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 Lohie de Brandevin [MAJ terminée]

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Aymeric de Brochant
Lohie de Brandevin
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Lohie de Brandevin
Humain
Lohie de Brandevin


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Date d'inscription : 13/02/2018

Personnage
:.: MANUSCRIT :.:
Âge :  28 ans
Taille
: 1m75
Niveau Magique : Non-Initié.
Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Empty
MessageSujet: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeMer 14 Fév 2018 - 23:09

Identité
Nom/Prénom : Lohie de Brandevin.
Âge/Date de naissance : 28 ans, né en Barkios de l'an 986.
Sexe : Mâle.
Race : Humain.
Faction : Péninsule.
Alignement : Loyal Neutre.

Liens notables : Au cours des siècles, la famille Brandevin a contracté de nombreuses alliances avec d'autres familles de la Brande et quelques fois, des baronnies alentours !

Particularité :

Métier : Grand Capitaine de Diantra, Vicomte de Papincourt et de Corvall, Avoué de Saint-Mercatouille et suzerain de la Brande.
Classe d'arme : Corps à corps.


Possessions & Equipements :

Qu'est-il besoin de détailler plus avant les atours de ce noble hère ? À la tête de la vicomté, les revenus de ses terres lui assurent un train de vie confortable et l'entretien d'une centaine de chevaliers et de gens d'armes. La famille Brandevin loge au palais vicomtal de Papincourt : une forteresse à la rotondité massive et trapue. Tandis que des Malefètes, ses parents du côté de sa mère, Lohie tient le castel de Murs-Érigné et le petit château de Fondecave. Lorsqu'il partit pour la Couronne en pays Mervalois, on lui confia également l'épée Calan, la "lumière du matin" chez les feys de Grand-Bois. La brette vint rejoindre l'armurie vicomtale et l'épée bâtarde des Velteroc, nommée "Dernier souffle", qui fut prise au traitre Jesbel, à Chrystabel.

Apparence :

Le visage fin et gracieux, les dents blanches, la pommette des joues saillante – signe d’astuce, l’œil ouvert et intelligent, le nez finement dessiné. Lohie est grand, svelte et nerveux. Façonné par l'exercice des armes, il a grandit et mûri et est devenu un gandin au visage ombré d'un début de barbe noire. Sous son épaisse tignasse brune, qui lui retombe mollement sur les épaules, on devine un jouvenceau assuré. Souvenir de sa chevauchée auprès de l'Ivrey lors de la guerre qui opposa Merval à Scylla, le noble sire tient une vilaine estafilade sur la fesse droite, dont il s'enorgueillit volontiers à l'occasion auprès de ses amantes.

Lorsqu'il s'agit de parcourir la baguelande, le preux n'hésite pas à revêtir un solide harnois de fer forgé, cadeau de son géniteur. Mais le voici de retour dans ses pénates et l'adolescent troque l'habit de fer pour un justaucorps et des chausses de bonne facture, réalisées chez les artisans des Cités Libres... Le legs de son géniteur et la rente de ses terres l'ont généreusement pourvu en écus, le mettant à l'abris du besoin et lui assurant une apparence plus que respectable.


  • Taille : 1m75.

  • Couleur des yeux : Bleus.


Personnalité :

Si les chansons de geste vantent l'idéal chevaleresque et les valeurs défendues traditionnellement par les chevaliers ; audace, soif de gloire, souci de la réputation et sens de l'honneur, respect du serment et de l'engagement personnel mais aussi largesse, courage et courtoisie, il en est pourtant bien peu qui suivent cet exemple et le bellitre est encore tout niais et pétris d'idéaux.
Fougueux, au tempérament emporté et peu diplomate lors de ses colères. Une fougue qu'il met au service de son inspiration lorsqu'il empoigne sa harpe ou sa violle. Qu'on se le dise : il est toujours accorte en bonne compagnie, quoi que très exigeant de lui-même et des autres.
Le jeune vicomte est un homme passionné, rapide en amitié ou en inimitié. Il se montre volontiers généreux, hospitalier et loyal envers sa famille et ses amis. A l'inverse, il est tout aussi impitoyable envers ses ennemis, et comme tous les brandais, il est capable de mener des vendettas sur plusieurs générations.
S'il a patiemment suivi les leçons de musique de ses précepteurs, qu'il connait ses chiffres et ses lettres - chose pas si évidente parmi la noblesse - il ne s'en montre pas moins un rude guerrier lorsqu'il frappe vaillamment de taille et d'estoc avec sa lame. Le damoiseau est un improbable mélange d'esprit chevaleresque et de fougue aristocratique.

Capacités magiques :

Aucune.





Histoire

Dressée sur une colline escarpée avec ses hourds anciens, son grand donjon à la rotondité massive et trapue et la fière petite cité à ses pieds, Papincourt est un fief d’importance dans les terres de la Brande. Place forte en temps de guerre étrangère ou de discorde intestine. Elle fut souvent assiégée avec ardeur par diverses factions et défendue par d'autres avec non moins d’opiniâtreté, ce qui devait naturellement assurer à ses propriétaires, les Brandevins, les sénéchaux de la Brande, une place distinguée dans l’histoire de Scylla.
Mais tout à ses révolutions ici bas, et cette maison avait subi les siennes : bien qu'ils proclament depuis tous temps leur suzeraineté sur l'ensemble du pays brandois pour le compte de leur suzerain, bon nombre d'habitants et de petits seigneurs locaux ne la leur reconnaissent pas. En effet, pour avoir aidé la maison de Pharem lorsque celle-ci soumit les pharêtans de la côte de Sel, quantité de ces petits seigneurs qui s'installèrent dans la Brande furent exemptés par le trône comtal de payer toute taxe à quelqu'un d'autre qu'au Trône comtal lui-même. Ce qui n'empêche pas les Brandevins de continuer à envoyer des collecteurs d'impôts dans la Brande… qui ne reviennent pour la plupart jamais.

