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 BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]

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Renaud d'Erac
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Renaud d'Erac


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MessageSujet: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitimeLun 31 Déc 2018 - 14:24

Erac




Topographie et généralités :




Géographie

Titre : Duché d'Erac
Superficie : 11.431,84 km²
Population : 219.024 Habitants
Paysages : Plateau, montagnes abruptes, falaises. Grandes forêts et plaines au sud
Terres frontalières : Sainte-Berthilde au nord, Hautval, à l'est, et Velteroc, au sud


Politique

Terre suzeraine : Diantra (Le Roy)
Grands vassaux : Velteroc (Baronnie), Hautval (Baronnie), Ancenis (Baronnie)
Quelques Seigneuries : Lyron, Orfe, la Ferté-Morille, Castelbroc, Havroc, Harren, Nefir, Morène, Trymoin, ...
Seigneur actuel : Renaud d'Erac

Capitale : Erac


Esoterisme

Religion officielle : culte pentien péninsulaire, avec préférence pour Othar
Religions interdites : cultes drows

Considération de la magie : Acceptée


Economie

Production principale :
Artisanats principaux : fourrures, dressage de destriers de guerre, fromage, laine
Commerce d'esclaves : interdit
Autosuffisance alimentaire : 76 % (importation de Sainte-Berthilde et Serramire)
Flotte : inexistante


Armée

Effectif total : 9 700
Armée de métier : 2 900
Miliciens conscrits : 6 800

Points forts :
Points faibles :



Terre suzeraine de Velteroc, Hautval, et Ancenis, le Duché d'Erac est situé en plein centre de la péninsule. Le duché en lui-même est situé sur le littoral Ouest du royaume, bordant l'océan d'Eris. Il partage ses frontières avec Sainte-Berthilde au nord, duquel il est séparé par les monts corbeaux, Hautval à l'est, protégé par la même chaîne, ainsi que celle des Dents de Veltres, et enfin Velteroc, au sud. Trois passes permettent de sortir ou entrer dans Erac, à commencer par la trouée d'Enguerrand, au nord, pour se rendre à Sainte-Berthilde. Vient ensuite le layon du pèlerin (renommé ainsi par Renaud, comme pour signifier la retenue en otage de Léandre, et le fait que les hautvalois passant par la doivent chercher le pardon pour ce qu'ils ont fait au Duc d'Erac) pour aller à Hautval, et enfin la mâchoire veltroise, référence à la chaîne des dents de Veltre pour Velteroc, ou l'entrée à Erac peut s'apparenter à une bouche. Erac pourrait être vu comme une terre divisée en trois parties distinctes, avec au nord-ouest, le pays rivois, composé d'autochtones qui étaient déjà présents avant la colonisation par les péninsulaires. Ceux-ci, même s'ils sont soumis aux Ducs, restent en retrait vis-à-vis des eracons, conservant des cultes païens, et friands de batailles intestines. Le nord-est, englobé dans le Lyron, largement battit à flanc de montagne, et dans la trouée allant vers Hautval. Outre les montagnes, cette région est très boisée, et compose la majeure partie des vastes forêts eraconnes. Enfin, le sud, le cœur du Duché, avec sa capitale, Erac. Le paysage y est très ouvert, avec les de grandes plaines permettant l'élevage des destriers eracons.

A l'ouest, Erac est battu par les vents marins. L'océan d'Eris est connu pour être tumultueux et les tempêtes ne sont pas rares. Tout habitant de la région a apprit à s'en méfier et à vivre avec, les superstitions y sont légions. Il y a d'ailleurs peu de plages qui mènent à l'océan, ce qui a enclin les premiers colons péninsulaires à s'implanter dans les terres, plutôt que sur le littoral. Le duché est escarpé et les falaises surplombent l'océan déchaîné, qui souvent, se brise en éclats d'écumes contre les roches usées. Pour le reste, Erac est entouré de grandes chaînes montagneuses. De par ces facettes, Erac semble froide et inhospitalière, mais cela est sans compter les terres de l'intérieur. Car à quelques kilomètres des falaises et montagnes, se dressent monts et vallons. Le climat est doux et humide. Le duché est giboyeux, réputé pour ses forêts. Les parties de chasse à Erac sont fameuses et souvent, les ducs ont organisé de grandes fêtes à la fin de celles-ci.

Le duché propose un relief diversifié et verdoyant qui change au fur et à mesure que vous prenez de la hauteur. En bas, les villes sont bien entendues plus nombreuses, se raréfiant au fur et à mesure que l'on prend de la hauteur, toutefois, même en contrebas, elles restent espacées, entrecoupées par de nombreuses forêts. Ces dernières vont des châtaigniers, frênes, chênes, et pins sylvestres dans la partie basse jusqu'aux hautes cimes perpétuellement enneigées et sans aucune végétation. Au fur et à mesure de l'ascension, la végétation changera, et l'on verra alors des hêtres, des arbres à aiguilles caduques, comme le mélèze, mais aussi des arbres dont le feuillage est persistant, comme les sapins et les pins sylvestres, ou encore des épicéas. Côté océan, Ce sont essentiellement de hautes falaises escarpées et infranchissables, si ce n'est à quelques endroits rarissimes ou apparaissent tout de même quelques villages côtiers, les plages de sable fin étant rarissime. Ceux-ci sont la cible favorite des pirates en provenance de Meca. La région de Rives, dans laquelle les autochtones étaient déjà présents avant l'arrivée des colons, ne craignent pas l'océan comme les colons péninsulaires, ils n'ont donc pas les superstitions sur l'océan.

Les fontes de neiges dans ces hauteurs ont créé une multitude de rivières, nourrissants la faune et la flore sur les flancs de montagnes, ou encore fécondants les terres en contrebas. Ces rus traversent le duché de part en part, en provenance du sud ou du nord, selon leur source, et allant dans toutes les directions. Toutefois, la majeure partie se dirige vers l'ouest pour rejoindre l'océan. Plusieurs fleuves ont vu le jour de ce cycle, le plus impétueux étant l'Hardi Monticole, en référence à ces fameux oiseaux, les Monticoles, nichant dans les forêts bordants tout le long des rives, et divisant à son tour le duché dans son tiers nord, d'est en ouest. Au nord-est, approximativement à mi-distance des Monts Corbeaux et des Dents de Veltres, l'on trouve le lac nommé le Reflet du Roc.

De plus, Erac est un paysage sauvage et brut, le château est une forteresse, les habitants sont rugueux et solides. Il est rare de rencontrer le moindre village n'ayant pas au minimum une palissade pour la protection de ses maisons.



L'économie



On aurait pu penser qu'ayant accès à la côte, Erac était spécialisé dans la pêche, mais c'est oublier l'océan dangereux, les superstitions, les falaises, et les pirates. Pourtant, les côtes eraconne dispose d'une ressource précieuse venant de XXXXXXXX, et ne permettant pas de déserter la côte. Ils doivent donc lutter contre la piraterie, et en particulier, un groupe qu'ils ont dénommé « les Ecumeurs ». Les bourgeois, ayant la main mise sur la vente de cette ressource, aident à la protection des villages allant récupérer cette denrée, source de profit. Il est à noter qu'ils luttent également, mais pas avec les armes cette fois, contre la noblesse locale qui tente de mettre aussi la main dessus, voulant s'accaparer la ressource pour la revendre ensuite aux dits bourgeois, et en tirer tous les bénéfices.

Les autres richesses d'Erac se trouvent dans sa faune et sa flore, ainsi que le bois, un matériau essentiel pour vivre.

La fourrure est un signe de luxe. Elle est utilisée plus particulièrement en bordure, en doublure, ou encore sur les chapeaux. Celles qui plaisent le plus sont le renard, la létice qui ressemble à l'hermine, le castor, le gris, le vair, et l'hermine. Ces trois dernières fourrures sont destinées aux vêtements de cour. L'écureuil, la loutre, et le lièvre sont plutôt réservés aux bourgeois et à la petite noblesse. Le vair désigne la fourrure de l'écureuil du nord. Celui-ci peut être dit "menu vair" lorsque le dos de l'animal gris et son ventre blanc sont employés successivement pour former un damier à deux couleurs. Le "gros vair" quant à lui, est d'une qualité inférieure. C'est une fourrure couramment utilisée.

