnement de ses jambes horribles… Puis enfin, il fit mine d’être prêt. Et le combat se termina au moment même où l’autre s’élança dans sa veine attaque, une estoc. Ziel fit un pas de côté qui lui permit d’esquiver et fit un croche pied à son adversaire qui, par la suite tomba à la renverse. Il fit mine de se relever, mais Ziel avait déjà récupéré l’épée de son opposant. Le vainqueur, se retourna vers les deux vieux, mais Dallin était déjà partit vers le stand de tir. Et toute l’après midi fut consacré a tester les capacités du candidat. Sur presque tous les secteurs d’activités de l’armée, mais Ziel comprit enfin que ce n’était pas à l’armée que Ellor voulait l’inscrire mais à un autre service. Lorsque son examinateur lui demanda de volé la bourse qu’un garde avait. Et c’est avec un facilité, on ne peut plus évidente Ziel susurra les biens du garde.
- Certes, il a des capacités. Sur ce point je te l’accorde, mais pourra t’il se plier aux ordres, demanda Dallin d’un air perplexe.
« Oui…Mm..Ssi....Chef… » Répondit Ziel qui avait hâte d’en finir.
Et cet ainsi qu’il devint veilleur au compte de la S.S.R. Son rôle, écouter toute les rumeurs, récolter des informations, surveiller certaine personne, et d’autres tâches du genre.
Dernière édition par Ziel Ock le Dim 1 Fév 2009 - 3:00, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Lun 26 Jan 2009 - 20:34 | |
| En quatre ans, Ziel c’était fais connaître des services, enfant de la rue, il connaissait la plus grande partie des picks pokets et des catins de la ville. Il savait ou aller. Dallin avait reconnu les capacités du jeune homme et l’avait promu, enfin plusieurs fois promus. Tant bien qu’il était bientôt au sommet de la brigade seul un homme était plus haut gradé. Dallin et deux autres personnes, qu’il ne l’intéressait pas avait un grade équivalent. Il ne sortait presque plus du château son rôle était de lire les rapports des membres du service et d’en faire un rapport à Dallin, il était comme l’oreille des quartiers mal famés de la ville. Il devait dissoudre les complots contre les nobles ou encore commanditer l’assassinat d’un commerçant avide de pouvoir et d’autres fonctions ennuyeuses. Mais au moins, il ne devait rendre compte à presque personne.
Beaucoup de chose était arrivé en 4 ans, la femme de Dallin était morte, mais pas par une mort naturelle, un meurtre et Ellor ne s’en était pas remis, il cherchait désespérément le meurtrier et sombrait peu a peu dans la folie. A un point que…
Destin…. pourquoi ?
La pluie tombait sur la cité et l’orage faisait rage. La nuit enveloppait toute vie de sa douce et sombre cape. Ziel devait comme à son habitude faire un rapport à son supérieur sur les affaires courantes. Mais en montant le long escalier qu’il avait si souvent arpenté, il sentit une tension inhabituelle, puis un résonnement, le bruit… d’un combat. Lâchant sa paperasse, il monta à toute hâte, la porte étant bloqué, il la fracassa d’un coup de pied. A ses pieds s’étendait l’un des conseillés de Dallin et un peu plus loin Dallin était en prise avec 3 hommes. Aussitôt il s’élança en direction des agresseurs. Sortant ses katars de leurs fourreaux, une arme peu commune, mais c’était celle que Ziel maîtrisait le mieux. Et le combat s’engagea, attaquant de dos l’un des assassins, il réussi a le blesser au niveau de l’épaule droite, puis il du esquiver la dague d’un autre qui filait vers sa gorge. Ses deux assaillant se mirent en position et ce qui était sûr ces que ce n’était pas des amateurs et il ne devait pas être à leurs premier meurtre ou même combat.
