Nombre de messages : 10 Âge : 28 Date d'inscription : 20/12/2018
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 561 ans Taille : 1m86 Niveau Magique : Maître.
Sujet: Elessa Darwë, la dame terrestre Jeu 20 Déc 2018 - 18:10
Possessions & Equipements :
Elessa possède plusieurs tenues mais certaines lui sont plus chères que d’autres. La première est sa tenue quotidienne. C’est un entrelacs de fer peint en or, se terminant en pointe juste sous le nombril et laissant la taille libre de tout mouvement. Pour tout dire cette tenue est des plus légères, ne couvrant que légèrement sa poitrine. Une lourde robe bleue et grise vient prendre le relais sous le haut. Cette tenue s’accompagne de gants en cuir rouge. Enfin un couvre-chef vient compléter cette tenue. C’est une sorte de tiare en or blanc formée d'arabesques s’étirant sur le front d’Elessa. Une gemme violette teintée de légères nuances ornent alors le front du mage.
Apparence :
Taille : 1m86
Couleur des yeux : Bleus
Elessa est une digne représentante de la race des elfes. Tout d'abord sa grande taille, atteignant presque le mètre quatre-vingt-dix, est directement remarquée ainsi que la finesse de sa taille, la courbe de ses hanches et ainsi que ses jambes bien dessinées. Ainsi l'héritage elfique de cette femme est remarquable, et comme nombre de représentants de sa race, sa beauté est froide et presque asexuée. Cependant, Elessa est physiquement faible, ses muscles ne sont pas dessinés et, malgré des jambes joliment sculptées au cours de sa vie, elle n'a rien d'une combattante et encore moins d'une femme qui s'impose par la force brute. Dotée d'une poitrine ferme et d'un ventre plat, Elessa semble athlétique au premier abord bien que sa minceur dénote rapidement cette sensation.
Outre son corps d'une grande beauté son visage attire l'œil. Ses traits sont rehaussés par de longs cheveux d'un blond aux nuances de platine dont elle prend grand soin. Ses lèvres fines surmontées d'un nez mutin appellent à la sensualité et un léger sourire de circonstance ou non flotte s'y dessine fréquemment. Quant à ses cheveux, outre les nombreux soins qu'y apportent Elessa, ils lui tombent généralement au milieu du dos bien qu'il lui arrive de les raccourcir. Cependant, elle s'arrange pour toujours les avoir attachés d'une manière ou d'une autre. Privilégiant lorsqu'elle est seule ou n'ayant aucune obligation sociale de première importante une simple queue de cheval avec un nœud bleu qu'elle fait passer par-dessus son épaule gauche, il lui arrive cependant de devoir porter une tiare. Lors de grandes réceptions ou de cérémonies officielles il lui arrive également de porter un Shimada, décoré de fleurs. [excusez l’anachronisme de la coiffure]
Ses yeux, quant à eux, sont très certainement le plus remarquable chez son visage. Délicatement allongés, ses iris sont très expressifs et dénotent souvent par l'étincelle de joie teintée d'une légère tristesse qui y brille souvent. On repère facilement ses éclats de saphir dans une foule, rehaussant délicatement la douce pâleur de sa peau, dû autant au manque de soleil qu'à sa naturelle blondeur. Ses délicats sourcils sont quant à eux souvent légèrement relevés donnant à son visage un air plus jeune et juvénile ainsi qu'une expression surprise même si cela n'est pas le cas.
Les échanges de bons procédés entre artisans ont permis à Elessa de se doter d'une solide garde-robe. Cependant, elle garde perpétuellement plusieurs choses sur elles. Le premier de ces objets est un magnifique collier en argent, rehaussé d’une améthyste, qui est également son catalyseur magique. Le second est une paire de boucle d'oreilles dont les joyaux font part de la même catégorie que ceux de son collier. Elle porte également constamment un bracelet doré en forme de lierre. Un de ses bijoux favoris mais qu'elle ne porte que rarement est une tiare, lui rappelant le chemin qu'elle a parcouru. Enfin elle adore sa collection de rubans de diverses matières et couleurs dont elle décore ses cheveux, lorsqu'elle se trouve seule, ou encore ses vêtements.
