[maison de Drizzt] Un Repas bien mérité & ...

RP non conforme au BG actuel

Ce Rp a été écrit à une époque ou le contexte de Miradelphia n'était pas le même qu'aujourd'hui. Il décrit des éléments d'univers, des personnages et/ou des évènements qui sont susceptibles d'avoir été modifiés par les refontes successives.
Nous le laissons à la disposition des lecteurs curieux. Vous pouvez y trouver de l'inspiration et quelques éléments à remanier selon votre bon plaisir, mais les BG actuels et le jeu récent priment sur son contenu.

En cas de doute, avant de réutiliser un élément ou un personnage, contactez le Staff.

Date estimée : Verimios 995:X

[Suite de Une Drow au combat! ]

Qui aurait cru que ce duel ce terminerait de cette façon ? Surtout pas les deux protagonistes et encore moins Drizzt qui n’était venu la que pour s’entrainer comme tout le monde sur le terrain poussiéreux d’entrainement. Un Drow l’avait interrompu car c’était le seul à ne pas l’avoir remarqué alors que tout ses frères avaient regardé la Drow comme un simple morceau de viande, qu’ils voulaient tous mettre dans leurs couches pour s’amuser pendant une nuit bien agité. Mais cette Drow n’était pas de cet idée la et elle n’en avait pas le caractère. Une fière Drow qui ne se laisserait surement jamais faire par les hommes … Ou pas.

En tout cas, à cet instant précis elle se trouvait en califourchon sur Drizzt, elle venait de l’embrasser avec passion, un baisser qu’avait apprécier le Cohorte mais il fut de courte durée car très vite elle se remit droite, toujours assise sur le ventre de son adversaire. Dans ses yeux, on pouvait y lire l’envie et le désire, le sang qu’elle venait de gouter, elle avait encore envie de s’en délecter. Comme pour la narguer, Drizzt se coupa le doigt pour faire couler ce liquide ci désiré, il se lécha sa plaie tout en regardant la belle assise sur lui. Elle se lécha les lèvres, montrant son appétit féroce et son envie irrésistible envers le sang de la personne qu’elle tenait entre ses jambes. Tout comme Drizzt, elle constata que la foule les regardait toujours, intéressés par la tournure du combat qui n’était pas à l’avantage de leur supérieur, enfin, suis les points de vue bien entendu. Mais le regard qu’adressèrent les deux adversaires à la foule en disait long, ils gênaient beaucoup et s’ils ne partaient pas, ils allaient avoir des problèmes. Ils comprirent le message en s’en allèrent par vague de deux ou trois, laissant quelques commentaires que ne comprit pas Lawënda, mais elle allait surement comprendre quelques heures plus tard. Finalement, la jeune femme se releva, laissant la possibilité à Drizzt de faire de même, elle lui offrit même une main qu’il accepta et il fut bien vite remit sur pied. Elle lui demanda se qu’il voulait dire lorsqu’il avait été coupé par la charmante vue de la poitrine de la Drow. Il réfléchit quelques instants pour finalement dire.

« Je voulais simplement dire que tu avais su gouter mon sang comme personne d’autre, les soldats que j’ai pu connaitre n’avaient aucunes finesses, aucuns sens du goût. Mais toi tu as su l’apprécier. »

Sans plus attendre, Lawënda attrapa la main de Drizzt en l’emmena vers l’écurie aménagé, la ou ce trouvait les cheveux, il y en avait cinq et dans ce groupe un sortait du lot, il était complètement noir et bien plus grand que tout les autres. A l’instant ou il l’avait vu, il avait comprit qu’il appartenait à Lawënda et effectivement c’était le cas, elle l’arrêta devant la bête puis se retourna, un jolie sourire dessiner sur le visage, elle avait l’intention de faire quelque chose mais le Cohorte n’en avait aucune idée mais il lui rendit son si jolie sourire. Elle raconta qu’elle venait juste d’arriver à la citée et donc qu’elle avait faim, pourquoi était elle donc allé s’entrainé au lieu d’aller se restaurer ? La question resta en supent dans son esprit car elle tenait au diner, pourquoi pas, il y avait une marmite de prête dans sa demeure, il ne restait plus qu’à allumer le feux et le tour était joué.

« Justement, j’ai déjà un repas de préparé chez moi et je ne pense pas avoir assez d’appétit pour tout manger. Nous pourrons discuter de ton voyage vu que tu viens tout juste d’arriver, mais il a dut être agréable vu l’état dans lequel tu es. »

Il l’a regarda de la tête au pied, elle était vraiment séduisant, bien plus que quelques minutes auparavant, il n’avait pas fait attention à son physique dans l’intégralité, préférant porter son attention sur ses dagues mortelles. Ce fut quand il la regarda dans les yeux que celle-ci s’approcha d’elle pour lui déposer un doux baiser aux coins des lèvres avant de ce reculer tout en coiffant ses cheveux, faisant simplement une queue de cheval. Finalement elle lui demanda si il y avait un endroit ou elle pourrait se rafraichir. Si ce qu’elle avait dit été vrai, elle avait du voyagé et n’avait surement pas eu le temps de prendre soin d’elle. Un petit sourire illumina son visage mais avant de répondre il s’approcha de Lawënda pour lui glisser ces quelques mots.

