Wilwarin Ostoher, second chef de la confrèrie de l'union, capitaine des aigles.

Nom/Prénom : Wilwarin Ostoher
Âge/Date de naissance : 476 ans,
Sexe : masculin
Race : elfe
Faction : Cités elfiques
Particularité : Votre texte ici

Alignement : Votre texte ici
Métier : Capitaine des aigles
Classe d'arme : Corps à corps // Magie

Équipement :
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Description physique :
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Description mentale :
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Capacités magiques :
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Histoire :
« À vrai dire, même l'éternité est digne d'être affreuse, combien de dieux ne se sont pas battus ou n'ont pas envoyés de leurs propres sangs pour se faire comprendre, combien d'hommes et de femmes, d'enfants et de bêtes avons nous vu périr à travers une boîte à image, devant nos yeux ébahis, quelle est cette tristesse qui s'acharnent. Pouvons nous réellement s'affoler sur une chose qui nous insatisfait plus que tout au monde ! Devons nous réellement nous battre contre nos frères et sœurs pour se faire comprendre, est-ce qu'arracher des vies c'est réellement raisonnable, ô mère. » Capitaine des Aigles, Wilwarin, lié par le sang à la famille, Ostoher.

Qui aurais bien pus croire qu'un être comme lui en soit arrivé à ça, c'est épouvantable jamais, oh non ! Jamais, ses parents n'auraient voulus ça pour leurs enfants. Notre si belle chanson commence à Ardamir, fière cité d'où prospère gaieté et bonheur, pourtant, y règne aussi déshonneur et pleure. Un soir bien chaleureux, un aigle tournoya au-dessus de l'Anaëh, les elfes ne le virent sans doute pas, mais il fit trois tours puis repartit comme il était venu. Certaines rumeurs des elfes en Holimion, raconte que si un aigle fait un tour par de-là les arbres, ça veut dire qu'un aigle naîtra ici, s'il fait trois tours, c'est un capitaine, s'il en fait cinq, c'est un héros des aigles. Quelques jours plus tard, un elfe vint au monde dans la famille des Ostoher, cet enfant se baptisera Wilwarin.

Le soleil montait dans le ciel comme une fleur qui grandit au cours de la saison, en cette saison hivernale les journées passèrent, et on put en croire que cette bénédiction de l'aînée se réalisa, trois jours après. La chose qui bouleversa encore plus les choses, c'est qu'une druide des plus banales possédait l'animal totem de l'aigle, et en voyant son idole volait au-dessus de cette ville la meilleure chose qu'elle eut à faire fut de rentrer dans cette endroit. Oh ! Pourtant beaucoup savait qu'elle haïssait les citadins avec leur manière d'être avec la nature, leur façon de vivre, pour elle, ce ne sont pas des vrais elfes. L'elfe parcourut donc chaque ruelle à la recherche du moindre indice, une aiguille dans une botte de foin. Pourtant, elle dû bien passer deux ou trois devant cette plume, lorsqu'elle l'aperçut par chance, une jeune enfant allait la ramasser.

Une grande année passèrent après la surprise qui fracassa la jeune fille, totalement en larme de quitter ses parents. La tristesse se fit énormément ressentir dans cette maison où la mère sentait qu'elle câlinait son enfant certainement pour la dernière fois, car les apprentis druides citadins qui partaient apprendre cet art sont rares, encore plus ceux qui  reviennent. La jeune enfant posa ses bras autour du cou de sa mère et hurla de nombreuses fois des paroles tellement tristes que les marquaient vous ferez pleurés de chaude larme. Même si l'elfe c'était habitué à dire qu'il ne se reverrait pas sa mère, les choses resteront toujours durs à acceptés. Pendant ce temps, son frère âgé lors de cette événement de trois ans, prénommé Wilwarin Ostoher, grandit et apprit les respects de certaines choses elfiques, tel que le respect d'autrui.

Là débute véritablement notre histoire, lors des premières classes elfiques, c'est-à-dire âgé de dix ans. Le jeune enfant put découvrir des personnes de son âge, mais qui était pourtant différent, il put découvrir d'une sorte, le véritable monde qui l'entoure sans pour autant, ne pas oublié les choses que sa mère lui a apprise durant son enfance et d'un autre côté, l'histoire de ce continent. L'enfant grandit donc en se faisant des amis, mais pas que, beaucoup d'ennemis aussi. C'est ainsi qu'un soir le jeune elfe, parcourant le dédale de ruelles pour rentrer chez lui rencontra deux jeunes qui lui en voulait énormément pour ce qu'il avait fait à leur camarade. Le jeune enfant se prit donc une raclée monumentale.

Wilwarin gisait au sol, comateux, à côté d'un autre enfant qui avait une grosse brûlure au front. Des parents hurlaient le prénom de leurs enfants pendant ce temps non-loin de là. L'ennemi de Wilwarin, encore au sol réunit ses dernières forces et hurla à ses parents qu'il se trouvait dans la ruelle, ses parents accoururent ainsi que ceux de Wilwarin. Lorsque ses parents arrivèrent, son père le prit sur son épaule et l'amena dans sa chambre où ses géniteurs le surveillèrent de très près. À la recherche de la moindre once de vie en lui. Un jour l'enfant poussa un cri, puis rouvrit les yeux doucement.
« Mon enfant tu es enfin réveillé ! » lui dit son père en le serrant tendrement dans ses bras.

Le jeune enfant avait subit un tel traumatisme qu'il scruta l'endroit des lieux, tout lui paraissait encore inconnu. Il regarda alors cet homme en face de lui et se mit à trembler comme une feuille, l’apeuré resserra la couverture sur lui.

