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 Aaran De Sephren [Chevalier PNJ]

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Aaran De Sephren
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Aaran De Sephren


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MessageSujet: Aaran De Sephren [Chevalier PNJ]   Aaran De Sephren [Chevalier PNJ] I_icon_minitimeSam 25 Oct 2008 - 16:03

Nom/Prénom : Aaran De Sephren
Âge : 19 ans
Sexe : Masculin
Race : Humaine
Particularité : Dispose d'un regard teinté azure. Il est le frère légitime d'Ashenie De Sephren, et par conséquent fils du duc de Langehack. Au service de son propre père.

Alignement : Compagnie de la lumière
Métier :Chevalier, fils de duc.
Classe d'arme : Corps à corps / Défensif.

Équipement : L'homme, dans sa parure de bataille, était divinement étincelant, et rayonnait d'une grande splendeur, appuyant sa notoriété. La richesse du duc aidant, l'armure était coulée dans de l'or, qui s'assemblait à l'acier solide, et à l'argent. Elle le recouvrait de la tête au pied, commençant par une bourguignotte dorée, sur laquelle était gravé la représentation du visage d'Arcam. Un hausse-col venait recouvrir son cou, passant sous les plaques, pour éviter les lames trop aiguisées, et les flèches trop bien pointées. Une cuirasse d'or enveloppait son torse, et laissait apparaître les motifs fantaisistes de dragons vainqueurs dans toutes leurs splendeur, sous une pluie d'étoile. Des spalières dorées s'élevaient en quelques pointes, parfois arrondies, sur les épaules de l'homme. Les domaines adjacents étaient couverts d'épaisses brassières de bronze, sculptées et dépeignant les artéfacts d'Arcarm. Les coudes héritaient, eux, de cubitières dorées, et pointues, en guise de protection, devançant d'épais gantelets d'or, en cascades, et sont la pointe semblait aiguisée. Sur sa taille trônait un ceinturon laissant un pan de tissu recouvrir son entrejambe, voletant jusqu'à la moitié de ses cuisses. De lourdes jambières ornées d'or ornaient ses jambes, et laissaient place à de grandes botte du même métal, séparé par des genouillères rondes.
Cependant, l'amure pesant sur les épaules, certes musclée, du jeune homme, il ne la revêtissait pas de tout temps. Ainsi, était il doté d'une parure aux allures bleutées, raffinées et travaillée. Constituée d'une veste teintée d'un bleu prussien, celle-ci tombait plus bas que ses reins, et renfermait un chemise d'étoffe noire, tendis que ses bas étaient tissé avec une soie bleutée et douce.
A son ceinturon, trônait un fourreau, refermant une épée aiguisée. Son pommeau noir de jais transparaissait, et elle était incrustée diverses pierres noirs, donnant un aspect noble à l'arme. Il arrivait qu'elle fut remplacée par une rapière, où arme d'escrime plus aiguisée. Sur son dos, ou son bras selon les circonstances, était accroché un écu aux reliures d'or, qui, en son centre abritait un miroir destiné à aveugler, autour duquel gravitaient les chimères indescriptibles du subconscient. À l'opposé de la première épée, se dessinait une seconde arme, identique, à l'exception du pommeau, immaculée, où trônaient diverses perles nacrées des océans. Il avait pour habitude inévitable de cacher une dague, dans sa botte ou près de sa première épée, suivant les cas. Une morgenstern en or était accrochée, de temps à autre, près de la seconde épée.

Description physique : D'une carrure importante, l'homme déployait une forte stature, agencée par une musculature développée. Son visage laissait apparaître une mâchoire fine, amenant sur un menton rond. Au centre de son visage, son nez pointait légèrement le ciel, et surplombait deux pétales de rose, dessinant ses lèvres douces. La gente féminine qui eut, dans un excès de passion, atteint les étoiles en sa compagnie, témoigneraient de la simple tendresse de ses lèvres, de la texture soyeuse de sa chevelure blonde, et de la douceur de son grain de peau. Son visage lissait laissait en emphase ses yeux azures, tendres, profonds et émotifs, qui, emprunt de cet océan d'idéal, exprimaient ses émotions d'un simple regard. Son corps présentait des aléas musculaires intenses, témoignant d'un entrainement régulier et dur. Ses muscles saillants paraissaient sur ses bras gonflés, et sur tout son torse digne des plus grandes statues. Ses jambes présentaient également ces mollets gonflés, et ses cuisses musclées annonçait le reste.

