Villiam - Le Bandit à la plume blanche [terminée]

Identité

Nom/Prénom : Viliam  
Âge/Date de naissance : 35 ans (25 ans d'apparence)
Sexe : Masculin
Race : Sang mélé humain/elfe (Humain prédominant)
Faction : Iv / peuple libre ?
Alignement : Chaotique neutre
Liens notables : Sa bande de bandit - ancien esclave d'un marchand supposé toujours en vie. -

Particularité : Un tatouage d'une plume dans la nuque cachant un sceau au fer rouge, la plupart du temps lui même caché par un foulard blanc. Deux estafilades blanchâtres barrent son poignet droit.


Métier : Chef des bandits dit « Adain'vinje  » ( a-dèn-vi-ré - aile blanche en oliyan)
Classe d'arme : Corps à corps (rapière)

Possessions & Equipements :
-une broche représentant une colombe stylisée ouvrant ses ailes. Un foulard blanc noué à son cou, son poignet, sur son front, ou encore cachant la moitié inférieure de son visage suivant les occasions.

-Une taverne tout ce qu’il y a de plus banale, servant de cache aux bandits et principal lieu de contrebande. Il n'en est cependant propriétaire qu’officieusement, en laissant la gestion et la face ''publique'' à une relation de confiance et avec légèrement moins d'histoires.


Apparence :
Viliam ne ressemble pas au souvenir qu'il a de sa mère et pourtant il à mit du temps à constater l'héritage elfique de son père. Il lui a fallu attendre l'arrivée de l'âge adulte, à vrai dire, pour se rendre compte de son vieillissement ralentit par rapport aux autres humains. Lui qui va sur ses trente cinq ans, n'en parait toujours que milieu de la vingtaine passée. Quoi que ses traits souvent tirés par quelques préoccupations et un léger duvet de barbe sur ses joues pas toujours correctement rasées tendent à le vieillir un peu. Pourtant, Viliam n'est pas dénué d'une certaine beauté brute. Le teint halé de ses pommette est surmonté de deux billes d'encre profonde. Quelques longues boucles de jais encadrent le tout. Il est haut de stature, athlétique mais plus large d'épaule que ce que le commun imagine des races elfiques des bois.

La vie à laissé ses traces sur lui. La plus remarquable prend la forme d'un tatouage dans son cou, une plume qui si on y prête un peu attention, camoufle les restes d'un sceau d'esclave. En général, lorsqu'il doit se faire discret, un foulard achève cacher cette marque. Paradoxalement il ne cache pas vraiment les cicatrices sur son poignet, signe beaucoup moins distinctif et beaucoup plus personnel.

• Taille : 1m85
  
• Couleur des yeux : noir
  

Personnalité :
Si certaines des actions qu’il ordonne ou qu’il mène peuvent le laisser paraitre froid et sans cœur, quiconque se réclamant un tant soit peu proche du chef bandit sait qu’il ne s’agit que d’une bien étrange façade. Il est un être sensible et peut être même aurait-il pu être doux, dans une autre vie. Il n'est pas aussi taciturne qu'on puisse aussi le penser, se montrant prompt à rire et à boire avec ses compagnons lorsque rien ne vient creuser ses traits en un rictus préoccupé. Il rit et parle de tout, sauf ce qui concerne son enfance qu'il refuse catégoriquement d'évoquer. D'ailleurs, certain pensent que son étrange peur panique du noir, qui le pousse à toujours s'assurer d'une source de lumière fiable, même très légère y est fortement liée.

Autrement, il est particulièrement proche de ses hommes, et surtout les plus jeunes d'entre eux qu'il à tendance à regarder avec un mélange de fierté et de pitié au vue de la vie qu'il leur offre.

Viliam est surtout un trop grand rêveur, aspirant à cette vie que l’on lui a arraché à peine fut-il né dans les mauvaises langes. Il en rêve avec force de cet idéal, tellement qu’il se montre terriblement borné lorsqu’il s’agit d’enfin l’atteindre. Il aspire à la paix et à la justice, mais en ce bas monde, il faut se salir les mains pour l’obtenir. Alors, ses belles et grandes idées ont fini par devoir composer avec quelques compromis. On tue, oui parfois, lorsque c'est nécessaire. On pille. Mais jamais on ne blesse ce qu’il juge innocents. Le chef des Adain'vinje garde certains principes et ses compagnons se doivent de les appliquer s'ils veulent faire partie de sa famille.

D’ailleurs, il est un homme étonnement pieux pour son milieu, passant de longues heures agenouillé et murmurant à la Damedieu, la seule à ses yeux à pouvoir encore les aider dans leur quête insensée.

Capacités magiques :
-

Histoire

! T-w : contenu sous entendus sans détails graphiques mais évoquant tout de même de la violence physique et sexuelle sur des personnages jeunes. Public Averti

Chronologie :

Pour la majorité des gamins qui se sont décidés à le suivre, la vie de Viliam leur est un mystère. Parfois il se murmure des rumeurs qu’il ne daigne pour la plupart pas étouffer sans pourtant jamais les confirmer. La première c’est qu’il est un fils bâtard d’une esclave et d’un elfe. Comment expliquer la marque encore visible dans son cou sinon ?
La vérité c’est qu’elle était totalement libre lorsqu’il est né. Elle s’est contentée de s’en débarrasser contre un peu d’argent lorsqu’il eut à peine dix ans, soit la capacité d'utiliser ses bras pour travailler. Est-ce qu’il lui en veut ? Non. Il ne connaît pas cette femme et elle n’a fait que tenter de survivre. Il s’en fiche éperdument et c’est pour cela qu’il ne corrige jamais ceux qui chuchotent.

De son adolescence, il ne parle pas non plus. Certains savent tout de même qu’il a grandi entre les mains d’un "protecteur",un marchand péninsulaire dont quelques crimes inconnus l'avaient poussé à l'exil au sein de la terre de tout les vices. Viliam était nourri et logé en échange de son travail, il est vrai. Mais il n'était pas plus qu’un esclave quoi qu'il en soit et ses rares proches, ceux qui le connaissent parfaitement savent lire dans son regard lorsqu’on tente de lui arracher une phrase à propos de cette époque. Tout cela n’était que poudre au yeux. Quelques très proches se doutent d'ailleurs fortement de pourquoi Viliam s’est enfuit lorsqu’il avait 16 ans, même s’il ne leur a jamais dit ouvertement. Certains signes ne trompent pas. Des demi mots, des réactions, des gestes qui le fond se raidir parfois... Mais surtout jamais il n'est mis plus en rogne que devant ces hommes et ces femmes qui pensent avoir le droit de posséder qui ils veulent, passant outre consentement et volonté. Aucun de ses compagnon d'arme ne se risquera à se genre de déshonneur sous ses ordres. Le dernier à avoir levé la main sur une femme sans défense et ayant eut l'audace de se réclamer de l'aile blanche à eut droit à un accès de rage rare de la part d'un homme d'habitude plutôt tempéré et magnanime et il ne doit sa vie qu'à celui qui aura eut le courage de retenir le bras de Viliam avant le coup de trop.

Son bras droit Ren ,lui, sait mais il se tait. Il ne lui demande rien, ni détail, ni explications. Il ne fait pas de commentaire. Il ne dira jamais ce qu'il pense savoir. Par loyauté, et par respect envers l'homme qu'il a soutenu dans ses plus grand moment de fragilité comme dans ses éclatantes victoires. Ren est le seul à avoir connu le chef des Adain'vinje lorsqu’il n’était qu’un adolescent. Il a vu ses larmes sur ses joues, il a vu les ecchymoses sur son corps, les traces qui parlaient pour lui, il a vu la colère et la peur au fond de ses yeux et dans sa voix qui ne voulait rien dire. Surtout, il a vu le sang sur le sol de la cache qu’ils partagèrent à l’époque de sa fuite, quand son comparse tenta l’ultime aventure, la seule où personne ne pourrait jamais le suivre et lui faire du mal.

Ensemble, ils ont presque tout vécus depuis le jour où Viliam sauta le mur d'enceinte de la propriété marchande. Ce qui a débuté comme une première amourette, entre un esclave et un fils de petit marchand rapidement déshérité s’est transformée en quelque chose de bien plus profond. Ils ne sont plus amants depuis longtemps et ne l’on jamais vraiment été en rétrospective. Viliam, s'il était certain de son goût pour la gente masculine, s'était vite rendu compte qu'il était bien plus amoureux de l'idéal que Ren avait su lui faire imaginer que de son comparse lui même. Ren avait été le premier à rêver d'un autre monde. Celui où le père préférait élever son fils plutôt que d'assurer une lignée puissante et vaine. Celui où le vice n'avait pas sa place. Celui où personne ne crèverait la faim en rampant devant les bottes de cuir délicat des princes. Ren avait entendu les légendes des royaumes elfiques où chacun dormait en paix le ventre plein et le frère aimant, et des royaumes nains dont les rues étaient pavées d'or de de diamants. Pourquoi ne pas faire de l'Itrhi'Vaan un paradis égal ? Pourquoi eux devraient ils craindre le froid, la boue, la maladie et les dagues dans le dos?

C'était l'idéalisme d'un enfant, mais pour un esclave, ça avait été assez pour lui faire espérer et lui redonner la force de vivre.

Et depuis le jour où il se releva, quelques mois après avoir tenté de mettre fin à sa vie, et où il passa un foulard blanc autour de son cou, son destin fut celui non seulement d’un fugitif mais aussi d’un rebel. Viliam ne laisserait personne jamais plus décider de sa propre vie, et il s’efforcerait d’être une épine dans le pied des tyrans de ce monde, ceux de Thaar les premiers. S’il n’était pas bien gros, il ferait de son mieux pour être « emmerdant à souhait ».

Clarisse, une acrobate aux doigts d’une habileté incroyable fut la troisième à les rejoindre. Apparue dans leur chemin pour principalement les dévaliser, il sembla que la pie voleuse trouva pourtant en leur idéal quelque chose de fort plaisant en la compagnie de ces deux jeunes gens se relevant avec panache de sombres épreuves dont elle ignora tout de longues années durant. Elle vit pourtant les marques encore fraiches au poignet de l'un et la fougue de l'autre à lui décrire l'idéal qu'ils poursuivaient et, à son tour, elle les prit en pitié et séduite par leur regard nouveau finit par ne plus jamais les quitter.

Lorsque le Voile vint, enivrés d'alcool et de pulsions nouvelles, ils eurent une idée. Leur premier gros coup était évident : ils allaient s'en prendre au domaine où Viliam avait grandit. En symbole d'espoir. Lui, s'y opposa violemment mais les deux insistèrent. Rares furent les disputes aussi violentes entre Ren et Viliam. Mais rien ne sembla vouloir faire changer le premier d'avis, à tel point qu'ils décidèrent, lui et Clarisse, d'agir seuls et dans le dos de leur compagnon.

Mort d'inquiétude et fou de colère lorsqu'il découvrit cela, Viliam se précipita à leur secours malgré tout les risques que cela impliquait. Comme il l'avait pressentit cela dégénéra. Pour échapper aux gardes mis en alerte par le tapage qu'ils causèrent, les deux jeunes gens n'avaient rien trouvé de mieux que de mettre le feu sur leur passage...

De manière inattendue, alors qu'ils n'avait couru là que pour ramener ses deux camarades par la peau du cou, la vue de la grande demeure qui fut le théâtre de ses pires jours, jusqu'à avoir désiré en mourir, disparaitre derrière de grandes flammes eut un effet cathartique sur l'ancien esclave. Là, devant ce spectacle, son souffle acheva de guérir.

Sur l'instant, il fut comme transit par il ne savait quel instinct et, d'un morceau de calcaire blanchâtre, il traça une immense aile de colombe sur le mur extérieur de la propriétés saccagée. l'Adain'vinje venait de naitre.

Viliam s'efforça tout de même de tempérer ce genre d'ardeur, les années qui suivirent. Ren avait bien failli finir embroché par une hallebarde ce soir là et Clarisse avait dû se débarrasser de tout son précieux butin pour s'envoler a temps, réduisant à néant leurs gains de tous ce chaos.
S'il désirait justice autant que ceux qui l'avaient rejoint, il avait tout de même la présence d'esprit de considérer l'existence d'une voie un peu plus subtile et plus droite... D'ailleurs, dans le début du nouveau cycle, Viliam se rapprocha de manière tout à fait personnelle du culte de Nééra. S'il avait déjà été élevé dans le culte penthien et qu'une partie de son souffle y avait toujours été fermement lié, d'où la plume dessiné sur le mur quelques temps plus tôt, il avait tout de même eut de fortes raisons de douter de la véracité des enseignement de son tortionnaire...Il voulait simplement avoir des réponses et rattraper le temps d'errance.

Il ne devint pas un fanatique de la DameDieu, loin de là mais les préceptes qu'on lui transmit eurent l'air de rassurer le bandit. Parmi les neufs, Viliam trouva résonance dans ses projets et ses ambitions. Ren et Clarisse ne surent en revanche jamais pourquoi ils le virent aussi détendus que ces jours là.

Les jeux de Thaar de l'an 14 furent à la fois leur âge d'or et leur pire cauchemar. L'ambiance électrique de la cité des sens leur permirent quelques opérations lucratives de plus grande ampleur qu'à leur habitude et de gagner en nombre et en notoriété, mais elle vis aussi, le temps des évènements , présences de grands oblige, une recrudescence du zèle des soldats du guet ce qui n'était pas spécialement pour plaire aux bandits...

En revanche, les choses prient un nouveau tournant lorsque Sol Dorn fut assiégée puis tomba. Malgré leur idéaux, Viliam ne dirigeait qu'une bande de voleur à 3 sous, piquant parfois l'égo du guet, mais son impact était minime. L'avancée des drow, d'abord à Soldorn, puis jusqu'à la guerre de naëlis leur redonna à tous, la flamme et l'envie de se battre et les força à redoubler d'effort. Leurs opérations prirent en ampleur.

Ils n'étaient pas beaucoup et certains décidèrent de s'éloigner devant les risques plus grand que l'Adain'vinje prit. Mais ceux qui restèrent, quel que soit leur âge, parfois terriblement jeunes, étaient prêt à se défendre que ce fut contre les envahisseur, ou ceux qui les laissaient grignoter l'itrhi vaan, morceau par morceau.

l'Adain'vinje

L'aile blanche est un petit groupe de bandits aux idéaux particuliers. Cherchant à libérer la population, chaqu'un des membres qui porte le foulard blanc se doit de respecter des préceptes simples mais stricts, la population et les innocents ne doivent pas être pris pour cible mais être bénéficiaires, à long ou court terme. La cruauté gratuite n'est pas acceptée voir réprimée avec une violence égale en fonction de l'acte du bandit fautif.

Ils doivent leur nom au motif qu'ils gravent ou dessinent sur les bâtiments ou les caravanes qu'ils pillent et/ou vandalisent. Leur cible : les caravanes de marchand riches, les esclavagistes, les puysard lorsque leur moyens le leur permet, les maquereaux et autre type d'oppresseur.

HRP:

C'est nul ! Recommence stp.

Nan bon allez, après Robin des Bois, faites place à Viliam des Sables, humble pillard !

Code:

[Métier] : Chef des Adain'Vinje

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps-à-corps

[Alignement] : Chaotique Neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.