« Q...que me voulez-vous ? » murmura l'enfant apeuré.
-Tu ne me reconnais pas ? Je suis ton père arrête tes sottises, allons. »

Les journées passèrent et le jeune enfant se rappela doucement, vint alors un soir où ses parents lui demandèrent ce qui s'était passé lors de cette soirée dans cette ruelle. Le jeune enfant raconta alors ce qui s'était passé cette soirée. En réalité, le jeune enfant avait eu des histoire bien plus tôt dans la journée avec une enfant qu'il voulait voler une fille qu'il appelait Halyalïnde. Le jeune intrépide doté d'un énorme courage se plaça devant la fille et en regardant le jeune homme dans les yeux lui dit. « Tente la moindre chose sur elle et je te promets sur Kyrïa, elle-même, que je te ferai payer. » l'adversaire s'avança alors vers Wilwarin en rigolant et le frappa en plein dans l’œil droit ce qui valut à l'enfant un œil au beurre noir. Reprenant ses esprits, l'elfe avait frappé plusieurs fois cette personne au visage et il lui aurait rendu les coups. À la fin de la journée, alors que l'enfant repartit chez lui tranquillement, il rencontra un petit groupe de deux personnes qui lui ont demandés pourquoi il avait fait ça ce matin, en ayant finit de s'expliquer il voulut passer, mais les jeunes lui bloquèrent le passage, c'est ainsi que les choses tournèrent mal, sauf que lorsque le jeune était au bord du comas, il pria que quelque chose lui vienne en aide, et le visage du jeune enfant reçut une giclée de flamme en pleine tête. Ses parents surpris, se demandèrent si la meilleure chose à faire n'était pas de l'inscrire à l'école de magie d'Alëandir.

Les années passèrent tandis que l'enfant finissaient de s'instruire sur les rudiments premiers ce qui lui forgea son premier opinion sur les elfes de l'Anaëh et cette opinion n'a toujours pas changer au jour d'aujourd'hui. L'elfe se vit proposer par ses parents de poursuivre ses études en Alëandir pour maîtriser la magie, il ne pouvait pas se refuser et partit donc avec sa famille en Alëandir ou il passa un test d'arcane pour juger de son potentiel magique. L'elfe se concentra de toutes ses forces et au bout de quelques secondes une toute petite flamme bleu sortit de sa main, l'apprenti mage se fit donc accepter dans l'école de magie d'Alëandir pour apprendre son art. Le jeune enfant créa ainsi un énorme lien avec son professeur de magie, Lïrion.

Les années passèrent alors que Wilwarin puisse revoir sa sœur qui lui était chère, Vaïnka devenu druide. Pendant beaucoup d'heures les deux elfes purent se connaître et partageaient leurs points communs sur différents sujets. Un jour alors que la druide et le mage se trouvait à l’extérieur de la ville, ils jurèrent fidélité qu'ils se battront pour que la vie entre les noss et les citadins se passent beaucoup mieux. À vrai dire, la confrérie de l'union n'est pas né comme ça, mais l'histoire suivra un peu plus loin. L'elfe âgé d'une bonne centaine d'année prit conscience qu'il devait faire encore plus des efforts pour pouvoir faire ceux dont il voulait depuis longtemps. Combattre pour une meilleure vie. Lors de la cérémonie familial afin de célébré le nouveau mage des Ostoher, son père lui offrit son arme avec laquelle il avait tant combattu, Dagnir, le tourmenteur fut le nom de l'épée.

Voici que l'elfe devint un mage à part entière. Ne sachant pas où se trouvait sa sœur il vadrouilla dans la forêt à la recherche de cette dernière armé de son épée fétiche. Lorsque deux elfes des noss lui tombèrent dessus, sans voulant discuter, ses derniers essayèrent de le tuer, mais ne purent que le capturer. Lors de l'assaut donné sur le mage, ce dernier reçu un coup dans le bras ce qui rendit une énorme cicatrice sur le bras, lorsque ce dernier se réveilla il remarqua que sa sœur n'était pas loin. Le jeune homme n'était pas comateux cette fois-ci et était conscient de ce qui se passait. Lorsque le chef de noss apprit que sa sœur était là, il délivra le prisonnier et lui présenta ses excuses. Les deux jeunes gens expliquèrent tranquillement au chef de noss pour quel raison il se battait, ce dernier leur souriait et leur présenta toute sa gratitude pour cette quête hardis puis les deux jeunes gens repartirent à Alëandir, pour dire au revoir à leur famille.

Après les adieux faites aux parents, les deux jeunes elfes partirent en quête de nouveaux pour leur confrérie en traversant l'Anaëh et les nombreuses régions qui peuplaient cette forêt aussi grande que majestueuse. Leur première recrue se trouvait en Quatrième saison et cet elfe s’appelait Adanedhel, et s'en suivit d'un bonne quinzaine d'autres recrus, jusqu'à ce que le recrutement s'arrête brutalement durant un bon demi-siècle sans pour autant rallier énormément de monde à leurs causes. La confrérie décida alors de suspendre leur groupe pendant un certain temps ce qui contraint Wilwarin a retourné en Alëandir avec ses parents.

Pendant de nombreuses années Wilwarin rendit service aux gens de la ville et travailla chez son père en tant que forgeron, puis un jour lui vint le désir de servir enfin à quelque chose. De prouver au monde qu'il était un véritable homme, du haut ses deux-cents années de vie, le jeune elfe décida de rejoindre l'armée elfique en tant que mage et alla voir un recruteur qui lui fit passer un test en fonction de son niveau et de sa magie.

HRP

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