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 Un nouveau chapitre (Solo)

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Zofia Marger
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MessageSujet: Un nouveau chapitre (Solo)   Un nouveau chapitre (Solo) I_icon_minitimeJeu 1 Avr 2021 - 13:51


Kÿrianos de la 3e ennéade
Verimios, premier mois d'été
An 18 du XIe Cycle

Quatre longues ennéades se sont écoulées avant que la prêtresse ne puisse retrouver la vie paisible du monastère de Sainte Aliénor. Quatre longues ennéades à survivre sur des routes dangereuses, dans une partie de la péninsule nordienne ravagée par une misère comme elle en a rarement vu. Et pourtant, malgré les épreuves, les menaces et quelques mauvaises rencontres, les Hospitaliers et elle ont réussit à redonner un peu d’espoir dans le cœur des Arétans et pour Zofia, c’est une victoire. C’est aussi une victoire qu’ils soient tous revenus sains et saufs.

Les mains de la prêtresse tremblent tout à coup, alors qu’une sombre silhouette masquée se dessine dans sa tête. Elle s’empresse de les calmer en agrippant le collier donné par son fiancé et prend une grande respiration ; elle est en sécurité ici et pour la première fois depuis des jours, elle a pu dormir sans qu’un cauchemar ne vienne troubler son sommeil. Elle a dormi si longtemps aussi...Mais personne n’est venu la réveiller. Pas même Père Lambert. Et pourtant, le coq avait chanté depuis déjà un moment lorsque la prêtresse avait ouvert les yeux, annonçant qu’il aurait été temps pour elle de retrouver un rythme de vie normale au monastère et de prêter main forte à ses confrères et consœurs. La vérité, c’est que la prêtresse ne sait plus comment...vivre comme avant? Elle ne sait comment l’expliquer, mais elle a vu et vécu tant de choses dans le Nord qui l’ont marqué au fer-blanc qu’elle ne se reconnaît plus tout à fait.
Lorsqu’elle se regarde dans le miroir, ce n’est plus le reflet d’une prêtresse aux joues rouges de bonheur et au regard pétillant qu’elle toise, mais celui d’une jeune femme aux traits tirés d’éreintement et aux deux prunelles las, presque vide. Elle se languit de serrer Natael dans ses bras. Sa famille aussi...Mais Zofia à peur de cette image que le reflet lui renvoie. Elle est terrorisée à l’idée de ne plus être la même. Ces quatre ennéades à se détacher de tout pour pouvoir soigner et faire son travail d’une manière calculé, sans s’impliquer émotionnellement ou craquer sous la pression semble avoir éteint toute énergie chez la prêtresse. La force lui manque comme jamais elle ne lui a manqué. Pourtant, elle sait plus que jamais qu’elle a l’étoffe pour guider les Souffles et que cet épreuve nordienne est derrière elle. Pour ne pas sombrer lorsqu’elle se remémore ce pèlerinage, elle s’accroche aussi aux jolis moments et aux merveilleuses rencontres qu’elle a eues la chance de faire là-bas. Et puis, un merveilleux futur l’attend maintenant qu’elle est rentré, ce qui lui insuffle tout le courage qu’il faut pour continuer.

Et cela commence par un dîner avec sa famille, qui lui tarde de revoir enfin.

Zofia affiche un léger sourire et assise dans son lit, elle enfile une robe normale et se coiffe. Père Lambert lui a évidemment donné la permission, tout en lui annonçant qu’il lui donne quelques jours de répit si elle le désir. Cela lui ferait sans doute du bien. Pourra-t-elle enfin revoir Natael à cette plage? Cela leur donnera-t-il assez de temps? Elle l’ignore. Pour l’instant, elle ne peut qu’attendre sa réponse dans une lettre.

La prêtresse sort donc de sa chambre, prête à se diriger vers la barque qui la mènera sur l’autre rive.

_______

Le repas terminé, le soleil est maintenant bien bas dans le ciel. Zofia a pu échanger avec sa famille et passé du temps avec Victor et Clara en jouant avec eux. Tous les deux dorment maintenant à point fermé contre leur tante, visiblement heureux et paisibles. Elle aussi est détendue et ses joues ayant enfin retrouvé un peu de leur couleur, elle ne peut s’empêcher de sourire et de leur caresser les cheveux. C’est toujours ainsi lorsqu’elle revoit ces deux petites perles. Eux-mêmes ont bien du mal à lâcher leur tante aussi et Adèle en rit à chaque fois, lui soulignant aussi qu’elle n’a rien à craindre puisqu’elle fera sans doute une mère formidable.

Et puis, Rainier lui annonce qu’il a quelque chose à lui dire. Il demande ensuite à sa femme et à leur mère d’amener les enfants dans leur lit. Zofia le regarde, confuse et inquiète et lorsqu’ils sont seuls, il lui prend une main entre les siennes. Un léger sourire fend ses lèvres et la jeune femme sent son cœur battre dans sa poitrine ; il semble vouloir lui annoncer une bonne nouvelle. Seulement, est-ce une bonne pour lui ou véritablement pour elle? Zofia ne sait plus depuis que son oncle et lui tente désespérément de lui trouver un prétendant. La prêtresse ne l’a pas oublié et c’est pourquoi elle est méfiante depuis. Il soupire :

-Je veux avant tout m’excuser Zofia. Tout ce temps à te rabattre les oreilles avec cette quête pour te trouver un homme, alors que ton cœur était déjà pris et que tu ne pouvais pas en parler…Je comprends maintenant.
-Que veux-tu dire Rainier? Souffle la jeune femme, sa poitrine se soulevant plus rapidement à l’idée que son secret soit découvert.

Il se passe une main sur le visage et cette fois-ci, il lui sourit doucement, accrochant son regard et poursuivant :

-C’est une longue prémisse, mais pour faire simple et parce que je ne veux pas t’inquiéter davantage, on m’a attaqué quelques jours après ton départ. J’ai failli y passer, mais...Natael d’Orman m’a sauvé la vie, s’exposant comme vitaliste devant une foule, alors qu’il aurait pu passer son chemin. Il a risqué très gros.

Tout à coup, Zofia sent ses yeux se remplir de larmes et plein de scénarios horribles émergent dans son esprit, alors que les palpitations de son cœur s’intensifient.

-Est-ce qu’il…
-Il va bien petite sœur. Nous avons eu une longue discussion. Notre mère était avec nous et c’est évident pour nous qu’il tient à toi. Il m’a demandé de te donner ça.

Rainier passe sa main dans sa veste et lui tend une lettre. Une larme roule sur la joue de Zofia et elle s’empresse d’attraper la lettre. Elle n’attend pas, trop impatiente et bouleversée et brise le sceau pour la lire :


Barkios, second mois de printemps
An 18 du XIe Cycle

Zofia,

Si tu lis cette lettre, alors c’est que tu as appris ce qu’il s’est passé. Et tu as pu constater que je n’ai pas pu tenir ma promesse d’être là quand tu reviendrais… Mais avant que tu ne paniques et que tu t’en inquiètes, je veux que tu saches que c’est une bonne nouvelle pour nous. Je ne suis plus noble, chérie. J’ai perdu mon titre de la meilleure façon qui soit pour nous. J’ai toujours le soutien officiel (et officieux) de ma famille et je n’ai pas eu à renoncer à mon rang. Une fois que nous aurons laissé s’écouler assez de temps pour rendre les choses crédibles, nous n’aurons plus qu’un dernier mensonge à formuler. Un semi-mensonge : faire croire que nous nous plaisons avant de pouvoir nous mettre officiellement en couple.

Mon départ a servi de prétexte pour mettre fin à l’arrangement avec Agathe un peu plus tôt que prévu. Officiellement, nous nous séparons parce que nos conditions respectives ne sont plus compatibles et que nous ne tenons pas assez l’un à l’autre pour l’ignorer. Dans quelques ennéades, elle reprendra le cours de ses propres projets.
Quant à moi, si je suis allé jusqu’à Langehack pour entrer dans les ordres, c’est pour deux raisons. La première, parce que c’est plus indiqué pour un fils de noble donc cette destination était la plus logique. La seconde, parce que me faire intégrer l’Ordre des Hospitaliers aurait pu jeter un doute raisonnable sur notre relation. Et nous ne pouvons pas prendre le risque de tout faire échouer. Pas si près du but…

Le fait que je sois loin de toi va sans doute ralentir le lancement de notre relation en public… Mais je me console en disant qu’au moins plus rien ne l’empêchera à présent.

Je t’aime, Zofia.

Ton fiancé,
Natael


Soudain, la prêtresse sent un énorme poids se libérer de ses épaules. Toutes les émotions qu’elle a contenues depuis des ennéades explosent. Les digues cèdent enfin et prisent de tremblements, elle n’arrive plus à contrôler ses sanglots. Ce n’est pas des larmes de tristesse. Au contraire, elle est soulagée et sent qu’elle peut enfin respirer. Elle sourit, tellement heureuse que ce futur sur lequel elle s’accroche se réalisera plus que jamais. Elle ne sait pas quoi dire à Rainier parce qu’elle comprend qu’il approuve et qu’elle peut enfin partager son bonheur avec sa famille. Son frère la prend dans ses bras, alors que leur mère accourt, sans doute alarmée par les pleurs de sa fille. Elle lui frotte le dos, pendant que Zofia tente de la rassurer entre deux sanglots et avec un sourire brillant.


Dernière édition par Zofia Marger le Jeu 1 Avr 2021 - 14:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un nouveau chapitre (Solo)   Un nouveau chapitre (Solo) I_icon_minitimeJeu 1 Avr 2021 - 14:21


Julas de la 3e ennéade
Verimios, premier mois d'été
An 18 du XIe Cycle

Zofia attrape la tige de menthe et la coupe. Ayant comme tâche de remplir les pots d'herbes de l’infirmerie, la prêtresse répète le même procédé pour la camomille, la savoyane ainsi que l’aralie à tige nue, jusqu'à ce que son panier soit relativement rempli. Cueillir les plantes et les herbes n’est pas urgent, mais la jeune femme avait besoin de quiétude tout en se sentant utile pour ses compagnons.
Depuis son retour dans le calme du monastère et surtout, de la lettre de son fiancé qu’elle a pu lire hier, des couleurs sont revenues sur les joues de Zofia et son appétit aussi. Elle se languit certes de ses bras et si sa nuit a été secoué de cauchemars encore une fois, penser à lui en ce moment l’apaise et lui donne un peu d’énergie pour retourner vaquer à ses occupations habituelles. Elle n’a pas pu profiter physiquement de ses caresses rassurantes lors de son retour, mais ne se décourage pas et espère qu’elles seront pour bientôt. C’est en grosse partie pour eux qu’il n’est plus à Chiard et, malgré la distance et la difficulté que cela impliquera pour qu’ils se revoient plus souvent, Zofia s’armera de patience.

Pour l’instant, la jeune femme doit aussi reprendre pied dans une normalité qu’elle n’avait plus l’habitude de vivre depuis son départ pour le Nord, car si la vie sur l’île du monastère ne semble pas avoir changé, c’est plutôt elle qui s’est transformée, et cela, elle le sent. Elle le sent puisqu’elle se surprend à s’enfermer dans ses pensées plus souvent pour y vivre ses aspirations, le regard tourné vers des horizons dépassant Chiard. Certes, elle aime plus que tout la tranquillité de ce lieu reclus, qui a été sa maison pour plusieurs années. Après tout, c’est entre ces murs qu’elle a vécu ses premiers échecs, mais surtout, ses premières victoires. Seulement, malgré l’affection qu’elle porte à ce lieu sacré et paisible, la prêtresse se surprend à s’imaginer ailleurs, prête à s’envoler quelque part où elle pourra s’épanouir encore plus.

-Mère Zofia?

La voix de son supérieur la tire de ses pensées et de sa concentration. Elle se relève tout en essuyant ses mains sales sur son tablier et s’incline légèrement en bonne et due forme.

-Bonjour Père Lambert.
-Auriez-vous un moment à m’accorder lorsque vous aurez terminé votre tâche?
-Bien sûr mon Père.
-Bien. Venez donc me rejoindre à la chapelle quand vous le pourrez. J’aimerais vous parler, dit-il, sans gravité, mais avec une légèreté et une douceur qui surprend la soignante.

Ce n’est pas que Père Lambert n’est point un homme d’une plénitude sans bornes, mais elle se demande seulement ce qui se trame dans l’esprit de son supérieur. Elle le laisse donc s’éloigner et après avoir terminé son travail, elle marche d’un pas rapide vers l’infirmerie pour ranger les herbes et les plantes et retirer son tablier. Elle se lave ensuite les mains et se dirige vers la chapelle, guidée par l’impatience de savoir pourquoi Père Lambert l’a demandé.

Elle pousse la porte du lieu de culte et le trouve assit à l’avant, faisant face à la statue de la Bienveillante. Arrivée près du banc, elle s’incline devant, les mains en forme de coupe et en murmurant une brève prière à l’égard de la DameDieu et prend place près de son supérieur. Celui-ci ne détourne pas les yeux de la représentation de leur Mère et entame d’une voix calme :

-Je me souviens de la première fois où vous avez franchi les portes de notre monastère il y a de cela huit ans. Une jeune femme silencieuse, qui détournait souvent les yeux lorsqu’on s’adressait à elle, malgré l’énorme potentiel qu’elle cachait humblement.

Cette fois-ci, il fixe pour l’envelopper d’un regard presque paternel.

-Et encore aujourd’hui, même si vous brillez de ces accomplissements que vous êtes parvenus à faire dans le Nord, vous ne m’avez rien demandé en retour, alors que ce n’est point la première fois que vous vous donnez corps et Souffle pour l’Ordre des Hospitaliers.

Zofia sent la chaleur monter à ses joues, tout en se tordant les mains de gêne ; il est vrai qu’elle ne fait souvent que suivre le cours des choses, sans vraiment imposer ses propres aspirations.

-Mais n’est-ce pas ce qu’une servante de notre DameDieu doit prôner, mon Père? Réplique-t-elle d’emblée.

Les lippes de ce dernier s’étirent d’un sourire compatissant.

-Certes, mais je crois qu’il faut parfois aussi se donner du mérite lorsque la situation s’y prête. Et après toutes ces années à vous voir évoluer dans ce monastère, j’ai confiance en votre droiture et votre dévotion pour notre Mère à tous.

Droiture? La culpabilité lui sert soudainement les entrailles avec une violence qui lui fait baisser les yeux sur le plancher. Bien sûr, pour plusieurs, elle doit sans doute être l’exemple de la prêtresse dévote et sans impairs, surtout depuis que les rumeurs sur son compte et celui du dernier des d’Orman se sont tues suite à cette supercherie qu’ils ont élucubrer. C’est que plusieurs ignorent les lourds secrets qu’elle porte en elle, des secrets qui pourraient entacher sa réputation et ternir ses plans futurs. Père Lambert lui fait confiance, même si la jeune femme lui a menti sur beaucoup de choses.
Il lui tapote les mains d’un geste plein d’affection, arrachant la prêtresse de ses pensées avec un soubresaut au cœur.

-Je crois donc pouvoir affirmer que comme vous, cet Ordre me tient à cœur. Je souhaite le voir prospérer et s’élargir. Et, c’est au fil de vos rapports du Nord, que j’ai compris que vous êtes celle désignée pour m’épauler dans cette entreprise. Je suis vieux et finirai probablement mes jours ici, mais vous êtes jeunes et pleine de ressources, Mère Zofia. C’est pourquoi j’aurai encore besoin de vous. Seulement, je veux que vous l’acceptiez de plein gré, non parce qu’il le faut.

Zofia le fixe, incertaine de comprendre.

-Je vous écoute mon Père.
-L’Ordre des Hospitaliers se porte très bien et, pour que nous puissions mener davantage de missions d’aide et de pèlerinages, il nous faut des soignants comme vous et des hommes d’armes. J’ai envoyé une lettre à notre Éminence à Langehack, l’informant de mes plans d’envoyer un représentant de notre Ordre recruter au grand temple de Néera. Ce dernier a accepté. J’ai pensé à vous Mère Zofia, car je crois que vous en avez l’étoffe.

À Langehack? Si près de son bien-aimé et dans un grand temple? La Bienveillante aurait-elle écouté ses souhaits? La prêtresse écarquille les yeux de surprise, incapable de placer un seul mot. Les secondes s’égrainent jusqu’à ce qu’elle daigne enfin dire quelque chose, encore un peu surprise et sous le choc, mais visiblement émue, même si cette culpabilité sourde s’immisce sournoisement dans son Souffle. Elle ne peut s’empêcher de porter sa main sur son amulette de Sainte Aliénor :

-Cette confiance que vous m’accordez me touche sincèrement, Père Lambert.

Elle tourne la tête vers la statue de la DameDieu, paumes ouvertes vers ses fidèles et tente de puiser de l’apaisement dans son visage de pierre au regard tout de même compatissant :

-Quitter les murs de ce monastère sera étrange puisque c’est ma demeure depuis que j’ai enfilé les robes de Néera, mais si vous m’avez choisi, c’est que vous avez vu en moi ce potentiel. Je serai donc honoré de représenter l’Ordre des Hospitaliers au Grand Temple langecin de Néera et tâcherai de m’acquitter de mon devoir.
-Je sais que vous le pouvez, Mère Zofia. Vous rencontrerez donc le Grand-Prêtre, en Elenwënas de cette ennéade. Vous reviendrez ensuite et prendrez tout le temps qu’il vous faut pour vous préparer pour votre mutation.

Cette fois-ci, elle le regarde à nouveau, mais avec une reconnaissance sans bornes pour cette assurance avec laquelle il lui accorde cette nouvelle fonction. Son supérieur finit par se lever, lui souhaitant un bon après-midi. Zofia hésite, voyant sa silhouette s’éloigner jusqu’à la porte de la chapelle, mais plonge, lui demandant si elle peut se confier à lui en rapport avec cette sombre, qui ne cesse de la tourmenter avec des cauchemars. Elle en a besoin. Ce dernier revient et, après des jours à avoir gardé les détails sous coffre, elle s’épanche sous le regard attentif et empathique de Père Lambert.
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