Natael d'Orman [Terminée]

Natael d’Orman

Nom/Prénom : Natael d’Orman, se fait aussi appeler Titus Moranzi
Âge/Date de naissance : 27 ans - Né l’Elenwënas de la 6ème ennéade de Verimios de l’an 989:X
Sexe : Masculin
Race : Humain
Faction : Péninsule
Alignement : Chaotique bon

Liens notables :
-Gaël et Cécilie de Laval : Ce sont quelques un de ses cousins du côté de sa mère. S'il est proche de son cousin depuis l'enfance, il n'a hélas pas pu se lier plus que cela à Cécilie avant sa disparition.
-Cinyras de Termer : Le grand-père les 3 filles de Termer est ami de Renard d’Orman, le père de Natael. Il est d'ailleurs fiancé à l'une de ses petites filles.
-Amarillys et Myosotis de Termer : Il est fiancé à l'une d'elles. Le temps venu, il devra faire son choix mais, pour l'heure, il ne les connaît que de nom.
-Lucrétia de Valjoyeux : Rencontrée lors de ses voyages d’études en Péninsule, ils se sont liés d’amitié. Ils entretiennent une correspondance plutôt régulière et il offre aisément son aide dans l'hospice de la dame lorsqu’il séjourne à Thaar.
-Magnus de Terresang : Ils se sont croisés au cours de quelques guerres. Même si Magnus n'apprécie pas les mages, il règne entre eux une certaine complicité sous la forme d'une relation de faux-ennemis.

Particularité :
-Cicatrice sur la pommette gauche
-Droitier contrarié : Son écriture est très peu lisible, parfois même pour lui.

Métier : Mage et Noble
Classe d'arme : Magie de la vie

Possessions & Equipements :
La famille d’Orman possède un certain nombre de biens, à commencer par ce superbe manoir à Chiard, lequel a été financé par le bateau de son père (l’Eulalie) dont il se sert pour faire commerce.
Natael garde avec lui un petit recueil avec des noms de plantes communes, des recettes d’onguents et des formules d’alchimie très simples. Il est loin d’être un spécialiste et ne cherche pas à les mémoriser mais savoir faire baisser une très forte fièvre durant une épidémie, cela peut toujours s’avérer utile.
Il porte en permanence un collier qui représente un calice cerné par une paire d'ailes. Symbole purement religieux qui le lie à Néera depuis sa naissance, il y tient et ne le quitte jamais. Il en a d'ailleurs fait son focaliseur.


Apparence :

• Taille : 1m73
  
• Couleur des yeux : Gris
  

Natael est un homme de taille commune pour un suderon. Sa carrure fine n'en est pas moins musclée par l'exercice de la magie, même si officiellement, c'est dû à ses voyages à pieds et à cheval... Il se tient le plus souvent droit, le port de tête altier, tel le noble qu'il est. Il n'hésite pas à soutenir les regards des autres sans détourner ses yeux à la teinte si froide.
Il possède un visage aux angles marqués, ce qui le rend plutôt charismatique même si cela accentue son air dur. Une cicatrice orne sa pommette gauche et, vu sa coloration, il l'a depuis des années. Ses traits sont sérieux, voire sévères, comme s'il était en permanence concentré.
Il a les couleurs de son père avec son teint halé et ses cheveux blonds. Cependant, ses yeux gris et froids lui viennent de sa mère. C'est d'ailleurs cette dernière qui veille à ce qu'il soit présentable lors des soirées mondaines car lui-même ne prête pas forcément attention à tenir sa garde robe au goût du jour. Il préfère largement ses confortables tenues de voyage aux costumes sur mesure. C'est d'ailleurs ce qu'il déteste quand il rentre : retrouver ses vêtements de noble.


