|
| Changer pour mieux avancer [PNJs] | |
| | Auteur | Message |
---|
Alanya de Saint-Aimé
Ancien
Nombre de messages : 1016 Âge : 224 Date d'inscription : 08/04/2014
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 ans à la fin de l'Ellipse Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
| Sujet: Changer pour mieux avancer [PNJs] Ven 19 Fév 2016 - 19:23 | |
| Le 4ème jour de la 1ère énnéade du mois de Vérimios, de la 8ème année du 11ème cycle. Alonna les Tois-Murs, en fin d'après midi.
La capitale était encore en ébullition. Le départ des troupes avait soulevé les foules et chacun allait de son commentaire guilleret sur les chevaliers, les soldats mais surtout pour le couple baronnial. Quelques spéculations traînaient toujours sur la grossesse de la Dame de Broissieux, sur la bienveillance de son époux mais parmi les sceptiques, aucun n'eut la verve assez forte pour se faire réellement entendre. Ce n'était d'ailleurs pas plus mal ainsi. Fulcran avait salué une dernière fois sa sœur et son nouveau frère. Il l'avait sans joie, plus par devoir que par envie car il était ainsi. Il ne voyait pas le bonheur d'une telle démonstration de force mais les morts qui en résulterait. Il voyait la charge et le devoir que son aînée lui avait laissé comme une pomme empoisonné. Si parmi la cour d'Alonna beaucoup rêvait de pouvoir, lui n'aspirait qu'à retrouver le confort du manoir Broissieux et des vignes à flanc de la petite colline. Il y avait fait un court séjour à son retour d'Oësgard, trop court. Il était à présent coincé dans un rôle qui ne lui convenait manifestement pas, dans une cité qu'il connaissait si peu et parmi des gens qu'il n'appréciait guère. Mais il le ferait. Il le ferait pour l'amour qu'il portait à sa sœur. Il le ferait pour épargner Angélique qui malgré ses quelques années de plus, ressemblait d'avantage à une cadette. Elle était aussi belle et fragile qu'un papillon aux ailes transparentes. Oh oui, il aurait tout fait pour sa famille, même si à leurs yeux il restait un gamin incapable. Son cœur se pinçait en cette fin de journée. Il avait vu partir tour à tour les seules personnes à même de diriger la baronnie à sa place. A qui pourrait-il se fier à présent qu'ils étaient sur les chemins de la guerre ? Il n'était pas prêt, au demeurant, à reprendre les rênes si jamais il arrivait malheur à sa sœur chérie et son frère d'alliance. Il serait pas plus entouré qu'à cet instant : seul, indéniablement et tristement seul. « Allons Fulcran... Ils reviendront... ». La voix douce et cristalline d'Angelique le tira de ses pensées. Il avait avec elle une relation particulière. Ils étaient comme les deux faces d'un souverain. Ils ne semblaient complet qu'en la présence de l'autre. Elle savait presque tout de lui et pourtant, à cet instant, elle n'arrivait pas à trouver les mots pour l'apaiser. « Angélique a raison. Tu dois te reprendre. Votre sœur ne t'a pas laissé seul. Elle a noté toutes les instructions utiles sur le papier devant toi... » « Ai-je vraiment envie de lire ? » « Il n'est plus question d'envie depuis le jour où votre aînée a pris le pouvoir, mon enfant. » Sidoine était une femme charmante qui avait toujours agit au mieux pour ses enfants et pourtant, elle n'avait jamais été plus amer qu'en ce jour. Elle avait mille et un reproche sur le bout de langue qui ne demandaient qu'une faute pour jaillir d'elle comme un monstre aux immenses tentacules. Son fils ne la reconnaissait plus et il ne lui accordait même plus sa confiance. L'ombre du seigneur d'Eskil planait bien trop sur elle pour qu'il ne puisse s'ouvrir librement à sa mère. Ils se trouvaient tous dans la grande salle. Il ne connaissait pas la moitié des présents. Peste soit ce Duncan ! Il avait remué plus de merde qu'un palefrenier un jour mauvais. Il ne l'aimait guère – pour le peu qu'il l'ai vu. Après tout il lui avait volé Alanya. Elle s'était envolé loin de lui une fois de plus. Et même s'il s'était résigné à l'idée d'un jour pouvoir passer