Zoïle - Sorcière des Marais [terminé]

Nom/Prénom : Zoile Kelligan, mais plus généralement simplement Zoile.
Age/Date de naissance : Née en 992, mais quelle saison, elle ne saurait le dire… il se peut même que ce soit une estimation à plus ou moins une année.
Sexe : Féminin
Race : Humaine en générale (métissage drow indéterminé et inapparent)
Faction : Malléable
Particularité : Elle est la détentrice du Grimoire Lufotu, un artefact puissant des sorcières des marais. Il renferme l'âme de la très puissante Première d'entre elles. C'est un grimoire assemblé grossièrement, mais fonctionnel. Mais les pages sont lisses et douces au toucher si on huile régulièrement le cuir fin et si on remplace les pages abîmées. Il a une volonté propre et il peut refuser de s'ouvrir s'il est contrarié. Il est fortement lié à Zoile à tel point qu'il peut empêcher quiconque de le toucher en l'absence de Zoile. Elle ne le quitte que rarement de toute manière. Lufotu est fondamentalement maléfique. Petite, elle prétendait qu'il lui parlait et si Lufotu ne l'a pas fait depuis que Muelle est dans les parages, chaque fois qu'elle se retrouve seule avec lui, il se remet à parler, ou disons plutôt qu'il impose certaines idées à l'esprit de Zoïle. Son ascendant est puissant sur l'esprit de Zoïle.

Alignement : Chaotique neutre influencée en mal par Lufotu.
Métier : Sorcière d’eau et des marais. Conteuse d'histoire et apprentie tout ce qu'elle à envie.
Classe d'arme : Magie élémentaire (eau) et tout ce qui lui tombe sous la main. Parfois... enfin, souvent, on a pas le temps de s'armer de magie.

Équipement :
Un sac bandoulière pouvant contenir tout ce qui doit y être pour la parfaite petite sorcière nomade. Quelques couteaux, des sachets d'herbes médicinales, d'ingrédients plus ou moins identifiables, des sachets de noix et de baies pour les fringales inopinées, une plume et un flacon d'encre noire (luxe), Lufotu (l'indispensable), de la ficelle et quelques projectiles, qu'elle renouvelle fréquemment. L'eau étant essentielle à son confort, elle possède deux outre, la première étant pour sa consommation, la seconde sa réserve. Elle a aussi l'habitude de trimbaler, dans une petite sacoche, les braises du dernier feu.

Elle porte habituellement une robe de laine épaisse, souvent de couleur verte, parce qu'elle aime bien le vert. Sous sa robe, de nombreux jupons, parce que ça garde au chaud l'hiver et au frais l'été. Et tout ça est recouvert par une peau de... difficile à savoir, mais c'était gros, noir et poilu. Elle appelle ce truc informe son manteau, bien que ce soit plutôt une cape, et elle s'en sert aussi bien comme manteau, justement, que comme couverture pour se couvrir, voir tout simplement se coucher dessus.

Son Focaliseur est Lufotu lui-même, mais comme il est concrètement volumineux, elle conserve sur elle une pièce de cuir provenant de sa couverture, qu'elle a du changé lorsque celle-ci est devenue trop abîmée. De la grosseur de la paume de sa main, le cuir est estampé par le symbole de Lufotu, le plus grand prédateur des marécages, la grenouille. Elle le fixe habituellement à l'intérieur de son manteau, mais elle peut aussi l'insérer dans n'importe quel de ses vêtements.

Description physique :
Jadis, ses cheveux étaient dorés, puis avec l'âge, ils se sont assombris, pour prendre des reflets de bronze. Elle n'y a probablement jamais mit les ciseaux, du moins pas depuis qu'elle a 8 ans, où elle n'a pas eu le choix parce qu'elle s'était accroché dans les bardanes. Elle se méfie maintenant de la plante à griffes. Elle les décore habituellement en y tressant des rubans colorés, surtout pour ne pas les avoir dans la figure. Sa silhouette est gracile et délicate, comme le sont souvent les adolescentes de quinze ans qui ne mangent que pour vivre et qui dépensent beaucoup d'énergie dans la magie. Elle n'est pas très grande et toute menue, toute en nerfs, elle est tout de même vigoureuse et énergique. Son visage est finement dessiné, ses traits sont fins et délicat. Ses yeux sont sombres et vif, elle a l'habitude de dévisager les gens sans retenue et sans ciller. Quand elle ne sourit pas, elle a l'habitude de pincer les lèvres et de froncer les sourcils, ce qui lui donne un air sévère et méfiant, mais elle a le sourire facile et s'amuse d'un rien.

