Gaedrath Sosa | Terminé

Identité

Nom/Prénom : Gaedrath Sosa
Âge/Date de naissance : 769 ans en l'an 18 du XIème cycle | Né le mois de Verimios en l’an 248 du Xième cycle
Sexe : Masculin
Race : Elfe
Faction : Cités d'Anaëh & Taledhel
Alignement : Neutre strict
Liens notables :

• Ancienne connaissance courtoise ; Halandarin Las’Danir
  

Particularité : Il est un elfe différent ce qui le rend frustré, ressemblant beaucoup plus à un Noss qu'un Citadin, malgré son appartenance entière aux Talehdels.
Métier : Tamin Dolan & Mage Élémentaliste (Géomancie Dominant)
Classe d'arme : Corps à corps & Magie offensive

Possessions & Equipements :

Qu’a-t-il en sa possession qui n’appartient déjà pas à tout le monde ? Gaedrath est un homme - relativement - simple, suivant les règles des cités et ne fait que suivre son rôle. Aucune des armures ou lames forgé par sa main ne « l’appartient » car il n’est pas un guerrier, du moins un guerrier portant une arme matériel, et ne se voit pas se pavaner avec du métal encombrant qui le ralentit. Il y a bien une chose qu’il porte sur lui et qu'il ne voit pas donner à autrui, son focalisateur : une bague en argent sertie d’une andradite.

Apparence :

• Taille : 1m87
  
• Couleur des yeux : Gris-argenté
  

Gaedrath est un elfe. C’est une vérité absolue, ses oreilles, sa carrure, sa peau pâle et le fait qu’il porte des cheveux longs et soyeux en est la preuve irréfutable. Cependant, il se diffère des autres membres de sa race car il est en décalage avec le physique typique d’un elfe. Son corps est bien bâti dû au travaux à la forge, Gaedrath est petit, un poil plus petit que la moyenne des Ornedhels, il possède un nez crochu, des joues creux, et n’est pas aussi svelte et élancé que l’on pourrait penser d’un elfe. Ce n’est pas le pire, malgré le fait qu’il soit un Citadin, il partage beaucoup plus de trait avec un Noss, sans qu’il n’y ait aucune explication concrète. Des cheveux très foncés, de petite taille, et on pourrait croire que son visage est presque, un tantinet, un poil carré. Seul les lames de sa forge sont fines.

Personnalité :

Gaedrath souffre pitoyablement de sa relative laideur et de sa ressemblance au Noss. De ce décalage physique est née une exclusion de la part des autres et une solitude s’est formée. Il apprécie donc très peu la compagnie de personne et se révèle mal-à-l’aise, ce qui n’aide en rien ses interactions en tant que forgeron. Il ne hait pas les Taledhels, mais une rancune est vite née dans son cœur. Il a très peu d’amour propre, il est même morne, rabat-joie, parfois colérique et propice à des émotions négatives fortes. Sa solitude le pousse à penser quotidiennement, de tout et de rien, il en naît une curiosité pour le monde, la magie, l’histoire, la métallurgie... Une curiosité qui, au fil des siècles à écoper connaissance et savoir, grandit une avarice le rendant mégalomane. Gaedrath souhaite, au fin fond de lui, devenir un être puissant, supérieur aux autres elfes afin d’assouvir sa vengeance et réduire à leur tour les Taledhels grâce à sa magie. Mais le simple fait de penser cela le couvre de honte. Ses sombres pensées font que deux côtés combattent en son être : Une part « mauvaise » qui souhaite voir le monde brûler et les faire payer, et un autre qui souhaite seulement être « accepté » par les siens.

Ayant grandi dans la Cité de Malereg, il portait envers les Noss une certaine répugnance dans les premières décennies avant d’élargir son état de pensée, dû à son exclusion des siens. Il en était même venu à envier la vie des Noss, une vive pensée qui disparut rapidement mais qui revient parfois, lors de ses moments de réflexions.

Capacités magiques :

Ce fut un choix plus ou moins tardif dans le début de son premier siècle qui poussa Gaedrath a devenir un mage. Gaedrath étudia les mystères de la magie élémentaire, une magie qui pouvait être offensive ce qui était parfait pour faire passer la colère, une alternative à devoir manier une arme. Lorsque fut décidé qu’il utiliserait sa magie pour la forge, c’est ainsi qu’il s’était spécialisé dans l’élément de la terre.

Son focalisateur est une bague en argent qui avait jadis appartenu à sa mère, sertie d’une pierre d’andradite. Une petite pièce de bijou accroché à son annulaire, et première chose qui lui était tombé à la main lors de sa recherche pour un focalisateur parfait. Tous les éléments concordent, valeur familiale ; sentiment proche ; portable.

Les années passées à l’Académie fut éprouvant, sa solitude naturelle l’aida à se concentrer sur l’étude des arcanes et en apprendre largement plus. Cette étude de la maîtrise qui vint après presque trois siècles à l’Académie de la magie élémentaire avait pris fin, car il avait les connaissances nécessaires pour s’en servir dans une forge, de quoi façonner la lame, la modeler, la perfectionner sans forcément user d’outils. Peut-être pourrait-il créer la bâtisse de sa propre forge en seulement quelques heures de travaux intenses.

Cependant, Gaedrath ne s’était jamais totalement arrêté d’étudier la magie, de repousser ses limites et même tenter de manier un autre élément. S'il a étudié les autres éléments scrupuleusement et avec ardeur, les maniant aisément sans troubles, sa maîtrise n'en ressort pas extraordinaire et elle pourrait même paraître bancal. Il utilise surtout sa connaissance des autres types d'éléments afin de bonifier sa magie de terre - il reste un géomancien avant tout - pour mieux modeler et avoir un contrôle plus subtile grâce à des techniques uniques par le mélange de deux éléments. Tel que de la lave en fusion.  

Histoire

Gaedrath est ainsi né l’an 248 du Xème cycle, de deux parents Talehdels de la Cité de Malereg. L’elfe tient son physique de son père, qui était surtout connu pour sa ressemblance fâcheuse aux Noss et si aucune explication concrète à ce jour n’existe, il n’est pas compliqué pour se douter qu’un géniteur aurait quelques racines rattaché aux Ornedhels. Le paternel de Gaedrath se prénommait Turneil Sosa, c’était un elfe très peu loquace et petit, exerçant le métier de soldat en tant qu’éclaireur, qui méprisait ouvertement le reste de la cité et surtout son Conseil pour la simple et bonne raison que Turneil ressemble beaucoup plus à un Noss que son fils, c'est étonnant de penser qu'il soit un Taledhel pure souche. Ce décalage physique était particulièrement dédaigné par les habitants de Malereg, qui ne porte pas les Noss à cœur. S'ils ne montraient pas de l'animosité à Turneil et étaient simplement « déroutés » par le physique, ce n'était pas comme cela que le prit l'Elfe. Cependant, beaucoup noteront son amour pour le Roi Glorfindel, voyant en lui un être extraordinaire et remarquable. Il n’appréciait guère sa vie et sa condition de « paria », ce qui le poussa à être un être triste et renfrogné, voyant en tout le mal absolu et un ennemi. Quant à sa mère, Aethlin, elle était une prêtresse de Kÿria douce et aimable, rassurant Gaedrath à propos de sa soi-disant laideur, qui jadis portait un anneau spécial autour du doigt. Les deux s’aimaient fortement, un lien unique les unissait et leur amour émanait presque en leur présence.  Ce fut donc dans un environnement désagréable que Gaedrath passa son premier siècle, écoutant son père se plaindre de tout et sa mère tentant de calmer les tensions et la colère de son amant. Les choses étaient fort ennuyeuses pour le jeune elfe dans son premier siècle, seul le double choix fut bouleversant en mal et en bien.

Quelques décennies plus tôt, l’assassinat de Glorfindel fut un choc épouvantable, surtout pour le père de Gaedrath qui le prit comme un signe de la faiblesse des elfes de Cité. Turneil devint très malheureux par cette événement, se renfrognant beaucoup trop et, sans s'en rendre compte, délaissant ses responsabilités envers sa famille. Après trois années, ayant fermement en tête l'idée que les elfes des Cité étaient perdu à jamais suite à la mort de Glorfindel, il rendit l'âme, engouffré par le chagrin. L’elfe partit, Aethlin mourut à son tour le cœur chagriné deux années plus tard, laissant donc un jeune Gaedrath déboussolé aux soins d’un oncle et d’une tante, avec comme seul souvenir la bague d’argent sertie d’une andradite. Tous deux n’avaient aucun problème à affirmer que le petit Gaedrath devrait penser à changer de physique avec de la magie.

Au cours du double choix, alors que son oncle et sa tante attendait de lui de suivre un enseignement courant, Gaedrath s’était décidé à suivre l’érudition des arcanes. Il n’avait pourtant jamais montré de l’intérêt pour de la magie, du moins publiquement. Au fond de lui, le petit elfe ne souhaitait pas finir comme son pauvre père et à vivre accablé par l’humiliation. Il voulait montrer qu’il sera plus fort que tout le reste du monde, et puis, intégrer l’Académie d’Alëandir, le forcerait donc de partir de la cité de Malereg, néfaste pour lui et son physique désobligeant.

Ainsi les années passèrent, et Gaedrath entra dans l’Académie pour y passer une partie importante de sa vie. En arrivant à la Cité Blanche, l’elfe fut émerveillé. C’était un lieu unique, différent de Malereg. Mais il fut beaucoup plus admiratif de l’Académie, ses long murs d’ivoires avait un côté menaçant mais pourtant si invitant à l’explorer. Inutile de dire qu’il était tombé amoureux de l'endroit, il n’y avait pas les regards haineux que les autres elfes lui portaient à Malereg et le savoir que portait l’intérieur des murs de l’Académie était impressionnant. Amenant avec lui la bague de sa mère, il porte le bijoux à son annulaire et pour choisir un focalisateur, il se tourna au seul souvenir de sa mère. Naquit cette soif de pouvoir insatiable en lui et même s’il ne pouvait décider par lui-même durant les premières décennies, l’envie de vouloir savoir plus s’avérait presque dangereux et menaçant. Ses professeurs voyaient mal cette ambition, car Gaedrath montrait des signes de violence, mais le jeune elfe était beaucoup trop lâche et peureux pour aller plus loin que le simple fait de penser à faire du mal à un être vivant, il en était vite couvert de honte. Au final, il n’avait pas la carrure d’un apprenti aux intentions mauvaises, du moins capable d’aller au bout de ses intentions.

La Cérémonie du Choix passa, Gaedrath prit le nom de son père, il était désormais son propre homme et quelqu’un de libre. Suivit alors un siècle et demi ennuyeux et monotone de la vie d’un jeune elfe qui passa le plus clair de son temps à apprendre, et apprendre de sa magie, tombant en larme face à chaque simple erreur et ne voyant presque aucune gloire dans ses victoires. Pourtant, malgré l'insistance de ses professeurs à le pousser de changer de voix, il persistait à poursuivre cette route, l'image de son père lui gardant l'idée à la tête que c'était le seul chemin possible pour trouver ce qu'il désirait, sans qu'il ne sache lui-même ce qu'il désire réellement. La géomancie fut son domaine de prédilection ; il ne s’intéressait, que peu, aux d'autres domaines de magie. Rien d’excitant ne s’était passé durant ce siècle et demi, le jeune elfe se cherchait simplement un moyen de poursuivre sa vie et de rendre ses talents utiles à la société. Il avait longtemps considéré, mais dégoûté, le métier de soldat. Son père avait passé sa vie à protéger des vies le dédaignant, c’était une chose stupide mais admirable. Sauf qu’il n’avait jamais été doué avec une arme, il était plus enclin à se couper lui-même que son ennemi. Mais une simple visite lui permit de décider de son avenir, voulant poursuivre cette voie dure comme le fer.

Gaedrath se décida après avoir quitté l’Académie au sixième siècle du Xième cycle, se sentant prêt - sans qu’il ne le soit forcément  - de trouver sa voie seule, et de rejoindre l'armée d’Alëandir. Une décision stupide et regrettable, car il y passa seulement cinq années, trop maladroit avec une arme dans la main. Mais lors de son court moment passé dans l’armée, Gaedrath fit la rencontre d’un supérieur portant une arme tout droit sorti de la forge du Toer Tamindal, Karässal Demalörnl. La qualité de l’arme impressiona l’elfe qui trouva le talent remarquable des forgerons inspirants. Le jeune elfe, intrigué, fit la visite d’une forge sylvaine pour y voir le travail formidable des artisans, des reliques prodigieuses éblouissant ses yeux de merveille. C’en était décidé, s’il ne savait pas tenir une arme correctement, Gaedrath avait la ferme intention de les forger.

Ainsi il trouva sa voie, le chemin qu’il choisit dans sa pitoyable existence. Gaedath se trouva un maître et façonna ses connaissances dans l’art de métallurgie. Il n’était certainement pas le meilleur, mais il n’était pas trop mauvais non plus. Son maître, une elfe portant le nom de Symania Arcaena, avec lequel Gaedrath a appris durant des siècles. Jour et nuit, l’elfe étudia les figures importantes tels que les nombreux Las’Danir, mais surtout des méthodes et procédés cruciaux. Il resta à Alëandir, n’ayant pas le cœur ni l’envie de retourner à l’épouvantable cité de Malereg. Certains diraient que l’elfe vivait dans la cité de façon permanente bien qu’il n’ait jamais confirmé cela, du moins pas avant récemment. Il  fait notamment quelques rencontres qui l’inspira à mieux, comme l’unique Halandarin Las’Danir qui avait fait beaucoup parler de lui, il le vit une fois alors qu’il avait fait un voyage à Ardamir à la fin du septième siècle du Xième cycle, parait-il qu’il avait refusé une place dans le conseil des Tamin Dolan, le regardant faire une autre merveille parmi tant d'autres. Jamais il n'aurait espéré faire meilleur ou quelque chose d’au moins équivalent, mais Gaedrath prit grande inspiration de ses méthodes.

Deux siècles et demi passèrent, Gaedrath ne regrettait pas sa décision, il en était content. Il n’était pas réputé, il n’avait une renommée grandiose mais il ne s’en plaignait pas. Comme cela, les projets qu’on lui proposait n’était guère ambitieux et il ne se jugeait pas assez excellent pour de telles envergures. Il était devenu un simple Père de la Forge et demandait toujours conseil à sa maîtresse Symania. Sa magie l’aidait beaucoup, et puis il passait le plus clair de son temps libre à étudier et approfondir sa maîtres de l'Art mystique. Mais un projet lui fit se démarquer, non qu’il en avait l’intention. Cela lui prit quatre-vingts années à façonner, à perfectionner et il le considéra longtemps comme son chef d'œuvre. Une lance à la pointe en acier odelin, bien que cela pouvait paraître simple et basique, Gaedrath y porta une grande lenteur pour rendre l’arme parfaite, inspiré par le travail de Halandarin Las’Danir. L’elfe n’offra à personne cet objet jusqu’à ce jour, le gardant précieusement dans son humble bâtisse accrochée au mur. Il avait atteint sept siècle et le forgeron devint grâce à son œuvre Maître de la Forge. Sans qu’il ne sache, les cinquante années qui allaient suivre sa vie allait se révéler dur.

N’étant bon qu’à cela, les drows envahirent l’Anaëh et Gaedrath eut l’obligation personnelle d’aider l’armée, comme si l’ombre de son père venait lui murmurer à l’oreille. Les sièges et les assauts provoqua un stress accru au forgeron se jetant la faute à lui, peut-être que s’il était meilleur, ils auraient déjà repoussé l’ennemi. Qu’il ait participé ou non aux défenses des cités, cela n’aurait changé aucun résultat, mais Gaedrath ne le savait pas et s’accabla avec beaucoup, beaucoup trop de remords. Et puis un événement sombre intervint qui affecta l’elfe.

Le Voile. Gaedrath fut affecté, mais surtout beaucoup de ses congénères elfes. Il s’enferma dans sa forge, tentant bien que mal à compter les heures et les jours qui passent sans trop de succès. Et puis, lorsque la nouvelle de rares citadins entendant la Symphonie, l’elfe croyait pouvoir être l’un d’entre eux. Ses - rares - contacts avec les Ornedhels au fil des derniers siècles l'avaient rendu envieux de leur situation et conscient de sa ressemblance, bien qu’ils étaient tous plus beaux. Il se concentra durant des heures, tentant d’entendre à son tour la Symphonie et être une de ses rares chanceuses souffles, mais malheur, il n’y arriva pas. Lorsqu’il vint finalement à la conclusion qu’il n’était pas sensible, il pleura durant des heures. Mais un simple Don n’était pas ce qui l’empêcherait de rejoindre une vie parmi les Noss ! Beaucoup de Taledhels avaient rejoint l’autre côté, après tout. Mais il avait une vie prometteuse face à lui, puis se rappelant le chagrin que sa mère avait porté menant à sa mort lorsque son père partit, cela lui en coupait vite l’envie… Et puis, arriverait-il à vivre le reste de ses jours dans un monde complètement différent de celui-ci ?

Gaedrath resta fidèle à la vie de Pierre. Peut-être était-il juste trop lâche pour passer le cap. Mais cela n’a plus d’importance, les années passèrent et il eut l’impression d’avoir vécu plus de vie qu’au cours de ces sept derniers siècles. Les drows envahirent encore, il fournit en arme et en armure aux soldats plus expérimentés, une guerre civile éclata et l’elfe fournit encore en arme et armures aux Cités, la même chose se passa lorsqu’une invasion de goblin prit place… Des événements  qui chamboula à maintes reprises l’Anaëh et ses habitants, il apprit d’ailleurs l’assassinat de Halandarin Las’Danir, qui affecta l’elfe profondément. Un Toer Tamindal est toujours attendu et Gaedrath fut donné une place au conseil des Tamin Dolan, après que Gaedrath eut l’ambition claire de pousser son art plus loin avec ses dernières créations.