Lohie était né il y a vingt et trois années de cela, par une tiède nuit de Barkios. C’était un bel enfant et il avait plu au seigneur son père, le vicomte Aldebert de Brandevin, d’élever cet héritier parmi ses autres gniards : Fulbert, Amaury, Godefroy et Brandin, et parmi ses neveux, Arnaut, Beaucent, Lyon, Hélie et Tibert. Durant sept années, on avait donc confié Lohie à la garde des femmes : nourrice, servantes et dames de toilette, ainsi que ses deux soeurs : Pétronille, Neyrelle et Alcyone. C’est ainsi qu’il apprit les secrets de la terre... Ecoutant les oiseaux qui sifflent dans les pinèdes et les châtaigneraies, il apprit à leur répondre.
Il sut bientôt que la vie sur la lande, la bruyère et les forêts participait au même règne, celui des Cinq et on lui inculqua les valeurs de la chevalerie : être chaste en ses pensées, honnête en ses paroles, vrai dans ses actions, patient dans l'adversité, miséricordieux à l'égard de ceux qui sont dans la nécessité, et enfin, combattant de la vérité, même si sa défense devait lui coûter la vie. On lui apprit aussi à courir, à nager et à sauter, puis à monter à cheval. Ainsi que la science du blason, car on avait projet de le destiner, sinon à la chevalerie, à obtenir une place au service d'un seigneur dans les terres de la Brande ou du Langecin.
Lorsqu’il avait été en âge, c’est à dire à quinze ans, Lohie avait eut le grand plaisir d'être placé en écuyerie et qui plus est, au service personnel du seigneur Cyano des Isles.
Point d'épargne pour le fils d'un vicomte : il se fit les bras et les jambes à ravauder le cuir de son maître et à ramener des énormes sceaux d'eau et de la paille pour les montures lorsqu'il en avait la charge. Et le gamin n'avait pas intérêt à en renverser, ou gare à la taloche ! Il lui en eut cuit !
Servir les plats, fourbir les armes de son maître et servir la dame du château constituèrent son ordinaire durant plusieurs années. Lorsqu'ils n'étaient pas au château, lui et son maître parcouraient les chemins sinueux et les pâtures désolées de la Brande (les mauvaises langues racontent que, facétieux, ils se faisaient brigands le temps d'une matinée, ou troussaient la ribaude le temps d'une après-midi).
Débrouillard, le garnement s'enhardit bien vite au point de trainer dans les pattes des immenses destriers caparaçonnés et de monter à cheval pas trop maladroitement. Ce qui n'était pas sans provoquer des frayeurs aux dames du château. Car plus d'une fois, le petit faillit se rompre l'échine par trop d'audaces.
Enfin, quand il eu la force nécessaire, on l'initia au métier des armes. Là, dans une cordiale rivalité, le damelet avait été initié au maniement de l’épée, de l’arc et de la lance. A la masse d’arme et au marteau de guerre, qui pouvaient briser des membres et des crânes d’un seul coup. On lui avait enseigné l’art de s’escrimer et celui de la chasse, qui est comme chacun le sait, pour tout chevalier, un bon entrainement pour la guerre.
Jamais Lohie ne s'était plaint, malgré les coups qui l’ébranlaient, car on ne le ménageait pas : les chutes, la fatigue et ses mains usées jusqu’au sang par le maniement des armes.
Même lorsqu’il affrontait la quintaine, ce traîtreux mannequin de bois qui vous abattait un gourdin sur l’échine par un vil mécanisme, Lohie trouvait le moyen de redoubler d’efforts.
On lui apprit aussi à tenir sur son poing les faucons, à les lâcher et à les rappeler. Et plus encore, on lui apprit à jouer de la rote et de la guiterne, ainsi qu’à composer et à chanter des chants d’amour et de gestes. Car il n’est rien que les nobles combattants goûtent plus que de louer leurs exploits.
Qui serait assez sot pour s'en aller se faire trouer la panse si personne, une fois mort, ne composait sa chanson ? Et des exploits, il rêvait d'en accomplir !
Le culte de la Damedieu n'était point absent de la vie de Papincourt et de ses petites gens. Le château possédait son temple et un prêtre pour veiller sur les âmes de ses bonnes ouailles.
Mais le gandin était plus avide à boire les paroles des Prêtres Rouges. Si ses récits préférés étaient les gestes des preux chevaliers et les chansons d'amour, de celui envers son prochain et envers sa dame, son coeur, lui, vibrait à l'évocation des clameurs guerrières et des hauts-faits d'armes.
L'occasion s'en présenta lorsque le Seigle Matois voulu chercher des poux au jeune comte Aetius. Le damoiseau emboita le pas de ses maîtres dans une folle chevauchée - et quelle chevauchée ! On creva les bêtes ! - jusqu'au hameau qu’on nommait le petit Bigorneau, ou encore l’Île Bigorne, et qui entra dans l'histoire comme le lieu d'une grande bataille entre les chevaliers des deux camps. Une bataille mémorable pour ceux qui y participèrent. Dans cette grande estourbie, Lohie ne trucida personne, il ne blessa pas non plus le moindre pécore. En fait, tout se passa tellement vite, qu'il n'eut pas le temps d'administrer beaucoup de taillants... tout juste récolta-t-il une vilaine estafilade à la fesse droite : ce qui lui donna du crédit auprès des gens d'armes et de l'éclat auprès des ribaudes.
Désormais, il pouvait jouer les durs en cas de barouf auprès de ses pairs : riant bien fort lorsqu'il jouait aux dés avec les autres écuyers pour faire passer le temps.

Lohie grandissait et s’épanouissaient de belle façon. Il avait eu ses heures de gloire dans les tournois des environs et se distinguait dans les jeux-partis et les joutes poétiques, les chansons de geste et les ballades.
N’eut été un cadet, on aurait pu lui promettre un bel avenir où il n'aurait pas dépareillé la cour d'un noble seigneur, lorsqu’au lieu de ça, on ne pouvait lui assurer qu’une maigre dot.
En attendant ce jour, il fréquentait les gens de la Cour aux côtés de son maître,  un compagnon de l'Ivrey. Le damoiseau découvrit la beauté, la courtoisie et le rayonnement de la capitale et se confronta aussi aux charmes et aux affres des manoeuvres des courtisans.
A seize ans, quelques semaines seulement après le couronnement d'Eliam Ier Fiiram, le béjaune participa à la campagne d'Erac au côté de son maître et du sénéchal du roy. Aetius d'Ivrey s'élançait vers l'Eraçon à la tête d'une armée afin de réprimer la rébellion de ce pendard de Léandre d'Haren. Ce dernier prétendait être le duc légitime d'Erac et refusait que le tout jeune roy perçoive son duché, pourtant héritage de son père. Parmi les seigneurs et les chevaliers, mais aussi la truandaille et les gueux de l'armée royale, Lohie participa à la campagne qui se solda par la victoire du trône et à la bataille de Pont-Lamor, il s'illustra joliment en faisant prisonnier deux chevaliers. Pour son âge, c'était pas trop mal.