Description mentale : Le caractère de l'homme est déterminé par la quête d'absolu, la recherche de l'aventure, et de l'exploit, mais aussi de l'aide du prochain pour la renommée et la semence du bien à son alentour. Formé des son plus jeune âge au maniement des armes, et y présentant des aptitudes certaines, il affiche un caractère protecteur et décidé face à sa sœur, considéré comme un joyau inestimable dont la mort s'est éprise. Amateur de conquêtes, tournois, et renommée en tout genre, il impressionne par son jeune âge, et son sens de la débrouillardise. L'éloquence, comme tout chevalier qui se respecte, fait parti de ses nombreuses qualités. L'homme aspire à une perfection idéal, et partage par certains liens étroits, les même idéaux que sa sœur, cependant moins naïfs. La main tendue vers l'autre, il ne rechigne pas à se laisser dominer d'une pointe d'égocentrisme, bien qu'il soit contraint à l'aide et la protection dévorante du vieillard, de la veuve et de l'orphelin, par son statut de noblesse. Le caractère militaire forgé, il aspire à des ambitions politiques...
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MessageSujet: Re: Aaran De Sephren [Chevalier PNJ]   Aaran De Sephren [Chevalier PNJ] I_icon_minitimeSam 25 Oct 2008 - 16:04

Histoire : Un long ciel azureux s'épanchait sur la vie d'un bambin, juste né, sous les astres favorables. Car en effet, la virilité avait prôné un premier enfant masculin, et l'avait recueillit en son sein. Les signes annonciateur d'une fatalité honorable étaient pressentis, et l'enfant était béni, à même le berceau. Sa tendre mère, encore sulfureuse, prenait soin de lui, tant qu'elle pu, dans une adoration qui dépassait l'entendement maternel. Et l'enfant évoluait, rapidement, dans une grade vivacité d'esprit. Ses efforts acharnés étaient vainement soulignés, et son énergie fut mise à profit dans l'apprentissage de l'escrime. Si le petit d'homme avait révélé des aptitudes appuyées, les maîtres d'armes ne l'avait pas laissé à ses facultés naturelles, et l'avaient poussé à bout, maintes fois, afin de le voir se surpasser. Et en effet, l'enfant, pourtant jeune, dévoilait ses capacité, tirait profit de son enseignement, et , à force de répétition, frôlait la perfection des mouvements. L'environnement du jeune garçon, étoffé en somme, présentait une voie unique au devenir de chevalier. Le duc lui aménageait effectivement un parcours militaire intense, aux ambitions politiques majeurs. Certes, il aurait été plus simple d'abdiquer la couronne au fils, mais la renommée aurait alors été perdue, et le prestige était d'une importance capitale, bien que l'homme eut des engagement chevaleresques à respecter. Quoi qu'il en fut, ce projet, certes bien long, toucherait bien vite à son terme. Le jeune garçon n'avait cependant jamais connu sa sœur jusqu'alors, réduisant même son existence à la supposition, bien qu'il en cru la réalité. Ashenie était en effet un centre de discutions tenu sous silence. Mais qu'importait, l'homme n'eut pas la curiosité de poser quelques questions à son sujet, et ses centres d'intérêts différ j,aient trop de ce sujet. Il avait été soumis à une éducation complète, et longue, apprenant biologie et littératures, philosophie et langues anciennes et étymologiques, afin de parfaire la culture prestigieuse qui composait l'un de ses atours. Tant que pour son entrainement militaire, il avait passé de longues heures à l'étude, invitant des précepteurs de renommée à lui transmettre un savoir tant objectif que découlant d'une vie. Le travail éducatif auquel il était soumis formait son esprit au discernement et à l'analyse, à la culture et à l'apprentissage des mœurs et de ses contes.
A l'aube de sa septième année, il fut placé sous la tutelle du marquis de Seffraentil, entretenant des relations plus ou moins marquées avec le père du jeune éphèbe. Son arrivée au près du marquis fut soldée par sa mise à la tache en tant que galopin. Son ouvrage principale résidait dans les corvées du nettoyage des écuries. Ainsi, créait il un première approche des chevaux , s'égarant parfois à toucher les bêtes avec un léger sourire aux lèvres, rêvant à son propre cheval dans un avenir future. L'enfant s'appliquait à sa tâche, et ouvrait de son mieux pour satisfaire sa volonté perfectionniste. Solitaire, les aspects du marquisat ne lui offraient que la froideur, et il avait été défendu de côtoyer les enfants des domestiques, trop occupés à d'autres labeurs par ailleurs. Le marquis possédait bien un fils, mais celui-ci, bien qu'il fut plus jeune, ne daignait pas se mêler à lui, apprenant les rudiments de la cour. Il leur arrivait, à quelques divagations, de rire ensemble, mais leur relation ne s'affineraient que plus tard. Les jours étaient cependant monotones, seuls, et les corvées étaient bien trop les mêmes. L'acquisition du soin ne lui fut pas difficile, et c'est ainsi qu'il se plongea dans l'antre de la petite bibliothèque du marquis. La découverte du sujet épique, et de ses héros archétypes devenait ainsi l'un de ses songes favoris, tendis qu'il s'épiait par cette même fenêtre à l'imaginaire, grand et beau, valeureux, combattant ardemment et gagnant le cœur de demoiselles inaccessibles. Et les violons tristes de la vie levaient leurs voiles, et tournaient lentement au fil du temps, dans l'accroissement de l'homme à sa maturité. La statut de page, dans l'évolution acroissante jusqu'au seuil de la chevalerie, lui laissait plus de liberté et d'importance, bien que mineure, dans la propriété du marquisat, dont la maison principale résidait dans Diantra même, pour cause d'un rapprochement certain à la cour du roi. Il apprenait en effet les rudiments de la chasse, à laquelle l'initiation parfaisait ses quelques capacités physiques, et avait le privilège de s'occuper de chevaux avec soin. Car en effet, loin d'atteindre le rang seigneurial, l'adolescent affichait une certaine débrouillardise qu'on lui reconnaissait aisément, mais qu'on n'hésitait pas à tourner en raillerie face à l'activité noble. Son rang de page lui octroyait également la possibilité de suivre un entrainement équestre, développant son aptitude de dressage et son aptitude musculaire en deux phases distinctes, et néanmoins efficaces. Sous la tutelle du marquis, Aaran apprit à chevaucher, à sauter, nager, courir, lancer la pierre, manier l'écu et la lance, les diverses sortes d'art et d'escrime, l'art de la vénerie et de la fauconnerie, aies tous les honnêtes ébats recommandés pour fuir l'oisiveté, mère des vices, et en même temps les usages de la courtoisie et les vertus requises à l'honnête homme: honneur, fidélité, hardiesse, débonnaireté, démener grande largesse, parler avec mesure, ne blâmer personne à la légère, éviter les fous et servir les dames. Enfin, il était, durant ces années, au service de la dame du château, la marquise Ludmilla de Seffraentil, une femme dont le physique ne fut pas déplaisant, bien qu'il existait des déesses de beauté comparé à son corps. Celui-ci n'arborait aucun surplus graisseux, et ne laissait entrevoir qu'une douce maigreur, dévoilant ses côtes, supplantées à une petite poitrine peu rebondie, et tombante en l'absence du corset. Son front haut, et ses lèvres écarlates soulignaient ses yeux bruns, et l'ancrais dans quelques un des caractères de beauté appréciés. Enfin, la femme l'avait convié, une fois de plus, dans ses appartements.