En l’an 18, un an s’écoula depuis sa nomination et Gaedrath se décida de s’installer définitivement en Alëandir, ne pouvant supporter la situation actuelle de Malereg et trouvant une sorte de paix avec soi-même dans Alëandir. Et s’il se trouve être un artisan capable, il doute toujours autant de lui-même.

HRP:

Et voilà, l'histoire est terminé ! Comme promis à moi-même, avant que le mois s'achève.

J'ai déjà notifié le Staff sur Discord mais j'aime bien avoir mon sujet au début de la page, ça me permet de ne pas scroller    

Citation :

Il est un elfe différent de façon frustrante, ressemblant beaucoup plus à un Doss qu’un Citadin bien qu’il soit purement Taledhel

Citation :

Gaedrath souffre pitoyablement de sa laideur

Citation :

Le fait qu’il soit forgeron l’oblige à devoir interagir avec des Noss, ce qui le fait faire face aux ressemblances évidentes qu’il porte d’eux.

Citation :

Cependant, Gaedrath ne s’était jamais totalement arrêté d’étudier la magie, pousser ses limites et même tenter de manier un autre élément. L’étude de l’air fut « courte », car si l’air pouvait aider à mieux manier les autres éléments, son utilisation lui serait nécessaire avec seulement le minimum. C’était le feu qui l’intéressait, l’élément de la puissance et pouvant causer ravage, symbole de destruction et de force. Sa maîtrise n’est pas parfaite, mais la marge de temps avant qu’il ne puisse en toute sécurité manier la lave en fusion est très courte.

Citation :

Gaedrath est ainsi né l’an 248 du Xème cycle, de deux parents Talehdels aussi oubliable qu’humiliable en termes de réputation au sein des elfes

Citation :

Le paternel de Gaedrath se prénommait Turneil Sosa, c’était un elfe très peu loquace et petit, exerçant le métier de soldat en tant qu’éclaireur, qui méprisait ouvertement le reste de la cité et surtout son Conseil.

Citation :

Il n’appréciait guère sa vie et sa condition de paria

Citation :

Durant ce temps, son père ne regrettait pas du tout la décision qu’il avait prise, ignorant le sort de sa bien-aimée ou encore ce qui allait arriver à son fils pour le reste de sa vie. Turneil s’installa dans une région calme de l’Ithri-Vaan, prenant plusieurs siècles pour s’habituer aux normes et à son climat. Il y goûta des spécialités locales, dont des humaines ; mais il y a presque deux siècles, son exploration des coutumes mit enceinte une jeune humaine. Coën, vint au monde.

Citation :

Suivit alors un siècle et demi misérable, ennuyeux et monotone de la vie d’un jeune elfe qui passa le plus clair de son temps à apprendre, et apprendre de sa magie, tombant en larme face à chaque simple erreur et ne voyant presque aucune gloire dans ses victoires

Citation :

Cela lui prit quatre-vingts années à façonner, à perfectionner et il le considéra longtemps comme son chef d'œuvre. Une lance à la pointe en Acier Veladrien, bien que cela pouvait paraître simple et basique, Gaedrath y porta une grande lenteur pour rendre l’arme parfaite, inspiré par le travail de Halandarin Las’Danir. L’elfe n’offra à personne cet objet jusqu’à ce jour, le gardant précieusement dans son humble bâtisse accrochée au mur. Il avait atteint sept siècle et le forgeron devint grâce à son œuvre Maître de la Forge. Sans qu’il ne sache, les cinquantes années qui allaient suivre sa vie allait se révéler éprouvant.

Citation :

chanceuses âmes

J'y travaaaaaiiiillllle !!!

N'archivez-pas de suite, Ô Saint Splendide Grand Staff, il me reste quelques détails à régler et elle sera de nouveau prêt à être corrigé ^^

Voilà ! J'espère avoir corrigé ce qui faisait défaut à ma fiche, après avoir revisité des tas de fois les BGs elfiques dont j'ai toujours comprit que la moitié ĥihi au cours de ces derniers mois. J'espère aussi que je ne suis pas allé complètement à côté de la plaque et que j'ai foiré de bout en bout ^^

Le cœur m'en dit que j'apprécie cette fiche et travailler dessus, et qu'elle reste à vous, à présent, de la juger à nouveau et je ne doute pas que vous allez corriger tout ça excellemment, cher Staff ! Vous, qui sont incorrigle, implacable et très fidèles aux règles du Forum et du monde de Miradelphia, glisse un billet de 10$ monopoly sur la tire-lire du Staff

Bienvenu chez les elfes, allez zou y a du boulot à la forge !

 

Code:

[Métier] :Tamin Dolan & Mage Élémentaliste

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] :Corps à corps & Magie offensive

[Alignement] : Neutre strict

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.