A dix-sept ans révolu, il arriva pourtant un malheur bien étrange et pour le moins imprévisible - une de ces facéties que réservent seuls parfois les dieux - et qui changea la vie du damelet et la vie de Papincourt toute entière.
Fulbert, son ainé, était promis à un grand avenir et faisait honneur à sa famille. Il était l’étoile montante des Brandevins et de la prochaine génération des paladins, bénéficiant d’un plan de carrière brillant et assuré : vicomte à la place du vicomte précédent. Son père, déjà malade, n'allait pas tarder à passer à trépas et, rassuré, se préparait à passer la flambeau à son rejeton.
Mais un matin de Karfias, le destin pointa le bout de son nez, sous la forme d’un groin… En effet, les cochons étaient nombreux à Papincourt - on en avait même fait une fête, pour célébrer l'arrivée de Barkios, lorsque les averses emplissaient les rues de bonne gadoue : le vicomte faisait lâcher quelques dizaines de porcs dans la ville et toute la populace, les bourgeois comme les gueux, bientôt tout crottés, tentait d'attraper un représentant de ce noble animal pour l'engraisser ou le bouffer. De là était né l'expression papincourtoise "Un temps à ne pas laisser son cochon dehors" - et il n'était pas rare d'en rencontrer dans les ruelles ou les allées. C'est qu'en plus de fournir une boustifaille très appréciée, ils n'hésitaient pas un seul instant à dévorer consciencieusement les ordures jetées à la rue.
Or donc, Fulbert, l'héritier du vicomte se trouvait précisément dans l'une des rues boueuses de la cité. Les mauvaises langues assurent qu'il s'agissait de la rue de la Bouche, une rue bien connue de tous à Papincourt : un endroit où les ribaudes vous causait chasteté tout en transpirant du nombril !
Et voilà-t-y pas qu'un de ces mammifères quadrupèdes se pointa alors que le jeune sire était à califourchon sur son noble destrier. Le cochon se jeta dans les pattes du cheval, qui tomba à terre et précipita le jeune héritier, entrainé par le poids de sa maille et son de haubert, sur une pierre. Hélas pour Fulbert : la chute fut fatale !

De chagrin pour son cher héritier à présent mat - quelle chiennerie ! - Aldebert ne tarda pas à le suivre dans la tombe : il glissa et heurta violemment du front un linteau de pierre. Tout juste eu-t-on le temps de faire revenir Lohie, son héritier désormais, puisqu'Amaury, son demi-frère, était un bâtard et les autres, des cadets.
Le damoiseau ne perdit pas de temps. La vicomté de Papincourt était une contrée âpre. Il se fit présenter les viguiers et les baillis, ainsi que les vassaux et les vavasseurs. Tous s'inclinèrent bien bas devant cet héritier inattendu projeté à la tête du fief et bien entendu : il y eu bien quelques mécontents.
Afin de faire bonne mesure, Lohie les fit fouetter à l'aube, devant la porte de son château.
En compagnie de son demi-frère, qui devint très vite son sicaire et son âme damnée, il désigna un conseil pour le seconder. Il donna audience au clergé et aux notables qui n'étaient pas légion : dans la Brande, les gens de bourse et de foi étaient méprisés.
De la guerre qui avait ravagé et divisé le royaume, il n'avait rien vu. Ou si peu ! Papincourt était restée fidèle au jeune roy Bohémond et elle avait convoqué l'ost pour parer à une invasion des rebelles et des séditieux sur les terres de la Brande. Ce qui n'arriva point... pas un seul de ces vils maroufles n'osa franchir les frontières des terres comtales. Et l'on congédia aussitôt bannières, chevaliers, écuyers et varlets... Mais on garda les ribaudes.
Des quatre coins de la Brande, des hérauts galopèrent alors pour colporter la nouvelle : au nom de Saint-Mercatouille, du bon droit et de la Couronne, la cité de Papincourt et son seigneur se tenaient au service de Cleophas d'Angleroy et du jeune roi, prêt à le défendre de toute agression.

ELLIPSE

Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Before_the_storm_by_quintuscassius_daw2yw2-pre.jpg?token=eyJ0eXAiOiJKV1QiLCJhbGciOiJIUzI1NiJ9.eyJzdWIiOiJ1cm46YXBwOjdlMGQxODg5ODIyNjQzNzNhNWYwZDQxNWVhMGQyNmUwIiwiaXNzIjoidXJuOmFwcDo3ZTBkMTg4OTgyMjY0MzczYTVmMGQ0MTVlYTBkMjZlMCIsIm9iaiI6W1t7ImhlaWdodCI6Ijw9Njg1IiwicGF0aCI6IlwvZlwvYjk4NTYyNWUtMGEwOS00NjM1LWFlN2EtZjlhNGQzZjAxMWJlXC9kYXcyeXcyLThmZTViNGY3LWY2MjgtNGY5ZC04N2ZhLWRlNGE1Yzg5ZmRmNS5qcGciLCJ3aWR0aCI6Ijw9MTM1MCJ9XV0sImF1ZCI6WyJ1cm46c2VydmljZTppbWFnZS5vcGVyYXRpb25zIl19


AN 11 : Une mission à Merval

C'est le seigneur de Wenden qui fit appel au Brandevin. Le damoiseau réunit à lui ses féaux seigneurs et se mit bien vite en route pour rejoindre l'ost des Grands Vassaux qui combattait dans le Médian. Décimé lors de la bataille des Champs Pourpres, l'ost royal se vit ainsi renforcé par quelques seigneurs de la Brande et leurs bans. La bataille fut rude. Pour avoir été le premier à se hisser sur les remparts de Chrystabel lors du siège, puis pour avoir fait prisonnier le baron félon Jesbel de Velteroc au cours d'un combat singulier, la Couronne envoya Lohie à Merval sous couvert du titre d'ambassadeur. Etait-ce une distinction pour récompenser un vassal fidèle à Bohémond ? Ou était-ce là une manière d'éloigner un seigneur qui s'était par trop compromis ? Le béjaune venait en effet de nouer une idylle avec la duchesse déchue du Soltaar, la sulfureuse Tibéria, qui y vit une manoeuvre de la part de ceux qui l'avaient mis à bas. Il fallut se dire adieux, non sans se promettre de se revoir très bientôt.

Le vicomte se rendit à Merval avec d'autres membres de la cour royale et oeuvra en apparence pour tenter de dénouer les tensions. Mais c'est d'abord pour enquêter sur les meurtres des Wenden que Lohie est envoyé en pays Pharêtan. L'objectif de sa mission ? En apprendre d'avantage sur les sectes « draconniques » qui semblaient s'y épanouir. Il parvint à entrer en contact avec Samsun et Lysandus, deux clercs autrefois attachés à la chancellerie de Cléophas d'Angleroy. Ceux-ci lui révélèrent ce qu'ils savaient à propos des manigances orchestrées par un dénommé Lévantique et une coterie de nobles mervalois. Les deux clercs devinrent ses yeux et ses oreilles au sein du palais du Porphyrion, où "règnait" désormais Lévantique ; lequel avait bel et bien assit son emprise sur la côte de sel et les marais pharêtans de Merval.

Les mois passèrent. Lohie accumulait de nombreuses preuves troublantes qui mettent en cause l'intervention d'une main noble dans l'émergence de sectes de fanatiques vouant un culte aux dragons. Mais l'enquête piétinait... Entretemps, les relations qu'il entretenait avec la noblesse locale, dont Lévantique lui-même, devenaient tendues, à l'exception notable du seigneur de la Ferté-L'Anguille, Baphragore Cathusne. C'était le signe, pour Lohie, qu'il touchait au but.

A Papincourt et dans la Brande, pendant ce temps là, le pouvoir était tenu par l'oncle, les frères et les cousins de Lohie, secondé par le sire de la Jaille, un ancien compaing de l'Ivrey. Ce dernier avait été nommé sénéchal par Lohie et veillait à ce que l'absence de son jeune seigneur ne réveille pas les querelles intestines et habituelles de la Brande.