« Je suis l’un des rares soldats à avoir une salle d’eau dans ma demeure, à croire que ceux-ci sont des porcs. Tu pourras t’y détendre durant tout le temps que tu désir. »

Il repartit vers l’arrière et embrassa la belle Drow qui se tenait devant elle, lui aussi avait maintenant des envies, les quelques instants qu’il avait passé avec elle l’avait vraiment attiré. Elle avait son propre caractère, bien différent de celle des religieuses qui ne pensaient qu’à satisfaire leurs dieux, sa sœur avait essayé de lui trouvé quelqu’un mais les rencontres n’avaient pas étés concluantes, pas du tout même. Il chassa ces idées lorsqu’il se décolla de Lawënda car entre temps il avait fait glissé ses mains derrière le dos de la belle. Avec un sourire, il se retira pour aller caresser le cheval noir qu’il monta avec une certaine facilité, susurrent quelques mots à la bête car il n’était pas son cavalier. Il tendit la main vers Lawënda pour l’aider à monter et celle-ci s’exécuta avec plein de grâce. Drizzt prit la direction de sa demeure, au passage il adressa quelques signes à un cohorte qui arrivait. Ils avaient instaurés un langage de signes pour être plus silencieux et discret lors des mission. Drizzt demanda donc à son frère de récupérer ses affaires et de les rapporter chez lui un peu plus tard.

Le chemin ne fut pas long, dix minutes pas plus, la nuit n’allait pas tarder et Drizzt se souvint qu’il avait un repas à offrir à son frère. Heureusement qu’il avait préparé des repas pour un grand nombre de Drow, effectivement, la semaine précédentes, il avait chassé un serpent géants dans les Marais et le cuisiné fut un régale pour le cuisiner qui avait passé un bon moment. Maintenant ils arrivaient dans son quartiers, il descendit le premier et aida la belle à descendre, simplement par galanterie. Il attacha les sangles sur une clôture et invita Lawënda à rentrer chez lui. Il faisait plutôt bon à l’intérieur et une ambiance plutôt sombre y régnait bien qu’on pouvait bien y voir à l’intérieur. La demeure était en trois partie, la première, l’entrée était la plus grande, à son bout ce trouvait une sorte de lit, un tas de tissus épais et de coussins ou l’on pouvait dormir, un endroit extrêmement confortable et très grand, on pouvait y loger au moins cinq personnes. Il y avait aussi des tapis au sol, un grand confort pour un soldat qui n’était pas souvent chez lui et qui aimé rester nue chez lui et apprécier la sensation des tissus sur sa peau. Une table basse était au centre de la pièce. La deuxième pièce, à gauche n’avait pas de porte, de la table ou pouvait voir ce qu’il y avait à l’intérieur. Une grande salle d’eau, un grand bassin ou il y avait de l’eau, un luxe que s’était offert le Cohorte qui aimait prendre de long bains. Des servantes avaient posés des essences ainsi que des serviettes car lorsque les Cohortes n’étaient pas chez eux, des esclaves venaient s’occuper de leurs demeures. Pour finir, il y avait un pièce tout au fond, un porte en fermait l’accès, derrière s’y trouvait la cuisine, très spacieuse pour que son propriétaire puisse cuisiner à ses aises. Une marmite était dans le creux de la cheminée, du bois sec en dessous, prêt à être allumé pour faire réchauffer la nourriture qu’il y avait à l’intérieur.

« Voici mon humble demeure. Comme tu l’as constaté, tu as un bassin à ta disposition, tu peux y aller, je vais devoir te laisser une dizaines de minutes, je dois aller m’occuper de quelques chose avant. »

Il embrassa la belle pour aller directement à la cuisine allumer le feux pour que la préparation prenne le temps de réchauffer. Puis il partit en direction de la caserne qui n’était pas bien loin, il avait quelques ordres à donner.

Le temps une bien curieuse chose, parfois il passe lentement, les secondes sont éternels et l’on attend que le temps passe. D’autres fois le temps et si furtif que l’on aimerait pouvoir le stopper quelques instants, mais tout ceci est impossible et le temps défile selon les moments et les humeurs. Il paraîtrait que l’on serait plus enclin à voir défiler le temps rapidement quand on se sent bien, ou que l’on est heureux, et quand on s’ennuie ou que l’on est triste le temps nous laisse profiter de cette solitude plus longuement. Aujourd’hui elle avait cette impression que le sablier du temps s’était vidé en un seul instant, en compagnie de ce Drow, ce Cohorte aussi sombre qu’elle, elle avait pour la première fois depuis bien longtemps ressentit du bonheur en présence de quelqu’un d’autre que son ami de toujours Arthas. Son sourire illuminait son visage d’une gracieuse lumière, son regard malicieux lui donnait un petit côté charmeuse, mais rien ne troublait ou presque la droiture et la fermeté de cette jeune Drow. Elle avait tendu sa main, son bras raidi pointé le cohorte, il s’en empara et se releva. Il répondit gracieusement à sa question, il y apportait la réponse si simple soit-elle. Elle avait su goûter son sang comme personne d’autre, elle avait plus de classe que n’importe quels soldats.

Elle soupira légèrement et le pris par la main pour le traîner aux écuries précaires et vieillottes du camps d’entraînement, Drizzt l’avait suivit sans broncher, il semblait avoir repéré la monture de la jeune Drow. Lawënda l’observa un instant, elle l’avait mené à son destrier quand elle s’était retourné face à lui se sourire aux lèvres, il le lui avait gentiment rendu. Qui a dis que les Drow ne pouvaient pas être gentil et amicale? Elle se poserait sûrement pas cette question indéfiniment, elle avait déjà la réponse à vrai dire, tout ses peuples misérables qui avaient ruinés et profanés sa race, c’était eux les fautifs. Elle avait déclaré son désire de se rassasier après son voyage, lui commenta sur le fait qu’il avait dû être bon, c’était en partie le cas, elle sourit avant de répondre:

-Quoi ? Tu insinues que je ne suis pas assez amochée et sale après un si long voyage. Et bien détrompe toi, mais je te raconterais tout ceci au repas si tu n’y voix d’inconvénient.