Un petit rictus de d’ennuie s’installa sur le visage de l’agressé, un combat fatigant comme toujours d’ailleurs, mais cela faisait des lustres qu’il ne c’était pas sérieusement battu. Il se mit en garde, bien que garde ne soit pas approprié pour la pose qu’il prit. Se mettant sur la pointe des pieds, katars vers le sol. Il incita les deux combattant à lui sauter dessus. Et c’est ce qu’il firent, l’un partit sur la gauche dague en avant et l’autre lança un assaut de front avec une sorte de sabre, et d’un geste, Ziel l’esquiva en sautillant vers la droite qui par la même occasion l’éloigna du deuxième qui était ralentit par la blessure empoisonnée des katars de Ziel. Et une joute d’attaque et d’esquive, Ziel comme un félin se déplaçait avec grâce et aisance face à ses adversaires, leurs assénant de petite entaille de part en part, plutôt que de se fatigué à les tuer se qui serait bien difficile du faite qu’il soit deux et cela l’obligerait a se concentré sur un seul, il préféra laisser faire le poison, un poison mortel qu’il avait concocté, il y a de cela quelque mois, capable de tué un homme en cinq minute sans laissé de trace dans son organisme. Et enfin l’homme qu’il avait blessé en premier s’écroula, mort, et cela eu pour effet de détourna un court instant le regard du deuxième combattant, une erreur qui fut… mortelle si on puis le dire. En court instant d’inattention, le malin s’élança en courant au ras du sol sur l’assassin restant, qui ne le remarqua que trop tard, bien qu’il eut bloqué le katar gauche, Ziel étant ambidextre, lui trancha les cervicales avec l’autre. Ainsi il put reporté son attention sur son supérieure qui était de prise avec le dernier des assassins et les deux combattants de la S.S.R sortir facilement victorieux. Le combat terminé, les deux hommes rangèrent leurs armes, triste erreur, pourquoi ne seraient-t-ils que trois ?
Pourquoi me trahis tu destins ?
Deux autres hommes sortirent de l’ombre, mais Ziel ne put se retourner à temps, une griffe lui déchira le dos et Dallin fut transpercé par la lame de l’autre. Puis ils tentèrent de s’enfuir, mais leurs assaut avait échouer, Ziel debout devant la seule sortit les attendait de pied ferme, une autre bataille et encore d’autre mort, c’est deux là était plus expérimenté, une personne peut aguerrie aurait sûrement vu en ce combat, plus une danse que trois hommes se battant a mort. Les coups filaient de droite a gauche, de haut en bas, estoc, parade, esquive et contre-attaque s’enchaînaient à une vitesse folle, les lames étincelantes s’entrechoquaient dans des fracas semblant a ceux d’éclairs, Dallin encore vivant souffrait, mais il pouvait encore apercevoir le ballet déchaîné des combattants, ahurit par leurs niveaux de maîtrise, il était telle, que à ses yeux mi-clos, les étincelles des lames se touchant, arrivaient à ses yeux plus vite que le son du choque. Jamais il n’avait vu le jeune Ziel, se battre sérieusement, seulement en entraînement. La différence était évidente. Et oui, car Ziel était un gamin curieux, et sa seule motivation dans ce combat était de savoir si il était plus fort que ses opposants. Le sourire aux lèvres et une étincelle de folie dans les yeux. Il était tel un dieu de la mort descendu sur terre pour abattre son courroux. Mais la réalité était bien différente, les renégats gagnaient du terrain, de coup en coup, Ziel faiblissait. L’entaille qu’il avait dans le dos, le ralentissait et ses vifs mouvements ne faisaient qu’empirer l’hémorragie. Et dans ce combat d’usure les armes de Ziel n’étaient point les meilleurs. Les katars étant fait pour l’assassinat rapide, ses armes de poings rapides, légères et résistantes parfait réceptacle pour le poison ne lui donnait guère d’avantage face au griffe de l’un et le sabre de l’autre, il lui était difficile de parer et le poison ne faisait apparemment plus effet de par le faite que le combat avait commencé, il y a plus de 5 minutes. En mauvaise posture, Ziel ne pouvait céder une victoire à ses opposants sans se battre jusqu'à son dernier souffle. Et comme une réponse des dieux, le miracle se produit pendant un court instant, une seconde à peine, Ziel eut l’impression que le temps se figea, lui permettant d’un seul et même enchaînement d’esquiver les lames qui lui fondaient dessus, de se dégager de l’action par un salto arrière de se positionner sur le mur, a qui un instant plutôt lui tournait le dos, de se propulser vers ses assaillants et d’abattre le sabreur. L’adrénaline fait des miracles des fois.