AN 12 : Les cultes draconniques

Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Disease_by_quintuscassius_dc93u1f-fullview.jpg?token=eyJ0eXAiOiJKV1QiLCJhbGciOiJIUzI1NiJ9.eyJzdWIiOiJ1cm46YXBwOjdlMGQxODg5ODIyNjQzNzNhNWYwZDQxNWVhMGQyNmUwIiwiaXNzIjoidXJuOmFwcDo3ZTBkMTg4OTgyMjY0MzczYTVmMGQ0MTVlYTBkMjZlMCIsIm9iaiI6W1t7ImhlaWdodCI6Ijw9NTg3IiwicGF0aCI6IlwvZlwvYjk4NTYyNWUtMGEwOS00NjM1LWFlN2EtZjlhNGQzZjAxMWJlXC9kYzkzdTFmLWIyZDQ1NTVhLTAxMGQtNDU0ZC1hNDJmLTRhM2VjOWVjNDA1Ny5qcGciLCJ3aWR0aCI6Ijw9MTIwMCJ9XV0sImF1ZCI6WyJ1cm46c2VydmljZTppbWFnZS5vcGVyYXRpb25zIl19

Un an est passé, et Lohie est désormais convaincu qu'un groupe de fanatiques religieux a tenté de déstabiliser la Couronne en assassinant le chancelier de Wenden, un nordien jugé trop influent. Ceux-là même se servant de l'émergence de cultes draconnique dans le petit peuple pour renforcer leur pouvoir. Cette organisation est composée de la noblesse locale de Merval et dirigée par Levantique.

Convaincu qu'il tenait assez de preuves pour incriminer les coupables, Lohie décida de partir pour Diantra. Fut-il victime d'une trahison ? Tandis qu'il s'apprêtait à regagner la galère du capitaine Gianni Palozi, sur la côte et dans le plus grand secret, le Brandevin échappa de peu à une tentative d'assassinat orchestrée par des fanatiques. Il fit alors voile pour Port-Royal et déballe tout à l'amiral di Castigliani, qui en informa aussitôt le Conseil. A charge pour celui-ci de prendre une décision sur la manière d'agir.

AN 13 : La refonte de l'armée royale

Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Battle_of_the_val_de_saire_by_skvor_d8r5b01-pre.jpg?token=eyJ0eXAiOiJKV1QiLCJhbGciOiJIUzI1NiJ9.eyJzdWIiOiJ1cm46YXBwOjdlMGQxODg5ODIyNjQzNzNhNWYwZDQxNWVhMGQyNmUwIiwiaXNzIjoidXJuOmFwcDo3ZTBkMTg4OTgyMjY0MzczYTVmMGQ0MTVlYTBkMjZlMCIsIm9iaiI6W1t7ImhlaWdodCI6Ijw9ODM5IiwicGF0aCI6IlwvZlwvOGJmMmNjMjAtNTYzMC00MmMzLTlhZTEtYTExODYyMjBmMTM0XC9kOHI1YjAxLTcxOThiOTUyLTBlNjItNDBkNi05MjcwLWZiNGFmYzkxMDlmYS5qcGciLCJ3aWR0aCI6Ijw9MTYwMCJ9XV0sImF1ZCI6WyJ1cm46c2VydmljZTppbWFnZS5vcGVyYXRpb25zIl19

Pendant ce temps là, Lohie se vit confier une nouvelle tâche par l'amiral - et non des moindres : remettre sur pieds l'armée royale. En effet, le rétablissement de l’autorité royale et de l’économie dans les domaines de la Couronne passe par l’éradication des bandits et autres soudards en rupture de ban qui saignaient le pays.

Lohie allait donc s'échiner à réorganiser l'armée royale en lambeaux. Il acquit à Diantra un hôtel près de Templerond et des sanctuaires mogarites scylléens : l'hôtel des Menus-Plaisirs. Celui-ci serait sa demeure lorsqu'il sera en ville... et il s'attèla aussitôt à la tâche. Ne prenant que le temps d'un rapide voyage en ses terres pour s'y rappeler au bon souvenir de ses vassaux... et quelques visites à la belle Tibéria. Après la déculottée subie lors de la dernière guerre, les osts royaux se sont débandés : les auteurs des déprédations et des pillages étaient parfois des anciens soldats de la Couronne elle-même, qui profitaient de la faiblesse relative de cette dernière sur ses propres domaines. L'objectif fut donc de donner à Bohémond et au Conseil les moyens de faire respecter la paix du roi sans avoir recours systématiquement aux grands vassaux.

L’application des ordres de Lohie et le recrutement de soldats parmi les terres royales allait aboutir au licenciement de certains hommes d’armes de l’armée royale, pour ne garder auprès de lui que les meilleurs combattants. Les plus fidèles au roi. Lohie nomma de nouveaux capitaines, dont il soumit la validation au Conseil et traita le problème des bandes des soudards en rupture de ban avec la plus grande fermeté : il fit appliquer la loi et ne négocia pas avec les truands. Il réorganisa l'armée en déléguant aux baillis des terres de la Couronne l'organisation de la réponse militaire au sein de chaque fief. C’est rapidement tout le pays qui s’organisa contre les bandits. Chevaliers, villes, paysans envoient des contingents d'hommes pour les combattre. Les brigands sont exécutés.

A Diantra, par l'entremise de Tibéria, de la maison Soltari-Beronti, Lohie était entré en contact avec des bourgeois de la ville avant son départ pour Merval. Il avait pu investir, en s'accordant avec quelques prête-noms, dans l'achat de tavernes et d'hôtels, ainsi que des maisons à demie-détruites et des terrains ravagés, une part substantielle de la petite fortune acquise suite aux rançons payées par la Couronne et par le duc d'Erac. Avec la reconstruction de la cité, le vicomte espérait faire fructifier cet investissement en un joli pécule.

Avec l'argent des rançons délivrées par la Couronne, le jeune vicomte de Papincourt acquit des terres et un domaine à Edelys, qui lui permettait de faire étape en toute sécurité entre ses terres de la Brande et Diantra. Il ré-institua aussi certaines charges en déshérence suite à la première refonte de l'armée royale par l'Ivrey. On vit ainsi remise à l'honneur la charge de Maître des Arbalétriers, qui avait court sous le règne du roi Aveugle.

Lohie acquit une certaine notoriété parmi la troupe et au bout d'un an, en l’An 14:XI, le vicomte de Papincourt reçut l'ordre du Conseil de lever les osts pour « que justice soit faite » au nom de la Couronne. Il était temps ; les sectes draconniques avaient essaimé jusqu'au pays de Pharem, sur la Côte de Sel, et à Missède, dont le régent avait appelé Lohie à son secours. Pour assoir sa légitimité, on lui délivre la charge de Grand Capitaine et on lui confia l'épée Calan.


AN 14 : Le châtiment des traitres

Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  The_harrying_of_the_north__winter_1069_1070__by_manulacanette_dcggu7w-fullview.jpg?token=eyJ0eXAiOiJKV1QiLCJhbGciOiJIUzI1NiJ9.eyJzdWIiOiJ1cm46YXBwOjdlMGQxODg5ODIyNjQzNzNhNWYwZDQxNWVhMGQyNmUwIiwiaXNzIjoidXJuOmFwcDo3ZTBkMTg4OTgyMjY0MzczYTVmMGQ0MTVlYTBkMjZlMCIsIm9iaiI6W1t7ImhlaWdodCI6Ijw9NTk4IiwicGF0aCI6IlwvZlwvYmVmMjBlNmYtNmI2YS00Y2VmLTkyZWMtNmQ4ZWI4MWFmMzc5XC9kY2dndTd3LTBiYjI4ZDE4LTY4NzEtNDQzOC1iN2Q5LWY5NGM0OWFkMGE2YS5wbmciLCJ3aWR0aCI6Ijw9MTAyNCJ9XV0sImF1ZCI6WyJ1cm46c2VydmljZTppbWFnZS5vcGVyYXRpb25zIl19

Isolée sur la scène péninsulaire, la baronnie de Merval chercha un temps à résister, livrant bataille à deux reprises au baron de Missède qui, dans la fougue et l'emportement de sa jeunesse, n'avait pas voulu attendre l'arrivée des troupes du Roy. Missédois et mervalois étaient voisins depuis des siècles et les guerres avaient jalonné l'histoire des deux baronnies : on se fit donc une joie de s'entretuer à nouveau et sans attendre.

Hélas pour le jeune sire de Laval, si Othar se montra généreux lors d'une première bataille sur les contreforts de Gardeflot, une seconde bataille, en plein cœur du territoire ennemi, marqua un coup d’arrêt à l’avancée Missédoise qui dû attendre les renforts dirigés par Lohie, lequel se trouvait à la tête des troupes de Valblanc, de Scylla, de Caissa, d'Apreplaine, Vallancourt, Chrystabel, Esteria et d'Edelys, ainsi que des contingents du Langecin, mené par le sire de Sorault et de l'Eraçon.

Bien qu'il félicita le sire de Laval pour sa première victoire, le capitaine de l'armée royale sermonna vivement le damoiseau devant ses vassaux pour n'avoir pas attendu son arrivée. Généreux toutefois, et pour avoir lui aussi connu la hardiesse de la jeunesse, le sire de Papincourt n'en reconnut pas moins les signes de la bravoure du jeune chevalier et lui pardonna sa folle témérité. Il l'invita à marcher à son côté à la tête de l'ost réuni et se lia d'amitié avec lui.

Devant une telle coalition, Merval, déjà en proie à un blocus maritime grâce aux flottes du Soltaar commandées par l'amiral Adriano di Alcacio, de la Marine Royale dirigée par l'amiral royal Francesco di Castigliani en personne et de Missède, rendit bien vite les armes et plus particulièrement après la bataille des Éperons d'or, où les lourds cavaliers mervalois se firent tailler en pièce par les compagnies royales nouvellement formées.

Lohie avait en charge l'ost de l'armée royale et la récupération de la terre. Cette victoire constitua donc un haut-fait pour le jeune vicomte. Le sire de Papincourt envoya comme trophées les éperons d'or de tous les cataphractes mervalois, tombés pendant la dernière bataille, à Diantra et à Papincourt : ceux-ci vinrent orner la cathédrale de Sainte-Deina à Diantra et du temple d'Othar à Papincourt ; "afin que tous les nobles du royaume soient bien prévenus de ce qui attend désormais les félons en cas de rébellion" écrivit-il au Conseil.


Merval était à présent sous la coupe de la Couronne et les gens d'armes du roi occupaient les places fortes du pays. Chaque ville se trouva pourvu d'une garnison et d'un bailli fidèle à la Couronne. Les tractations que Baphragore entretint avec les vassaux de Bohémond débouchèrent sur une note inattendue : ce serait le Langecin, suzerain de jure, qui reprendrait le serment du futur baron. Il donna le baiser de paix à Griffon de Langehack, et devint vassal de celui-ci, lorsqu’il fut proclamé par la grâce des Cinq le nouveau baron de Merval.

Quant au traître Lévantique, Lohie le fit exécuter devant le palais du Porphyrion, et son corps fut découpé en cinq parties, chacune envoyée à différents endroits de la baronnie rebelle. De même, tous les nobles qui avaient baigné dans la machination furent occis après avoir été suppliciés. Enfin, on préleva dans chacune des familles impliquées, un à deux otages qui furent envoyé à Diantra et à Papincourt, comme garanties.

AN 15 et 16 : Merval est soumise

Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Public_execution__tightrope_games_by_sergeyzabelin_d9f6ru8-pre.jpg?token=eyJ0eXAiOiJKV1QiLCJhbGciOiJIUzI1NiJ9.eyJzdWIiOiJ1cm46YXBwOjdlMGQxODg5ODIyNjQzNzNhNWYwZDQxNWVhMGQyNmUwIiwiaXNzIjoidXJuOmFwcDo3ZTBkMTg4OTgyMjY0MzczYTVmMGQ0MTVlYTBkMjZlMCIsIm9iaiI6W1t7ImhlaWdodCI6Ijw9ODkzIiwicGF0aCI6IlwvZlwvNTM0NTllNTgtNTg0NS00Y2VmLWI4NTEtZjM4OWU5Yzg1MTA5XC9kOWY2cnU4LTc0OGQ1OWVkLTNkMzMtNDE5YS1iZTVmLWExZTBiZmNmM2JmMy5qcGciLCJ3aWR0aCI6Ijw9MTkyMCJ9XV0sImF1ZCI6WyJ1cm46c2VydmljZTppbWFnZS5vcGVyYXRpb25zIl19


Merval ne fut pas si coriace à soumettre par les armes. Elle se révéla en revanche plus dur à mâter par les croyances. Les cités du littoral furent apprivoisées au moyen des Cataphractaires, menés par Gougniaphe, qui roulèrent des mécaniques sous les remparts de Port-Bax, Yanon, Corvall et Morriana afin que les seigneurs et échevins reconnaissent l’autorité vassalique de leur nouveau maître incontestable.

Le vicomte de Papincourt n'en garda pas moins ses gens d'armes des compagnies royales près de lui. Accompagnés des redoutables moines-guerriers scylléens de la Garde-drac, il s'entoura de clercs et fit juger par à un tribunal ecclésiastique d'exception les meneurs et les meneuses des sectes draconniques.

Alors que Baphragor montait sur le trône de la baronnie, il autorisa Lohie à conserver Corvall et son vicomté ... tout en récupérant un serment de féauté du Brandevin. La manoeuvre était habile. Il faut rappeler que Baphragore avait une vieille dent contre les gens de la cité de Merval, et qu'il souhaitait également bien se faire voir des officiers royaux. Les deux compères officièrent de concert. Travaillant de concert et, vraiment, on ne vit jamais idylle si enflammée entre scylléens et mervalois. Lohie jugeait les prêtres draconiens, Baphragore les exécutait au feu de Pharet, en plein centre-ville sous l'oeil approbateur des prêtres pentiens réhabilités.
Certaines mauvaises langues se mirent à chuchoter que le nouveau baron avait dans sa suite son demi-frère Balthunagare, qui fut prêtre draconique. Et que si son ainé et désormais seigneur l'avait fait abjuré publiquement - en embrassant à nouveau la religion des Cinq - ; il n'en avait pas moins demandé la clémence de Lohie pour son cadet. Corvall contre la clémence pour le puiné ? A moins que le Brandevin ne fut fatigué du feu de Phâret et des exécutions.