Ces yeux étincelant si bestiale découvraient la jeune fille de la tête au pied, son regard semblait la déshabiller peu à peu qu’il avancé sur elle. Cette sensation étrange que l’on ressent quand un frisson parcoure le creux de votre dos, se sourire nié qui naquit sur votre visage en l’espace de quelques secondes, c’est éphémère et pourtant si agréable. Il lui avait proposé sa salle d’eau pour se rafraîchir et rien qu’à l’idée de prendre un bain la jeune Drow était toute émoustillé, cette joie infantile se lisait sur son visage comme dans un livre ouvert, mais elle n’en demeurait pas moins malicieuse et fourbe, un brin coquine sur les bords. Il s’approcha pour l’embrasser, un baiser qu’elle sut encore une fois apprécié, il avait la douceur et la fermeté, une double sensation très pimenté qui la faisait frémir. Les mains de Drizzt parcouraient son dos calmement, elle pouvait sentir ses désirs de rapprochement, l’envie de la serrer doucement contre lui. Mais le Cohorte était bien plus réservé et galant, il se détacha d’elle avec délicatesse, puis il grimpa sur la monture de Lawënda. Celle-ci épiait le moindre de ses mouvements, elle fut surprise de le voir susurrer des mots à sa bête, il lui tandis sa main et l’aida à monter derrière lui. Elle était monté avec toute sa finesse, son agilité et sa grâce, avant qu’il ne prenne la direction de sa demeure. Drizzt fit quelques signes à un confrère qui sembla comprendre ce message, la jeune Drow qu’elle était n’y prêta pas attention, elle ne voulait pas se mêler de ce qui ne la regardait pas, tout ce qu’elle désirer c’était de se détendre et de se rassasier.

La route qui menait de la base d’entraînement à la demeure de Drizzt n’était pas très long, dix minutes tout au plus. Il l’aida à descendre et l’invita à entrer. Là, il lui présenta les lieux, les yeux de la jeune fille étaient écarquillés devant tant de beauté, elle n’avait pas vu de demeure aussi confortable. Une immense entrée assez chaleureuse, un lit au sol du tissus soyeux et des coussins, un vrai petit nid douillé. Une table basse, une ambiance sombre mais où l’on y voyait plutôt claire, la salle d’eau s’ouvrait elle aussi sur l’entrée, il n’y avait pas de porte là non plus, la seule pièce qui semblait séparé par une porte n’était autre que la cuisine du Drow. Ce qui était une immense cuisine à tout vous dire, Lawënda put seulement l’entrevoir car Drizzt s’y précipita après l’avoir inviter à se détendre. Lui mit le feu à la cheminée pour que son repas cuise, et il partie en direction de la caserne. Elle eut juste le temps de lui lancer:

-Très bien je t’attend! Au passage ta maison est ravissante.

Le Cohorte avait filé, elle resta là au milieu des pièces spacieuses sans bouger, elle était immobile. Puis elle se dirigea vers quelques objet et tableau qui ornaient la demeure. Le bassin où l’eau tiède stagnait et d’où émanait des essences floral apaisante l’attirait plus que tout, elle laissa inconsciemment ses vêtement tomber sous ses pas. Elle était comme absorbé par ce lieux, ses cuirasses jonchait le sol et ses yeux pétillant ne voyait là que du bonheur. Elle déambulait dans la demeure complètement nue, elle entra progressivement dans l’eau tiède, fermant les yeux elle s’y enfonça pour s’immerger totalement. Sa chevelure lui tombant dans le dos, son visage clair et sa peau fine retrouvaient peu à peu leur classe naturel. Elle en profita pour nager un peu dans la longueur du bassin, puis elle se posa pour se détendre fermant les yeux. Drizzt ne tarderait plus à revenir maintenant et elle désirait plus que tout avoir une conversation avec ce charmant Drow. Personne ne lui avait été charmant, personne depuis que Arthas faisait la lois auprès de ses prétendants, un jeu qu’elle trouvait très amusant. Elle dégota une savonnette et se frotta avec afin d’ôter toute la crasse qui avait élu domicile sur elle, elle sentait bon et le fait de se sentir propre l’apaisait grandement. Elle sortit du bain entouré d’une serviette chaude, elle était resté assez longtemps pour se sentir bien mais en reprendrait bien un avec Drizzt, il n’était toujours pas revenue et il se faisait attendre.

En effet il avait du retard, l’odeur de la mixture qui mijotait dans la marmite se faisait sentir, une effluve appétissante. Elle se dirigea vers la cuisine toujours vêtu de sa seule serviette, la marmite sifflait, elle la retira du feu puis chercha des couverts. Elle fini par les trouver et mis la table pour deux dans le salon, sur la table basse. Elle se posa sur le matelas de coussin, elle s’y sentait si bien qu’elle finit par s’endormir en attendant le cohorte, pas qu’il mit une éternité mais qu’elle était très épuisé par son voyage et son entraînement, elle n’avait mit que quelques secondes à sombrer pour le pays des rêves.

Drizzt rigola de la réponse de Lawënda qui lui proposa de raconter son périple loin de chez eux une fois qu’ils seraient assis autour d’une table devant un bon repas, celui qui était dans la marmite et qui n’attendait que d’être réchauffé pour être dégusté par les deux personnes. Rien que la pensée du repas qu’ils allaient dégustés étés un vrai régale pour le jeune Drow qui savait ce que contenait la grosse marmite. Avec un petit sourire en coin, Drizzt répondit aux propos de la belle en face de lui.

