Morgane Arken, mage de guerre de la cour du Grand Soltaar
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Morgane Arken
Sang-mêlé
Nombre de messages : 27 Âge : 30 Date d'inscription : 04/01/2015
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 99ans (né en 908) Taille : Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Morgane Arken, mage de guerre de la cour du Grand Soltaar Dim 4 Jan 2015 - 16:47
Nom/Prénom : Morgane Arken Âge/Date de naissance : 4° jour de la 2° ennéade de Karfias (été) de l'an 908 du 10° cycle, 99 ans Sexe : Féminin Race : Sang-mêlée Faction : Ithri'Vaan Particularité : En derniers recours, elle mord. Au lit aussi, parfois.
Alignement : Chaotique neutre Métier : Mage de guerre, notable yssoise, cabalite soltarii et membre de la cour du Grand soltaar Classe d'arme : Magie élémentaire
Équipement : Morgane est issue d'une classe particulière de la société : les émissaires drows d'Ithri'Vaan. Elle n'a jamais manqué de rien, de fait, et a hérité de quelques possessions suffisantes pour être à l'abri le restant de ses jours. Ses possessions principales sont une garde-robe conséquente, avec nombres de tenues jugées ouvertement provocante même dans sa contrée d'origine, quelques autres plus correctes et un certain nombre de bijoux. Elle porte quasiment en permanence deux lourds bracelets de métal noir, ornés de runes en drowiques et composées de plusieurs bandes de métal reliées ensemble. Ceux qui y verraient là de vulgaires ornements seraient loin en dessous de la vérité.
Description physique : Morgane est une belle femme aux attributs elfiques assez prononcés. Elle est grande, mesurant plus d'un mètre soixante-dix et possède un corps élancé mis en valeur par d'interminables jambes, des fesses musclées, un ventre plat et une poitrine à la stature arrogante. Elle possède toutefois une musculature légèrement trop développée qui contrarie son apparente finesse. Sa peau couleur caramel et ses cheveux blancs comme neige rendent son ascendance noirelfique assez prononcée. Son visage possède des traits délicats, une bouche fine, un nez aquilin, des yeux légèrement en amande à la couleur orange assez exotique et de longues oreilles effilées. Elle arbore le plus souvent une moue joueuse ou moqueuse, se déplace avec agilité et possède des réflexes aiguisés. C'est une acrobate douée.
Description mentale : Insouciante semble assez bien la qualifier. Morgane n'est pas quelqu'un qui accorde grande importance à son environnement, tant qu'elle peut faire ce qui lui plaît. Mais comme elle a en plus des goûts de luxe, elle doit consentir à quelques efforts. La position privilégiée de son père lui a longtemps garanti la tranquillité, mais désormais elle doit se prendre en main. Pas ambitieuse, elle se satisfait assez bien de servir de plus puissants qu'elle tant qu'elle y gagne en retour. Elle sait ce que valent ses capacités et n'hésite pas à en jouer. Espiègle et farceuse, elle peut-être une calamité ambulante quand elle s'y met. Sociable, elle apprécie discuter et passer du temps à jouer. Elle n'a pas vraiment le sens des responsabilités et compter sur elle pour gérer quelque chose semble une assez mauvaise idée. Elle est curieuse et dissipée, souvent à la recherche de nouvelles expériences et de sensations fortes.