En ce qui concerne le côté vestimentaire, Elessa se limite bien souvent à trois tenues. La première est utilisée lors des rares repos qu'elle s'accorde ou encore lorsqu'elle se trouve chez elle et consiste en une robe de soie jaune et drapée de plusieurs diaphanes voiles ainsi que d'une paire de simples espadrilles. Pour les longues journées de travail ainsi que les épuisantes sessions de magie, elle aime à s’habiller des longues tuniques, agrémentées de longues et lourdes capes brunes. Outre ses tenues plus traditionnelles elle apprécie une tenue plus martiale. Ses tibias et ses pieds sont protégées par des cuissardes argentées tandis que d’épaisses chausses bleues remontent à mi-cuisse tandis qu’une jupe patineuse couvre le bas de son abdomen et le haut de ses jambes. Son torse est engoncé dans une cuirasse de métal léger et argenté s’arrêtant au haut de son abdomen. Elle porte en dessous un corset bleu agrémenté d’arabesques dorées tandis que ses avants bras et ses mains sont protégés par des plaques d’acier argentées.
Personnalité :
Dure comme un roc, taillée par des années d'expérience mais encore teintée d'une légère touche d'utopisme. Cela pourrait définir très clairement la façon de penser générale de Elessa. En tant que magicienne chevronnée, il est nécessaire pour elle de savoir se contrôler. Bien qu'elle reste polie et peut se montrer parfois amicale, elle reste la majeure partie du temps stoïque. Quelque peu distante au premier abord, Elessa ne semble pas être une femme qui s'enflamme facilement et son calme peut apaiser les plus grands conflits.
Cependant, Elessa est une femme complexe si on l’apprend à la connaître. Au premier abord on pourrait donc la penser froide, impassible malgré ses manières amicales. En réalité on pourrait penser à un véritable noble Péninsulaire, ayant été élevé selon les coutumes de son peuple : c'est-à-dire en se croyant supérieur à vous et entraîner à ne jamais vous montrer ses sentiments. Jusqu’à sa voix, forte et aigue, mais pourtant naturellement autoritaire reste comme dénuée de tout sentiment. Tout du moins telle est la façon de se comporter de la jeune femme au sein du monde politique. Mais en réalité c’est une tout autre femme. Appartenant avant tout à l’Anaëh, elle reste une femme modeste, croyant à l’égalité entre les membres de son peuple et sachant parfaitement qu’avec de la volonté et de la motivation n'importe qui peut s'élever. Autoritaire et très stricte, Elessa ne laisse passer aucune faute, et cherche à rendre ces objectifs les plus efficaces et les plus uniformes possibles. Cependant, contrairement à d'autres hommes et femmes, elle n'hésite pas à aider les meilleurs à s'élever et même s'ils pourraient sembler redevables elle ne demande que rarement des avantages ou des faveurs à ces mêmes hommes et femmes.
Vous l'aurez deviné Elessa a compris que la vie n'était qu'une vaste guerre sans effusion de sang et surtout que la meilleure stratégie prônait. En ce qui concerne sa vision de la politique cette femme n'a aucun préjugé xénophobe les ayant perdus au cours de sa vie et côtoyant plus d'une race. Cependant, elle se méfie grandement des autres peuplades de Miradelphia. En effet, les traumatismes de la dernière guerre encore présents elle sait que le calme au front Drow n'est que temporaire.