L'exploitation du bois est une autre part de l'économie locale. Les anciens ducs ont cependant régulé l'exploitation de la forêt, en prévision d'une sur-exploitation qui pourrait bien ruiner à long terme le duché. L'on voit également des charbonniers parcourir le Duché, voir exportant la ressource vers l'extérieur.

Les terrains déboisés sont mis à contribution, ainsi certains ont été mis en culture et les paysans exploitent ainsi la terre pour y faire pousser les céréales. De nombreuses bergeries existent également, le Duché exploitant une race de moutons n'existant qu'à Erac. Celle-ci à plusieurs particularités très intéressantes. La première est qu'ils sont tout noirs, la seconde, qu'ils ont moins de laine que leurs congénères, mais plus épaisse, bien plus chaude, et donc prisée. Le fromage est bien entendu une source de revenus pour les paysans. Ensuite, concernant le mâle, les cornes du bélier offrent un son atypique, qui permet de le discerner distinctement des autres. Sur un champ de bataille, il permet d'être certain que les instructions viennent bien de leur camp, et de ne pas se tromper avec l'adversaire.

Au sein des montagnes, un étrange lapin vit dans les chaînes eraconnes. Dénommé le Lapointe, celui-ci a une fourrure noir et jaune, zébrée. Sa particularité réside dans sa corne, qui, réduite en poudre, est utilisée par les apothicaires dans la confection de remèdes très efficaces.

Le surplus de fabrication est revendu lors des marchés et bien des paysans font le voyage vers Diantra pour fournir la population en produits de terroirs et spécialités lors des foires.

Malgré tout cela, ce qui fait la réputation d'Erac, c'est l'élevage de destriers de guerre, véritable machine de guerre sur les champs de bataille. Ils sont réputés pour leur lignage et leur formation hors pair. Les meilleurs palefreniers péninsulaires servent les écuries d'Erac.



La culture



Les chaînes de montagnes entourant Erac rendent le Duché assez replié sur lui-même, et enclin à beaucoup de mystères vis à vis des autres territoires péninsulaires. De gros efforts sont fournis par les Ducs successifs afin d'informer la population du nom de son Duc, afin qu'elle trouve une identité. Etrangement, la fierté d'avoir une lignée très ancienne, celle-ci ne s'étant jamais éteinte depuis la création d'Erac, est très présente au sein de la populace. Il est donc naturel d'entretenir ce sentiment patriotique surprenant. Force est de constater que de tous les premiers dirigeants, les lignées se sont éteintes les unes après les autres, faisant d'Erac presque une exception.

Les eracons ont également un code de l'honneur très développé, ayant tourné naturellement la noblesse vers la chevalerie de manière exacerbée. Malgré des luttes intestines, et des escarmouches fréquentes entre les petits vassaux, les serments sont sacrés, et en rompre un amène une animosité de tous envers le parjure, qui devient un paria.

Naturellement, la manière de vivre au quotidien change selon l'endroit ou vous vous trouvez, même si la taille du Duché n'est pas énorme. Les montagnes, la foret, ou les plaines offres des styles de vie différents. Comme partout, l'on peut différencier trois castes qui sont la noblesse, la bourgeoisie, et la paysannerie.



La noblesse :


A Erac, l'on aspire à la chevalerie. Dès qu'ils sont en âge, tous les fils de la noblesse cherchent à suivre cette voie. Bien que leur origine facilite une place au sein de celle-ci, elle n'est pourtant pas acquise.

ils doivent gagner leur honneur en prouvant leur valeur. Fidèle écuyer de son Seigneur, ou par le biais de relations et d'influence, ces jeunes gens doivent réaliser de hauts faits d'armes pour faire valoir leur bravoure et justifier leur adoubement. Ils sont élevés dans la tradition chevaleresque, et gare à celui qui y déroge.

Chaque chevalier arbore fièrement ses couleurs, que ce soit son armure, ou sur le caparaçon de sa monture, mais aussi ses armoiries sur son bouclier, ou encore les panaches sur les heaumes. Le but est bien entendu d'être reconnu, et que l'on sache à qui attribuer les faits d'armes que le chevalier ne manquera pas d'exécuter et de vanter. Cette recherche de gloire amène des avantages et des problèmes de taille.

Tout cela amène au sport national eracon, à savoir les tournois et les joutes. Il n'y a pas une grande ville qui n'a pas sa date, permettant ainsi de réunir la chevalerie locale, avec un prix selon les ressources de la ville, et un banquet dans la même mesure. Que ce soit la noblesse ou la populace, tout le monde raffole de ces réunions, ou se dispute les faveurs des demoiselles, et les paris sur les vainqueurs. Bien entendu, le plus grand rassemblement est la joute d'Erac le cité, regroupant même la chevalerie extérieure au Duché. Nul chevalier digne de ce nom ne la manquerait, les butins étant plus attrayant du fait du beau monde la fréquentant.

Pourtant, il existe plusieurs courants au sein de celle-ci. Pour commencer, les nobles fieffés. Ceux-ci se sont vu confier un fief, inspirant le respect, et un but à atteindre. Ils doivent montrer l'exemple à la relève, et ont pour devoir d'administrer la terre qui leur a été confiée au nom de leur suzerain. Ils doivent évidemment défendre les paysans qui sont sous leur protection, en échange des taxes qu'ils prélèvent.
Ensuite, la noblesse sans terre. Formés au fils des siècles, ils n'ont pas la chance d'avoir un fief à diriger. Impétueux et intrépides à l'extrême, ils sont de tous les coups afin d'attester de leurs compétences. Premiers arrivés lors de la levée d'osts, toujours en première ligne, et chargeant au cœur des mêlées sans aucune hésitation, ils sont toutefois difficiles à gérer, et prompts à la désobéissance.



La bourgeoisie :


Tenant le commerce entre leurs mains, ce sont eux qui contribuent le plus à l'économie, et au trésor du Duché. Négociants dans tout ce que le Duché offre en opportunités, leur fortune est faites, et les taxes qu'ils fournissent jouent un rôle de taille dans le sourire de leur Seigneur. Ils sont naturellement divisés en castes selon leur corps de métier, et ils ne se mélangent pas trop, sauf bien entendu s'ils ont besoin d'acheter.

Toutefois, au grand dam des anciens, ou des intellectuels, leurs fils, baignés dans les histoires prestigieuses de la chevalerie, s'engagent dans la voie des armes. Ils fournissent un nombre intéressant de jeunes fougueux, bien équipés, et avides d'en découdre, et d'en remontrer à la noblesse qui les regarde de haut, tout en étant prompt à venir demander un crédit ou un prêt auprès de leurs paternels.



La paysannerie :


Passant leur vie à travailler durement, ceux-ci sont largement analphabètes. Ils sont robustes, et rustres, parlant un patois avec un accent les rendant difficilement compréhensibles pour les étrangers, voir même entre eux selon le village où ils sont natifs. Le quotidien des paysans est un éternel recommencement. Le peu de temps libre dont ils disposent, ils le passent à boire dans les tavernes, à écouter les troubadours parler des derniers exploits de la chevalerie, et pariant, ou perdant ce que les taxes ne leur ont pas pris en jeu de cartes ou de dés.

Dès leur seizième année, ils doivent exécuter un service militaire obligatoire d'une durée de trois années avant de pouvoir rentrer chez eux. De plus, durant l'hiver ou tout est calme, ils doivent se rendre au castel, pour une inspection de leur équipement, et une remise à niveau.



La religion :


Le culte pentien est bien évidemment la religion du Duché, comme à travers toute la péninsule. Toutefois, il est à noter la présence du Grand Temple d'Othar à Erac. Cet édifice, et par extension, le surnombre du clergé dédié à ce dieu, à tourné insidieusement la population à prier cette entité en particulier, au détriment des autres. La culture très martiale du pays, et la chevalerie poussée à son paroxysme ne sont pour rien à cet écart de culte entre Othar et les autres divinités. Néera, bien que passé au second plan, ainsi que les autres, ne sont tout de même pas en reste, leur représentation étant bien présente, bien que moindre.

L'on retrouve également une caste de chevaliers qui se dédient entièrement à Othar. Qu'ils soient très pieux, ou désespérés, ils forment ce que les eracons nomment les chevaliers du culte. Plusieurs commanderies se sont élevées, servant le Dieu de la guerre, et répondant à l'appel du Haut-Prêtre si celui-ci a besoin d'eux. Respectés en raison de leur foi, ils sont une épine dans le pied des dirigeants, se voulant indépendant de l'ordre féodal, et totalement soumis à Othar.



Anecdotes :


Les montagnes entourant le Duché rendent son invasion très problématique, voir cauchemardesque. En effet, ce ne sont pas de petites collines, mais bien de hautes montagnes. Il y a donc de multiples ponts permettant de franchir des gouffres d'une profondeur abyssale. En cas d'invasion, ou de conflit, couper un pont rallonge les temps de trajet de manière conséquente. Les milices sont de plus bien formées, et elles s'y connaissent parfaitement en techniques de guérillas puisque c'est leur territoire. De plus, un système de guets et de feux d'alarme existe pour prévenir rapidement. Cela permet de monopoliser les surveillances de frontières au niveau des passes pour l'armée professionnelle, et d'avoir plus d'effectifs pour une surveillance accrue.

Il existe, au sein des montagnes, des bandits, surnommés les Rapineurs. La lutte contre ce groupe qui peut se dissimuler dans nombre de grottes, permet aussi de maintenir la milice locale sur le qui-vive, pour échapper aux assauts, ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose, et évite des erreurs pouvant survenir de part la monotonie.

Le réseau de grottes au sein des chaînes de montagnes est gigantesque. Aussi, il a été décidé par l'un des précédents Duc, de profiter de cet état de fait. Aussi, le trésor d'Erac, plutôt que d'être conservé dans les coffres de la capitale, à été transféré dans des cavernes ayant été hautement fortifiées, et sous bonne protection. Des denrées y sont également conservées, et permettent de soutenir un très long siège, du moins si l'emplacement est trouvé. Les Ducs peuvent donc se retrancher là bas, au cas où Erac serait submergée par une invasion.

En raison des élevages, l'équitation est abordable par une grande partie du Duché. Ainsi, même s'ils n'ont pas les moyens de s'acheter une monture, nombre de personnes, même les plus démunis, connaissent les rudiments de la monte.

Au sein du Duché, il y a une race de chiens. Celle-ci est employé par les bergers dans les élevages de brebis. En raison des réussites concernant ces chiens, ils ont été détournés de leur rôle principal, et ils ont été intégrés dans l'armée pour en faire des chiens de guerre. En raison des réussites concernant ces chiens, ils ont été détournés de leur rôle principal, et ils ont été intégrés dans l'armée pour en faire des chiens de guerre.



Les fêtes







Les lieux importants



- Erac :

Comme son nom l'indique, il s'agit de la capitale du Duché.





La Ferté-Morille

Castelbroc, conseiller au commerce

Havroc

Rochefouchart








L'armée



Vu la position d'Erac, en plein centre de la péninsule, et protégé de l'extérieur par les marches du royaume, l'on aurait pu penser que le duché se serait contenté de vivre calmement. C'était sans compter sur les velléités et ambitions que ses voisins peuvent avoir, ou encore les conflits internes entre seigneurs du cru. Ajoutez à cela la piraterie fréquente, en provenance de Meca, ou les bandits en montagne, et l'on comprendra les raisons qui ont favorisé une philosophie martiale. Ainsi, bien que disposant de sa noblesse, et d'une armée professionnelle comme tout Duché qui se respecte, Erac peut compter sur une armée de milice, bien formée, et compétente, chose assez rare pour être relevé. Ajoutez à cela une bourgeoisie en quête de sensations fortes, et de gloire, et vous aurez une mixture détonante.


- Les armées professionnelles :


L'Ordre du Merle :

Constitué de trente chevaliers, pas plus pas moins, et cela étant immuable, ils forment la garde du Duc. Vétérans ayant accompli de hauts faits d'armes ou hommes de confiance, ils se réunissent autour de trois valeurs qui sont Loyauté, Courage, et Ténacité. Ils sont facilement reconnaissable grâce au panache sur leur heaume, constitué de plumes bleu clair, et d'une cape de la même couleur, cette dernière leur étant remis par le Duc lors de leur accession au sein de l'Ordre. Cette couleur leur est réservée exclusivement, elle rappelle la couleur du fameux Monticole, mais aussi du pouvoir exercé.

Ces hommes sont idolâtrés par les eracons. Tout le monde les acclame lors de leurs passages, les enfants ont des étoiles pleins les yeux, voulant intégrer l'armée dès qu'ils en auront l'âge, et les soldats les suivraient jusqu'à la mort dans une charge épique, hurlant tout en déferlant sur l'adversaire. Leur seule présence inspire le respect et la crainte sur un champ de bataille.

En tant de guerres, ils se réunissent autour du Duc, et s'occupent de sa protection rapprochée, mais en tant de paix, ils sont utilisés à d'autres activités. En effet, ils sont divisés en trois compagnies, selon la valeur qui leur est rattachée. Ainsi, dix d'entre eux composent la garde privée du Duc, ou qu'il se déplace, ils se retrouvent dans la Loyauté, ils sont symbolisés par un petit bouclier qui est brodé sur leur cape. Dix autres sont des stratèges hors pair, ils représentent la Ténacité, et sont employés à la protection du Duché, que ce soit son intégrité ou ses frontières. Leur symbole et une tour. Les dix derniers, placés sous le mot Fierté, sont tout ce qu'Erac à de meilleur. Dès qu'ils sont employés, ce sont ceux qui chargent en premier, et mènent les troupes à la bataille. Une épée bâtarde fait office de symbole les concernant.

L'on peut voir un des chevaliers de l'Ordre partir seul pour une mission particulière. Dès qu'il arrive sur place, tous tombent naturellement sous sa direction, et lui doivent obéissance. En cas d'apparition d'une menace particulière (un Kerkang, une bande de bandits plus imposante, etc.), ce sont eux qui sont chargés de diriger les opérations pour l'éradiquer.

Il est à noter un fait important, c'est que cet ordre n'est pas ouvert à la seule noblesse. Un simple soldat, sortant du lot par un très haut fait d'armes, peut se voir intégré dans l'Ordre. Il sera alors anobli, et adoubé, par le Duc en personne pour service rendu, et son équipement sera payé par le Duc. Dans les faits, le nombre de non-nobles à avoir intégré leur rang est rarissime, presque inexistant, mais cela laisse un espoir, poussant tout le monde à donner le meilleur d'eux même, et pouvoir toucher l'élite de l'élite, et sortir de leur misère.


Les chevaliers, et la noblesse :


Lors de la levée de ban, les nobles regroupent leurs troupes, et ils se dirigent vers le lieu de rendez vous. Bardés de fer, avec leurs armures de plates, et leurs équipements, ils se divisent en deux écoles distinctes, que la topographie des lieux à naturellement forgé.

Ainsi, l'on distingue la noblesse des plaines, qui englobe les chevaliers. Montés, sur de fiers destriers sortis des élevages eraçons, et formés spécialement pour la guerre, ceux-ci sont également recouverts d'une armure intégrale destinée à les protéger lors des charges dévastatrices de leurs cavaliers. S'ajoute à cela un caparaçon aux couleurs de la maison du chevalier, afin qu'il soit bien reconnaissable sur le champ de bataille. Au niveau de l'armement, ils disposent de la fameuse lance, et d'un écu de forme ogivale. Pour le reste, le choix est libre, épée, haches, ou autre.

L'autre école provient principalement du Lyron, et des montagnes environnantes. Le terrain très accidenté de cette région, est peu propice à l'utilisation d'une monture. Les Seigneurs locaux ont donc prit l'habitude de combattre à pied, plutôt que perchés sur des destriers eraçons. Les Seigneurs dirigeant les osts les trouvent particulièrement utiles. Ils tiennent des positions importantes, défendent des châteaux, ou montent à l'assaut de fortifications, leurs performances martiales étant bien meilleures que celles des armées, même professionnelles. Ils servent également de phare pour les soldats, voyant en eux une puissance sur laquelle il faut compter, et les rendant plus fier, et surtout motivé, à se battre.
Il y a également des nobles trop pauvre pour s'offrir une monture décente, et méprisés par les autres. Toutefois, le fait de ne pas avoir à se ruiner pour entretenir une monture, et malgré leur bourse moins fournie, ils arrivent à se payer des armes et armures de bonne facture, leur permettant de faire face à nombre d'adversaires sur un champ de bataille. L'on voit donc fleurir tout un tas de hallebardes, de haches d'armes, et d'épées à deux mains servant à pourfendre leurs ennemis.

Les Ferfroid :

Vétérans de l'armée professionnelle, ils sont composés des soldats eracons ayant fait leurs preuves sur un champ de bataille. Ceux-ci sont utilisés là ou le besoin se fait sentir, que ce soit pour renforcer une défense, ou pour percer une ligne adverse. Revêtus d'une cuirasse et de protections pour les bras et les jambes, leur casque salade, constitué d'une visière fixe et terminé par une pointe sur l'arrière, forme l'équipement de cette compagnie. Comme leur nom l'indique, leur arme est la hallebarde. Celle-ci est composée d’une longue hampe d'un mètre quatre-vingt, et d'une pointe à son sommet servant à percer les armures adverses. En dessous de cette pointe, l'on distingue d'un côté un fer de hache pour trancher, et de l'autre, un dard servant à crocheter. Tout cela leur permet aussi bien de recevoir une charge d'infanterie ou de cavalerie, même si ce n'est pas leur fonction première. En effet, l'on cherchera à préserver ces hommes, rompus au combat et expérimentés.

Le nom fait référence à leur équipement tout en plate, mais aussi à leur sang-froid légendaire lorsque le besoin se fait ressentir. Ils accomplissent leur devoir sans frémir.


Les lanciers (lances, boucliers) :

Formant le principal des troupes professionnelles eraconnes, les lanciers sont équipés d'une lance et d'un bouclier large. Leur protection est constituée d'un haubert, de protections de bras et de jambes, ainsi qu'un casque. Ils forment la phalange lorsqu'ils montent au combat, leurs lances formant un hérisson de pointes tenant l'adversaire à distance.


Les arbalétriers :

D'une puissance dévastatrice à moyenne portée, la lenteur de rechargement ne permet pas une cadence suffisante pour harceler l'ennemi. Leur nombre est donc bien inférieur comparé au nombre de leurs homologues archers. Ils sont souvent placés en retrait, prêt à se déployer pour stopper une charge, ou soutenir un flanc, imprégnant de terreur ceux qui sont frappés par les carreaux.
Protégés par une brigandine et un casque, un pavois complète leur équipement.


Les archers longs :

Difficile à maîtriser, l'arc long est réservé aux soldats professionnels, qui disposent d'une formation accrue, et continue. Plus rapide que l'arbalète, avec une cadence de tir de dix à seize flèches par minute, selon l'expérience, la longueur du tir ne permet pas d'être très précis. L'on parie donc plus sur le nombre de traits, et sur la tactique dites « pluie de flèche » L'on compense donc la perte de précisions par la quantité de flèches.

Composé dans une seule pièce de bois d'if, la grande taille de l'arc lui permet un tir lointain, mais aussi une puissance de perçage. Certains tireurs disent avoir abattu des hommes revêtus de maille à partir de deux cents mètres, et en plate entre soixante à cent mètres.

Etant relativement précieux, ils sont revêtus d'une cotte en cuir, à manche courte pour favoriser le tir, et d'un casque cervelière. Ils disposent également d'un protège bras en cuir et d'un gantelet pour la protection de leurs doigts. En plus de cela, un pieu leur à été fournit, afin de dresser une barrière les protégeant d'une charge éventuelle. Enfin, une épée courte complète le tout, servant lorsqu'ils ont épuisé leurs munitions.


Les armes de siège :

Comme toute armée qui se respecte, une unité d'ingénieurs et d'artilleurs à pour charge la construction, l'entretien, et l'utilisation des armes de siège de l'armée. Ceux-ci sont rompus à la mise en place, allant de la charge de couper le bois, à la fabrication des tours de sièges, ou encore des catapulte, trébuchet, ou tout ce que le Seigneur aura décidé d'employer pour assaillir un château.


- Les milices, et les levées paysannes :


Celles-ci sont composées de la populace urbaine, ou comme son nom l'indique, des paysans alentours mais également de la bourgeoisie eraconne qui cherche à s'illustrer au combat.


La populace :

Contrairement à nombre de territoires qui mettent au rebut les milices, les prenant pour des compagnies sacrifiables, ou faibles, Erac ne voit pas du tout les choses de la même façon. La topographie particulière des frontières eraconnes ont amené les anciens Ducs à compter sur les milices pour les protéger. En effet, leur connaissance du terrain, et le temps considérable que prend une mobilisation en montagne, rendent les milices les plus aptes à réagir avec célérité, et à utiliser toutes les ressources à leur disposition pour contrer les menaces éventuelles. Erac a donc imposé un service militaire obligatoire d'une durée de trois années, afin de former la paysannerie à l'art de la guerre. Les résultats étonnants qui en résultèrent amenèrent les Ducs à étendre ce service à toute la population, et non seulement celle des montagnes. La milice eraconne est donc particulièrement compétente, ce qui, ajouté à leur fierté naturelle, peut surprendre ceux qui les sous-estimeraient.

Ceux-ci sont divisés en trois :

Les archers courts :

Les archers, équipés d'arcs courts bien entendu, et non des fameux longs. Ceux-ci ont une cadence de tir bien plus rapide, que leurs homologues, toutefois, leur portée est moindre. Ils compensent cela par des tirs tendus, et une précision qui peut leur sauver la vie. Ils ont pratiquement tous des pieux également, conscient de l'importance de ne pas avoir une charge à leur encontre, montée ou à pied. Et pour finir presque tous ont une dague.

Les chiens de guerre :

Un chien qui parvient à résister à un loup n'est pas un chien ordinaire. Cette race particulière dont dispose Erac à donc été détourné de sa mission première, et entraînée pour la guerre. Très rapide, et habitués à reconnaître les uniformes de leurs armés, ils font des ravages dans les troupes ennemis lorsqu'ils sont lâchés. Voir un animal aussi vif vous attraper par le bras, et vous emporter avec lui, cause la terreur. Ils ont donc un impact autant physique que psychologique.

Les piétons :

Le reste est composé d'équipement hétéroclite, puisque c'est l'homme qui fournit son matériel. L'on verra donc des vouges, des piques, des épées, des haches pour ce qui concerne l'offensif. Quant à la protection, elle est diverse selon les ressources.

La bourgeoisie :

Poussé par l'envie de prestige, et de hauts faits, la bourgeoise eraconne est particulière, surtout en ce qui concerne la jeunesse. Il est donc fréquent qu'ils prennent part aux campagnes. Les moyens à leur disposition leur permettent d'avoir un équipement de bonne qualité.

Conscient de ce vivier, quelques règles ont été édictées afin d'essayer d'avoir une harmonie au sein de cette unité. Ainsi, ce sont des bretteurs, ceux-ci étant d'ailleurs souvent mêlés à des duels, cette arme qu'est l'épée leur convient à merveille.


Les Rivois :

Complètement à part de l'armée dite « régulière », les rivois fournissent un contingent aux Ducs lorsque ceux-ci leur demandent. Ils le font pour garder leur tranquillité, et leur culture, et ne pas être en conflit ouvert avec l'ordre établit. L'on pourrait les apparenter à des auxiliaires légers. Expert en traque, combats forestiers, mais aussi pour désorganiser des formations adverses. Ils sont souvent employés plus librement, et lors d'escarmouches, et très rarement inclus dans les formations lors des batailles rangées.[/center]


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MessageSujet: Re: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitimeLun 31 Déc 2018 - 14:27

Bonjour tout le monde,


Voila à peu prêt un an et demi que j'ai débuté ce bg...et il y a toujours pas mal de points manquants ^^ Désireux toutefois de l'avancer, et surtout de le conclure, je me permets de le poster même s'il n'est pas terminé, histoire d'avoir des retours, des conseils, pour les plus courageux...et voir s'il convient.

Merci d'avance
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Lohie de Brandevin
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MessageSujet: Re: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitimeMer 2 Jan 2019 - 15:51

Hello Renaud !

C'est un joli BG !

Je me permets une ou deux remarques en passant, tu en fais bien sûr ce que tu veux :)

Parmi les lieux notoires de l'Eraçon où se sont déjà jouées des choses, notoirement via Aetius, il y a les châteaux de la Ferté-Gislain et de Fiel-Boys, ainsi que Pont-l'Amor. Ça peut être cool de les intégrer.

Ensuite il y a le BG militaire :

Citation :
De l'autre côté, il y a la chevalerie dite piétonne. Celle-ci provient principalement du Lyron, et des montagnes environnantes. Ainsi, le terrain très accidenté de cette région, est peu propice à l'utilisation d'une monture. Les Seigneurs locaux ont donc prit l'habitude de combattre à pied, plutôt que perchés sur des destriers eraçons. Les Seigneurs dirigeant les osts les trouvent particulièrement utile.

Est-ce que tu ne devrais pas plutôt parler de "nobles" en ce cas ? Un chevalier ne peut conserver cet état qu'en ayant une à plusieurs montures et des armes appropriées... et en combattant à cheval. C'est ce qui le distingue des piétons, du menu fretin des manants et des non-chevaliers. HRP, il y a bien sûr des exemples historiques (rares, au demeurant) où des chevaliers combattent à pied (toujours pour une raison stratégique exceptionnelle, ce n'est pas la norme), mais irp, dans une terre comme Erac où la chevalerie est placée au plus haut des honneurs de par tout le royaume, je trouve que la "chevalerie piétonne" résonne bizarrement. Ce serait en quelque sorte "déchoir" pour ces preux :)
Le destrier eraçon c'est un peu leur monture fétiche, et ils l'affectionnent pas dessus-tout. C'est ce qui fera la différence entre un chevalier de la brande, monté sur un vulgaire destrier lambda, et un véritable chevalier d'Erac. De quoi toiser de haut tous les autres chevaliers du royaume  BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] 1728150167


Citation :
Les Ferfroid :

Vétérans de l'armée professionnelle, ils sont composés des soldats eracons ayant fait leurs preuves sur un champ de bataille.

Est-ce que les Ferfroid sont des soldats professionnels ? Si oui, par qui sont-ils soldés ? Les nobles locaux ou le duc ? Dans un cas comme dans l'autre, vu leur équipement : "tout en plate" et si celui-ci est fournit par leur employeur, ils doivent coûter très cher à entretenir. Je pense qu'il faudrait prendre ça en compte dans l'aspect financier du duché.

Citation :
Les archers longs :

Difficile à maîtriser, l'arc long est réservé aux soldats professionnels

Les archers longs type longbows sont une spécificité de Hautval et d'Olyssea. C'est précisé dans les BGs respectifs de chacune de ces baronnies et il est interdit aux autres d'en avoir. D'autre part, même si je suis bien fana de ce type d'unité, ça me semble important de garder cette spécificité : histoire de pas se retrouver avec toutes les terres du royaume qui utilisent des archers longs lors de la gestion des guerres par le staff.... et des joueurs qui font tous la tactique pieux/arcs longs + chevaliers à pied retranchés. L'enfer  affraid

Et aussi parce que ça fait partie de l'identité de Hautval et Olyssea, c'est leur truc... tout comme le feu de Pharêt pour Merval, ou les destriers eraçons pour Erac :)

Je les verrai plutôt en mercenaires donc. Si le staff les valide. Avec le coût, l'équipement et la loyauté/fidélité qui vont avec bien sûr.

Citation :
- Les milices :

Celle-ci est composée des paysans, mais aussi de la bourgeoisie eraçonne qui cherche à s'illustrer au combat.

La milice comprend plutôt les troupes formées par les villes ou le chef-lieu d’une seigneurie importante, c'est à dire entouré de remparts avec des habitations dedans, et des "métiers" (corporations, guildes, etc) parmi lesquels sont prélevés les miliciens.
Dans le cas des paysans, il serait plus logique de parler de "levées" paysannes. Ni le même équipement, ni le même entrainement... ni donc la même efficacité (très aléatoire).


Citation :
Erac a donc imposé un service militaire obligatoire d'une durée de trois années, afin de former la paysannerie à l'art de la guerre. Les résultats étonnants qui en résultèrent amenèrent les Ducs à étendre ce service à toute la population, et non seulement celle des montagnes. La milice eraçonne est donc particulièrement compétente, ce qui, ajouté à leur fierté naturelle, peut surprendre ceux qui les sous-estimeraient.

De façon générale, je suis pas pour les BG militaires trop précis, trop wargames et trop boostés... ça enlève de la magie du RP à mon sens, en particulier dans un univers médiéval, où les cadres militaires sont quand même assez flous et la valeur des "unités" assez aléatoire. Et on se retrouve avec des impacts financiers, culturels, etc. qui ne sont pas pris en comptes sur le reste du jeu.

Les BGs produits par Semoras d'Olyssea, Aetius pour Scylla, ou d'autres, de ce point de vue là, sont vraiment pas mal je trouve.

Dans ce cas-ci par exemple, la notion d'un "service militaire" me parait anachronique (18e siècle en France quand même) et ne prend pas en compte l'impact sur l'économie du duché : des hommes sont donc absents des champs et de toute activité économique du duché pendant trois ans (C'est une très longue durée. Pour te donner une idée : le service de combattre à l'étranger pour leur seigneur dû par les vassaux à leur suzerain, c'est en moyenne 40 jours. Ce délais passé, le suzerain doit payer ses vassaux).

Dans une terre qui n'est, qui plus est, pas non plus super indépendante concernant les productions de céréales... (Une grande partie du territoire d'Erac est inexploitable parce que constituée par les fleuves, montagnes, côtes, falaises... et le duché possède une autonomie alimentaire pour seulement 76% de la population. Les cultures ne sont donc pas à négliger). Il y a forcément un impact économique énorme. Tu risque de te retrouver un peu dans le schéma de ce qu'avait voulu faire Merwyn à Serramire.

On est plus du tout dans les "corvées" du Moyen-Âge là.

En fait, l'idée même d'une armée régulière telle que tu la présentes pose problème de ce point de vue là. Elle peut exister bien sûr, mais en faible nombre afin que le coût ne soit pas trop exorbitant. Et les équipements dont tu parles pour la plupart des unités (beaucoup de plates) sont très très chers pour de simples bourgeois (pour lesquels cet armement est une exception concernant les plus fortunés).

Pour la Couronne (qui a les moyens) par exemple, les seules troupes vraiment permanentes sont celles, privées, des petits et grands seigneurs qui répondent à l'appel de l'ost par le jeu des vassalités. Et les quelques compagnies régulières, dont la solde est diminuée en temps de paix. C’est le cœur de l’armée royale. Ses membres, qu’ils soient des cadets de nobles familles ou des pendards voulant échapper à la hart, s’engagent sur une longue période. En temps de paix, ils sont stationnés en garnison dans divers châteaux et bourgs des domaines royaux, servant de soutien aux baillis et autres officiers royaux. Ils sont alors en morte-paye (ils ne touchent que la moitié de leur solde). Lorsque les compagnies sont levées pour les besoins du roi, les soldats partent en campagne et touchent, dès lors, la solde pleine. Mais ce sont les revenus des domaines où ils sont stationnés qui les entretiennent.

Les compagnies du roi sont une arme précieuse du fait de leur professionnalisme et de leur disponibilité, cependant, elles coûtent extrêmement cher à la Couronne. Et vu la situation économique de la Couronne après la guerre, ça s'en ressentira dans la prochaine proposition de BG militaire de celle-ci  BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] 138598

L’équipement étant à la charge du soldat, il n'est pas rare de croiser des hallebardiers nobles trop pauvres pour se payer un harnois (une véritable fortune), et des bourgeois dans la cavalerie lourde. On reste dans le vague.

A Scylla, il y a les reîtres comtaux, au nombre de quelques centaines, mais leur armement est assez aléatoire, tout comme leur fidélité : ils restent des mercenaires sans foi ni loi. Ils sont fidèles à celui ou celle qui les payent le mieux. Des aventuriers et des filous. Ils sont d'ailleurs financés directement grâce aux gains des salines, dans lesquels ils sont employés, ainsi que dans les châteaux, pour les garnisons. Sinon il y a les moines-guerriers, entretenus par le clergé et qui allient la vie monastique avec le métier des armes. Là encore, c'est le clergé qui raque financièrement. Et ils "n'appartiennent" pas directement au comte mais aux ordres mogarites.

Citation :
L'Ordre du Merle :

En ce qui concerne leur équipement, ils ont ce qu'il y a de meilleur, que ce soit en armes, armures, et montures. Rien ne leur est interdit, et ce sont naturellement les caisses du Duc qui le paye..

Là encore, le coût financier n'est pas à négliger Wink


Dernière édition par Lohie de Brandevin le Mer 2 Jan 2019 - 18:38, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitimeMer 2 Jan 2019 - 18:08

Merci Lohie pour ce retour qui m'évite déjà pas mal de point !
Et effectivement, merci Renaud pour ce travail de fond.

Comprenant que c'est un travail fastidieux pour toi (comme pour nous), je vais te faire des retours au fur et à mesure.

Concernant quelque chose qui n'a pas encore été abordé précédemment, je vais te parler du point sur la noblesse :
Renaud a écrit:
A Erac, tous les nobles sont chevaliers, l'un ne va pas sans l'autre. Dès leur naissance, tous les fils de la noblesse doivent suivre la voie de la chevalerie.

Bien qu'Erac soit une terre où les valeurs de la chevalerie sont profondément ancrées, cela ne signifie pas que tous les mâles nobles sont chevaliers. Comme expliqué déjà dans le BG de la chevalerie, c'est une instruction particulière qui dépend du bon vouloir des parents, et du chevalier qui aura le rôle de maître. La particularité d'Erac, par conséquent, ne se pose pas sur la multiplicité des chevaliers, mais sur leur profond attachement aux dogmes qu'ils défendent.
Quand par exemple dans la Malelande un chevalier pourrait avoir moins d'état d'âme à piller ou violer, un Eraçonnais - lui - par attachement aux valeurs qui fondent leur ordre, ne s'y risquera pas. C'est une subtilité que je te demanderai donc de modifier.

Renaud a écrit:
sa héraldique
En passant comme ça, héraldique est un nom masculin ! Wink

Renaud a écrit:
Il n'y a pas une ville qui n'a pas sa date, permettant ainsi de réunir la chevalerie du Duché, et de festoyer comme il se doit.
Là encore, ce sont des dépenses assez coûteuses s'il s'agit d'événements rassemblant du monde. C'est donc à prévoir dans les finances locales. Lohie a assez bien fait le topo sur la gestion financière au dessus, je te laisse te référé à ce qui a été dit pour nuancer ou modifier tes propos.

Renaud a écrit:
Ensuite, les Chevaliers sans terre. Formés au fils des siècles, ils n'ont pas la chance d'avoir un fief à diriger. Impétueux et intrépides à l'extrême, ils sont de tous les coups afin d'attester de leurs compétences. Premiers arrivés lors de la levée d'osts, toujours en première ligne, et chargeant au cœur des mêlées sans aucune hésitation, ils sont toutefois difficiles à gérer, et prompts à la désobéissance.
La chevalerie est par essence réservé à la noblesse pour le prestige mais surtout pour les coûts que cela implique. Il faut obtenir et entretenir une armure complète, obtenir et entretenir un ou plusieurs chevaux - bref, cela nécessite une rente coquette. Il ne leur appartient donc pas de se positionner en première ligne : leur sang et les frais amènent naturellement au respect de la hiérarchie, laissant la piétaille se faire zigouiller avant de rentrer dans le tas. De plus, nul prestige à qui ne survit ! Qu'ils soient impétueux et avides de reconnaissance sont des facteurs non négligeable à leur relatif "contrôle" au sein d'un ost.
Néanmoins, et là je te rejoins, ils mèneront des actions plus bravaches mais assez bien pensées pour ne pas perdre leur cheval, se déshonorer ou mourir (le déshonneur provenant notamment lorsque l'on désobéit à des ordres directs).

Je te laisse déjà prendre connaissance de ces petits changements,
et la suite au prochain épisode :p
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MessageSujet: Re: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitimeJeu 3 Jan 2019 - 11:40

Aucun soucis, permets toi Lohie, et tous ceux qui viendront mettre leur pierre à l'édifice. Je l'ai posté aussi pour ça comme indiqué. Je ne dis pas que je tiendrais compte de toutes les remarques, mais j'ai envie de le terminer, et de le poster, et tous les conseils sont bons à prendre.

Prenez en compte que si je viens à discuter d'un conseil, il n'y a rien d'agressif, mais bien un dialogue, pour confronter les points de vus de manière amicale, et constructives (j'aime préciser)

Je précise aussi que je vois un peu Erac à la Bretonnie dans Warhammer, pour ceux qui connaissent. je trouve cela très classe.


- Pour les lieux, j'ai juste mis les premières en m'arrêtant, parce que je retombe toujours dans la même description. Les noms cités ne sont donc pas exhaustif. Tu auras vu qu'il y a pas mal de trous encore.

- Tu as raison sur la chevalerie piétonne, c'est une hérésie, c'est édité Wink

- Les Ferfroids sont des pro bien entendu, même s'ils ne s'équipent de la plate qu'en cas de guerre, et pas au quotidien. A noter que nombre de bg ont des unités en plate, et que cela n'a jamais été soulevé. Comme tu parlais aussi de wargame, tu noteras que je n'ai pas énuméré le nombre d'hommes etc. Je veux soulever la caractéristique martiale d'Erac, qui pourrait être étonnant vu que cest au médian, et pas dans le nord.

- Pour les archers longs, c'est une unité qui me tiens à cœur. Et si, comme tu le précise, au début, c'était une spécificité hautvaloise, maintenant il y a par exemple Olyssea, mais aussi Alonna qui en dispose. Puisque ce n'est donc plus une spécificité, pourquoi m'en passer, alors que les montagnes sont, de mon point de vu, un lieu propice à la prolifération de cette arme.

Un peu comme les chevaux de guerre qui étaient une spécificité eraçonne, pis y en a à Odélian, et à Sainte-Berthilde, pour donner un autre exemple.

- J'ai modifié pour les milices, indiquant qu'il y avait les deux (miliciens et levées paysannes)

- Pour l'Ordre, j'ai retiré la notion de paiement par le Duc, sauf s'il s'agit d'un soldat qui s'est élevé, mais comme c'est rarissime BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] 657689250

-Je réfléchis pour le service militaire, j'étais partis sur le style Suisse, je le laisse pour l'instant, mais j'y réfléchis, et on en reparle via mp ?? Wink

- Pour la plate, je ne comprends pas, outre les nobles et les chevaliers, il n'y a QUE les Ferfroids qui en ont, aucune autre unité (Bon j'ai retiré pour les Bourgeois, je devais déjà le faire, c'est un oubli  Embarassed  )

- Pour le nombre de l'armée professionnelle, chaque Duché, Comté, et Baronnie à un nombre de soldats pro, et de miliciens. Ce n'est pas moi qui ai inventé un chiffre, c'est le bg de Miradelphia, juste j'adapte celui-ci en le divisant en unités selon mes envies/besoins. Après oui il y a plus de diversité chez les pro que la milice ou les levées paysannes, mais je ne trouve pas ça dérangeant. Sur le champ de bataille y a plus de piétaille milicienne que de pro, par contre on différencie mieux les pro que la masse.

Je reste à ta dispo pour discuter de manière plus approfondie, ou d'autres points Wink



===> Alanya

Merci pour tes retours aussi

Citation :
- En passant comme ça, héraldique est un nom masculin !.

Figure toi que je le pensais aussi et que j'ai été très surpris lorsqu'un correcteur a soulevé cela. Du coup j'ai fais des recherches, et je n'ai trouvé que du féminin concernant le nom qui est la connaissance des blasons etc. mais rien sur le fait que l'adjectif soit masculin ou féminin...J'ai modifié pour retirer ce mot.


- Pour moi, ne pas être chevalier à Erac était considéré comme une hérésie et un manquement à l'éducation. Mais vu la remarque plus que pertinente de Lohie sur le chevalerie = montée, j'ai édité en conséquence.

- Par (toutes les villes), j'entends les plus importantes, et pas toutes, c'est un fait. Et c'est local, donc dans des mesures moindres qu'une joute "internationale". Par contre j'ai rajouté (un oubli) celle se déroulant à Erac même

- J'ai modifié chevaliers par nobles. Par contre, plutôt que d'être tués, les nobles étaient plutôt capturés pour les échanger contre rançons. C'est pour ça que, pour les moins fortunés, je les vois désobéissants et prompts à la charge pour acquérir du prestige, et tenter de se mettre en avant pour avoir un fief.
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MessageSujet: Re: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitimeJeu 3 Jan 2019 - 12:59

Cool !!  Surprised

Citation :
Erac à la Bretonnie dans Warhammer

C'est aussi un peu comme ça que je les vois au niveau des mentalités :) même si Ancenis est pas mal aussi dans ce registre. Le Médian en général, à l'exception partielle de Hautval, c'est un peu la terre où l'idéal chevaleresque est porté au plus haut, quitte à être parfois un peu déconnectée des réalités de la guerre, contrairement au Nord. Une chevalerie rêveuse, batailleuse et en quête d'exploits, qui n'hésite pas à foncer dans le tas sans vraiment faire gaffe à la situation  BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] 657689250

Est-ce que dans ce cas-là tu ne devrais pas insister sur une présentation générale de cet idéal et de l'importance des valeurs martiales dans le duché, plutôt que sur une description (trop ?) précise unité par unité ?

Citation :
Je veux soulever la caractéristique martiale d'Erac, qui pourrait être étonnant vu que cest au médian, et pas dans le nord.

C'est justement déjà précisé dans le BG des armées de la Péninsule que les fiefs du Médian sont assez martiaux  Wink

Citation :
À l'éducation plutôt martiale, les seigneurs du Nord et du Médian


Citation :
- Les Ferfroids sont des pro bien entendu, même s'ils ne s'équipent de la plate qu'en cas de guerre, et pas au quotidien. A noter que nombre de bg ont des unités en plate, et que cela n'a jamais été soulevé. Comme tu parlais aussi de wargame, tu noteras que je n'ai pas énuméré le nombre d'hommes etc. Je veux soulever la caractéristique martiale d'Erac, qui pourrait être étonnant vu que cest au médian, et pas dans le nord.

Même s'ils ne s'équipent de plates qu'en temps de guerre, il leur faut les entretenir en temps de paix, et les fournir pour leur employeur, etc. Il n'y a pas temps d'unités que ça qui ont des plates je trouve. En tout cas pas pour les BGs militaires de la Couronne, de Scylla, d'Olyssea, d'Ancenis, de Hautval ou de Soltariel et d'Aretria. Il y est d'ailleurs souvent spécifié que les armements et les équipements y sont "hétéroclites"  Wink

Encore une fois, moi j'insisterai de façon globale sur l'importance des valeurs martiales en Eraçon.

- Archers longs :

Citation :
- Pour les archers longs, c'est une unité qui me tiens à cœur. Et si, comme tu le précise, au début, c'était une spécificité hautvaloise, maintenant il y a par exemple Olyssea, mais aussi Alonna qui en dispose. Puisque ce n'est donc plus une spécificité, pourquoi m'en passer, alors que les montagnes sont, de mon point de vu, un lieu propice à la prolifération de cette arme.

Pour Olyssea c'est normal. En tout cas ça c'est joué au début du forum et ça a été figé ensuite en l'état (pour de bonnes raisons je pense). C'est lié à la proximité entre Hautval et Olyssea (et à la présence des "clans" de part et d'autre des contreforts des Monts Corbeaux. Cf : archers helidrois d'Aetius dans le BG de la Couronne). C'est pas moi qui le dit hein, c'est inscrit dans le règlement/BG de la faction péninsulaire :)

Les montagnes sont un lieu propice à la prolifération des piétons (voir des piquiers, quand ces piétons descendent dans les plaines : parce que la pique contrairement à l'arc long ne demande peu ou pas d'entrainement). Mais c'est pas trop le cas des archers longs, plutôt utilisés sur les champs de bataille en rase campagne ou sur des petites hauteurs style collines.

En montagne, un arc d'environ 2m de long c'est pas vraiment l'arme idéale pour se déplacer avec agilité :) ce serait plutôt l'arc court donc.

Citation :
Like a Star @ heaven Certaines armes sont exclusives à des pays. Les arcs longs sont maniés en majeure partie par les Hautvalois et quelques soldats olysséens, la recette du feu grégeois est uniquement connu par Merval.

Pour Aetius et les autres joueurs, les archers heldirois sont un peu des archers gallois du Moyen-Âge.
J'ajoute que pour Erac où tu places la chevalerie comme un idéal particulièrement important, il y a je trouve un paradoxe (paradoxe dont ne s'est pas trop embarrassé Game Workshop avec la Bretonnie, en voulant synthétiser le Moyen-Âge tout entier à travers les bretonniens) :

C'est que la plupart des chevaliers tiennent les archers en piètre estime, car combattre à distance ne correspond pas à leur mentalité prônant le courage physique. Tuer à distance, c'est choisir la facilité : l'arc comme l'arbalète, c'est l'arme des lâches pour un chevalier.

Il serait donc encore plus logique que cette arme n'aie pas cours en Eraçon.

Citation :
Les archers longs sont entrainés pour la précision de leurs tirs, plus lents que leurs confrères munis d’arcs courts, rompus à l’exercice de la vitesse. Un archer court peut tirer deux voire trois flèches pour une seul d’un archer muni d’un arc long. Par la rigueur requise de l’entraînement, les conscrits sont dotés uniquement d’arcs courts, et non d’arcs longs. Tous les archers se voient également dotés de pieux en bois, qu’ils plantent face à eux et sur leurs flancs.

Voilà un peu le fameux "archers longs + pieux" dont je parlais dans mon post précédent  What a Face

Effectivement Alonna dispose d'arcs longs alors que le BG péninsulaire précise que c'est uniquement Hautval + Olyssea..  BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] 2513694891  Je laisse Ala décider là dessus  BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] 2857572923  

Citation :
Un peu comme les chevaux de guerre qui étaient une spécificité eraçonne, pis y en a à Odélian, et à Sainte-Berthilde, pour donner un autre exemple.

Je crois qu'il faut nuancer là dessus. Il y a effectivement Odelian qui a mis en avant ses destriers, mais en précisant que c'était pas tout à fait le même genre que les destriers eraçons. Là où les destriers d'Erac sont beaux, rapides, gracieux et redoutables quand ils sont dressés à la guerre (la crème de la crème pour un chevalier quoi), les destriers d'Odelian c'est juste des gros bourins : pas gracieux pour un poil  :mrgreen:

Après j'ai pas vu passer ça pour Sainte-Berthilde (par contre pour Aretria ça me dit quelque chose.. mais là c'est plus concernant des palefrois que des destriers..). Et si c'est le cas, bah je suggérerai au staff de limiter la chose comme pour les arcs longs ou le feu de Pharêt, pour pas avoir une course à "ma région produit le meilleur destrier pour la guerre". Ça préserve les richesses de chaque région. Au staff de décider.

Citation :
-Je réfléchis pour le service militaire, j'étais partis sur le style Suisse, je le laisse pour l'instant, mais j'y réfléchis, et on en reparle via mp ??

Avec plaisir, ça marche !  Wink

Citation :
- Pour la plate, je ne comprends pas, outre les nobles et les chevaliers, il n'y a QUE les Ferfroids qui en ont, aucune autre unité (Bon j'ai retiré pour les Bourgeois, je devais déjà le faire, c'est un oubli  Embarassed  )

Je crois justement que c'était pour les bourgeois que j'ai indiqué ça  BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] 1728150167 Il y avait les Fefroids, les nobles, les chevaliers, l'ordre du Merle et les bourgeois du coup. Après, encore une fois, c'est bien de laisser place à la nuance en général. Parmi les chevaliers de la Brande par exemple, qui sont réputés batailleurs, l'armement est hétéroclite, en fonction des richesses de chacun. Tous n'ont pas de plates, t'en as avec de vieilles mailles usées.

Citation :
- Pour le nombre de l'armée professionnelle, chaque Duché, Comté, et Baronnie à un nombre de soldats pro, et de miliciens. Ce n'est pas moi qui ai inventé un chiffre, c'est le bg de Miradelphia, juste j'adapte celui-ci en le divisant en unités selon mes envies/besoins. Après oui il y a plus de diversité chez les pro que la milice ou les levées paysannes, mais je ne trouve pas ça dérangeant. Sur le champ de bataille y a plus de piétaille milicienne que de pro, par contre on différencie mieux les pro que la masse.

Tout à fait, mais ce que je voulais te dire là dessus c'est qu'il faut aussi prendre en compte l'aspect financier/allégeance de tous ces PRO  Wink  A Scylla les moines-guerriers sont des pro, mais leur entretien coûtent pas un copec au comte (Bohémond) parce que c'est le clergé qui raque :) Par contre en cas de soucis avec le clergé de Mogar, ça veut dire que Bohémond risque de les avoir en face.

Idem pour les "hommes d'armes" professionnels qui sont en garnison dans les châteaux des petits seigneurs de la Brande. Ce sont des unités PRO mais PRIVÉES, dont l'allégeance va à chaque châtelain entre Papincourt et Pharembourg. En cas de rébellion ou de querelle intestine, ça veut implique qu'il faut jouer en ce sens pour se les rallier. Ça implique que la fidélité de tous ces PRO n'est pas forcément acquise au joueur d'une baronnie en cas d'event et de MJitage, ou bien de concurrence avec un autre PJ. C'est pas des hommes qui obéissent directement au baron, au comte ou au duc.

Le problème n'est pas le nombre de soldats pro, mais plutôt : le nombre de soldats pro très entrainés, très équipés et soldés par un seul et unique seigneur à qui va leur fidélité. Une élite oui, mais il faut équilibrer un peu et contrebalancer par ailleurs je crois.

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MessageSujet: Re: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitimeMar 8 Jan 2019 - 1:56


Erac, pays des Montagnes Valeureuses




Sommaire:
  1. La Terre des Valeureux
  2. De la géographie du Duché

  3. Domaines et Seigneuries

  4. Le peuple d'Erac

  5. Le commerce

  6. L'armée



BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] 1le3


I. La Terre des Valeureux.

BLABLABLA


II. De la géographie du Duché.




BLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLABLABL ABLA BLABL BLABLABL ABLABLA BLABL ABLA BLABLA BLABLABLABLABLABLABLA BLABLABLA BLABLAB LABLAB LABLABLABLABL ABLABLABLABL BLABLABLA BLABLABL ABLABLABLABLA BLABLAB LABLA LABLAB LABLABL BLABLA BLAB LABLABLABLA BLABLABL ABLABLABLABL BLABLAB L ABLABLABL ABLABLABLABLABLAB ABLABLABLABLABL AB LABLA BLABLABLABL BLABLABLABL ABLABL BLAB LABLAB LABLABLAB LABLA BLAB LABLABLA BLA BLABLA BLAB LABLABLABLA BLABLAB ABLABLAB ABLABLA B LABLABL ABLABL ABLAB LABLABLA BLABL ABLABLABLA BLABLA BLABL BLABLABLABL ABLABL ABL ABL ABLA BLABL ABLA BLA B LABLABL AB L ABLA BLABLAB LABLABLABLAB LABLABL ABLABLABLABL ABLA BLABLABLAB LABLABL ABLAB LABLAB LABLA BLABLABLABL ABLAB ABLABL ABLAB LABLABLABLAB LABLAB LABLABLABL ABLABLA BLABLABL ABLABLABLABLA BLABLABL ABLABLABLABLA BLABLABL ABLABLA





BLABLA BLABLABLABLA BLABLA BLABLABL ABLABLAB LABLABLAB ABLA BLABL ABLABLABLA BLABLABL BLAB LABLA BLABLABLABLAB LABLABL ABLABLAB LABLA LABLABLA BLA BLABLAB LABLABL ABLABLABLA BLABLABLABLABLABLA LABLABLABLABLABLABLAB LABL L ABLAB LABLA BLABLA BLABLA BLAB LABLA BLABL ABLAB LABLABLABLAB LABLABLA BLABL ABLABLABL ABLA BLABLA BLABLA BLABLA BLAB LABLA BLABLA B LABLA BL ABLA L ABLAB A BLAB LABLA LABL A BLA BLA BLABLAB LABL ABLAB LABLABLAB LABLABLAB LABLABLAB LABLABL ABLAB LABLAB LABLABLAB LABLABLABL ABLABL ABLABLABLABLABL ABLABL ABLABLAB LABLAB LABLAB LABLABLA BLA BLABL BLABLA BLABLABLA LABLABL BLABLAB LABLAB LABLABL ABLABL A LABL AB LABLABLAB LABLA BLABLABLA BLABL ABLA BLABL AB LABLA BLA BLABL ABLA BLAB LABL ABLABLABLA LABLA BLABLABL ABLABLA LAB LABLA BLABL ABLABLABLA BLABLABL ABLABLA LABLA BL BLABLAB L BLABLAB LABLAB LAB ABLABLAB LAB ABLABL ABLAB LAB LAB LABLA BLAB LAB LABLA BLA BLABLA BLA BLABLA BLABL ABLA    



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA

BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA


III. Domaines et Seigneuries


BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA


IV. Le peuple d'Erac.


BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA


V. Le commerce.


BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA


VI. L'armée.


BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA



BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA BLABLABLA


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MessageSujet: Re: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitimeMar 8 Jan 2019 - 2:00

Bon, c'est un brouillon.
Les titres sont amenés à changer, bouger... Les parties à s'étoffer, les images à être redimensionnées, etc.
Mais j'ai déjà mal aux yeux @_@

Ajout à faire :

  • Politique
  • Religion

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MessageSujet: Re: BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS]   BG d'Erac, 1er jet, conseils [EN COURS] I_icon_minitime

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