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 Le souffle d'une vie. (Solo)

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Kazadröm Marteau-de-Fer
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Kazadröm Marteau-de-Fer


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MessageSujet: Le souffle d'une vie. (Solo)   Le souffle d'une vie. (Solo) I_icon_minitimeDim 20 Nov 2016 - 16:58

Calihmetarus, 1ère ennéade, Favrius, mois d'automne, 9ème année, 11ème cycle.

Vidé, son charme paisible et tranquille, perdu. Où est donc passé ce village que les gens aimaient et chérissaient. La taverne était vidé, plus aucune hanse de vie, les tabourets étaient renversaient, le tables retournaient, le peu d'hydromel qui restaient coulaient le long du guéridon. Un vide immense, rien, même plus la vie, même plus l'espoir, Les arachnides n'avaient pas encore entamer les lieux. Bienheureusement d'ailleurs. Certains tonneaux étaient cassés voir pillés, d'autres renversaient encore de leur sang. Effrayant, glacial. Que peut-on en dire, Que peut-on en faire. La lumière ne traversait plus la taverne, les volets y avaient été fermés, parfois, une barre du volet était cassé. Quant à l'étage, lui aussi vide, une partie du mobilier avait été piqués. On pouvait même remarqué qu'une partie de l'étage était cassée, apparemment, personne ne s'était préparé à cette invasion, ça à dû être arrivé tellement vite. Sur un lit bringuebalent par un pied cassé, nous pouvons y voir un petit homme, dénudé de ses affublements, vidé de son âme, sans vie, la bouche ouverte, les bras écartés. L'ensemble de son torse a été ouvert, quelques morceaux de son cœur manquait, avait-il été mangé. Ses boyaux apparaissait à travers son être, laissant une scène macabre, avec des intestins qui l'entourait au niveau du cou. Son cœur pendouillait dans sa main, Plus de poumons, le signe était-il que l'on allait couper la respiration à tout nain.

Le village était toujours aussi désert, sur la place de la ville, nous pouvons y voir une statue cassée d'un nain. Sa jambe était cassée au milieu du genou, il y avait du sang sur la fracture, voulait-on montrer une faiblesse naine. Sa tête était tombée, arrachée, cassée, au centre de ce qu'il restait de cette statue, un homme, apparemment mort lui aussi, était accrochée, les mains plantés sur les pectoraux du nain. En dessous de lui, une mare de sang était présente, le dernier filament relié encore le nain et la mare. Une honteuse trahison, qui sait ce qui à bien pu leur arrivée, des gobelins, des drows, des nains sauvages, des elfes, seul l'avenir le dira. Le nain, était lui aussi dévêtu d'une tenue, pourtant, il avait encore son fourreau, ses mains rougeoyaient, comme s'il avait tenté de se défendre, en vain.  Nous pouvons voir aussi, qu'une marque au fer rouge était marqué sur son ventre, comme si l'on voulait laissé un message. C'était le chiffre trois, sur le bord du genou restant de la statue, nous pouvons remarqué qu'une partie avait été fragilisé, prête à chuté. Dans un boucan, pas possible, la statue prit doucement son élan, tombant sur le sol, se fracassant en mile morceau, ne laissant qu'une seul partie intacte, son genou.

Un village fantomatique, malheureusement, pour continuer notre route, nous arrivons dans une forge apparemment, très vaste. Une fourneau posé dans un renfoncement, avait formé un lac de fer autour de lui, sec, depuis bien longtemps apparemment. Le fer était gelé, on pouvait voir, que le fourneau en question avait été cassé. De ce lac, sortait le haut d'un crâne, un nain avait été plongé dedans, à croire que chaque acte qui se sont passé dans ce village sont uniquement volontaires. Non-loin, dans l'entrepôt, nous pouvons voir armoires et coffres retournés, sans rien à l'intérieur, des râteliers d'armes et d'armures vides, pillés, saccagés. Plus rien n'était à sa place, tout avait été mis sans dessus dessous. Le feu s'était éteint et est aujourd'hui froid. Tout a été bouleversé, plus rien n'est comme avant. Et ce nain, qui a été enseveli sous du fer chauffé possède une marque sur le crâne. Cette marque voulait dire semaines, mais, trois semaines quoi, que cet acte avait été causé, qu'autres choses allaient survenir, que c'était-il passé bon sang. Récapitulons, deux nains ont été dénudés et avaient tous les deux les bras écartés, un autre a été enseveli.