Description mentale :
Zoile est de prime abord une apprentie sorcière assidue. Sa curiosité est insatiable et elle expérimente tout ce qu'elle peut, sans relâche et avec une patience infinie. Elle est tenace et acharnée, elle ne laisse rien au hasard et elle voudrait bien tout contrôler. Mais depuis que Lufotu s'est tut, elle n'a plus de contrôle sur ce qui se passe. Ses ambitions sont sans limites, même si elle ne capte pas encore tout à fait ce qui est possible ou non. Elle reste tranquillement dans le sillage de Muelle lorsqu'elle est présente, mais dès que son mentor est hors de vue, l'attrait néfaste de Lufotu se fait sentir et il est difficile d'y résister. Elle est d'un abord facile et agréable. Joyeuse, elle sourit beaucoup et elle glousse beaucoup, comme toutes les filles de son âge quoi. Elle est prompte à la destruction et aux réactions incisives et sans appel, mais Muelle arrive à atténuer ses mauvais penchants. Heureusement, Zo a tendance à réfléchir avant d'agir et à opter selon la vision que lui inculque Muelle plutôt que de se laisser aller à ses instincts. La donne change lorsque Muelle n'est pas là.

De nouveau seule, Lufotu ses remis à parler et elle à tendance à être beaucoup plus sociable. Elle va vers les gens et parle à tout le monde. Elle pose des question ou passe certains commentaires. Elle n'hésite pas à donner son opinion même si on ne le lui à pas demandé. Depuis qu'elle à retrouvé la foule des villes, sans la présence de Moelle, elle n'hésite pas à s'infiltrer dans des petits groupes et de raconter ses histoires. Elles sont toutes vraies après tout. Enfin, dans les grandes lignes.

Elle a l'habitude de se plonger tous les jours dans le cours d'eau, ou la fontaine, le plus près. Elle prétend qu'elle n'aime pas se dessécher. Pourquoi ? Parce que son élément est l'eau et qu'elle s'y sent bien lorsqu'elle s'y plonge.

Capacités magiques :
Détentrice du plus puissant artefact des sorcières des marais, le Grimoire Lufotu, Zoile est l'une d'entre elles et à ce qu'elle sache, l'une des dernières également. Elle pratique la magie élémentaire et elle a choisit la voie de l'eau, par une affinité indéniable.

L'enseignement paternel
Son apprentissage a débuté dès sa naissance, puisque son père est le petit fils de la Sorcière qui lui a légué Lufotu en dernier recours, par le conditionnement à certains rituels de concentration et de focalisation qui ont été tout d'abord enseigné sous forme de jeu. Il lui a aussi apprit à lire à un très jeune âge, du moins assez pour pouvoir lire le vocabulaire primaire et particulier des Sorcières des marais et essentiel à la lecture de Lufotu. Elle ne se souvient pas vraiment d'avoir fait toutes ces choses avec son père, elle était trop jeune, mais lorsque Muelle a poursuivit son apprentissage, lorsqu'elle avait 6 ans, les gestes et les mots sont revenu aisément.

L'enseignement de Lufotu
Que par les mots, Lufotu a, durant presque deux ans, été l'unique mentor de Zoile. Il lui a permit de survivre dans le marais lorsqu'elle a perdu son père, lui fournissant les renseignement utiles et lui désignant son élément favorable, l'eau. Dans les marais, savoir user de l'eau, c'est utile. Une fois à Diantra et au château, Lufotu a poursuivit son enseignement en lui désignant les pages qu'elle devait lire, pour accentuer sa connaissance en l'art. Zoile a, à cette époque, lu Lufotu d'une couverture à l'autre, sans tout comprendre, mais en assimilant l'essence de la magie que renferme Lufotu.