Personnalité :
Si dans ses premières années, Natael était un enfant des plus distrait du fait de sa sensibilité à la magie incontrôlée, c’est aujourd’hui quelqu’un de très terre à terre. Le fait d’avoir à se cacher l’a rendu taciturne et le contact avec la soldatesque n’a rien arrangé. Là où les nobles font des ronds de jambes, les militaires se montrent bien plus francs et directs. Ayant passé bien plus de temps avec les gens du communs, Natael a du mal à se prêter aux jeux de ses pairs. Sa franchise n’est d’ailleurs pas toujours appréciée et fait l’objet de remontrances de la part de sa mère. Entre son caractère et son absence d'investissement dans les affaires familiales, il passe aisément pour le mouton noir des d'Orman et n'a pas forcément très bonne réputation. Pourtant, ses parents et ses frères ne semblent pas lui en tenir rigueur, ce qui surprend un peu le reste de la noblesse.
S’il est un très bon soigneur pour le corps, le mental en revanche, ce n’est pas son domaine. Il se montre plus maladroit pour rassurer ses patients et aborder des sujets délicats. En cela, le soins des soldats est un peu plus facile car ils sont entraînés pour mourir. Face à l’approche de la Voilée, ils savent se montrer forts. Sinon, une claque derrière la tête remet les idées en place des plus trouillards.
Malgré son air sévère et son attitude parfois distante, il peut néanmoins faire preuve d’humour. Son sérieux n’est là que parce qu’il a appris à canaliser ses émotions pour le bien de son Art. Il est d’ailleurs difficilement perturbable, même en temps normal. La Trame lui chatouillant la peau, il doit demeurer concentré en tout instant pour ne pas se laisser distraire en public. Si vous l’observez durant une soirée, vous remarquerez qu’il a toujours un verre à la main mais qu’il ne se vide jamais...
Natael est un croyant. Il entretient un lien tout particulier avec Néera. Cela semble logique pour un mage de soin direz-vous mais cela est sans rapport. Né prématurément, il a été placé sous sa garde et il lui est tout simplement reconnaissant d'être en vie. Et s'il prie la DameDieu chaque jour, elle n'est en aucun cas présente dans ses pensées lorsqu'il manipule les arcanes. Il lui ait déjà arrivé de prier Tyra pour certains Souffles perdus. Quant à Othar, il est assez mitigé à son sujet étant donné qu'il laisse libre cours à sa colère et n'est pas contre les dommages collatéraux. La magie demande plus de maîtrise qu'il n'en propose. Cependant, Natael admet que la rage peut être utile aux guerriers au cours des combats.
S'il était autrefois un fervent néerite, sa vision des choses a été modifiée au cours de ses voyages. Ce qu'il prenait pour acquis, ce qu'il croyait savoir a été démenti avec les arguments les plus logiques qui soient si bien qu'il n'a pu qu'admettre la réalité. Sa foi a été mise à mal et, s'il est toujours croyant et pratiquant, il a désormais plutôt tendance à vouloir réfléchir par lui-même plutôt que de prendre ce qu'on lui dit pour argent comptant.


Capacités magiques :
Niveau souhaité : Arcaniste
Focaliseur : Un pendentif de calice ailé en or
Son focaliseur n'est autre que le collier qu'il porte depuis toujours, ce lien qui l'unit à Néera depuis qu'elle l'a maintenu en vie étant bébé. D'après ses parents, ses talents de mage de la vie lui viendraient d'elle, lorsqu'elle s'est penchée sur lui en son Temple.
Son domaine est celui de la magie de la vie avec pour spécialité le corps et son fonctionnement. Il comprend les mécanismes qui lui permettent de vivre ainsi que son architecture. Il connaît les noms de tous les os, les chemins des principales artères, le circuit du système nerveux… Il connaît les maladies, leurs symptômes, leur développement. Il sait soulager, réparer et soigner le physique.
Lorsqu'il exerce, il ferme le plus souvent les yeux et cherche à recréer l'image de son pendentif avant de visualiser l'origine de la souffrance de son patient. Il travaille alors à réparer ce qui peut l'être, à faire diminuer la douleur autant que possible et à apaiser tout autre symptôme. Il peut se montrer si concentré que ses traits lui donnent un air sévère et il est bien difficile de le tirer de son état tant qu'il n'a pas accompli sa tâche.
Même lorsqu'il n'y prête pas attention, il sent la Trame autour de lui si bien que l'ignorer lui demande malgré tout un certain effort pour ne pas se laisser distraire lors d'une conversation des plus banale. Certains le croient parfois un peu dissipé mais ils ne soupçonnent pas que l'esprit de Natael est tout simplement tourné vers autre chose. Cependant, il ne saurait se passer de cette sensation qui lui caresse la peau de la même manière qu'un elfe ne saurait se passer des Chants de la forêt qu'il entend depuis toujours. On pourrait même dire qu'il aime cela. Ce rappel permanent qu'il est mage, c'est ainsi qu'il se sent entier.
Il lui est arrivé en de très rares occasions d'utiliser ses compétences pour se défendre. Il suffit parfois d'un point de compression au bon endroit mais il a déjà dû aller plus loin pour sauver sa vie ou celle d'un autre. Il reste néanmoins très prudent dans ce domaine, ne souhaitant pas s'approcher de la voie de la nécromancie ou même de la manipulation des corps.

---

---

Histoire

Né cinq ennéades avant la date prévue, on ne donnait pas cher de la peau du troisième fils d’Eulalie de Laval et de Renard d’Orman. Confié à Néera, l’enfant s’est montré robuste et a survécu malgré sa petite taille et son corps si frêle. Il s’est vite rattrapé cela dit, grandissant rapidement et gagnant en vigueur. Si bien qu’il fut enfin renvoyé chez lui avec sa mère avant l’âge d’un mois avec un pendentif de calice ailé en or autour du cou. On lui donna pour prénom “Natael” qui signifie "naissance", en hommage à la Déesse qui a veillé sur ses premiers jours d’existence.
Par la suite, il évolua le plus normalement du monde. Tout du moins physiquement. Concernant ses leçons, le garçon se montra distrait et accumula quelques retards. Vers l’âge de six ans, on commença à s'en inquiéter et Natael évoqua d’étranges sensations qui le perturbaient souvent. Comme des chatouilles ou des frissons. Le médecin de famille ne trouva rien et le père de l’enfant lui fit alors rencontrer en grand secret le maître mage qui formera plus tard Cécilie de Laval. Le diagnostic fut rapidement fait : Natael avait des prédispositions pour la magie. Ce qu’il sentait, ce n’était ni plus ni moins que les manifestations des flux qui l’entouraient. Pour le soulager, il fallait qu’il apprenne à maîtriser l’art des arcanes. Son domaine de prédilection déterminé, il n’y eut plus qu’à lui trouver un maître de la magie de la vie pour le former. Cependant, si Renard n'a pas empêché son fils d'être formé, il a préféré ne pas étaler les capacités de son fils afin que lui ainsi que sa famille ne souffrent pas d'une quelconque manière des réactions de la part de la noblesse. Et l'avenir lui aura donné raison.

La Longue nuit survint peu après les neuf ans de l'enfant et l'évènement fut l'objet de craintes autant que de fascination pour lui. Plutôt que de céder à la peur, il préféra étudier ce phénomène et si cela pouvait provoquer quelque réaction que ce soit sur le corps humain. Evidemment, à cet âge, ses connaissances et sa maîtrise ne lui permirent pas d'aboutir à une conclusion, ses études se limitant surtout à de l'observation, mais c'était beau de le tenter malgré tout. Cela eut au moins le mérite de lui occuper l'esprit jusqu'au jour où le soleil vint de nouveau éblouir ses yeux.

En grandissant, le jeune adolescent qu'il devenait sentit le besoin de pouvoir davantage exploiter ses compétences et utiliser ses capacités sans avoir à se cacher. Aussi, à l’âge de douze ans, il demanda à partir dans un endroit où il pourrait pratiquer librement son art sans crainte des représailles. Ce fut donc sous couvert de voyages pédagogiques et avec l'appui de son maître que Natael intégra l'Arcanum sous un nom d'emprunt. Celui de Titus Moranzi. Ainsi, personne parmi son entourage n’aurait su dire où il allait durant ces "voyages d'études", ni deviner son lien avec les mages.

Les années suivantes se déroulèrent ainsi, entre évènements familiaux et enseignements magiques. Le dernier né des d'Orman retrouvait toujours avec plaisir ses parents, ses frères mais aussi ses oncles, tantes, cousines et cousins. Parmi ces derniers, Gaël a bien évidemment marqué son emprunte, une certaine complicité s'étant créée entre eux au cours de leurs plus jeunes années.
La vie s'écoula ainsi de manière paisible, si ce n'était un petit incident avec l'un de ses frères qui lui valut deux estafilades sur sa pommette gauche. Elles étaient assez petites et il se risqua à les soigner par lui-même. Cependant, le sort échoua et les blessures s’agrandirent douloureusement. Son maître reprit la main mais n’effaça pas les cicatrices. Tel un rappel permanent que l’échec pouvait être aisé, il les arborerait au moins quelques années. Finalement, Natael tomba d’accord avec lui et ne se résigna jamais à les faire disparaître.

Puis survint l’Oeil bleu... Au cours de la dix-septième année de sa vie, Natael fut réveillé en pleine nuit par une forte détonation. Lorsqu'il regarda par la fenêtre de son dortoir, il découvrit la lumière étrange qui surplombait la tour de l'Arcanum. Son maître débarqua et lui fit rassembler un maximum d'affaires, pressentant les représailles à venir. Ainsi, l'adolescent échappa de peu à la série d'emprisonnements qui eut aussitôt après cet évènement tragique. Commença pour lui une toute nouvelle vie et une nouvelle forme d'apprentissage. Ne pouvant rentrer immédiatement pour que son retour ne coïncide pas avec cette nuit qui avait coûté la vie à ce qu'il restait de la lignée royale, son maître et lui se mirent à sillonner les routes.
Durant les années qui suivirent, Natael parcourut une bonne partie du pays ainsi que l’Ithri’Vaan. Il rencontra des cabalistes, des religieux, des savants, des mages profanes, des alchimistes, des herboristes, des médecins… Autant de personnes et de profils qui lui apportèrent des enseignements différents et surtout des visions des choses plus différentes les unes que les autres. Son seul objectif toutefois : comprendre le fonctionnement du corps humain afin d’être capable de l’apaiser et de le soigner au mieux. Aussi ne tira-t-il de leurs leçons que ce qui pouvait lui servir réellement.

Alors qu'il devenait en âge de se marier, quelques échanges furent entamés en son absence et une affaire fut conclue. Il n'en découvrit la teneur qu'à son retour, apprenant qu'il était fiancé à ce qui n'était encore qu'une petite fille. Cette union devait renforcer un accord commercial rentable pour les deux parties. Une chance dans son malheur : le nom de sa fiancée n'était pas déterminé. Il avait le choix entre les deux dernières nées de la famille de Termer. Natael refusa de choisir pour l'instant, préférant attendre que les enfants deviennent des jeunes filles. Il rejeta également l'offre de passer du temps avec ses potentielles futures épouses avant leur adolescence, ne voulant pas prendre le risque d'encrer dans son esprit une vision juvénile qui l'empêcherai de les considérer comme des femmes, situation qui s'avèrerait problématique pour une relation d'époux.