Tout le village avait-il été mis en désordre, qui était ce coupable. Nous arrivons devant une grande maison, apparemment totalement détruites. Elle était tellement grande qu'elle devait certainement être celle du chef de village, on pouvait en déduire, par les zones d'éboulis, qu'elle était composé de trois parties. Tous ne possédait pas les mêmes couleurs, mais l'on pouvait facilement distinguer une couleur dominante sur les trois, le gris. Au centre de tout ce bâtiment se trouvait un nain, debout, était-il vivant, était-il mort. En se rapprochant, on pouvait en voir une naine dénudée, les seins coupés, on pouvait en voir certaines côtés de sa cage thoracique. Un bâton sortait du sol est rentrée dans ses parties génitales, une mort atroce. La naine avait beaucoup de tatouage et une belle chevelure rousse. Dans sa mort, on pouvait voir qu'elle souriait, était-elle heureuse de partir, voulait-elle montrer à ses adversaires qu'elle mourrait dans la joie et que ça ne lui faisait pas peur. On pouvait, sur son derrière remarquait deux formes, la mort, et un nom. Un village, Gromgrund. Les morts dateraient-t-il d'il y a trois semaines.

Une mine, non-loin du village, a été fermées à l'entrée par des chariots comme pour évitait quelque chose. Quand on rentre dans cette mine, nous pouvons remarqué qu'elle est très petite. Pas plus de trois tunnels où y sont récoltés le fer, Dans l'un de ses tunnels nous pouvons remarquer trois personnes, deux sont assis autour de la troisième. L'un des deux est en armure de maille avec dans le dos une hache de bataille, une chevelure brune et des traits réfléchissant un nain âgé d'une soixantaine d'années. L'autre, paraît plus vieux, quatre-vingt dix ans à tout cassée, il a, dans son dos une arbalète avec un carquois. Les deux nains regardent la même personne, un nain, empoignant une épée en acier. Le nain, est très affaibli, malade, son visage rouge reflète une très grosse fièvre, ses bras, ornait de bandages font penser à de lourds combats, certainement ont-ils pris quartiers il y a de cela trois semaines. Le nain ne semble plus en avoir pour très longtemps.

« Mon frère … Nous avons passé de belles années ensemble … Désormais, nous devons partir, comme tu l'as demandé, dans ton dernier souhait. Ton enfant, est parti à Thanor, là où sont nos anciens amis, nous avons tentés, en vain, de recouvrir notre ancien village. Dit celui qui tenait l'arbalète, maintenant, il faut que l'on parte. »

Sur ses mots, les deux hommes se levèrent, se prosternèrent devant leur fraternel, ils bougèrent les chariots et prirent la route, laissant leur frère dans l'agonie la plus totale. Lorsque les deux frères furent partis, il y a de cela une lune. Des nains vinrent à nouveau dans le village, ils étaient armés de lourdes armures et de lourdes épées, comme celle récoltait dans la forge. Ils fouillèrent tout le village, sans aucune hanse de vie, rien, ils décidèrent donc de fouiller l’extérieur du village. Mais, la personne qu'il cherchait, était déjà à la porte du village. Prêt, un bâton lui servant à se tenir debout. Il était encore plus affaibli qu'au début et vacillait énormément.

« Puisque c'est moi que vous cherchez. Le nain prit son bâton à deux mains, vacillant encore plus par se fait, Venez donc me cherchez. Je suis Kazadröm Marteau-de-Fer, maître de ces lieux. »

Il toussota plusieurs fois, son rythme cardiaque s'accentua énormément, son souffle s'en vu accru. Les nains s'avancèrent vers le chef, l'un des deux tenta de le capturer, le Thane, tenta tant bien que mal à le repousser de son bâton. Il chuta en arrière, rebondissant sur le sol, les sauvages le capturèrent et le ramenèrent devant une maison. Ils le ligotèrent sur une table et le regardèrent pendant un moment. Kazadröm, piqua du nez plusieurs fois, à bout de force, n'en pouvant plus.

« Bon, je pense que tu sais qui nous sommes nous n'avons pas besoin de nous présenter. Par la faute de ton clan, nous avons été rejetés par les nains, finit dans la vallée de la Nerania. Le nain fit signe à l'autre de s'approcher, celui-ci s'acquiesca de répondre la tête et entailla le bras droit du bouc-émissaire au point d'en faire tomber toute la peau qui ornait le bras droit. Nous avons une dette à lavée, tu as voulu jouer à ce jeu là. Maintenant nous allons bien rigoler. »

Le deuxième nain s'approcha et fit de même sur le second bras. Le sang coulait à flots, les peaux tombaient à pic. Le troisième s'approcha du thane, prit son glaive et le planta dans le ventre en remontant jusqu'à la cage thoracique, ce qui laisserait à Kazadröm des heures de souffrance abominables. Celui qui prit la parole mit une main sur l'épaule du Thane.

« Ta dette est lavée, va-t-en loin de mes yeux. »

Durant près de trois heures, des cris d'agonies se firent ressentir dans cette maison, Kazadröm avait fuit ce monde, il est parti, a fuit pour de meilleurs contrées.

adieu:
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