Le Chef de la S.S.R, ne pouvait croire ce qu’il avait pourtant bien vu. Des hallucinations dues a sa blessure ou la réalité. Ses hommes d’a peine vingt été, surpassait la plus grande partie des guerrier du royaume, il pourrait même avec un peu de chance se battre d’égal a égal avec l’un des généraux de l’armée, il devait être largement du niveau d’un Intendant. Et quand bien même, il ne pouvait si résoudre, cette enfant aux traits fins, le surpassait de loin.
L’orage retentit de nouveau. Les deux protagonistes se dévisageaient.
Ziel épuisé, le souffle coupé, ne tenant presque plus sur ses jambes, découvrait pour la 1ère fois la dure réalité des combats. Il n’était pas invincible comme il le pensait, humain avant tout, il remarqua enfin que son corps avait une limite, qu’il ne pouvait franchir. Bien que chaque entraînement de son père fût une promenade de santé ou même les quelques missions qu’il avait menées a bien, n’était rein face à la fatigue qui lentement le prenait, son sang coulait, ses yeux se fermait, il mourrait.« Pourquoi, Destin, me caches tu mon avenir …? » Souffla t’il avec difficulté alors que la mort, peu à peu le prenait.
Et enfin ces jambes cédèrent et dans sa chute il prononça des paroles inaudibles, mais l’autre les entendit et répondit d’une voix calme, mais haletante.- Non, ce n’est pas un adieu, mais un au revoir… mon fils… Et l’obscurité l’enveloppa pour… l’éternité…. Bien que cela fut une courte éternité.
Toi la vie pourquoi est tu parsemé d’épreuve, alors que tout mène a la mort ? Et toi destin qui nous cache tant de surprise, pourquoi t’allie tu avec l’avenir ? Et toi futur, pourquoi nous laisse tu seulement entrevoir a travers ta longue cape, la mort ? Et toi passé pourquoi reste tu figé dans le temps sans changé, car au final on t’oubli dans la mort. Et toi présent, aide nous a combattre le destin au lieu de rester inactif a nous regardait avec ton air amusée la façon dont nous nous débattons pour savourer la vie, qui ce terminera par la mort. Et moi…pourquoi ne suis-je pas mort ?
A son réveille ses plaies étaient soignées, difficiles de bouger lorsque qu’aucun membre de son corps ne réagit. Une servante et quelques prêtres l’entouraient, certains inquiets, d’autres heureux. La situation lui fut expliquée, le 3eme haut gradé du service l’avait sauvé lui et Dallin avec quelque garde et avait abattu le dernier combattant. Ils lui révélèrent l’identité de se farouche assassins, son père…. Et perdu dans ses pensées, il n’écouta plus rien, s’enfermant dans son monde.*Et bien…finalement cela était belle et bien un adieu*Et sur son beau visage une larme coula.
Les années passèrent, pendant plus de trois ans, il délaissa son poste pour parcourir, le monde d’un regard neuf, s’entraînant chaque jours pour surpasser sa limite. Ce qui petit à petit arriva. Et ce n’est que peu avant le jour de son vingt-quatrième anniversaire qui rentra enfin au château, à la demande de Dallin qui avait une importante annonce a lui faire.
Et cet ainsi que le vieux chef, pris sa retraite cédant son poste au jeune Ziel. [HBG] Je n’ai pas approfondit tout les saut dans le temps qui pour moi vous aurait paru barbant et linéaire et sur la dernière promotion j’ai préféré ne rien préciser au cas ou, cela se fasse par Rp ou d’une quelconque autres façon. Et pour l’équipement no comment…. [HBG] Comment trouves-tu le forum ? : Ces qui le graphiste qui a fait cette magnifique bannière ? Comment as-tu connu le forum ? : Il y a longtemps par root top, et je reviens car il était dans mes favoris Crédit avatar et signature : J’en sais rien, je cherche se dessinateur depuis, plus de quatre ans et de toute façon me fait mon kit des que j’ai le temps et de nouvelle image….