du temps auprès de cette idole, il jalousait ceux qui l'approchaient. Il observait l'assemblée. Seules quelques personnes qu'il ne parvenait pas à remettre étaient installée autour de la grande table. Le Faucon et le Lys avait laissé des instructions claires et importantes, à faire appliquer en leur absence. Du haut de ses vingts et une année, le jeune homme ne savait comment agir. Devait-il il lire la lettre ? Oui, mais dans ce cas, comment faire taire l'assemblée qui semblait plus obnubilé par les commérages que les véritables nouvelles. Si ma sœur venait à mourir, je serais le nouveau baron. Comme pour se donner du courage, il se répéta inlassablement cette même phrase dans sa tête. C'était faux sans aucun doute, mais il avait besoin de croire. Il avait besoin de se rassurer sur la suite tandis que ses yeux finissaient de parcourir le vélin et la salle occupée en tout et pour tout une vingtaine de personnes. « Des ministères ? » Angélique posa une main réconfortante sur la sienne. Il aurait voulu fuir mais ses jambes ne lui obéissaient plus. Il devait agir pour le bien de sa terre, et ce, au nom de sa sœur. Pourquoi n'était-elle pas restée ? « Peut-être serait-il judicieux de les faire se présenter. » « Savent-ils au moins pourquoi ils se trouvent ici ? » Elle lui sourit. « J'en ai vu certains avoir quelques entrevues matinales avec le seigneur du Lys. » « Il n'y a donc aucun grand seigneur hors le seigneur d'Azrith ? » « Je n'en ai point vu d'autres... » La discussion s'était faite à voix basse tandis que chacun ne prêtait pas plus d'attention à la famille de la baronne qu'un coup d'oeil de temps à autre. Pourtant aucun ne paraissait inquiet. Peut-être savaient-ils quoi faire. Fulcran se retrouvait au milieu de cette assemblée dans plus d'arme qu'un nouveau né au milieu d'une bataille. « Messieurs, nous sommes réunis en ce jour pour veiller à construire l'avenir de la baronnie telle que ses Honneurs Alanya de Broissieux – ma sœur – et son époux Duncan du Lys l'ont voulu. J'entends à ce que leur absence ne soit pas un obstacle, pour personne. Ils ont veillé à rencontrer la plupart d'entre vous pour s'entretenir des rôles que vous allez tous jouer dans ce futur. ». Sa voix avait été assez forte pour couvrir les quelques discussions parasites. Il était terrifié et jamais il n'avait été aussi peu sûr de lui qu'à cet instant. Il espérait secrètement que chacun lui pardonne sa maladresse sans grand espoir. « Et malgré les instructions laissées, je crains de ne pouvoir vous remettre tout à fait. ». La calligraphie de sa sœur était étalée face à lui. Elle parlait de ministères, de ministres assignés à des fonctions qu'il ne comprenait guère pour le moment. Justice, économie, relations internes et étrangères... Autant de tâches qui étaient soumis depuis Constance à une ingérence notable et aujourd'hui, les barons s'imaginaient pouvoir remédier à cela. Il espérait franchement qu'ils ne se trompaient pas... « Afin de pouvoir satisfaire toutes les attentes de vos suzerains, je repousse ce conseil à plus tard, lorsque j'aurais eu l'honneur de m'entretenir une fois avec chacun d'entre vous. » Les conversations reprirent alors que tous se levaient. Il regarda le vélin une nouvelle fois, déchiffrant tant bien que mal le premier nom de la liste. A côté était apposé son nouveau titre qui ne représentait rien pour Fulcran. Quelques mots venaient compléter la description, et à en croire Alanya il était un homme d'importance pour la suite des réformes... Peut-être devrait-il commencer par lui ? « Matthieu... Galainier ? » . Un garçon plutôt bel homme cessa sa conversation pour se tourner vers lui. « Pouvons-nous nous voir ou votre soirée est-elle déjà occupée ? ». Nul reproche mais le sang du jeune homme ne fit qu'un tour lorsque, du coin de l'oeil, il apperçut le sourire béat de son Angélique. Elle était aussi sotte que les petites filles lorsqu'il s'agissait d'amour et il aurait parié que jamais elle ne l'avait vu auparavant...