L'enseignement de Muelle
Ce qu'elle a apprit et développé avec Muelle, c'est la pratique. Guidée par le savoir de l'ancienne apprentie, celle qui aurait du hériter de Lufotu, elle a fait ses premières expérience dans la pratique et l'accomplissement de rituels concrets. Avant de se retrouver apprentie de Muelle, elle n'avait jamais lancé le moindre sort. Mais presque neuf ans plus tard, avec du travail et de la répétition elle arrive très bien à se débrouiller avec son élément et à l'incliner selon la plupart de ses désirs de petite envergure. Muelle la restreint encore beaucoup dans la puissance de ses sorts parce que l'influence de Lufotu est tenace et malsain. Muelle ne voudrait pas perdre le contrôle sur Zoile parce qu'elle craint que l'ascendant maléfique du grimoire ne consume Zoile trop rapidement. Muelle sait très bien que la plupart des sorcières des marais meurent de manière violentes, habituellement dévorées par un truc dans les marais, souvent emportées par les drows et là, les dieux seuls savent de quelles manières elles rendent leur dernier souffle, ou plus régulièrement, consumées par leurs propres magies.

Histoire :
La respiration sifflante, autant par l'effort de la course que par le poison qui lui brûle l'intérieur, la sorcière du marais traverse la pente douce qui mène au petit village maritime le plus près. Pourquoi a-t-elle quitté son marais pour le sud ? Premièrement, parce qu'elle avait des choses à faire hors du marais de Faelia, des trucs de sorcières, comme mettre hors d'état une rivale. Deuxièmement, parce qu'elle est en train de mourir empoisonnée. Troisièmement, parce que, hormis les créature habituellement peu intelligentes du marais, y a pas âme qui vive. Et elle a besoin d'un truc intelligent pour terminer ce qu'elle a commencé. Enfin, ce qu'elle a commencé depuis qu'elle sait qu'elle va mourir.

- J'te jure, sale... saleté... tu vas crever sa... sale fils de... de…

Trop de mots, pas assez de souffle, elle doit en avoir assez pour arriver à la fin. Elle sent déjà les doigts glacés de la mort étreindre sa nuque, il ne lui reste pas beaucoup de temps... juste assez, elle aura juste assez de temps. Première petite maison portuaire, vide. Une flopée de jurons qui ferait pâlir d'envie un charretier fusent dans la nuit. Elle ressort de la maison, usant d'une énergie ultime pour tromper la mort encore quelques minutes.

La porte de la maison suivante vole en éclat et, désorienté parce qu'elle ne voit plus rien, chancelante, la sorcière avance en titubant vers la vie humaine qu'elle sent palpiter pas très loin. Une sirène stridente déchire ses tympans tandis qu'elle constate avec une déception visible que la vie qu'elle sentait est un bébé... tout petit...

Elle sent à peine le premier coup de harpon d'un père paniqué la traverser de part en part. Ni l'onde magique qu'elle dégage, faisant valser tout autour d'elle, hormis le berceau du bébé. Dans un gargouillis de sang qui éclabousse le bébé, le père et la mère croient entendre ces paroles.

- Par Zoïle, il n'aura pas réussit à m'anéantir totalement…

Affalée contre le berceau, la sorcière pousse son dernier gargouillement. Un dernier spasme de vie et un grimoire de cuir bleu maculé de sang est posé tout près du bébé.