Capacités magiques : Morgane a été entraînée par son père, Solaun Arken, mage de guerre du C'nros, vétéran de nombreuses batailles contre Nisétis et en Ithri'Vaan. Toutefois le drow n'a pas utilisé les méthodes classiques d'enseignements du Puy. Il décida d'apprendre à sa fille les techniques qu'il avait vus chez ses ennemis, les mages nisétien, et qui l'avaient intrigués dès le début. Ainsi, plutôt que d'utiliser des formules et des gestes cabalistiques, ils utilisent des mouvements de combats à mains nues pour façonner les éléments. Avec suffisamment d'expertise ceux-ci deviennent le prolongement du corps du mage qui combat presque aussi naturellement qu'un épéiste. Le principal défaut étant que les coups sont beaucoup plus facile à prévoir car toujours guidés directement par le mage. Comme la plupart des mages de guerre, Solaun met un point d'honneur à être aussi polyvalent que possible et a donc enseigné à sa fille l'utilisation de tous les éléments, même si celle-ci s'est avérée la plus talentueuse pour manipuler tout ce qui a trait à la terre. Elle n'en demeure pas moins capable d'avoir recours à d'autres formes. Elle ne s'y connaît pas vraiment en rituel et n'est pas une experte en grande démonstration magique impressionnante, néanmoins elle est capable de produire quelques effets intéressants. Elle possède deux bracelets du C'nros, offert par son père, qui sont devenus au fil du temps autant des catalyseurs que des armes : l'alliage utilisé pour les forger semble en effet particulièrement réceptif à la magie et facile à utiliser.
Histoire : Vieille Ys, an 604 du 10° cycle
Solaun contemplait les ruines de l'ancienne cité. Il s'assit sur une pierre en faisant craquer ses articulations fatiguées, laissant reposer son bras en écharpe contre son torse. Un mauvais coup de la part d'un des défenseurs humains. Il l'avait écrasé sous une colonne de roche en retour. Le mage de guerre du C'nros souffla longuement et porta son regard vers la mer non loin dont on sentait les embruns. Ils l'avaient finalement atteint. L'Ithri'Vaan était entre leurs mains désormais, ni les pentiens ni les oliyans n'avaient réussis à leur résister. Au nord, en plein cœur du delta, la dernière citadelle de ces terres, Essali, devait également être tombée. L'Elda s'était imposé à ces terres, il ne leur restaient plus qu'à en définir les nouvelles règles. Il sentit une présence derrière lui et se retourna pour jauger du regard un elfe qui s'approchait. Il ne put empêcher un frisson de parcourir sa nuque. Il le réprima et s'adressa à lui d'une voix naturelle, enjouée et victorieuse :
« Alors, qu'est-ce que le dangereux Porte-la-Peste va faire maintenant ? » L'elfe haussa les épaules : « Aucune idée encore, je vais voir ce que décident vos dirigeants. Ils ont promis de me laisser tranquille, mais je me méfie. Je vais essayer de me faire oublier je pense. J'en ai un peu marre des batailles de toutes façons. -Aucun regret pour l'union de Valmar ? -Ils étaient condamné, avec ou sans moi. Je n'ai fait qu'accélérer un processus naturel. -Les humains ne le verront sans doute pas comme ça. -Non, sans doute pas. C'est pour ça que je vais partir avant que l'un d'eux n'ai la bonne idée de me reconnaître. J'en ai finis ici, j'espère ne jamais vous revoir. -Moi de même. »
L'elfe se détourna et s'en alla. Le mage de guerre était imperceptiblement soulagé, il avait craint jusqu'au bout un sursaut de combativité de la part du nécromancien le plus célèbre de la région. Il avait déjà assisté à ses œuvres et le souvenir n'était pas parmi les plus agréables qu'il avait, même si la démonstration de talent avait été édifiante. Il se releva et se dirigea vers le haut commandement de l'armée. Ils recevaient les pour-parler humains. Des conditions furent édictés : interdiction de rebâtir la ville, soumission à l'autorité de la future confédération, qui à n'en pas douter serait dirigée par les drows... On chercha un volontaire pour rester sur place et s'assurer qu'il n'y aurait pas de révolte. Solaun hésita un instant, puis se proposa. Il arrivait sur ses cinq siècles et demi d'existence et commençait à se lasser des guerres incessantes.
Ys, an 945 du 10° cycle
La jeune femme s'écarta d'un pas de côté pour éviter le bloc d'argile, en fit exploser un autre d'un geste de la main alors qu'il allait la toucher, frappa le sol du pied ce qui en fit jaillir un disque de lancer et le projeta d'un mouvement de bras dans la direction du drow flétrissant face à elle. Celui-ci ne bougea qu'à peine et le disque s'envola en l'air. Deux coups de poings brefs dans le vide firent jaillir des flammes dans la direction de l'élève qui esquiva d'un salto. Elle se rétablit d'une roulade, posa la main sur une dalle qui lui colla comme aux doigts puis l'envoya directement dans l'abdomen du vieillard, lequel fut projeté en arrière et s'effondra légèrement. D'abord un sourire de vainqueur sur le visage, l'apprentie mage prit rapidement une moue inquiète et se releva pour s'approcher du mage qui ne bougeait pas :
« Papa ? Ça va ? »
Sans qu'elle s'y attende le sol glissa soudainement sous ses pieds et elle se retrouva à terre. Avant qu'elle n'ai put réagir une main plissée se tenait face à elle, une flamme allumée au creux des doigts, prête à jaillir. Et derrière, le visage malicieux de Solaun et son regard moqueur perdus sous des sourcils devenus brousailleux. La flamme s'évanouit et tous deux se redressèrent convenablement. Morgane interrompit la première le silence avec une voix légèrement vexée :
« Tu as encore triché. -Je suis arrivé à un âge où c'est pour moi le seul moyen de ne pas me faire battre à plate couture. -Tu es bien plus puissant que moi. -Encore heureux, j'ai plus de neuf cent ans d'expérience ! Mais je n'ai plus ni la vivacité ni les réflexes d'un bon mage de guerre. A ce petit jeu, tu me dépasses. »
Un serviteur entra dans la pièce et s'inclina respectueusement devant le drow qui remettait son manteau de dignitaire :
« Mon seigneur, le comte aimerait vous voir. Pour discuter de votre rapport à Sol'Dorn. -Encore ! J'ai l'impression que la dernière fois c'était hier. -La dernière fois, vous me battiez. -Humpf, ne te gargarise pas trop, impudente jeune fille. Bon, le devoir m'appelle. Je ne sais même plus à quoi je sers, la dernière fois que je suis allé à la citadelle, l'obok senger ne m'a pas reconnus, on a du trouver un de mes apprentis du C'nros pour confirmer que j'étais bien celui que je prétendais. Une belle bande d'imbéciles. Morgane, je te laisse la direction du personnel pendant mon absence. »
Aussitôt dit aussitôt fait, le patriarche quitta la salle d'entraînement tandis que deux esclaves s'empressaient de remettre de l'ordre et de balayer les morceaux d'argile éclatés. Alors que le serviteur messager allait accompagner son maître, Morgane le retint par le col. Il se tourna, agacé, vers elle :
« Oui, maîtresse ? -Quand vous serez au palais, n'oubliez pas de dire au fils du comte qu'il peut bien sûr passer quand il le désire. Ma porte lui est toujours ouverte. »
Le serviteur se retourna et marmonna quelque chose dans sa barbe comme quoi la porte n'était pas la seule, mais la sang-mêlée tandis deux doigts vers son dos, desquels fusât une décharge d'électricité qui claqua dans l'air comme un fouet et eut un effet semblable sur sa cible, qui se montra alors beaucoup plus silencieuse.
Ys, an 6 du 11° cycle
Morgane retourna la lettre dans ses doigts. La missive était d'importance : le quatrième ost n'existait plus. Telles étaient les dernières nouvelles en provenance de ce qui s'appelait désormais la Cité libre de Sol'Dorn. Elle pouffa. Cela faisait déjà plusieurs années que les cités se libéraient. Ys n'avait plus payés de tribut depuis au moins trois ans et son père, chargé de surveiller la ville, n'avait plus rencontré ses supérieurs hiérarchiques depuis presque un demi-siècle. Elle tourna son regard vers la tapisserie qui la séparait de la chambre de celui-ci. Il ne l'avait pas quitté depuis quelques mois, devenant de plus en plus faible. Les changements ne lui seyaient guère, même s'il avait toujours été un 'despote éclairé' : il avait épousé une humaine, Dhalya, de laquelle il avait eu une fille, n'avait jamais réellement interféré dans la vie de la cité, avait même parfois aidé -en une occasion particulièrement il avait réussit à contenir un incendie- et était globalement toléré, parfois même apprécié. Mais la disparition de l'autorité d'Elda, c'était peut-être plus qu'il ne pourrait en supporter. Elle soupira un grand coup et elle rentra dans la chambre. Son père était allongé sur son lit, dans la pénombre. Elle s'en approcha, le salua et commença à lui parler des derniers jours, histoire de le réveiller. Elle s'étonna qu'il ne prononce pas un mot. Lorsqu'elle s'approcha elle remarqua que la poitrine ne se soulevait pas. Elle laissa tomber la lettre, s'assit sur le bord du lit et d'une main délicate ferma les yeux du drow, qui semblait comme apaisé dans son dernier sommeil. Elle essuya une larme qui perlait et resta un moment seule et silencieuse avant de faire appeler les serviteurs et de préparer les obsèques.