« Je n’y vois aucun inconvénient, tu as du en voir de belles choses … »

S’en suivit leur petite promenade en cheval, celui de la Drow était assez grand et noir, un fière étalon qui avait du être difficile à dompter car il semblait bien sauvage, tout comme sa maîtresse qui n’aimait pas se faire marcher sur les pieds et qui revendiquait sa place. La petite ballade les menant vers la demeure du Cohorte fut assez rapide, ils n’avaient pas vraiment eu le temps de discuter ensemble et ils arrivèrent quelques heures avant le débuts de la soirée. Drizzt dit rentrer la charmante invité dans sa demeure, simplement décoré mais décoré selon les goûts pratiques du jeune homme. Une pièce principale contenant une table basse ainsi qu’une sorte de lit, celui-ci étant composé d’épais tissus ainsi que de coussins rembourrés qui donnaient envie de dormir rien qu’en les regardant. Dans une pièce à côté il y avait un point d’eau, un petit bassin plutôt, il n’y avait pas de porte car les huiles essentielles embaumaient les deux pièces. La troisième salle était quand à elle fermée, c’était la cuisine, un endroit qu’affectionnait tout particulièrement Drizzt, elle était aussi grande que la pièce principale et une cheminé était placé au milieu de la pièce, il n’y avait plus qu’à allumer le bois en dessous de la marmite et le repas allait chauffer à feux doux. Le Cohorte laissa la belle quelques instants pour aller mettre le feux en route, une petite heure et tout serait prêt. Il prépara les couverts, déposant deux grandes assiettes ainsi que deux couteux et deux cuillères pour le repas. Finalement il ressortit de la pièce pour prévenir Lawënda qu’elle pouvait aller se rafraichir le temps qu’il aille voir son frère pour lui souhaiter un bon voyage et qu’il réussisse sa mission. Lawënda en profita pour lui dire qu’elle trouvait la demeure ravissante, un sourire passa sur le visage de Drizzt qui en profita pour embrasser fougueusement la Drow avant de partir, laissant la belle seule, il avait confiance en elle, elle n’allait rien lui voler et d’après lui, il était sur d’elle et avait parfaitement confiance en cette parfaite inconnue.

C’est ainsi que le Cohorte sortit de sa demeure en fermant la porte derrière lui, il donna un sot d’eau au cheval noir qui était attaché à un morceau de bois. L’animal lui aussi devait bien être traité car il était l’ami de son invité. Malheureusement il n’avait pas de foin pour le nourrir mais il en demanderait aux cuisines, que quelqu’un en apporte chez lui. Il partit donc en direction des cuisines des soldats, en plein milieu de la caserne, il se dépêcha tout de même car même si Lawënda allait prendre un bain, elle n’allait pas y rester durant une éternité. Il arriva donc dans les cuisines, déjà quelques Drow s’activaient à préparer les repas pour les cohortes. Tout le monde l’accueillit avec un grand sourire, il faisait bon de voir le cuisinier dans les cuisines, surtout quand c’était lui qui avait chassait le repas, un serpent géant qu’il avait lui-même cuisiné pour ses frères et ses sœurs quelques jours plutôt. Il gouta les marmites les unes après les autres, à chaque fois il conseillait le cuisinier, lui proposant de rajouter quelques petites épices pour pimenter le tout. Finalement, Drizzt partit dans la salle principale ou les troupes allaient prendre leurs repas, dernier repas avant de partir pour une longue mission qui allait durer plusieurs semaines ci ça ce trouvait. L’humeur était plutôt bonne enfant et il pouvait constater que les soldats buvaient et riaient à gorge déployée. Le Cohorte fut accueillit à coup de grand de cri et d’applaudissement, leur cuisinier était enfin arrivé. On lui tendit un grand verre qui contenait de la bière, de la bière naine même ! Il remercia ses frères et ses sœurs d’armes, le dernier repas était signe de fête car chez les Cohortes, une mission était signe de mort, même chez les meilleurs, les missions étaient tellement dure qu’il y avait soit que des survivants … soit que des morts.

« Ou est mon frère ? »

Drizzt était plutôt pressé, une jeune femme l’attendait chez lui et on lui avait toujours appris à ne jamais faire attendre une femme, surtout quand elle était chez sois. D’un signe de main, on lui indiqua un coin de la salle, celle-ci était plutôt sombre et il y avait deux personnes d’après se qu’il pouvait voir. Biensure … Son frère était un draguer née, toujours en train de faire la cour aux femmes, mais la il était bien avancé dans ses investigations. Silencieusement, il se glissa vers eux, un petit sourire aux lèvres.

« Toujours en train de batifoler au lieu de faire la fête avec tes frères et tes sœurs d’armes mon chère frère. »

La Drow qui était en train d’embrasser le frère de Drizzt sursauta et regarda en direction de celui qui avait parlé, comprenant qu’il était le Cohorte aux lunettes rouges, elle se releva et s’en alla s’en plus tarder, elle devait maintenant savoir que les deux Drow étaient frères.

« Et toi tu es constamment en train de faire fuir mes conquêtes en nous surprenant. »

Tout deux riaient à bouche déployé, Drizzt aida son frère à se relever et tout deux allèrent trinquer, l’un lui expliqua sa mission et toutes les possibilités qu’il avait pour remplir sa mission. L’autre lui raconta sa rencontre sur le terrain d’entrainement et ce qui avait suivit.

« Ne la fait pas attendre mon frère dans ce cas ! Pour une fois que tu invites quelqu’un chez toi ! Ne la fait pas attendre ! Nous nous révérons dans quelques semaines, je te le promet. »

Ce fut donc dans une dernière empoignade qu’ils se quittèrent, mais juste avant de partir Drizzt monta sur un table au centre de la pièce, il voulait faire un discourt pour encourager les troupes. Il attrapa un second verre de bière et les tendit dans les airs.

« Mes frères ! Mes Sœurs ! Aujourd’hui est notre dernier jours ensemble et nous allons fêter ça ! J’ai été et je suis fière d’avoir vécu à vos côtés, partagé vos rires et vos peines ! Puissiez vous revenir en entier ! Qu’Uriz Vyn'Het' Namaz soit avec vous ! »

Une pluie d’exclamation et d’applaudissement ce fit entendre, tout le monde était prêt pour faire la fête à présent et Drizzt en profita pour s’éclipser, un tonneau de bière naine sous le bras, un petit accompagnement pour le repas, il avait bien une bouteille de sang dans sa cave personnelle, mais peu être que Lawënda apprécierait le goût de cet alcool assez spéciale et très agréable. Il n’aimait pas les nains, mais ce qu’ils faisaient été parfaitement réussis, leurs bières et leurs forgerons étaient vraiment bon. Il se dépêcha donc de rentrer chez lui, la nuit commencé déjà à tomber, il était presque l’heure de manger et Drizzt devait avouer qu’il commençait à avoir faim. Comme il l’avait demandé dans les cuisines, de la paille était installé prêt du cheval noir qui s’en délecté. Une petite caresse amicale et voila le Cohorte qui ouvrait la porte de sa demeure. Une agréable odeur emplie directement les narines du Drow qui du fermer ses yeux pour en déguster toutes les saveurs. Quand il rouvrit les yeux, il put constater que les vêtements de Lawënda étaient sur le sol, sans leur propriétaire. D’un regard intéressé, il scruta la pièce pour finalement poser ses yeux sur une Drow à moitié nue endormie sur son lit. Une simple serviette blanche recouvrait sa peau sombre, un vrai régale pour ses yeux, mais c’était plutôt dangereux de s’endormir dans la tanière d’un Drow, qui pouvait savoir ce qu’il allait pouvoir faire. Drizzt se contenta de se faire le plus discret possible, posant la bière sur la table tout en attrapant les vêtements de la belle endormit pour les ranger dans un coin de pièce. Il constata que la table était mise, il ne manquait plus qu’à mettre le ragout dans les assiettes. Il resta planté en face de la jeune Drow à la contempler, surement que ses yeux pouvaient refléter son désir ardent pour cette peau sombre qu’il appréciait temps. Il détacha son regard et à son tour il se déshabilla pour aller se purifier, il ne fit qu’un allé retour dans l’eau, il fit du bruit, juste assez pour réveiller tranquillement la belle Drow endormie. Il se sécha et attacha une serviette pour protéger ses parties. Il était donc à moitié nue, son torse parfaitement musclé était bien en vue, quelques cicatrices par ci par la mais rien de bien voyant. Nue pied il se dirigea dans la cuisine, au préalable il avait prit les assiettes qu’il remplit avec de revenir dans le salon ou à son tour il s’installa … aux côtés de Lawënda qui semblait toujours endormie.
Il approcha sa visage du sien un susurra à l’oreille de la belle.

« Réveil toi belle Lawënda, je suis de retour »

Une lame glissa sur le ventre de la belle, une fine ligne de sang fit son apparition. De ce fait, Drizzt en profita pour lécher la plaie pour se délecter du sang de Lawënda qui était à présent nue, il avait simplement eu à défaire la serviette, celle-ci était de par et d’autre de la Drow, il lui serait facile de la remettre.

Une jeune sombre, allongé paisiblement sur des tissus gracieux et délicats sous le doigt. Elle avait patienté, la fatigue elle ne l’avait pas sentit, elle devait vraiment être trop épuisé par son voyage, son entraînement et cette rencontre un peu spécial. Quand elle s’était installé sur ce lit étrangement moelleux elle ne se doutait pas un seul instant qu’elle sombrerait si vite dans le pays des songe, au contact des tissus sa peau gris et fine s’était plus, elle était imprégnée des essences relaxantes, elle se baignait dans un confort si rassurant, une sorte de cocon qui l’enveloppait peu à peu. Son sommeil si rapide soit-il survenu une n’en était pas moins profond, elle revoyait son enfance cette joie de vivre, sa rencontre avec Arthas et sa vie à ses côtés, son ami de toujours lui manquait terriblement. Tout ses paysages qui défilaient dans son esprit, elle se remémorait chaque détails, chaque parfum, la chaleur enivrante ou encore le souffle du vent qui caressait sa peau ou faisait danser sa chevelure tel des lames tranchantes qui fendent l’air. Elle tâtonna sans s’en rendre bien compte, elle agrippa un coussin et vint le caler sous sa tête. Un fin sourire de bien être naquit sur son petit minois.