|
| | | Duncan du Lys
Humain
Nombre de messages : 242 Âge : 29 Date d'inscription : 08/08/2014
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 31 ans. Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
| Sujet: Re: Changer pour mieux avancer [PNJs] Sam 20 Fév 2016 - 14:28 | |
| Mathieu Galainier C'était aujourd'hui le frère de la baronne qui tenait les rênes de la baronnie, tandis qu'elle et son nouvel époux, Duncan du Lys, s'en étaient allés bien au nord des frontières du territoire, guerroyer contre une menace grandissante et terrifiante. La famille Galainier était originaire d'Alonna, et avait toujours vécu dans la cité portant le même nom. Famille bourgeoise aisée, ils avaient soutenus économiquement - et prudemment, les Broissieux pendant la guerre civile. Famille discrète, loyale plus à la terre qu'à celui - ou celle, portant le titre, le cadet se nommait Mathieu. Les deux aînés avaient perdus la vie pendant la guerre, dans des circonstances sombres, et l'unique héritier des Galainier faisaient parti de ceux qui, d'un commun accord entre Alanya et Duncan, figuraient sur la liste ministérielle.
Cette fameuse liste, contenant quelques noms, certains illustres et d'autres pas, était destinée à servir de base de départ d'une réforme de grande envergure, cherchant à séparer les responsabilités internes à la baronnie, et à créer des corps et des ministères. A leurs têtes seraient placés les plus aptes à le faire, des hommes intelligents, se hissant grâce au mérite. Il y avait certes quelques noms qui avaient gagné leur place grâce à leur influence, mais ce n'était pas le cas de Mathieu Galainier. Homme simple, modeste et fidèle, discret et travailleur, il était l'archétype du bon dirigeant, si ce n'est qu'il n'avait aucune ambition dans la vie. Lorsqu'on l'appela, il interrompit ce qu'il faisait, et vint devant le trône, où il s'inclina bien bas.
« Non, monseigneur, je me tiens à votre disposition. »
Ni une ni deux, Fulcran l'emmena dans une salle, se trouvant enfoncée dans les couloirs du château. Alors que ce dernier s'installait à la table, d'un geste de main quelque peu nerveux, il invita Mathieu à s'asseoir. Il s'exécuta, gardant ses mains poliment placées sur ses genoux, se tenant droit. Fulcran plaça une main dans l'autre, et le regarda, attendant qu'il s'explique.
« Son Honneur votre sœur la baronne et son époux m'ont expliqué en détail leur souhait.Le cœur de leur réforme est de déléguer les responsabilités à des corps, qu'ils nomment ministères. Actuellement, ces corps sont ceux de la Défense et de l'Armée, de l'Économie, de la Justice, des Relations Externes et Internes. Une partie de l'aile du château a été rebaptisée la Chancellerie, et mes nouveaux locaux se trouvent là bas.
Tous les documents liant Alonna à d'autres territoires ont été regroupés là bas. Il s'agit de traités, d'échanges épistolaires, de rapports, principalement. Mes devoirs seront de veiller aux bonnes relations entre Alonna et ses correspondants, d'entretenir les avantages diplomatiques de la baronnie - par les moyens officiels comme officieux - et d'informer nos barons des nouveautés dans ce domaine. Étant chargé de conserver la position d'Alonna dans l'échiquier politique, mon travail est intimement lié aux ministères à venir de l'Économie, et surtout à la personne du baron et de la baronne, dont je reçois les directives. Je me dois également de leur prodiguer, à la lumière de mon travail, les meilleurs conseils et les procédures à suivre selon les contextes. »
Galainier demeura silencieux, se mordant l'intérieur des joues. Il estimait avoir été bon. Seul l'avenir le dirait.
|
| | | Alanya de Saint-Aimé
Ancien
Nombre de messages : 1016 Âge : 224 Date d'inscription : 08/04/2014
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 ans à la fin de l'Ellipse Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
| Sujet: Re: Changer pour mieux avancer [PNJs] Jeu 25 Fév 2016 - 13:03 | |
| Mathieu Galainier était somme toute un homme respectable. Jeune et beau, il avait un joli port de tête et les épaules solides. Sa bourgeoisie transparaissait dans ses gestes et ses habits qui semblaient bien couteux. Et malgré son apparente jeunesse – peut-être à peine plus vieux que Fulcran – il avait cet air calme et réfléchis qu'on les gens responsables. Le jeune cadet de la baronne ne se souvenait plus de lui qui semblait avoir été un appui important durant la guerre civile. A vrai dire, il n'avait guère vu que quelques proches. Envoyé avec la douce Angélique à Broissieux, ils n'avaient le droit de sortir, ne serait-ce que pour se balader. L'enjeu était trop important, du moins c'était ce que disait son cousin. Il n'avait de Desmond que quelques brides de souvenir. Après tout, ils ne se rencontraient pas souvent au vu de l'éloignement du castel de Broissieux et du petit manoir d'Entiane. Sa mémoire lui rappelait un homme jovial et moyen. Moyen était le bon qualificatif : il n'était pas brillant sans être dépourvu de toute logique, il été instruit sans trop, capable de tenir une conversation s'en entrer dans les détails. L'oncle de Fulcran avait bien fait les choses. Il n'avait vu Philippes – le frère aîné de sa mère Sidoine – que deux fois. Un homme bourru et sévère mais néanmoins prévenant et attentionné pour sa famille. Le bourgeois propret à ses côtés avait-il eu une famille si étrange ? Galainier était anxieux. Il expliquait sans plus détails et son ton, quoique posé laissait transparaitre un fond d'appréhension. Fulcran pouvait-il l'en blâmer ? Pour lui aussi toutes ces manœuvres lui était étrangères. Il n'avait jamais été préparé à diriger autre chose qu'un petit manoir au milieu des vignes, dans le sud d'Alonna. Et même s'il était largement épaulé par Sidoine et le conseil, il se devait de prendre des décisions seul. C'était ça la véritable identité du pouvoir. Les gens qui en jouissent peuvent être aussi entouré que lui, au final ils se retrouvaient bel et bien seuls face aux décisions. A présent, il comprenait un peu mieux son aînée. Il avait longtemps détesté Alanya pour ce qu'elle était. Froide, implacable, distante. Peut-être qu'aujourd'hui, en entrevoyant son quotidien, il pouvait comprendre. Il inspira lentement avant de sourire poliment à son invité.
