Petite torture d'elfes noirs (ames sensibles dehors Fini)

[HRP : Je précise encore une fois que pour ce sujet je joue le rôle du Conseiller du roi et pas le roi lui-même. Etant donné qu'il va arriver, il prendra ma place.
Encore une chose, si jamais vous trouvez (les modos ou les torturés que je donne un peu trop de détails, dites le je réduirais mon sadisme ^^)]

Le conseiller entra lentement dans la salle embaumée par l'odeur du sang ranci et de la chair moisie. Son bâton claquait sur le sol avec un son mauvais, tout comme son sourire sinistre, étiré d'une oreille à l'autre. Ses yeux oscillaient d'excitation dans leurs orbites, se posant sur tous les outils. Sur ses talons, un prêtre le suivait portant une lourde malette noire cliquetant sous le choc des fioles l'une contre l'autre.
Il avisa l'elfe noire attaché sur un siège de torture. Un simple siège de bois, mais c'était suffisant pour faire monter l'admiration de l'homme courbé et dégarni sur la tête. Il passa en revue tous les instruments pendus sur les murs.

"Aucun n'est digne de mes techniques. Heureusement que j'ai toujours les miens sous la main."

Il agita une main et un établi entier se matérialisa devant le siège de l'elfe noir. A côté, un cylindre de bois était fixé à deux pieds gros comme des poings.
Il se tourna alors enfin vers sa prisonnière.

"Vous voyez, quand je commencerais par ceci..."
Il montra une petite griffe en métal
"... je n'aurais pas confiance en vous. Quand je me servirais de cet instrument..."
Il posa la griffe et attrapa un poignard effilé se terminant par un bout plat, qu'il caressa tendrement du bout du doigt.
"... je vous croirais presque. Et enfin lorsque j'arriverais à ceci..."
Une main effilé désigna le chevalet de bois, garni de piques à certains endroits.
"... nous serons les meilleurs amis du monde et je te ferais une confiance aveugle. Cependant, je n'aime pas ne pas faire confiance aux personnes, donc nous allons sauter la première étape. Entrons directement dans le vif du sujet."

Il fit un signe au prêtre qui ouvrit la valise et aligna une série de potions sur l'établi qui était apparu par magie, à côté des outils du conseiller. Baladant un doigt squelettique par dessus, il s'arrêta finalement sur une au contenu vert clair et ôta le bouchon. Une odeur amère s'échappa alors, imbibant les narines de l'homme avec une délectation non dissimulée.

"Quoique j'ai comme envie de commencer par la première étape. Je suis de bonne humeur. Cependant le prêtre ici présent est chargé de te garder en vie, malheureusement pour toi."

Il trempa la griffe dans le liquide vert et la passa sur l'avant-bras de Frida, partant du pli du coude vers le poignet. L'acide lui coula et perça ses veines, ruisselant sur la peau et la marbrant de brûlures au troisième degré. Les cris résonnaient comme des chants de grâce pour le conseiller qui faisait des allée-retours le long du bras, tel un enfant s'amusant à dessiner sur le sable avec un bâton de bois.

"Alors aurais-tu quelque chose à me dire ?"

Quand le conseiller entra dans la salle, Frida le regarda avec haine, elle savait se qu'il allai faire et d'après le maitre d'arme il n'y allait pas de main mort. Il caressa ses objet de torture comme si il les aimait plus que tout, il lui dit la façon dont elle sera torturer, ce qui ne lui plaisait gère, il prit enfin une griffe qu'il prempa dans une fiole remplie d'un liquide verdâtre, c'était un acide très puissant. Il lui planta dans le bras et lui entailla profondément pour que l'acide puisse agire sur tout ses tissus organique provoquant une bulure du troisème degré. Frida hurlait de douleur, les humains disait que les elfe noir était des monstre, mais eux n'utilisait pas ce genre de poison a sa connaissance, il utilisait uniquement des arme blanche. Elle respirait avec difficulter, elle transpirait et ne santait que la douleur provoquer par l'acide du conseiller provoquer par le poison.

"Alors aurais-tu quelque chose à me dire ?"

Demanda le conseillier avec un large sourir, Frida avait deja très mal et savait que sa n'allait qu'empiré si elle refusait de parler, mais elle devait etre digne de son titre de danseuse de lame, e, reponce elle cracha sur le visage du conseiller.

L'elfe noire n'avait pas l'air décidé à parler. Elle lui cracha au visage plutot que de répondre.

"Puisque tu insites, je ne vais pas tarder avec cet instrument, il est d'un mortel ennui. Continuons à un rythme plus rapide vu que tu as l'air d'apprécier cet instant magique."

Matador attrapa le couteau au bout plat. Il fit apparaitre une boule de feu dans sa main et y plongea la lame en plein coeur. Le métal ne tarda pas à rougeoyer de fureur.

"Tu vas aimer cela, je le sens. Saigner à vif en cutérisant aussitôt. Bientôt une odeur de chair brulée va s'élever. Un véritable délice gustatif."

Le conseiller attrapa un doigt de Frida et plongea le poignard, chauffé à blanc sous l'ongle. Un léger chuintement s'éleva, tout de suite suivi d'une odeur de chair calcinée. D'un mouvement du poignet, il fit sauter l'ongle, arrachant un délicieux cri de douleur à sa prisonnière.

"Toujours muette ma chère ?"

Il s'apprêta à replonger le couteau sous un autre doigt

Le conseiller sortie un long couteau qu'il plongea dans une boule de feu jusqu'a se que celui-ci soit chauffer a blanc, il le plongea sous l'ongle et arracha un crie a Frida.

"Je ne parlerai jamais, même si vous l'envoyer dans l'acide, même si vous bruler ma chaire, plus vous me torturez moins je parlerai."

Ce quelle ne disait pas c'est que son pouvoir de sorcière était lié étrangement a sa douleur, Le fait qu'elle pleure des larme de sang n'est jamais bon signe pour son adversère, et plus le conseiller la torturait plus il la randait puissante.

Frida regarda le conseiller, il lui souriait, elle ne voyait en lui qu'un serpent vicieux qui aimait joué les prédateur et faire souffrire ses proies, elle se savait prisonière, quand celuicit lui dit :

"Mais je pense que nous allons continuer à apprendre a nous connaître n'est ce pas? je te reserve la suite pour quand nous serrons plus intimes."

Elle le regarda comme une panthère regardarait sa proie.

"Guardez votre venin de serpent vicieux pour vous, j'ai dit que je ne parlerait pas alors je ne parlerai jamais."

Le conseiller sourit et lui appliquasur sa rétine un long couteau chauffer a blanc, en consecance elle perdit son oeil, le conseiller remit la lame dans la boule de feu.

"Parlera tu ?"

Elle avait fermer les yeux mais, elle le regarda, lui souriait et même les yeux fermer elle voyait se sourir de serpent, elle lui cracha au visage, alors le conseiller arreta de sourir, il commença a passer au stade superieur avec un sourire de réptile.

Se faire cracher au visage, il faut bien admettre qu'il s'agit là d'un manque de respect probant envers la personne visée. Et Matador n'était pas d'humeur à se laisser manquer de respect par une sale elfe noire. Le sourire qui avait jusuque là éclairé son visage s'éffaça soudain. Les choses allaient vites changées. Il ne se laisserait pas traiter de la sort. Un sourire emplit de sadisme réaparu sur son visage de serpent. Sans dire un mot, il prit du fil et une aiguille sur l'établi. et s'approcha de Frida.

Il me semblait t'avoir dit que j'aimais tes yeux... Pourquoi les gardes tu fermés?

Puis, il ouvrit la paupière de l'oeuil qu'il venait de brûler, et la cousu à l'arcade. Il y avait maintenant un liquide Jaunâtre et visqueux qui s'écoulait de se qui avait été un oeuil et Matador regardait ce spectacle avec une délectation particulière. Qu'est-ce qu'il pouvait aimer se genre de moments. Ou tout est entre ses mains, ou il à la vie d'une personnes en tre les mains. un jour se serait le roi qui se trouverait à la place de l'Elfes noire, et ce jour là, serait le plus beau de sa vie.

Voilà qui est mieux tu ne trouves pas? Maintenant nous allons faire plus profondément connaissance si tu veux bien...

Il se trourna vers l'établi, et resta un instant dubitatif devant le choix d'instruments qui étaient à sa disposition... Que faire... Sa main se dirigea vers une grosse tenaille. Il la prit et la fit jouer un peut entre ses doigts. puis il se retourna vers Frida. Il dirigea vers elle la pince, mais se ravisa. Il reprit du fil et l'aiguille, et cousu l'autre paupière. Comme cela elle ne pourait rien louper du spectacle...

Je ne voudrais surtout pas que tu loupes ça!

Puis il reprit la grosse tenaille et l'approcha de la bouche de Frida. Il l'obligea à ouvrire la bouche et attrapa une dent avec la tenaille. Il tourna d'un coup sec et arracha la dent.

La douleur est encore suportable... Si tu en doutes, attend de voir quand celle là ( Il arracha une nouvelle dent) sera partie aussi.

Il se recula, tout en aillant posé la tenait sur une autre dent, prêt à renouveller l'opération.

Alors? Toujours aussi muette?

Frida sérait les dents comme elle pouvait, elle n'avait jamais vu un homme aussi vicieux et sournoix, il était pire, bien pire que le pire elfe noir qu'il est donné d'exister, il lui avait coudsu les yeux pour les garder ouvers, vercer de l'acide sur les bras, creuver un oeil, et maintenant il lui arrachait les dents une par une.

"Alors toujours aussi muette?"

Frida fit signe qu'elle ne parlera pas, elle n'en avait pas l'intention, et ne compait pas parler, le conseiler continua donc sa torture en souriant, après une bone minute Frisa avait la bouche en sang, le conseiller reparti vers sa boute a outil et decida d'utiliser apparament les grands moyens.

Matador ne voyait plus rien avec tout ce sang dans la bouche de cette sale elfe noire. Et avait du sang plein la bouche et cela empêchait matador de voir se qu'il faisait. Il sourit donc, car il venait d'avoir une nouvelle idée. il se dirigea vers l'établi, et chercha quelques secondes. Il prit enfn un petit flacon d'un liquide vert. il le leva dans la lumière d'une torche et le eu un petit rire satisfait.

Je crois qu'il est temps d'arrêter se saingement ma chère.

il se dirigea vers frida et et lui montra le falcon.

Ceci est un acide très puissant. Plus puissant que celui qui tu as eu surle bras. je vais le mettre dans les trous que tes dents ont laissées dérrière elles. Comme cela ta peau sera brûlée et le sang cessera de couler. la douleur risque d'être très violent mais elle ne durera pas longtemps.

il verssa alors trois goutes d'acides dans chaque trous, alors qu'une seule aurait largement suffit. Elargissant les plaies qui se faisait béantes. Il regarda les trous grossir et devenir plus rouge. le sang cessa de couler mais les trous se faisait de plus en plus profond. puis, il retourna vers son étbli. il voulait faire quelqe chose de simple cett fois-ci. il demanda qu'on lui fasse boullir de l'eau, et quand cela fut fait, il remplit une grand bassine avec l'eau qui faisait encore de bulles tellement elle était brulante. Il la déposa juste devant Frida et la força à mettre les pieds dans l'eau brûlante. Regardant avec une extrême jouissance les cloque apparaître sur les pieds et les chevilles de l'Elfe. Puis, sans lui laisser le temps de parler, Il attrapa le chaise sur la quelle elle était assis et attachée, et la fit basculer en avant plongeant ainsi le visage de la femme elfe dans l'eau brûlante. Quand il la fit sortir de l'eau, il regarda son visage défiguré par les cloques, et son oeuil crevé.

Sois sur que je ne reculerai devant rien pour te faire parler. Si tu parles mainteant je te promet une mort rapide et sans douleur. il ne tient qu'à toi de choisir ta mort.

Il se recula et ajouta avec un sourire sadique.

Je pense que nous somme vraiment très intime maintenant, tu ne trouves pas? Nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses...

"Tu as raison, il est temps pour moi de partire."

Sous ces mots le conseiller recula, elle prononça péniblement un incantation.

-Mot de l'ombre: Transfère et condition.

Un garde hurla, il se trouvait a la place de l'elfe noir avec toute la torture subit, il avait les dents arracher les bras en sang, les dents creuse, le visage avec des cloque, et dans l'ombre se trouvait Frida, raillonante, comme si la torture n'avait jamais été.

-Dommage de s'attaquer a une sorcière sans savoir la source de sont pouvoir, et puis plus tu ma torturer plus tu ma donner de la puissance, sur ceux je te dit adieu.

Les gardes foncèrent sur elle et elle disparut dans l'ombre, le conseiller regarda le garde qui avait subit les sorts de la sorcière et qui demandait de l'aide, puis tout s'affaça dans une brume noir, le garde allait de nouveau bien, les autres le détachèrent et la fuite de Frida fut signaler, mais où était t'elle passé?