Dès qu’il commença à maîtriser ses talents, il en usa pour aider son prochain. Que ce soit dans les hospices publiques, dans les camps militaires pendant différentes guerres ou tout autre endroit où sa présence était tolérée, on pouvait aisément le trouver là où il pourrait être utile. Ainsi, il faillit passer son vingtième anniversaire au Grand-Prieuré d’Edelys après la guerre du Nord contre le Médian. Mais il rentra chez lui juste à temps pour la fête qu’on avait préparé en son honneur. Dans les infirmeries de guerre, il croisa parfois son cousin Gaël sur lequel il veilla de loin afin qu'il ne le reconnaisse pas devant ceux qui l'appelaient toujours Titus.
Si Natael a le plus souvent utilisé sa magie pour soigner, il lui est arrivé en de rares occasions de se protéger à l’aide de ses compétences. La première fois était survenue tandis qu’il soignait quelques militaires dans un hôpital de fortune. Un ennemi avait fait irruption et s'était attaqué à tous ceux qui se trouvaient là. Le jeune homme n’avait osé enfin intervenir que pour sauver la vie de l’un de ses patients pour lequel il avait développé une certaine sympathie. Il paralysa l’intrus en créant chez lui une forte douleur, si bien que les quelques soldats en état de se lever parvinrent à le désarmer et à le maîtriser sans mal. Il dut alors apprendre à faire la distinction entre la nécessité et la facilité. S’il n’avait rien fait, il serait peut-être mort lui aussi… En revanche, ce genre de pouvoirs devaient être utilisés avec parcimonie. Tout le monde craignait les nécromanciens, et lui le premier désapprouvait cet Art qu’il jugeait détourné de sa vraie nature.

L’amour le frappa un an plus tard en Estrevent. Une jeune femme prénommée Ayda, aussi exotique que son pays. Il lui succomba et brûla pour elle. Cela dura quelques mois mais il ne pouvait se résigner à demeurer dans le pays de la belle et leur histoire dut se terminer lorsqu’elle lui réclama un engagement qu’il ne pouvait prendre sans être obligé de s'exiler à jamais.
Pour oublier, il se noya dans son travail. Il eut quelques aventures depuis mais rien d'aussi sérieux. En l’an 14:XI, il se rendit à Merval et il s’y trouva seul car son maître avait estimé qu’il n’avait plus besoin de son enseignement, tout du moins au quotidien. Il continua à correspondre avec lui quelques années encore et leurs échanges se muèrent peu à peu en partage de connaissances et en débat plutôt qu’en questions/réponses d’un élève à son professeur.

Lorsqu'il a appris la disparition et le probable décès de sa cousine Cécilie, Natael s'en montra affecté. Alors que ses croyances l'avait poussé à la rejeter, comme tout le monde, ses voyages l'avaient rendu plus souple et peut-être même plus lucide. Il souhaitait rattraper le passé, rattraper ses erreurs mais il n'en ait pas eu le temps. Il avait perdu la seule personne de sa famille qui pouvait réellement comprendre ce qu'il vivait chaque jour, qui voyait le monde aussi à travers cette perception différente, qui possédait aussi ce petit quelque chose qui le rendait différent... Il l'avait perdue avant même qu'il ait eu l'occasion de le lui dire. Tout juste avait-il commencé à se montrer différent avec elle lors des très rares occasions durant lesquelles ils s'étaient vus.
Durant un temps, il se montra un peu plus taciturne que d'habitude mais, si le chagrin et le regret sont toujours présents lorsqu'il pense à elle, il a appris à vivre avec. Il s'est attaché à son fils Maël en mémoire d'elle et aime passer du temps avec lui à chacune de ses visites.

Aujourd’hui encore, Natael ne tient guère en place mais il vit toujours dans le secret concernant ses compétences magiques. Seul ses parents et ses frères sont au courant. Marqué par les évènements qui ont suivi l'Oeil bleu, il refuse de mettre sa famille en danger en s'affichant ouvertement. Même s’il n’est pas un maître dans son art, il y a cependant de moins en moins de choses à apprendre pour lui permettre de comprendre le corps et son fonctionnement. Il reste des parts d’ombres et des mystères, bien sûr, mais il fait davantage parti de ceux qui contribuent à tenter de les lever que de ceux qui en restent aux bases. Le noble est toujours célibataire mais néanmoins fiancé à une jeune fille qu'il n'a encore jamais vu. On ne lui demande rien pour l'heure et il a bien conscience de sa chance. Il en profite tant qu’il le peut encore car son temps va finir par se compter...

Résumé de l'histoire:

HRP:

Code:

[Métier] : Noble & Mage

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Magie de la vie

[Alignement] : Chaotique bon