LUFOTU
Ce livre appartient à Zoïle

Née quelques heures à peine avant, les parents hésitaient sur le prénom à lui donner... Zoïle n'en faisait pas parti. S'il fut choisit, c'est parce que Vesiat, son père, croyait au destin et que le fait que la grand-mère maternelle de ce dernier ait légué son grimoire à son arrière-petite-fille, sans savoir si c'était un pur hasard ou que la vieille les cherchait depuis 15 ans, était tout de même trop exceptionnel pour ne pas y voir un signe du destin. Et il avait sans aucun doute reconnu Lufotu, le grimoire qui guidait son clan depuis le début des temps. Oui, bon, c'était la légende de son clan, certains détails étaient flous. De plus, bien qu'après les événements, il avait reconnu que sa grand-mère avait été empoisonnée, il l'avait quand même poignardé avec un harpon avant de la reconnaître. En hommage à l'Aïeule et la Première d'entres elles, il avait prénommé sa fille comme elle. Et parce que son passé le rattrapait et que les menaces de sa mère avait étaient en train de s'accomplir, il fit en sorte que son bébé soit dès son plus jeune âge en lien étroit avec ses origines. Il lui récita les histoires, il lui raconta le marécage, il lui apprit à lire les mots de Lufotu et comment se servir du grimoire. Une toute petite gamine, avec au bout des doigts un tel artefact, ce n'est pas commun, mais les Sorcières des marais ne sont pas communes. Il lui apprit tout ce qu'il savait, même s'il se doutait bien que sa compréhension ne serait pas assurée avant longtemps. Ce qu'il ne savait pas c'est qu'il aurait à peine le temps de débuter la pratique.

Jadis elle se souvenait de son histoire, de son passé, mais avec les années, les souvenirs se sont estompés. Elle se souvient de l'odeur de la mer, du poisson et de la voix de sa mère, des chamailleries avec ses frères et soeurs. Elle se souvient aussi des sirènes, blondes, mais elle n'est pas certaine que c'est la réalité. Elle se souvient surtout des rats monstrueux qui lui faisaient si peur, mais qu'elle combattait à coups de bâtons. Elle se souvient de Lufotu, qui lui a dit de se cacher et qu'elle n'est ensuite plus jamais allée chez elle. Elle se souvient que son père est venu la sortir de sa cachette et qu'elle n'était plus chez elle. Elle sait qu'elle a fait un long voyage avec son père, juste tous les deux, mais elle ne voit plus son visage lorsqu'elle ferme les yeux. Elle ne voit plus non plus celui de sa mère, ni de ses frères et soeurs. Elle se souvient d'un marais, immense, où elle a pataugé durant plusieurs jours. À l'époque, Eze, le crapaud, était présent bien plus souvent et il était beaucoup plus gros, plus vigoureux. Elle se demande parfois si elle n'a pas rêvé tout ça.

Elle ne se souvient pas de tous les jours, mais des souvenirs vivaces des deux années qu’elle a passé à Diantra, bien que de moins en moins nombreux, peuplent encore son esprit. Elle a été la demoiselle de compagnie de la Reine. On lui avait prêté de belles robes et elle jouait avec la petite princesse, Lyhann. C'était une période faste, elle y a rencontré de grands noms. Le roi, la reine, le magicien, des tas de gens qui ont fait une partie de l'histoire de la péninsule. Elle se souvient que Lufotu n'aimait pas lorsqu'on posait des questions sur lui. Il réagissait violemment et se fermait. Elle se souvient des questions que lui a posé le magicien Nakor et la réaction violente de Lufotu. Ce n'était pas le même genre de sorciers a prétendu Lufotu, plus tard. Elle a vécu au château de Diantra durant un peu plus d'une année, sous la seule influence magique de Lufotu. Mais ces souvenirs, qu’elle croyait intact, commencent à se dissiper, elle arrive de moins en moins à se souvenir si ça s’est vraiment produit ou si elle y a seulement rêvé.

Elle se souvient pourtant de la déception qu'elle a eu lorsqu'elle s'est réveillée, un matin, loin du château. Heureusement, Lufotu s'est chargé de faire venir Muelle. Du moins c'est que Muelle prétend, que c'est Lufotu qui l'a appelé. Mais Lufotu a toujours été réticent, il n'a jamais laissé Muelle s'en approcher trop longtemps, il refusait de s'ouvrir, ou, au contraire, de se refermer. Lufotu ne partageait avec Muelle que certains éléments indispensable à l'apprentissage de Zoile. De toute manière, Muelle a toujours dit que certaines choses ne devaient pas provenir de Lufotu. Muelle s'est chargé de l'apprentissage de Zoile et depuis, elles ne se quittent pas, l'apprentie et son mentor.

Elle a vécu le voile et les années suivantes sur l'île pirate de Meca. Elles sont arrivées sur l'île et, par complicité de sorcières, ont été hébergées dans la maisonnette de Madame Ingrid, la Diseuse de Bonne Aventure de Meca. Et ce au grand dam de son fils, l'amiral Sepiida, qui a farouchement protesté.

- Si cette sorcière reste, a-t-il dit en pointant Muelle, Je vais vivre sur le Fossoyeur !
- Fais attention de ne pas prendre froid, tiens, prend la couverture, avait répliqué Madame Ingrid en lui posant une épaisse couverture de laine dans les bras.

Elles sont donc restées entre femmes, jusqu'à ce que Madame Ingrid disparaisse lors de la chute de la Marine Marchande. D'ailleurs, son fils et beaucoup de têtes dirigeantes de Meca ont disparut durant cette période. Mais Muelle et Zoile n'étaient pas prêtes à partir et elles ont su se rendre indispensable. Après tout, les pirates sont des gens superstitieux et ils apprécient les sorcières, surtout les convaincantes. Et ce duo de sorcière a, semble-t-il, été assez convaincant pour devenir leurs sorcières. Et la maison de Madame Ingrid a beaucoup plut à Zoile. Elle s'y est tout de suite sentie très à l'aise. Lufotu a trouver sa place sur le lutrin délicatement ouvragé ou trônait avant le grimoire de Madame Ingrid et il s'y est plut tout de suite. Tellement qu'il a été difficile de le tirer de là lorsqu'elles ont décidé de quitter Meca pour la péninsule. Entre temps, Muelle a enseigner et Zoile a apprit. Elles ont fait du bien, elles ont fait du mal, mais c'est typique des sorcières, non ?

Muelle et Zoile ont séjourné à Thaar durant quelque temps. Zoile a poursuivi son apprentissage auprès de Muelle et le climat de Thaar a rétablit la santé de cette dernière. Et tout allait bien, jusqu’à ce que Lufotu se dispute avec Muelle. Enfin, c’est ce que prétend Zoile, mais elle ne pourrait pas le jurer. Muelle ayant du s’absenter quelques jours, Lufotu à recommencer son emprise néfaste sur Zoile qui a prit le premier navire à quitter Thaar pour la péninsule. Zoile est de nouveau seule, indépendante et fière, beaucoup plus à l’aise qu’elle ne l’aurait du pour une petite sorcière de seize ans, mais Lufotu à veillé sur elle. Lufotu à des plans, des projets semble-t-il et Zoïle est irrémédiablement attirée par ces projets, sans toutefois en savoir les aboutissants. Elle se laisse donc guider par son grimoire, sans tout comprendre de ses projets.

HRPComment trouves-tu le forum ? : J’y vais et j’y reviens, alors concrètement, j’imagine qu’il me plaît bien
Comment as-tu connu le forum ? : J’y passe depuis longtemps… c’est seulement la troisième fois que je rejoue avec Zoile…
Crédit avatar et signature : Anry. Du même artiste, mais cette image n'est pas dans sa galerie DA
Compte autorisé par : J'ai passé par les demandes et voilà, j'en suis à la fiche.

Il manque le paragraphe capacité magique <3

Ok ça roule je te fais ça au courant de la semaine prochaine. *.*.

Édit : ok mauvais compte, mais vous saisissez quoi...

Alors :

Citation :: C'est un grimoire résistant et imperméable aux intempéries si on huile les pages de cuir fin et si on remplace les pages abîmées.

Non, même "magique" un grimoire peut être abimé.

Citation :: parfois immolées par des villageois furieux ou plus régulièrement, consumées par leurs propres magies.

Il n'y a ni villageois, ni village dans les marais ou les terres stériles.

Citation :: La respiration sifflante, autant par l'effort de la course que par le poison qui lui brûle l'intérieur, la sorcière du marais traverse la pente douce qui mène au petit village maritime le plus près.

Il n'y pas de villages au nord d'Abyssea, les villages côtiers les plus proche sont ceux de l'Ithrii'Vaan.

On a déjà discuté des sorcières des marais, de lufotu et toussa ainsi que des limites à respecter, donc modifies moi ce que je t'ai listé plus haut et je te valides Sickou :3: