Rencontre avec Valkayre (Privé entre Conrad et Valkayre)

(Dsl du retard)


Valkayre avait prit note du rendez vous que lui avait transmit l'homme dans les écuries.Celui-ci pensait qu'il allait devoir s'y rendre par la ruse comme toujours mais en voyant le batiment il esperait que non puis quand il s'approcha des gardes l'un d'eux le regarda de travers.Il expliqua que a Valkayre que si il était l'homme à la capuche il pouvait passé. Valkayre sous son capuchon blanc sourit et remercia la garde...En arrivant ici il ne vit que un grand complexe militaire où mannequins d'entrainement, et cible de tir à l'ard régniait...En effet c'était l'épicentre de la garde de Diantra...Valkayre pendant qu'il regarda le batiment de bas en haut, s'avança lentement et lorsque son regard tomba devant lui sur l'homme de ce matin celui-ci sourit légérement et toujours en s'approchant lui dit

Me voila homme de Diantra...Je suis arrivé au rendez vous de ton maître...D'ailleurs où est il ...

Valkayre en posant cette question et en voyant la charure de l'homme hésita a parlé franchement à cet homme car il ne savait pas encore vraiment si cet homme était le maitre arme ou non...En tout cas Valkayre était sur que ce maitre prenait son cas en considération.Même si Valkayre n'avait aucun ordre il avait un objectif...Stopper le mal dans Diantra avec ses méthodes bien plus rapide que les mandats du systéme de la cour de Diantra

Conrad, qui était redescendu de son bureau en voyant Valkayre entrer par le portail dans l'enceinte de la caserne, arqua un sourcil face à la manière irrespectueuse dont l'avait interpellé le vigoureux jeune homme. Interloqué, il pensa qu'il devrait plutôt lui donner des leçons de politesse que des cours de maniement d'arme. Son regard perçant, plus autoritaire que jamais transperçait Valkayre comme si une épée l'avait traversé de part à autre, mais sans la souffrance que ce geste aurait apporté. Cet homme ne semblait pas avoir une surprenante vivacité d'esprit étant donné sa question. En effet, n'était-ce donc pas évident à l'apparence du Conrad, ainsi vêtu des armes associé au maître d'arme royal, qu'il n'était pas le possesseur unique de ce glorieux titre? Sous un regard de sévérité, le grand général était encore abasourdi de l'impertinence de la question, Conrad observa de haut en bas l'apparence de Valkayre, chose qu'il avait pas eu le temps de faire lors de leur première rencontre.

L'homme paraissait être en bonne santé, de moyenne taille et tout de blanc vêtu, capuche dissimulant son visage inconnu dans l'ombre créée par la dite capuche. Valkayre ne semblait pas être très musclé, Conrad devrait donc travailler cela, car le maniement optimal de l'épée longue nécéssitait une bonne musculature.

- Vous êtes à l'heure, un bon point, lâcha sèchement Conrad. Toutefois, votre musculature laisse à désirer, voilà pourquoi il vous faudra entraîner votre corps. Toutefois, je vous préviens, il y aura un prix à l'entraînement. Celui-ci sera rigoureux, mais je vous promet que dans trois semaines, le maniement de l'épée longue n'aura plus de secret. Autre chose, j'aimerais connaître votre identité.

Conrad n'avait pas répondu à la question de Valkayre, jugeant que ses paroles suffirait à lui faire comprendre son identité.

(HRP: Fait rien pour le retard... MAIS RECOMMENCE PLUS! )

Conrad ne se laissa point atteindre par la flatterie dont, peut-être sans s'en rendre compte, Valkayre lui avait fait part. Il avait dans son jeune temps eut bien des épisodes avec de jeunes candidats l'ayant noyé sous une multitude de compliments sur ses talents. Peut-être les méritaient-ils, sans doute, même, mais il ne s'en préoccupait pas.

- Autant vous dire le paiement que j'attends en retour de l'entraînement unique que je vous fournirrez. L'or ne m'intéresse pas, l'armée et moi-même en possédons suffisamment. Cependant, la pauvreté de l'armée diantroise réside dans son manque de troupes. ne vous en faites pas, rajouta Conrad du même ton en voyant l'expression de stupeur passer sur le visage de Valkayre, je ne vous demanderai pas d'y adhérer en tant que soldat, mais par votre réussite d'infiltration du château royal, je vous confierai un poste d'espion. Il s'agit là du paiement en retour de mes services d'apprentissage.

Conrad avait dit cela tout simplement, sans artifice inutile, ni attrape. Le besoin de recrutement de l'armée se faisait grandement sentir parmi les troupes humaines, et il voulait, s'il le pouvait, éviter la conscription. Il observa donc Valkayre, attendant patiemment sa réponse.

- Et au fait, ajouta-t-il, je suis un homme bien occupé, voilà pourquoi je ne peux attendre votre réponse. Il vous faudra vous décider tout de suite.

«Quelle arrogance!» pensa Conrad lorsque Valkayre lui envoya une fortement désobligeante remarque sur ses talents de combattant. Cet homme voulait-il apprendre avec lui ou bien voulait-il tout simplement le provoquer? Le regard que posa le maître d'arme sur Valkayre voulait tout dire.

- Soldat Jeragord! appela soudainement Conrad.

Un soldat presqu'aussi grand que le glorieux général arriva à grand pas, se plaçant au garde à vous devant ce dernier. Vêtu d'une cotte d'arme particulièrement grande, les écus des soldats diantrois ornaient un massif bouclier d'acier. Posant son regard sur Valkayre, sa bouche s'ouvrit, puis se referma presqu'immédiatement après, ayant oublier la présence de Conrad. Lui et Valkayre s'était déjà rencontré.

- Soldat, reprit Conrad autoritairement, emmenez ce jeune homme à l'armurerie et prêtez-lui une tenue de combat ainsi qu'une épée longue. Donnez-lui l'épée les armes les plus lourdes, ajouta-t-il en observant Valkayre, peut-être que le poids de ces paroles se feront ressentir au même titre que le poids de son équipement. Qu'il soit prêt pour l'entraînement dans quinze minutes.

Chose faite, Conrad se dirigea vers la zone d'entraînement, surveillant les soldats pratiquant.

Conrad attendit environ cinq minutes lorsqu'il vit revenir Valkayre sans l'équipement nécessaire... Cette fois-ci, le général ne put empêcher la sortie d'un soupir de découragement. Non seulement l'armure de Valkayre n'était pas la bonne, mais en plus, il avait toujours la même épée, et non une épée d'entraînement. Cette fois-ci, ce fut Conrad qui accompagna Valkayre chercher l'équipement.

L'armurerie était une grande pièce octogonale où se trouvait une multitude d'épées, de haches, de lances et de bien d'autres armes. POur les armures nous citerons la cuirasse, la cotte d'arme et même quelques harnois. Entré dans cette pièce, Conrad prit une grosse armure de cuir très lourde ainsi qu'une épée longue d'entraînement d'un poid tout aussi grand.

- Vous porterez cela comme armement, soldat Valkayre. Il s'agit là de l'équipement d'entraînement, mais j'ai pris le plus lourd dans votre cas, comme je l'ai dit depuis peu, en guise de punition envers votre impolitesse. Je vous conseille d'apprendre de cette leçon, car ce soir, vous aurez bien grande peine à vous déplacer tant la journée aura été dure. Maintenant, allons à l'extérieur et montrez-moi de quoi vous êtes capable.

Valkayre et Conrad ressortirent à l'extérieur, endroit beaucoup plus agréable de température. La plupart des gardes qui s'y entraînait étaient partis, sans doute afin de subsister grâce à un bon repas. «Tant mieux, pensa Conrad, ça nous laisse le champ libre». Sur ces pensées, il pivota en direction de Valkayre, sortit l'épée longue d'entraînement qu'il avait emmené pour lui-même et se mit en position défensive.

- Maintenant, lança du même ton que je décris toujours quoique légèrement plus féroce Conrad, montrez-moi ce que vous savez faire avec une lame. Attaquez-moi.

Valkayre n'avait pas menti à Conrad, il était réellement un piètre escrimeur. Depuis déjà cinq minutes, le maître d'arme bloquait avec aisance les coups que lui assénait Valkayre qui, lui, semblai chercher une faiblesse à sa technique. «Cherche toujours», pensa Conrad, un sourire en coin. Lorsque l'assassin sa question, Conrad répondit, tout simplement:

- Si c'est le cas, trouvez-la. Moi, en revanche, j'en vois plusieurs dans votre manière de combattre... dont celle-ci!

Sur ces paroles, Conrad fit glisser sa lame sur l'épée de Valkayre, l'appuyant sur la gorge de l'assassin.

- Une épée n'a pas qu'une lame. Ce n'est pas parce qu'une est occupé que l'autre ne peut rien faire. Si j'avais continué mon mouvement, vous seriez mort à l'heure qu'il est. Deuxième faille.

Conrad envoya son genou frapper durement Valkayre dans l'estomac. Lorsque celui-ci eut le souffle court, Conrad recula pour reprendre sa position initiale.

- L'épée n'est pas la seule arme que vous maniez. Votre corps doit être lui aussi dangereux et meurtrier. Reprenons encore durant quinze minutes.

Le combat reprit, Conrad analysant chaques coups donnés par Valkayre.

Conrad fut désarçonné par la claque au visage de Valkayre, lui laissant quelques secondes pour envoyer valser son poing sur sa cuirasse de métal, ce qui eu pour résultat un cri de douleur de la part d'un assassin à la main bien endolorie. «Quelle offense inusitée» pensa le maître d'arme face à la gifle que lui avait asséné Valkayre. Inusitée, mais efficace.

- Tout va bien, seulement quelque peu surpris, répondit Conrad à l'interrogation de Valkayre.

Il resta cependant muet face à la tirade de ce dernier. Qu'est-ce qu'il racontait? Il fallait que le corps suivent la lame... Conrad observa quelques instants l'homme devant lui, qui lui semblait soudainement dangereux. L'observant sévèrement, il le congédia pour le reste de la journée, l'entraînement de cette journée étant terminé.

- Ce sera tout pour aujourd'hui. Nous reprendrons le cours demain.

Puis, sans un mot de plus, il quitta la cours, perdu dans ses pensées.