En dehors d’un contexte global de l’Anaëh, Elessa est une femme totalement différente. Loin d'être une jeune fleur bleue elle n'en reste pas moins très féminine. Bien qu'assez solitaire ses amis savent à quel point elle est aimable et ne supporte pas les conflits. Dès que cela est possible elle évite toute dispute et sait que ses quelques amis forment sa seule vie sociale. Elle ne compte pour le moment qu'être pleinement dévouée à ses liens d'amitié et à son métier. Quelque peu idéaliste, rêvant d'un monde meilleur Elessa a une petite touche de rêve qui ajoute beaucoup à son charme naturel. Éduquée, elle est une adoratrice de grands opéras, de musique de manière générale mais également d'histoire et d'art étant elle-même une violoniste de talent. Son temps libre est donc de grands moments d'écoute ou de lecture si ce n'est une rencontre entre amis et collègues pour discuter d'autres choses que le gouvernement. Enfin Elessa est connue pour son péché mignon qui se trouve être le thé ne buvant que le meilleur.
Capacités magiques :
L’Art est une partie intégrante de la vie d’Elessa depuis près de quatre cents ans. Une goutte dans l’éternité mais cela lui a permis de développer une vision très particulière de la magie, en particulier par son utilisation intensive de la Voie de la Terre. Ainsi les arcanes mystiques sont autant d’ondes de couleurs et de puissances variées pour l’enchanteresse. Plongée dans une incantation, Elessa devient aussi solide que le roc, le visage de marbre et les muscles figés dans une immobilité quasi-absolue. Dans son esprit, elle s’accapare le contrôle des ondes et des lumières, notamment celles issues des courants telluriques pour ainsi les plier à sa volonté. Elle les forme, les brise ou les remodèle selon son désir avant de laisser continuer leur chemin.
Si l’elfe s’est spécialisée dans la voie de la Terre, puis a développé une certaine maîtrise du Feu et de l’Air, c'est par son amour des belles choses et notamment des pierres précieuses. Son but est de réussir à créer des gemmes par la simple puissance de la magie en apprenant notamment à maîtriser chaleur, pression et autres paramètres propres à la formation des joyaux. Pour invoquer l’Art, Elessa utilise notamment un améthyste – cadeau de sa mère dans sa jeunesse – porté en collier autour de son cou. La pierre précieuse s’agrémente de volutes enflammées en son cœur lorsque la magie s’y insuffle.
Histoire
Originaire de Nisétis, Elessa était une jeune femme issue des rares familles d’elfes purs installées dans l’empire, ne se mélangeant presque pas au reste de la population. Son père était un joaillier de renom, tout comme sa famille depuis près de six générations. Ils vivaient avec ses grands-parents et sa grande-cousine, une hybride répondant au nom de Aduial – acceptée elle et sa quarteronne de fille dans la famille. Sa mère, elle, travaillait à gérer leur domaine. En effet, s’ils ne mélangeaient pas, les elfes composaient une maisonnée digne de ce nom. Destinée à suivre la voie de son père, ce dernier lui inculqua très rapidement les règles de la culture elfique nisétienne, entre traditions et mythologie draconique pendant les vingt premières années de sa vie. Bientôt, il fut nécessaire de l’intégrer aux premières classes de la communauté elfique.
Très tôt, son besoin de solitude, et son éducation martiale et mal vue, l'écarta des autres jeunes de son âge et la jeune enfant, que tout le monde pensait repliée sur elle-même même et méprisante, se mit à parcourir le quartier elfique, parfois seule. Ce fut souvent le centre-ville et son quartier, où elle déambula sans soucis et en paix. Ses soixante-dix ans approchants, il fut décidé par ses précepteurs, intéressés par la volonté féroce d’Elessa, de voir si elle était sensible à l’Art. Il s’avéra en effet que l’enfant comprenait, à sa manière bien à elle, les arcanes et avait développé une affinité avec le mysticisme divin. Dès lors, elle commença à apprendre l’art magique auprès d’un mentor, le bien nommé Bemiris, un elfe âgé de seulement trois cents ans mais suffisamment doué pour lui apprendre les bases de la magie de la Terre.
Cependant, son bienheureux apprentissage en Nisétis allait bientôt prendre fin. En effet, la force de l’empire s’amenuisait face à aux envahisseurs venus de l’Est. Le père d’Elessa se préoccupait peu de connaître leur nature mais la rumeur des violents combats et des massacres dans certaines villes tombées l'inquiéta. Aussi, dès l’an 570, il fut décidé que la famille quitterait la capitale à jamais pour s’installer en Anaëh. Ce fut une épreuve difficile autant pour Elessa que pour sa famille. En effet ses grands-parents et sa grande-cousine refusèrent de quitter la ville, par amour et habitude ou par sa nature étrange pour Aduial. L’évènement fut bien pire pour sa mère. Quitter sa vie depuis près de cinq cents ans fut un coup trop dur pour la pauvre femme. A l’approche de l’orée de l’Annon, aux premières écoutes de la faible Symphonie, la mère se laissa partir, emportée à jamais par la mort.
Installés à Eraison, ce fut le début d’une nouvelle vie pour Elessa et son père. L’épreuve de la traversée de l’Ithri’Vaan et la mort de la figure féminine de la famille les avaient profondément rapprochés ainsi que les autres familles qui avaient voyagé avec eux. Certaines avaient été également brisées par la mort des leurs, qu’elle fut naturelle ou non. Le père d’Elessa et le compagnon d’Aduial, Dinendaer, décidèrent alors de former une nouvelle famille. Ainsi fut adoptée la sœur d’Elessa, Anarìl. Plus âgée de près de cinquante ans que sa nouvelle cadette, la jeune Eveillée n’y prêta guère attention et partit bientôt, bien qu’à regrets, pour l’Académie d’Alëandir.
Elle y retrouva son mentor, Berimis, et rejoignit le cursus commun des élèves. Elle y étudia cependant que peu de temps avant d’intégrer une classe spécialisée dans la voie de l’Élémentaire. Elessa se trouva rapidement une affinité avec la magie de la Terre, notamment dans la maîtrise des ondes sismiques. Peut-être était son contact avec les pierres précieuses et le métal utilisés par son père qui avait développé cette forme de l’Art. Elle s’entraîna durant de longues années, près de cinq)quarante années, sous l’égide d’un nouveau mentor, Grand Enchanteur de la Terre. Arrivée à l’âge de 260 ans, Elessa se mit elle-même à utiliser ses pouvoirs au service des autres, devenant ainsi un clerc. Elle aidait à la construction des bâtiments, notamment en analysant le sol pour les fondations ou en aidant à fracturer la roche de manière plus aisée.
En parallèle, ses premières recherches vis-à-vis des pierres précieuses se développèrent. Le travail auprès de son père s’accentua. En effet, Elessa s’intéressait profondément à la création des joyaux mais également à leur formation au sein des roches. Elle s’initia peu à peu à la joaillerie et devint, malgré elle, une orfèvre. Loin d’être une artiste de grande qualité, Elessa voulait toujours en apprendre plus et se décida finalement à quitter l’Anaëh pour se rendre en Thaar. L’état cosmopolite de la cité estréventine était un secret pour personne. Quitter sa terre d’adoption après toutes ses années fut des plus difficiles pour la jeune mage et créa une dissension terrible avec sa jeune sœur.
Cependant, elles trouvèrent un accord commun pour qu’Anarìl l’accompagne jusqu’à la frontière elfique, puis qu’Elessa continue sa route seule. La traversée de l’Estrévent puis sa vie à Thaar ne fut pas de tout repos pour l’elfe. Traitée comme une citoyenne de seconde zone, vivant souvent dans la misère, elle mit longtemps à réussir à trouver un maître acceptant de la former à l’art de la joaillerie et de l’orfèvrerie. Son apprentissage dura alors près de quarante longues années, où elle mit son temps libre à disposition à deux choses : rencontrer d’autres mages pour échanger avec eux mais également pour essayer de retrouver la mère d’Anarìl…
Elle finit par la retrouver, modeste tenancière d’un établissement de boissons et de jeux, et échangea avec elle. Elessa et sa grande-cousine n’avait jamais été proche mais cela fit du bien à la jeune femme de revoir un visage familier depuis leur exode de Nisétis. Elles ne se virent guère au cours des décennies d’Elessa en Estrévent mais elles discutèrent longuement du devenir d’Anarìl.
En 950, Elessa revint en Anaëh. Discrète, elle se contenta de rapporter à certains de ses mentors son périple et jura de garder le secret sur la vie qu’elle avait mené par-delà les frontières de la Prime Forêt. Moins d’une dizaine d’années plus tard, elle quitta Alëandir en compagnie de Bemiris, maintenant son égal, pour Daranovar et en particulier les mines s’y trouvant. Les deux mages travaillèrent alors sur la maîtrise des courants sismiques et telluriques. Plus qu’une véritable expérimentation, ce fut une véritable étude qu’ils menèrent.
Elessa se lança également, seule, dans l’étude de la contraction des roches tout en y insufflant ses connaissances en matière de feu et d’air. Peu à peu, elle acquit les connaissances nécessaires pour créer, en des quantités infimes, des mouvements de la terre. Cependant, elle comprit bien vite que l’énergie de la Terre jouait beaucoup, notamment en matière de courant énergétique.
Lorsque le Voile frappa, Elessa fut profondément perturbée par la puissance insufflée par les Dieux à la Prime Forêt. Sans être sensible à la Symphonie, elle se rendit compte de l’énergie tellurique décuplée par l’évènement. Pendant quelques ennéades, même ses rituels les plus simples lui échappèrent, souvent trop puissants. Puis les attaques commencèrent.
Dès la troisième année du nouveau Cycle, les Noss enhardis se lancèrent à l’assaut des mines. Les combats furent assez peu intenses, généralement de simples escarmouches mais ils mirent à rude épreuve Elessa, qui n’avait jamais eu à faire face à une telle violence entre elfes. Elle n’hésita cependant jamais à défendra ses lieux de vie, quitte à user de la magie. Sa plus grande œuvre eut lieu à cette époque. Fatiguée par une journée d’intense travail, sensible à la magie après de nombreux heures plongée dans les arcanes de l’Art, Elessa craqua face à l’assaut des Noss. Les elfes n’étaient guère nombreux mais elle se résolut à les repousser et ce de manière définitive. Assise sur une roche, elle le laissa happer par l’Art et après près d’une heure d’incantation, Elessa réussit à faire craquer la roche. Sur près de vingt-mètres, la terre s’effondra sous les pieds des assaillants, les faisant fuir.
Ce coup d’éclat eut cependant un effet puissant sur la mage qui s’effondra, tombée dans le coma pour trois longues journées. Bemiris, inquiet pour son amie, décida alors de quitter le Daranovar et ils regagnèrent bien assez tôt Alëandir. Elessa y passa quelques années, continuant ses recherches sur les courants telluriques, l’art de la joaillerie. Cela l’amena à notamment étudier l’Estel dont semblait pulser une énergie électrique des plus puissantes. Ainsi, plongée dans ses recherches, Elessa ne combattit pas pour la reprise de l’Eraison bien que son inquiétude pour sa sœur fut alors à son paroxysme.
Cependant, à l’élection d’un nouveau Roi, Elessa se dit qu’il était peut-être de son devoir de s’intéresser de manière plus directe à la vie des Cités, d’y participer pleinement et de mettre son savoir au service des siens de manière plus pragmatique et… efficace.
HRP:
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Artiön Laergûl
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Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 719 ans Taille : 2m54 Niveau Magique : Maître.
Sujet: Re: Elessa Darwë, la dame terrestre Jeu 20 Déc 2018 - 18:55
Aussitôt postée, aussitôt validée !
Code:
[Métier] : Joaillère
[Sexe] : Féminin
[Classe d'arme] : Magie
[Alignement] : Loyal Neutre
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.