« Je... », il balbutia un instant tandis qu'il cherchait les mots justes. Il avait peut-être mille et une questions en tête et aucun ne semblait s'ordonner correctement dans sa tête. « Sur quoi la Chancellerie aura-t-elle autorité exactement ? Vous me parlez de ministères, mais ces mots là me sont aussi peu commun que vous l'êtes. ». Il réfléchit un instant à sa phrase avant de se reprendre. « Sans offense bien sûr ! ». Fulcran triturait ses doigts nerveusement. Il n'était pas à l'aise à cet instant et son inquiétude prenait le pas sur sa raison et son devoir. Il inspira profondément. L'homme en face de lui ne devait être guère plus vieux que lui. Cinq années tout au plus. Il essayait de calmer les ratés de son cœur. Comment une entrevue si importante pour son image pouvait-elle se dérouler si mal ? Ici, dans cette salle, il était seul. Personne ne serait là pour l'aider et il devait faire front à son angoisse. « Je suis maladroit, veuillez m'excuser... Tant de choses nouvelles que ses Honneurs n'ont pas eu le temps de m'expliquer. Cela aurait été plus simple autrement. ». Il eut un maigre sourire, en essayant de garder bonne contenance. « L'absence de ma très chère sœur et de son époux ne doit pas vous arranger non plus, à la Chancellerie... Leur projet n'en est qu'à ses débuts et les voilà déjà contraint de laisser toute les responsabilités de ce dernier aux mains de leurs élus. Sachez monsieur de Galainier que je vous aiderai au mieux, selon les moyens dont je dispose. » ? Fulcran retrouvait un peu de son assurance mais il continuait à marcher sur des œufs. « Dites-moi, qu'avez-vous prévu de faire jusqu'au retour de son Honneur du Lys ? ». Il ne se leurrait pas. Si sa sœur approuvait certainement les décisions de son fringuant époux, elle n'était pas l'instigatrice de ces changements. Il était surtout curieux de connaître les instructions précises qu'il avait laissé. La gestion des relations de la baronnie était une tâche fastidieuse auquel il avait largement participé en se rendant auprès du seigneur de Clairssac et du marquis de Serramire, Aymeric de Brochant. Il était à même de comprendre la situation délicate de sa terre. Non seulement il pouvait l'entendre mais il se devait de le faire, et ce, jusqu'au retour du couple baronnial...
|
| | | Duncan du Lys
Humain
Nombre de messages : 242 Âge : 29 Date d'inscription : 08/08/2014
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 31 ans. Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
| Sujet: Re: Changer pour mieux avancer [PNJs] Dim 28 Fév 2016 - 8:08 | |
| Galainier gardait un sourire poli, qui ne pouvait en aucun cas être pris comme du mépris. Devant lui se tenait un homme dépassé par sa tâche, et qui manifestement n'avait pas les capacités pour le cacher. La seule différence entre lui et Galainier, c'est que ce dernier cachait son appréhension derrière sa politesse et son humilité. Le ministre bougea un peu ses fesses pour s'enfoncer dans son fauteuil, toujours droit comme un piquet, et les mains placées sur ses genoux.
« La Chancellerie est le terme que Son Honneur a choisi pour désigner les locaux de tous les ministères. Le mien n'aura qu'une partie des locaux, bien sûr, dans un soucis d'équité.
Concrètement, le ministère des Relations Externes et Internes aura autorité sur tous les systèmes de courrier et de messagers en Alonna. Nous aurons un certain contrôle sur les frontières et sur qui, ou quoi, passe sur nos terres : dans ce cas, nous travaillons étroitement avec le ministère de la Défense et de l'Armée.
Mon ministère aura sous son autorité également les divers réseaux d'espionnages, présents et à venir, dont les informations ne seront révélées qu'au baron, ou à madame son épouse.
Je suis également chargé de transmettre les demandes et problèmes des seigneurs d'Alonna vers le baron, ou madame son épouse.
Enfin, étant chargé de garantir et de défendre la position d'Alonna dans l'échiquier du monde, sur les aspects politiques, économiques et militaires, mon rôle sera de travailler de concert avec les autres ministères pour parvenir à cet objectif. »
Lui assurant son soutien et son aide pour la mise en place des réformes, Mathieu Galainier sourit poliment en hochant la tête, en guise de remerciement.
« Concrètement, monseigneur, je comptais déjà installer tout le nécessaire dans les locaux du ministère : les archives de la baronnie relatives aux Relations Externes et Internes. Je comptais également dresser un bilan de notre situation géopolitique, voir où nous en sommes avec nos voisins, et aviser sur les marches à suivre les plus adéquates. »
|
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Changer pour mieux avancer [PNJs] | |
| |
| | | | Changer pour mieux avancer [PNJs] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |