Nom/Prénom : Asto'Ea Bellicunda
Âge : 174 printemps
Sexe : Féminin
Race : Elfe Sylvain
Particularité : Possède une épée dénommée Enshe'a. Cette épée a la particularité de ne faire qu'un avec son porteur habituel. Ce qui la rend impossible à voler ou à utiliser par quelqu'un qui n'est pas Asto'Ea. Mais cette épée peut être perdue, si l'elfe perd un duel, l'épée peut changer d'alignement et de propriétaire pour passer dans les mains du vainqueur du duel.
La jeune elfe est aussi une des rares de sa race à consommer de la viande qu'elle ne tire que de sa chasse.
Alignement : Neutre
Métier : Mercenaire
Classe d'arme : Corps à corps ou à distance (variable)
Équipement : Asto'Ea possède avant tout Enshe'a, son épée. Ainsi qu'un arc elfique long mais simple accompagnée d'une petite vingtaine de flèche de sa propre composition, sans attraits spéciaux. Elle porte sur elle des vêtements amples et simples, couvrant assez peu son corps et maintenus entre eux par des liens de cuirs. Elle porte aussi couramment des gants et bracelets de protection.
Description physique :
Asto'Ea est une belle jeune Elfe ayant approximativement l’air d’avoir une petite trentaine d’année humaine, faible d’apparence, avec des traits irréguliers mais délicats et un nez aquilin, ainsi que de grands yeux noir qui, dans les moments tranquilles, annoncent de la réflexion ainsi que de l’ardeur et brillent d’un esprit de fougue profonde. Des cheveux châtain foncés, plantés forts haut et relâchés derrière sa tête en lui tombant pardessus les épaules jusqu’à la poitrine lui donnait un grand front, et, dans les moments de colère, un air méchant. Sa taille svelte et bien prise annonce autant de légèreté que de vigueur. Et par dessus ses formes gracieuses, son teint mat se liait très bien avec les quelques tatouages mauves et bruns qui ornent son corps captieux.
Description mentale :
Asto’Ea est avant tout solitaire, elle ne s’attache que très peu aux personnes qu’elle rencontre et ne vit que de désirs présents. Elle est libre et compte bien vivre librement, l’unique chose qui puisse l’opresser serrait une probable hargne envers quelqu’un qui, dans ses moments de rages et de colère, peut l’amener à être aussi cruelle qu’un Drow lui-même. En effet, la jeune elfe sylvain n’a pas un caractère très digne de sa race, vivace et arriviste, elle n’est pas bonne de nature. Souvent arrogante, sa rancune tenace arrive, parfois même par des coups bas, à se combler.
De plus, la jeune elfe est expressive à l’excès, elle ne cache pas ce qu’elle pense que cela touche en bien ... ou en mal ! Elle est par contre égoïste et fonce souvent sans réfléchir, tête baissé, même parfois dans les pièges les plus simples.
Histoire :
Asto’Ea aurait pu, comme la plupart des aventuriers dignes de ce nom, être une belle et mystérieuse orpheline ayant vécu et survécu seule dans la forêt pendant les nombreuses années qui formèrent sa jeunesse. Puis avoir suivit l’enseignement des meilleurs des mentors que ce monde eut connu pour finalement chercher à faire le bien absolu partout où elle passe, bienqu’elle possède, parfois, quelques défauts.
Mais, Asto’Ea n’est pas comme ça ... Et non, elle ne possède pas cette touche sublime et bienveillante qui façonne la vie de tout bon aventurier : l’histoire passionnante et semblable à toutes les autres histoires de tout les autres grands aventuriers.
Effectivement, la jeune elfe sylvain est tout simplement né dans un village Elfe, au milieu du territoire Elfe, d’un père et d’une mère tout deux saints de corps et d’esprits. Elle n’eut pas à sauver son village de la peste lors de ses jeunes années, et ne vit jamais celui-ci se faire piller par des bandits sous ses pauvres yeux, en étant, fort heureusement et bien miraculeusement, épargnée par les bandits. Elle n’a donc par chercher à se venger, et ne parcours donc toujours pas les chemins pour retrouver ces mystérieux agresseurs (qu’elle retrouvera bien sur dès son premier post RP et qu’elle exterminera comme par hasard (bien qu’elle soit toujours aussi peu expérimentée qu’avant). Asto’Ea n’a donc pas renverser d’église, pas bâtit de pont sur les mers et les fleuves, elle n’a pas appris à son meilleur amis (désormais décédé dans une mort aussi tragique qu’étrange) et n’a donc pas de destin fabuleux et extraordinaire qui fait la tant légendaire trempe du bon parfait héro.
En effet, Asto’Ea est née il y a maintenant 174 printemps, par un jour ensoleillé ... un jour d’automne. Un jour où les feuilles mortes commencent à se détacher des arbres pour venir choir doucement sur le sol après avoir voltiger dans l’air quelques secondes et après avoir fait éclater une dernière fois ses couleurs devenues orangées et dorées.
Les pas froissaient dans ce tapis brun qui ornait le sol du village Elfe natale de la jeune Elfe. Malgré cet hiver d’hiver naissant, la température ambiante laissait un arrière goût d’été dans toutes les bouches, comme l’ammertume d’un plaisir qui tend à disparaître.
Ce jour là, donc, naquit une jeune elfe brune d’un pied et demi de haut que ses parents nommèrent du doux nom d’Asto’Ea, nom qui avait appartenu au l’ancêtre le plus illustre de la jeune femme, qui était mort lors d’une terrible guerre contre les Drows.
Cette jeune fille grandit comme toutes les jeunes filles de son âge, pour devenir, à l’âge de 74 ans, une jeune elfe plutôt épanouie et bagarreuse. Son caractère était de feu et son tempérament d’acier. Elle préférait rester seul dans la forêt ou bien elle s’adonnait à des sports ... masculins.
C’est de cette manière que la jeune Elfe fit la découverte d’Enshe’a une vieille épée qui appartenait à la famille maîtresse du village. Or, la tradition voulait qu’à la naissance du premier descendant mâle de chaque génération, son père, le chef du village, arrête de porter les armes et lègue l’antique épée à son fils qui n’en ferra usage qu’à partir de sa 37em année.
Or, le fils du chef à l’époque d’Asto’Ea était âgé d’une petite dizaine d’année de plus qu’elle. Et il se trouve que la jeune femme le provoqua en duel après une simple querelle d’adolescent. Et sortit victorieuse de ce duel hargneux et épuisant face à un adversaire en piteux état, à peine capable de tenir debout et encore moins capable de tenir son épée. En effet, l’arme était restée au sol après la fin du combat et la jeune femme, sentant l’arme l’appeller, s’en était saisie et était aller l’enfouir dans les bois, sous les racines de son arbres favoris.
La suite de sa vie se passa sans autre inconvénient de cette trempe jusqu’à ce qu’un siècle ait passé. La jeune Elfe se sentait mal dans son village ; les gens ne l’appréciait pas ... était-ce parce qu’elle avait été accusé du vol de l’arme du chef cent ans plus tôt ? Ou bien parce qu’elle rechignait à ne manger que du produit du sol ? Ou bien parce qu’il lui arrivait de passer presqu’un mois entier à l’écart, dans la forêt, seul ? Quoiqu’il en fut, la jeune femme décida de quitter son village et de se lancer à l’aventure, en vendant ses services au plus offrant s’il le fallait.
Elle s’en vint donc déterrer l’arme qui gisait sous l’arbre depuis un siècle entier et qui, pourtant semblait ne pas avoir sentit le temps faire sa triste besogne, et s’en alla vers l’inconnu. C’est ici que son histoire commence : vers l’inconnu.
(Je suis désolé pour la petite touche caricaturale du début, mais j’ai pas pu m’empêcher ... surtout que je ne doute même pas que mon histoire reprenne bien évidement au moins une bonne demi-douzaine des points cités ! )
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