Dernière édition par Ziel Ock le Dim 1 Fév 2009 - 15:07, édité 1 fois |
| | | Ziel Ock
Humain
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| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Jeu 29 Jan 2009 - 11:59 | |
| Bon petit post de prévention, au cas ou mon dévellopement soit trop long^^" |
| | | Trystan de Diantra
Ancien
Nombre de messages : 4737 Âge : 40 Date d'inscription : 10/07/2008
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| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Ven 30 Jan 2009 - 11:50 | |
| Bonjour et bienvenue! Pfiou, moi qui n'aime pas lire les longues fiches, suis servie xD Je n'ai rien à dire de spécial, si ce n'est : attention à ton orthographe. C'est marrant d'ailleurs, il y en a beaucoup moins dans tes descriptions morales et physiques que dans ton histoire xD Attention aussi au grobillisme. A te lire, ton perso est non seulement un formidable voleur, un gars super intelligent, mais aussi un redoutable combattant. Oui, il est chétif, mais quand même ^^ Attention donc. Ah et il n'y a pas d'école^^ Donc l'armée ne recrute pas les jeunes à l'école xD |
| | | Ziel Ock
Humain
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| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Ven 30 Jan 2009 - 17:09 | |
| Bon étant donné que ma BG ne rentre pas dans le contexte du forum et que oui, il est un peu grossbill sur les bord.....(mais vraiment qu'un peu pour un homme qui est censé être le Chef des services secrets) Je vais refaire une BG bien longue comme ça tu vas devoir la relire^^"
Sinon tu ne m'as pas répondu, puis je devenir le chef de tes services secret??? |
| | | Trystan de Diantra
Ancien
Nombre de messages : 4737 Âge : 40 Date d'inscription : 10/07/2008
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| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Ven 30 Jan 2009 - 18:43 | |
| Je suis roi et je suis pas aussi doué au combat qu'Aragorn hein xD *SBAFF* Edit Lilianna > Ne me parle pas d'Aragorn , je risquerai d'être infidèle Et le BG va, le seul soucis c'est l'école soit une ligne dans tout le BG, donc là je comprends pas Oo Et oui, tu peux être chef du SSR, tant que tu t'investis sur le forum et ne fais pas une fiche, 3 RP et au revoir xD |
| | | Ziel Ock
Humain
Nombre de messages : 33 Âge : 2023 Date d'inscription : 25/01/2009
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| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Sam 31 Jan 2009 - 3:20 | |
| Bon, et bien je peux dire une chose. C'est que tu as lu dans le détail ma BG, ça fait plaisir, Merci. Bon école modifié par village.... (un mot sur 4 postes et tu le remarque. GG. *Trystan est un Koréen?* Bon pour les fautes d'orthographes, je m'en occupe dès que j'ai du temps à perdre. Mais je te fais ça! Bon a part ça. Ne t'inquiète pas pour une fois que je trouve un bon forum RP, je ne le lâcherais plus, sauf si je me casse les doigts XD. - Citation :
- attention à ton orthographe. C'est marrant d'ailleurs, il y en a beaucoup moins dans tes descriptions morales et physiques que dans ton histoire xD
Logique, ma description fait un post alors que mon histoire en fait trois^^" (Et aussi viens en facteur le faite que la description a été faite vers 20h et l'histoire vers 3h du mat -_-") Ah oui, deux dernières choses, Je vais encore étoffé mes descriptions et ma BG, mais rien qui pourrais me transformer en Chuck Norris ou détenteur d'un badge Ubisoft (délire perso) et si je deviens le Chef de tes services pourrais tu m'envoyer en précision en quoi consiste mon rôle, bien que je le connaisse, ce n'est que sommairement et un petit registre des membres, si membre il y a... et aussi me dire mes droits ( comme si je peux recruté des "soldats", faire des réunions, des quêtes, etc...) par MP. Merci d'avance!!! EDIT: Ah je viens de relire ma BG, exact il y a des fautes horriblements monstrueuses....T-T, je corrige ça le plus vite possible... |
| | | Ziel Ock
Humain
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Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Non-Initié
| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Dim 1 Fév 2009 - 15:10 | |
| Sorry double post..
Petit up pour dire, que les fautes sont corrigées, Que j'ai aussi modifié, les petits trucs qui te déplaisaient. Et voila c'est tout. |
| | | Trystan de Diantra
Ancien
Nombre de messages : 4737 Âge : 40 Date d'inscription : 10/07/2008
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
| Sujet: Re: Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] Lun 2 Fév 2009 - 11:22 | |
| Lol, si je prends une fiche en charge, je la lis attentivement, suis pas un sagouin xD Donc oui, je remarque un mot sur une fiche de 4 posts xD C'est bon, je te valide! Tiens, quelques lients pour commencer : Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}. Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^ Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet. Je t'enverrais en MP ce que tu m'as demandé dés que possible |
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| | | | Ziel Ock [ Chef de la S.S.R ] | |
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