Un si paisible moment de détente ne fût pas perturbé par le Cohorte, en effet elle ne l’avait pas entendu rentrer et encore moins se glisser dans la salle d’eau. Son sommeil était si lointain, un rêve qu’elle ne voulait quitter, bien que les bruits environnants étaient analysés par son cerveau elle ne les percevait pas concrètement. Drizzt était là et pourtant rien n’y faisait, elle sentit une présence auprès d’elle, le parfum frais des essences vint lui chatouiller les narines, une fraîcheur envahit son corps, un souffle sur sa peau, une voix masculine et douce chantait à son oreille mais elle était si lointaine comme un murmure éternel. Soudainement une chose glacial la troubla, sur son ventre une lame. Elle reconnaissait toujours cette sensation, sachant que c’était sûrement un coup du jeune homme, elle entre-ouvrit les yeux sans se faire remarquer. La demoiselle dans un geste vif et rapide, après avoir été lécher par le sombre, attrapa la lame à pleine main, la coinçant dans les plis de sa paume pour ne pas être blessé, ou le moins possible. Elle contra l’attaque du Cohorte, puis le renversa une fois de plus pour se retrouver en position de force sur le garçon. Allongé sur son adversaire, ses jambes de par et d’autre de son corps musclé, son expression faciale en disait long sur le mépris qu’elle éprouvait à cette instant, la lame appuyé sur la carotide de son ami. Elle lui fit part d’un sourire carnassier avant de déclarer:

-Ce n’est pas une façon très poétique, ni romantique de traiter une invitée. Qu’en dis-tu?

Elle aimait se contact violant et rapproché, que de contradiction dans son esprit de jolie perverse en fleur mais la chaleur de la peau de Drizzt sur sa poitrine et son ventre l’excitait plus encore. Le soulèvement de son torse au rythme de sa respiration calme et reposée, les battement de son cœur régulier, elle analysait chaque contact comme un radar, elle s’émoustillait et devenait chose au fur et à mesure qu’elle percevait tout ceci, néanmoins son caractère repris le dessus, avec plus de fermeté et de détermination. Elle lâcha la lame, ses lèvres s’approchèrent dangereusement de la nuque de son assaillant, elle le frôle doucement, l’effleure du bout de sa langue pour pimenté cette rencontre aux contactes très dénudés. Son regard malicieux, coquin et mielleux à la fois en rendrait plus d’un sans voix et perdu, mais pas Drizzt; lui semblait joueur et identique à sa personne sur ce point, une surprise pas très surprenante à vrai dire, mais très attirante. Elle mordilla doucement sa peau lisse et craquante, puis l’embrassa tendrement. Elle releva la tête, puis le buste en appuie sur ses deux mains chacune posait au dessus des épaules musclés du Cohorte, elle laissait son corps en évidence aux yeux de ce pervers qui avait détaché sa serviette dans son sommeil, un rictus se précipita sur son visage au même instant qu’elle citait cette parole:

-Profite bien de la vue mon cher, car il n’est pas sûr que tu puisse revoir ceci de ci-tôt. C’est vrai après tout tu me traite comme une chose, je ne suis pas sûr que tu mérites bien plus. De plus tu oses voler mon sang, cette liqueur si pur et douce, pimenté par un désir succulent, c’est un peu pathétique tu ne trouves pas? J’avais imaginé meilleures choses venant de toi, mais j’ai du me tromper.

Sur ces mots, elle s’empara de sa serviette et la passa autour d’elle, elle la noua et se leva avec grâce avant d’aller s’asseoir à la table. Elle attendit que son agresseur daigne la rejoindre, elle ne lui en voulait pas le moins du monde pour ce qu’il avait fait mais elle aimait à faire croire le contraire, peut-être pour le mettre mal à l’aise ou le déstabiliser, mais pour la jeune Drow tout ceci n’était que jeu. Un jeu dangereux auquel elle jouait, elle n’avait pas peur de se brûler, ni de se mouiller, non elle était là pour ça, puis après tout elle n’avait pas de contrainte ou d’obligation envers une autre personne. Elle regardait autour d’elle Drizzt avait servit les deux assiettes, le repas que celles-ci contenait était encore fumant, l’odeur suave qui en émanait lui mettait l’eau à la bouche, elle attendit qu’il vienne la rejoindre avant de commencer. Puis elle se décida à lui conter le récit de son voyage, elle commença doucement:

-Je devais te faire part de mon périple il me semble? Elle lui lança un regard taquin. Je suis partit de chez moi il y a trois semaine, chez moi c’est dans les profondeur de la forêt qui peuple les montagnes environnantes, je suis partie avec mon ami d’enfance Arthas. On a le même âge et la même vocation, servir et protéger le roi. On a fait bon voyage, jusqu’à une route ou plutôt un chemin, là on est tombé dans une sorte d’embuscade de voleurs et autres vipères. On a décidé de se séparer pour les semer, à partir de là ou a tout deux pris à travers la forêt en sens opposé. Je suis arrivée dans une ville humaine peu accueillante, j’ai trouvé une auberge où un Drow aidait à l’intendance, celui-là ne se prenait pas pour de la merde, et une Drow fit son entrée je l’ai invité à ma table. L’autre qui servait les humains, se crachoir me répugnait et je ne pris qu’un repas là-bas avant de me sauver et de reprendre ma route.

Depuis je ne me suis pas arrêté, après ce furtif arrêt à Diantra, je fusais à travers les plaines, puis la forêt d’Aduram, après quoi les terres stériles et enfin le puy en trois semaines. Je penses que Klendara mon étalon a besoin de repos, il l’a bien mérité. Et je suis arrivée au Puy dans l’espoir de retrouver Arthas, mais il n’est pas encore là, je n’ai pas de nouvelle et je dois avouer que je m’inquiète un peu pour lui. Je me suis entraîné en arrivant car je ne savais pas vraiment où aller et je savais qu’Arthas viendrait me chercher là en premier si il débarquait, mais ce ne fût pas le cas. Voilà, donc j’attend toujours la venue de mon ami, mon voyage ne m’abîma pas trop hors mit la fatigue. Elle laissa échapper un petit rire amicale et doux avant de reprendre: L’on pourrait peut-être passer à table, fin penser à se rassasier, je n’ai pas envie de manger froid et je ne pense pas que toi aussi.

Lawënda s’empara de ses couvert et commença à déguster le plat, elle porta une boucher à ses lèvres, puis l’engouffra avec féminité et propreté. Là une effusion de saveurs vint la chambouler, tant de goût, de mystère et de plaisir à déguster se plat. Elle n’avait aucune idée de ce que s’était mais ses yeux écarquillaient en disaient long sur ce qu’elle pensait de son repas. Elle mâchait calmement afin de découvrir chaque saveur aussi subtile soit-elle elle devait se délecter d’un tel repas, et c’est ce qu’elle fit. Elle profita de sa boucher, se lécha les lèvres après l’avoir avalé, le silence était de mise, mais sa curiosité bien trop grande, elle nez put s’empêcher de l’interroger:

-Qu’est ce? Qu’as-tu mis la dedans pour qu’il y ait autant de saveur? Je croix que tu es le meilleur cuisinier que je connaisse. Tiens pourrais-tu me servir un verre? Et que dirais-tu d’un bon petit bain après ce merveilleux repas?

La Jeune fille laissa ses questions en suspens dans l’air en convoitant les réponses de son hôte.

Le sang qui s’échappait de la fine ouverture du ventre de la Drow procura un plaisir malsain, son goût était tellement agréable pour le Drow que ça en devenait jouissif bien qu’il n’y ait qu’une petite quantité de ce liquide rouge. L’entaille était superficielle et ne tarderait pas à se refermer pour le plus grand malheur de celui que s’en délectait. De plus, Lawënda n’allait pas tarder à se réveiller, une légère incision au niveau de son ventre aller surement la réveiller, elle qui s’était endormie dans la demeure d’un Drow, n’avait elle pas peur des intentions de celui qui l’avait mené en pareil endroit ? Il pouvait bien cacher son jeux pour profiter d’elle et même pire. Le fait de boire le sang de l’endormie était un viole, oui, il violait le sang et l’identité de la personne, cela pourrait choquer des Humains ou même des Elfes, mais le viole avait différents aspects chez les Drow. Le sang n’avait pas la même symbolique chez les races, elle était bien spéciale chez les Drow et ils aimaient le boire, un plaisir malsain et gore que les Humains ainsi que les Elfes méprisaient au plus haut point. Mais finalement il n’en avait rien à faire, il se complaisait en cette situation bien qu’il s’attendait à une réaction négative de la jeune femme. Et elle ne tarda pas à riposter, celle-ci ouvrit à moitié ses yeux pour constater que Drizzt s’emparer de son sang, sa réaction fut rapide et le Cohorte ce laissa faire. Elle empoigna la fine lame que tenait son sois disant agresseur, d’un regard expert, il put constater que du sang coulait, malheureusement il ne pourrait s’en délecter car il se retrouva bien vite sur le dos, calé entre deux coussins, la jeune Drow sur lui, ses jambes de part et d’autre du corps de Drizzt, celui-ci ne pouvait plus se relever, il pouvait maintenant juste relever son torse mais il n’en fit rien. La lame vint se placer sous la carotide du Cohorte qui déglutit difficilement, le visage de la femme sur lui était vraiment méprisant, elle n’avait pas du tout apprécier ce pseudo viole. Elle expliqua le fond de sa pensée avec un sourire qui aurait put faire frémir les plu grands guerriers. Effectivement, ce n’était pas des manières de traiter un invité, elle avait parfaitement raison.

« Ta mère ne ta jamais apprit à ne pas t’endormir dans la demeure d’un Drow ? De surcroit à moitié nue ? »

Un sourire apparu sur le visage du Drow, un sourire ce voulant malsain et démoniaque même ci ça n’allait pas vraiment à Drizzt qui avait plutôt un visage amicale. De plus, il avait tout d’une personne inoffensive, son visage était plutôt celui de quelqu’un a qui on pouvait faire confiance et non à quelqu’un à craindre, il était plutôt petit par rapport aux autres Drow, pour preuve, il pouvait sentir tout le corps de Lawënda sur le sien et ils faisaient à peu prêt la même taille. Le contact avec sa peau sombre et chaude était des plus plaisante, sa généreuse et accueillante poitrine contre son torse musclé, une sensation des plus plaisante qu’appréciait à sa juste valeur le Cohorte, un petit sourire de satisfaction avait remplacé le malsain. La lame tomba sur les tissus, Drizzt en profita pour l’éloigner un peu et il l’a jeta en direction de la table basse, elle se planta carrément sur cette ci belle table en bois, c’était … dommage mais personne ne ferait attention à cette petite entaille. Mais pas le temps de s’occuper de cette table sans vie alors que le visage de Lawënda s’approchait un peu trop de la nuque de Drizzt. Le bout de la langue vint caresse la peau nue et des frissons de surprises mêlé à de l’excitation apparurent. De plus, les cheveux de la belle caressaient le torse de fière Drow se qui pimentait encore plus les sensations déjà bien présentes. Pendant ce temps, les doigts du Drow en profitait pour se faufiler dans le dos de la belle, simplement pour lui adresser quelques caresses, ses doigts d’archers caressèrent cette peau tendre en lisse comme ci c’était une flèche. Drizzt sentit des dents, elle me mordait à présent mais très vite cette sensation disparue pour faire place à des lèvres chaudes et pulpeuses. Finalement elle se redressa, pour prendre la parole tout en regardant le Cohorte mais il savait qu’elle lui laissait délibérément la possibilité de regarder le corps nue de la belle. Il ne s’y attarda pas longtemps, ne voulant pas plus l’offenser en la traitant de femme objet. Les propos furent plutôt choquants mais ils passèrent rapidement dans l’esprit du Drow qui riposta presque instantanément.

« Surement … Mais comment résister à pareille situation ? Une belle Drow endormie … Qu’aurais tu fais si tu avais eu un Drow endormit en face de toi et qu’il soit à ton goût ? »

Voila qui était dit. Drizzt n’était pas du genre à se lamenter sur ses actions, il les assumaient complètements et aimait retourner les situations, bien qu’il était assez difficile de le faire avec le caractère de Lawënda qui était plutôt bien trempé. Sans nul autre procès, Lawënda se releva, attrapant au passage sa serviette pour la remettre à sa place initiale, celle qui couvre toute les parties de la jeune femme, les parties temps convoitées par les hommes. Drizzt la regarda faire, finalement elle alla s’assoir au niveau de la table basse, apparemment elle avait très faim, il resta la quelques secondes à la contempler, elle et sa chevelure blanche, quel régale pour ses yeux blancs aux teintes colorées. Finalement il se leva à son tour pour aller s’assoir en face de son invitée, la table n’était pas bien grande mais il put quand même s’installer confortablement. Glissant ses pieds sous la petites tables. Seul son visage et son torse étaient visibles. De la ou était Lawënda, on pourrait croire qu’il était parfaitement nue mais ce n’était pas le cas. Il s’installa confortablement car la Drow avait bien l’intention de lui raconter son épopée avant leur rencontre. Distrait, un plongea un de ses doigts dans sa gamelle pour ensuite porter les saveurs à sa bouche. Une explosion de saveur déferla dans le palais du jeune homme qui ferma une demie seconde les yeux pour profita de son repas. Finalement, les yeux de goules donnaient vraiment un effets piquants et fruités à la sauce, non mieux, ils sublimaient les saveurs de la sauce. Il adorait sa nouvelle découverte. Mais il plaça ces informations dans un coin de son cerveau pour écouter les épopées de la Drow qui se tenaient en face d’elle. Ainsi donc elle étaient allé en pays Humain … Et elle n’avait pas été attaqué … De plus elle avait rencontré des Drow las bas. Les Humains étaient vraiment inconscients, laisser des Drow en liberté dans leurs contrées, ils allaient amèrement le regretter dans peu de temps car la guerre n’allait pas tarder, déjà des missions contre leurs ennemis jurés les Elfes avaient commencés, et ce n’était qu’un début. Drizzt écoutait Lawënda parler, sans dire mots, elle avait était séparé de son amis et elle était inquiète. Au fond de lui, Drizzt ce demandait pourquoi elle l’était, ce sentiment était pour les faibles, si elle avait confiance en son ami, elle devait simplement l’attendre sans avoir peur de son état, mais il garda tout ça pour lui.
Elle termina par un petit rire tout en demandant de passer à table, il l’invita donc à commencer.

« Ton ami … Arthas, ne devrait pas tarder, surement que son chemin a était plus long que le tien … Il faut simplement lui faire confiance et l’attendre calmement. Effectivement, j’ai moi aussi faim, mais je te laisse commencer. »

Lawënda n’attendit pas ses restes, elle plongea sa cuillère dans son ragoût pour la porter finalement à ses lèvres sous les yeux intrigués et interrogateurs de Drizzt qui se demandait comment elle allait réagir face à sa cuisine. Un sourire ce dessina sur les lèvres du Cohorte quand la belle écarquilla les yeux de stupeur, elle ne devait pas s’attendre à pareilles saveurs, même lui ne s’y était pas attendu et il était assez déçu de savoir que les goules étaient si rare et qu’elles n’avaient que deux yeux, ce qui faisait que très peu de poudre au finale. Ces créature étaient repoussantes par leurs laideurs mais étaient apetissent par leurs goûts. Lawënda, un fois fini de mâcher et de déguster ne put se retenir de poser des questions, le cuisinier s’y attendait, tout le monde lui demandait ce qu’il avait préparé, il l’a fit languir quelques temps, juste assez pour déguster à son tour son plat, il attrapa sa cuillère, la plongea dans le ragout et finalement la porta à ses lèvres qu’il ouvrit, plein d’envie. Tout comme Lawënda, une explosion de saveur enivra le Drow, à la fois sucré et salé, à la fois doux et fort, ce ragoût était parfait, sublime, un plat qu’il referait lors de grandes occasions car les ingrédients étaient plutôt rare mais ainsi préparé tellement bon. Avec un sourire que Drizzt servit de la bière à Lawënda, il attrapa son verre tout en ouvrant le tonneau, il plongea le verre, une sensation de picotement se fit sur la main de Drizzt, oui, la bière était une boisson avec des bulles et celle-ci était succulente. Il rendit le verre à Lawënda avant de ce servir lui-même.

« De la bière naine, tu ne dois pas connaître je suppose. Pour ce qui est de notre repas, c’est un mélange que j’ai concocté hier, je peux simplement te dire qu’il y a du Rokvenha coupé en petit cube, le reste est plutôt … enfin, je ne préfère rien te dire. »

La proposition de Lawënda était plutôt alléchante il devait l’avouer … Prendre un bain ensemble … Mais comme elle l’avait si bien dit, peu être était ce la dernière fois qu’il l’avait vu complètement nue.
Avec un rire taquin il répondit.

« Tu ne m’avais pas dit que ce serait certainement la dernière fois que je te verrais ainsi ? Mais je dois avouer qu’un bain serait très agréable après notre repas. »

Il finit par boire dans son verre, cette bière était tout bonnement délicieuse, mais malheureusement, il en avait abusé avec son frère quelques minutes auparavant et il commençait à sentir sa tête tourner sous les effets de cet alcool.

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