Le vicomte en profita pour s'entourer d'érudits du Porphyrion et de troubadours, réputés en Mervalois, qu'il fit venir à Papincourt. Il échappa à trois tentatives d'assassinats par les sectes, dont deux fois grâce à l'action des moines-guerriers mogarites de l'ordre de la Garde-Drac.


AN 17 : La paix des armes ?

Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Sunrise_in_local_park_by_skvor_da86xve-pre.jpg?token=eyJ0eXAiOiJKV1QiLCJhbGciOiJIUzI1NiJ9.eyJzdWIiOiJ1cm46YXBwOjdlMGQxODg5ODIyNjQzNzNhNWYwZDQxNWVhMGQyNmUwIiwiaXNzIjoidXJuOmFwcDo3ZTBkMTg4OTgyMjY0MzczYTVmMGQ0MTVlYTBkMjZlMCIsIm9iaiI6W1t7ImhlaWdodCI6Ijw9Nzk1IiwicGF0aCI6IlwvZlwvOGJmMmNjMjAtNTYzMC00MmMzLTlhZTEtYTExODYyMjBmMTM0XC9kYTg2eHZlLWI5MjM5NTJjLWViN2QtNGVjMS1iNDYwLTYyYmQ0MWE2ZjFjYS5qcGciLCJ3aWR0aCI6Ijw9MTYwMCJ9XV0sImF1ZCI6WyJ1cm46c2VydmljZTppbWFnZS5vcGVyYXRpb25zIl19

Alors que la paix semblait revenir dans le royaume, le Brandevin revint enfin en ses terres, après pas loin de cinq années d'absences. Il choisit de revenir à Diantra pour rencontrer le Régent et lui demander l'autorisation de se retirer en ses terres. Jusqu'à ce que la Couronne fasse de nouveau appel à lui.

HRP:


Dernière édition par Lohie de Brandevin le Jeu 6 Fév 2020 - 13:07, édité 35 fois
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeVen 16 Fév 2018 - 10:47


Ciao Jean!

J'anticipe la venue du staff pour t'apporter, à titre de parrain, quelques éléments de background qui devraient pouvoir t'aider à enrichir ta fiche.

- Edelys, son bourg et ses châteaux, font partie des terres royales. À ce titre, les seigneurs qui en ont occupé des fiefs ne l'ont jamais fait en leur nom propre, comme ce serait le cas dans un fief ailleurs dans le Royaume, mais juste au nom du Roy. Les titres ne sont qu'honoraires, associés à une rente.

- Lors du changement de Cycle eut lieu un évènement particulier, connu sous le nom du Voile, et surnommé par les hommes la "Malenuit". Il s'agit d'une éclipse millénaire, mais cette fois-ci, la chose fut anormale, du fait d'une perturbation du monde entier par les Dieux, incarnés alors sur Miradephia. Tu peux en apprendre plus ici.

- Après l'incident de l’œil bleu (Mois de Barkios de l'an 7), un accident magique qui vit la destruction de la tour de l'Arcanum, emportant avec elle le Roy Eliam, la Princesse Lyhann et le Régent Aetius, Arsinoé d'Olysséa, la mère de Bohémond, le fils d'Aetius et prétendant à la royauté, s'installa à Edelys, ordinairement une simple résidence secondaire des monarques de Diantra. Elle délaissa ainsi le palais royal en ville.

- Peu de temps après les évènements de "l'Oeil bleu", lors du couronnement des funérailles d'Eliam, Lyhann et Aetius, qui furent aussitôt suivies par le couronnement de Bohémond comme nouveau Roy, beaucoup de nobles s'offensèrent de cette décision. Certains jugèrent Bohémond illégitime, d'autres lui préféraient d'autres prétendants (notamment les filles de Blanche de Hautval, première épouse d'Aetius d'Ivrey). La rébellion débuta, et aussitôt la couronne tenta de capturer ses opposants, ne réussissant que partiellement. Tu peux en apprendre plus ici

- Durant les mois qui suivirent, Arsinoé s'attira de nouveaux ennemis, en se mêlant d'une affaire d'hommage qui concernant le Nord. Elle promit à Jérôme de Clairssac, le baron d'Etherna et vassal d'Odelian (ainsi que de Serramire pour d'autres petits fiefs), d'obtenir le titre de comte d'Oesgard, de ne devoir son hommage plus qu'au Roy, s'il ramenait dans l'autorité de celui-ci les fiefs d'Oesgard et Alonna, en rébellion depuis près d'un an. Ce faisant, Arsinoé s'attira le colère des suzerains légitimes de Jérôme : Aymeric de Brochant et Madeleyne d'Ancenis.

Si ces choix devaient être lourds de conséquence au Nord, qui fut par la suite agité près d'un an par la guerre, ils n'épargnèrent pas la couronne et particulièrement Edelys. En effet, Madeleyne d'Ancenis marcha à la tête d'environs 2000 hommes sur les domaines royaux, et à la suite d'une astuce, isola Arsinoé dans Edelys, alors que l'armée royale était cantonnée à Diantra. Le sénéchal de l'armée royale, à ce moment, n'était autre qu'Aedan de Vercombe, l'amant d'Arsinoé, mais aussi un parent de Madeleyne. Cette situation étrange aboutit sur un compromis entre les puissants, Arsinoé acceptant de renoncer à ses entreprises au Nord (mais Jérôme n'en sut jamais rien), et Madeleyne ralliant la couronne. Tu peux en apprendre plus ici

- Malgré cette alliance, le pouvoir royal réussit pas à encaisser la vague de rébellion menée par le comte de Velteroc, lorsque ce dernier envahit les terres royales au printemps de l'an 8. Il défit les armées royales et d'Odelian en les surprenant à la bataille des Champs pourpres, et peu de temps après, s'empara de Chrystabel. Le pouvoir royal prit la fuite de Diantra.

Profitant de la débandade royale, les armées de Langehack, alliées à celles de Nimmio, s'emparèrent d'une partie des terres royales, et notamment Missède, mené par son baron, Théobald de la Courcelle, qui obtint la reddition d'Edelys et s'en proclama le nouveau seigneur. Pendant environs deux années, Edelys fut donc occupée par des troupes missédoises, et sur la fin, par l'entremise d'Ernest d'Ethin, le nouveau baron, la gestion des terres sera progressivement confiée au culte de Nééra, constituant ainsi le "Grand-Prieuré d'Edelys"


J'espère que ces éléments pourront t'aider à approfondir ta fiche, qui est déjà très sympathique au demeurant.

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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeVen 16 Fév 2018 - 18:29


Nouveau round de "petits" détails.

Petite erreur de calcul, mais pour que Jean s'en retrouve à avoir 17 ans en l'an 10:XI, il lui faut être né en 992:X

Le Sanctuaire des Cinq n'est pas un bâtiment à proprement dit. La demeure royale de la Ferté-Edelys a été complètement rasée, et du coup plutôt que de véritablement rebâtir, on aura érigé que quelques arches de pierre. Tu peux en retrouver une description plus étoffée au premier post de ce RP.

Pour ce qui est de la reprise du personnage, puisqu'il a déjà été joué en tant que PNJ, je t'invite aussi fortement à t'approcher en plus de Cécilie de Missède pour arranger la passation. Ton interprétation du caractère du personnage est à première vue légèrement différente de ce qui aura déjà été joué, et bien que le fait que tu te le réappropries soit très positivement vu ( et je suis sincère quand je te dis ça, ce n'est pas du discours politicard ), il s'agit tout de même de bien assurer le glissement d'une facette à l'autre du personnage pour qu'IRP les changements ne soient pas trop abrupts.
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Cécilie de Missède
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeSam 17 Fév 2018 - 13:13

Texte IRP qui explique les liens entre Edelys et Missède (dans Sous le parvis la bravade il y a une description du sanctuaire dans le même RP )

Sous le parvis - Accord écrit a écrit:
En ce neuvième jour de la septième ennéade de Verimios, premier mois d’hiver de l’an neuf du onzième cycle,

Ernest de Missède et Cécilie de Missède font don du pays édelysien au culte de Néera et prêtent serment d’abandonner tout droit feudataire sur celui-ci si tant est que les conditions suivantes soient à jamais respectées.

- Edelys se verra élevé au rang de Grand Prieuré de Néera et la Haut-Prêtresse Irys d’Arosque au titre de Prieure d’Edelys. Sa Bienveillance conservera ce titre jusqu’à ce qu’elle-même ou la mort l’en défasse, auquel cas un nouveau prieur sera élu par les Grands Prêtres de Néera du Royaume réunis en conclave.

- L’administration séculière des terres du prieuré sera mise à la charge d’une commanderie. Le Commandeur du Grand Prieuré d’Edelys sera nommé par le Comte et la Comtesse de Missède après consultation du Prieur. Le Commandeur nommera à son tour quatre Baillis à la tête des circonscriptions de Tregor, Aryeoded, Efflam et Plestin.

- La Commanderie du Grand Prieuré d’Edelys aura pour tâche d’assurer la protection, prospérité et justice du prieuré, et jouira de tous les droits se déduisant de ces devoirs.

- Les ressources et revenus provenant des biens confiés à la Commanderie reviendront pour moitié au Culte de Néera tandis que l’autre moitié tiendra de rétribution envers le Comté de Missède.



et grâce au savoir d'Ernest que j'ai pu recontacté :

Déjà un retour sur les points d'attention d'Aymeric
Aym a écrit:
Edelys, son bourg et ses châteaux, font partie des terres royales. À ce titre, les seigneurs qui en ont occupé des fiefs ne l'ont jamais fait en leur nom propre, comme ce serait le cas dans un fief ailleurs dans le Royaume, mais juste au nom du Roy. Les titres ne sont qu'honoraires, associés à une rente.
=> Certes, mais il faudrait mettre tout ça au passé. Théobald avait commencé le processus de redistribution des terres et Ernest l’a terminé. Les seigneurs édelysiens sont donc passés propriétaires de leurs biens. À noter, d’ailleurs, qu’une bonne partie des terres a été octroyée à des Missèdois. Donc, si Edelys est récupéré par la couronne à présent, celle-ci devra faire avec ce changement et les possibles conséquences d’un retrait des droits fonciers à la population édelysienne.  

Ensuite, pour ce qui est de la fiche :
Fiche a écrit:
Robert de la Herse en rejoignant l'autre Monde, a légué à son jeune héritier le château de Murs-Érigné, ses dépendances et sa Maison des Halles : la demeure cossue de Robert à la Ferté-Edelys.
=> Il n’y a jamais été mention de ce château de Murs-Erigné ou de cet héritage IRP. Robert était plus populaire que riche. Pour ce qui est de la demeure de Robert à la Ferté-Edelys, en réalité elle avait été léguée au grand-père d’Ernest mais ce-dernier l’a offerte à Jean à la mort de Robert. Par ailleurs, il est dit plus tard dans l’histoire que Jean a grandi dans ce château alors qu’il n’avait jamais quitté la Ferté-Edelys et ses environs avant la venue d’Ernest.

Citation :
S'il a patiemment suivi les leçons de musique de ses précepteurs, qu'il connait ses chiffres et ses lettres, il ne s'en montre pas moins un rude guerrier lorsqu'il frappe vaillamment de taille et d'estoc avec sa lame.
=> Jusqu’au début de la 10ème année du XIème Cycle, Jean n’était qu’un bâtard écuyer/serviteur de Robert. Il n’avait aucune expérience militaire (à noter qu’Edelys n’a pas de culture de guerre et que c’est Missède qui a (re)formé les armées locales) et même si Robert s’est sans nul doute occupé de son éducation, le jeune homme n’a pas jouit d’une légion de précepteurs. Il ne faut pas oublier que si Robert ne l’avait pas adopté, Jean serait devenu au mieux un chevalier sans terre, et que cette adoption n’a eu lieu que sur le tard ; il n’y avait donc pas de projet de faire de Jean un homme de la haute société.


Citation :
Le damoiseau est un improbable mélange d'esprit chevaleresque et de dévotion... une combinaison qui pourrait s'avérer, en définitive, source de bien des ennuis si jamais la Couronne lui demandait de choisir entre son allégeance à la Damedieu, Missède et le trône.
=> Cet esprit chevaleresque est un peu déplacé. Pour ce qui est de la dévotion, oui, c’est sa priorité. Je trouve également cette question d’allégeance problématique et totalement contradictoire vis-à-vis de la relation Ernest/Jean.

Citation :
il avait plu au seigneur son père d'entretenir ce bâtard et de l’élever parmi ses autres fils et parmi ses neveux
=> Robert de la Herse n’avait pas d’enfants ou de neveux.  
 
Citation :
De douleur, le jeune homme en pleura bien des larmes, lui qui tenait les compagnons de l'Ivrey pour des preux. Dévoré par la colère et le chagrin, le gandin se souvenait du jour où, en compagnie de la reine Arsinoé et du Scylléen, il était parvenu au temple alors même que perçaient les derniers reflets rouges de l'astre et que virevoltaient les créatures vespérales ; moucherons, phalènes et vanesses.
On était passé devant le saint lieu où s'était recluse la triste divinité, et où pouvaient se recueillir dans la plus profonde ataraxie les fraters cénobites de l'ordre et leurs hôtes. Il avait vu, de ses yeux vus, le seigneur Carvali, apposer sa main à la sainte relique qu'était le voile d'une antique gardienne de la déesse ailée et faisant là serment de fidélité pour les châteaux que lui avait octroyé son feu compagnon l'Ivrey. Fourberie ou fidélité jusque dans la mort à son défunt maître, Carvali n'avait pas supporté que Robert de la Herse ne rende le château aux gens d'armes du Médian.
=> C’est tout à fait impossible que Jean se soit trouvé en l’Abbaye de Nostredame-de-la-Bien-Venue à ce moment-là. Ne serait-ce qu’eu égard à sa condition, mais aussi vis-à-vis des relations antagonistes entre Robert, Carvali, et les partisans de l’Ivrey. Par ailleurs, ayant grandi aux côtés de Robert, il est peu probable que le jeune garçon considère ces derniers comme des preux.

Citation :
Tous se portèrent garants de la reconnaissance du bâtard, à commencer par le propre frère de Robert, qui l'adouba chevalier sans plus tarder
=> Robert n’a pas de frère. C’est Ernest qui adouba Jean et lui confia ses titres, confirmés par la Haute Prêtresse de Néera.

Citation :
Des fondements de la forteresse, il avait gardé les portes, son châtelet à la rotondité massive et trapue, ainsi que sa herse, la haute et la basse-cour pour défendre le sanctuaire. On avait aussi conservé la Galerie, où se retrouvaient jadis les partisans et la clientèle de l'Ivrey et de sa femme. A présent, celle-ci servait à accéder à la grande salle commune qui constituait l'édifice principal du temple. L'entrée s'en faisait par deux lourds battants de bronze, surveillés par deux prélats et leurs acolytes. On y pouvait effectuer des donations envers le temple.
L'intérieur, sombre et éclairé uniquement par des cierges distillait dorénavant à ceux qui venaient y chercher repos, une odeur apaisante et il y régnait à présent une atmosphère paisible propice au recueillement, à peine dérangée de temps à autres par les allées et venues des serviteurs chargées de collecter les offrandes.
Les alcôves, autrefois dévolues aux intrigues et aux messes basses accueillent maintenant des chandeliers aux flammes écarlates.
L'étroit escalier en colimaçon qui montait autrefois au donjon, permet toujours de monter dans les appartements supérieurs et jusque dans les greniers, où l'on continue d'amasser du vin, des blés et de la viande pour le long hiver. Tandis que les tours et la salle des gardes accueillent prêtres et prêtresses.
Les écuries recueillent les indigents et les miséreux, les traines-savates et les grattes-poussières, chassés par la guerre qui fait rage dans la Péninsule. Tout un monde, que les serviteurs du château, fidèles à leurs tâches, continuaient de nourrir depuis les vastes cuisines au plafond voûté de la Ferté.
=> Le Sanctuaire des Cinq est à ciel ouvert. Pas de bâtiment, seulement des arches. L’ancienne résidence royale a brûlé et les pierres des ruines ont été envoyées au sud pour la reconstruction des moulins de la Coopération des Meuniers de Tregor.

Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Cartee10
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeVen 23 Fév 2018 - 10:56

Fiche terminée !

En accord avec Estiam, j'ai modifié ma fiche qui est à présent terminée et je vais candidater pour un personnage de ma propre création ! I love you
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeDim 4 Mar 2018 - 16:46


Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Tampon13

Juste parce que si je le dis pas, Estiam va me taper sur les doigts : J'imagine que tu parles d'une viole de gambe dans son paragraphe sur sa personnalité. Peut-être une faute de frappe mais tu l'as écrit avec deux l, donc voilà.
Sinon c'est une fiche très agréable à lire, j'aime beaucoup le style et elle est complète à mon humble avis. Désolée pour le temps que j'ai mis à te valider, j'ai pas pu avant, mais sinon bon jeu à toi !

Code:
[Métier] : Vicomte de Papincourt, Avoué de Saint-Mercatouille et châtelain de Murs-Érigné et de Fondecave.

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps

[Alignement] : Loyale neutre


Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeLun 27 Jan 2020 - 0:24

Présentation placée en Présentoir pour mise-à-jour.

Ancienne fiche:
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeDim 2 Fév 2020 - 10:24

Merci. Mise à jour apportée :)
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeJeu 6 Fév 2020 - 9:23

Oi ! Bienvenue de nouveau à bord l'ami ^^

Deux petits points de pression à dénouer dans la MAJ :

- Lohie nomma de nouveaux capitaines, dont il soumit la validation au Conseil et traita le problème des bandes de hors-là avec la plus grande fermeté

==> Rien à redire sur le fond, juste le hors-là qui devrait être un hors-la-loi je crois, parce qu'avec des bandes de Horla, on va tous finir comme Maupassant ! :O

- Avec l'argent des rançons délivrées par la Couronne, le jeune vicomte de Papincourt acquit le château de Cornells, à Edelys, qui lui permet de faire étape en toute sécurité entre ses terres de la Brande et Diantra.

==> Correction un peu plus sérieuse à apporter : le fait est que le château de Cornels, après avoir appartenu à un noble de Scylla, Arapienzzo Carvali, aurait ensuite été investi par Ernest d'Ethin (et non Jean de la Herse) durant les événements de la Guerre du Médian. Le castel appartenant donc au Missédois, as-tu négocié via MP son acquisition ? Ou est-ce une simple petite erreur ?

Voilà ! Sinon, c'est top de se replonger dans la guerre de Merval !
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeJeu 6 Fév 2020 - 11:34

Hey !!

Merci beaucoup pour cette relecture ! :)

J'ai remplacé les Hors-là par "des soudards en rupture de ban" ! ^^

Pour le château de Cornels, il me semble qu'Ernst n'était pas actif en décembre 2018 (je me trompe peut-être !) et donc, qu'au moment où j'avais proposé cette trame pour l'ellipse, ça avait été validé en l'état Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  785840374  Mais je peux éditer ainsi pour qu'Ernst garde Cornels ?

"Avec l'argent des rançons délivrées par la Couronne, le jeune vicomte de Papincourt acquit des terres et un domaine à Edelys, qui lui permettait de faire étape en toute sécurité entre ses terres de la Brande et Diantra"

A ce moment là j'éditerai aussi dans le journal de bord de Lohie (actuellement verrouillé), car il me semble que j'y avais mis une description rapide du château et de son emplacement en Tregor, sa garnison, etc.
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: ~1m90
Niveau Magique : Arcaniste.
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitimeJeu 6 Fév 2020 - 16:46

Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  Tampon13
Ma foi, les corrections apportées me vont parfaitement ! J'ai le plaisir de te souhaiter à nouveau la bienvenue parmi les nobles de la Péninsule !

Tu connais le chemin :)

Code:
[Métier] : Vicomte de Papincourt, Avoué de Saint-Mercatouille, châtelain de Murs-Érigné et de Fondecave

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps

[Alignement] : Loyal Neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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MessageSujet: Re: Lohie de Brandevin [MAJ terminée]    Lohie de Brandevin [MAJ terminée]  I_icon_minitime

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