Ys, Favrius de l'an 8 du 11° cycle
Deux ans. Deux ans que Morgane gérait les affaires de son défunt père. De loin. L'avantage de cette région était que l'on pouvait aisément trouver quelqu'un pour s'occuper de vos affaires à votre place si l'on savait un peu s'y prendre. Elle était protégée des arnaques tant par le droit de la cité que par sa propre réputation et sa généalogie. Elle passait l'essentiel de son temps à se divertir, à rencontrer d'autres notables, à voyager et parfois à gérer un peu son patrimoine, quand même.
Cette fois-ci, elle était au palais d'Ys, l'un des rares bâtiments qui utilisaient un peu de marbrer blanc. D'après ce qu'elle en savait autrefois toute la ville était faites de cette matière, elle étincelait sous les rayons du soleil et resplendissait comme un joyau dans son écrin. Les récits de Solaun sur ses batailles contre Nisétis avait grandement nourris l'imaginaire de la jeune fille qu'elle avait été, et une question était revenue sans cesse : pourquoi drows et nisétiens s'étaient-ils battus ? Et chaque fois qu'elle l'avait posée à son père, elle n'avait eu que des bredouillements sur des querelles de territoire pour toutes réponses. Elle soupçonnait que, sur la fin, lui-même se posait beaucoup la question. Désormais elle était assise dans un petit salon du palais pour une réception. On l'avait invité, elle mais surtout tous les notables de petite cité, à l'occasion du retour de la fillette et de son marmot. Morgane se souvenait qu'elle avait passé quelques années à Ys lorsque le reste de la famille dirigeante avait séjourné à Thaar. Des rivalités internes, si elle se rappelait bien les raisons d'une telle séparation. Si la sang-mêlée s'en était surtout souvenu, c'est parce que la gamine avait côtoyé l'une des rares personnes capable d'effrayer son père, une sorcière venue de l'est. Si elle avait été plus attentive à la politique locale, elle aurait peut-être pressenti ce qui se tramait. Ou tout au moins aurait-elle compris plus vite. Mais elle s'en fichait. Elle se contenta, en voyant des hommes d'armes traverser les couloirs, de prendre une bouteille de vin avec elle, une coupe et de quitter le bâtiment dans lequel commençait à flotter une odeur de brûlé. Une fois dans les jardins elle s'assit sur un rebord de pierre et se servit du millésime avant de contempler le spectacle qui s'offrait à elle. Bon, la gamine était dehors, à quelques pas d'elle-même, cela ne laissait donc pas beaucoup de choix quant aux cibles des hommes d'armes. Elle soupira en buvant une gorgée : ce n'était pas exactement le premier coup d'éclat auquel elle assistait. Et elle n'avait même pas encore un siècle. Elle se releva et s'approcha de la petite duchesse comme on la surnommait, même si ça n'allait sans doute pas durer. Tenant sa coupe d'une main, elle la remplit et arrivé à la hauteur de la jeune fille, sous le regard attentif et un brin méfiant de quelques hommes assurément gagnés à sa cause, elle lui tendit la coupe avec un franc sourire :
« Princesse, serait-ce trop osée de vous proposer de trinquer à votre réussite ? »
Un discret sourire indéchiffrable sur le visage de celle qui n'était plus une enfant fut sa seule réponse car la nouvelle maîtresse des lieux fut appelée à des affaires plus pressantes. Avant de se détourner elle prit toutefois une gorgée dans la coupe. Tandis qu'elle lui passait devant, Morgane fit une courbette peut-être un brin exagérée.
Boniverdi, Favrius de l'an 8 du 11° cycle
Accoudée au bastingage, Morgane contemplait la terre qui se dessinait devant elle. Si elle avait su, elle aurait peut-être réfléchi à deux fois avant d'attirer l'attention de la duchesse de Soltariel. Non pas que le voyage lui déplaisait foncièrement, il avait même plutôt tendance à exciter sa curiosité. Elle s'était juste sentie un peu forcé la main. Mais elle s'habituerait sans doute, et s'était une occasion de voir ce que valait les péninsulaires lorsqu'il s'agissait de magie. Elle espérait ne pas être trop déçu.
Soltariel, Favrius de l'an 8 du 11° cycle
L'eau frappa l'homme au visage comme un poing, vira en l'air et le percuta à l'estomac. Il s'effondra à quatre pattes, rendant son déjeuner sur le sol de pierres nus de la salle d'entraînement. Il essaya de se relever mais n'y parvint pas et s'effondra sur le côté. En face de lui Morgane s'essuyait le front d'un revers de bras tandis que tout autour les mages de leurs deux cabales exprimaient leur satisfaction ou leur frustration. Quelques sommes s'échangèrent, tandis que l'arbitre annonçait les résultats :
« Morgane est déclarée vainqueur. La cabale du Lotus Rouge remporte donc son duel face à la cabale du Souffle de Saphir. Selon les règles, Le Souffle de Saphir doit donc céder au Lotus Rouge les enjeux du pari, à savoir : une bourse de pièces d'or et le Lexique des terres elfiques par Herman Coteaz. »
Les mages quittèrent petit à petit les lieux, deux collègues du perdant venant l'aider à se relever en lançant des regards mauvais à la sang-mêlée. Elle y était habitué de toutes manières, rares étaient en cette cité les personnes qui l'appréciaient. Même ses confrères semblaient s'en méfier, bien que sa propension à battre à plate couture n'importe quel adversaire dans un duel magique savait les adoucir. Elle avait rejoint le Lotus Rouge peu de temps après son arrivée à Soltariel, sur conseil et insistance de la duchesse qui souhaitait voir une yssoise rejoindre les cabales. Celle-ci était la seule qui l'avait acceptée, ils ne faisaient pas trop de ségrégation et s'intéressait principalement à la maîtrise des forces élémentaires. Ils avaient notamment été conquis par les techniques toutes particulières de Morgane. Après sa petite démonstration, elle discuta un temps avec le reste de la cabale, notamment le maître de celle-ci qui passa de longues minutes à la féliciter, la congratuler, admirer ses talents sans toutefois décider de lui accorder un rang supérieur ou même une quelconque rétribution. Ils possédaient notamment quelques livres apparemment tirés de l'époque pharétane qu'elle désirait lire mais on ne lui en avait pas autorisé l'accès. Puis elle regagna le palais où elle logeait dans l'un des appartements mis à disposition des membres étrangers de la cour de la duchesse et où l'attendrait, elle l'espérait, un bon bain.
Azhar Tahwi Salougan
Ancien
Nombre de messages : 195 Âge : 30 Date d'inscription : 06/04/2014
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 93ans (né en 914) Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Re: Morgane Arken, mage de guerre de la cour du Grand Soltaar Dim 4 Jan 2015 - 17:04
Miam miam. *se frotte les mains*
Je lis tout ça ce soir.
Azhar Tahwi Salougan
Ancien
Nombre de messages : 195 Âge : 30 Date d'inscription : 06/04/2014
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 93ans (né en 914) Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Re: Morgane Arken, mage de guerre de la cour du Grand Soltaar Dim 4 Jan 2015 - 20:50
Bon bein validé.
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Sujet: Re: Morgane Arken, mage de guerre de la cour du Grand Soltaar
Morgane Arken, mage de guerre de la cour du Grand Soltaar