«
- Vous m'avez mandé, madame? Puis-je vous être d'une quelconque utilité, dois-je de nouveau décerner un nouveau message? Demandait l'adolescent, droit, le regard azur plongé sur le visage de la dame.
- Non, Aaran, il n'est question d'aucun service, répondait la dame, visiblement touché au cœur, une lettre à la main, les yeux dans le vague, comme si une émotion forte, tant méliorative que négative, eut prit possession de son corps. Son regard voilé était un miroir à quiconque osait vouloir pénétrer son intimité. Elle pinçait doucement sa lèvre inférieur, et reprenait. J'ai pu observé votre entrainement privé à l'épée, et je n'aurai estimé aucune de ces capacités en vous...
- Merci, répondait humblement Aaran, intrigué.
- La vie est injuste n'est-ce pas? Un jour elle vous chérit dans ses bras, et le lendemain vous abandonne, fanée, à votre triste sort. Tout comme un duel, votre issue de dépend que de vos efforts...
- Ma dame, si je peux...
- C'est ridicule, l'interrompait Ludmilla, pourquoi donc vous apitoyer sur un pareil sort... la vie m'a déjà rejetée... mon empire s'effondre tendis que d'autres s'agencent, et le possèdent... Ah les aléas de la cour! Que n'y aurais-je pas laissé... Ma vertu, et tout mon éclat...
- Vous rayonnez pourtant encore de vive aura, ma Dame...
répondait gentiment l'adolescent.
- Hélas, vous n'en avez aucune vertu masculine pour parler ainsi... Le temps passant, vous m'aurez bien aussi oublié.. L'oubli, voilà mon terne caveau... Et...
- Il semble bien inutile d'augmenter votre perdition de vos futiles accusations... Hélas, l'amant qui causa votre chute était bien aveugle...
déclarait Aaran d'une voix de réconfort, scrutant ses formes.
- Vous autre, chevaliers, gardez toujours les mots tendres de l'ascension, et tranchez d'un coup vif le cœur des qu'il vous est acquis... rétorquait tristement la dame.
- Je ne suis point chevalier, répondait simplement le page, et ne reste que votre humble et dévoué serviteur. L'homme s'était avancé et baisait la main de la dame avec pression, à genoux devant elle.
- Comment être sûre de la valeur d'un amour... Combien de parjures encore mon cœur devra t'il subir? Oh non! Allez vous en... Je ne cèderai plus à ces forces divines...
- Faudrait-il seulement qu'un amour s'affirme pour parjurer.. non madame! Il n'est d'aucun de mes desseins de voler un cœur, et c'est à cœur sincère que je le dévoilé... Je ne suis ici que pour asservir ma loyauté, et le devoir de servir le moindre de vos désirs...
rétorquait tendrement l'homme.
- Oh.. Prouvez, si vous le pouvez, mais il ne tient qu'à vous de...»
Les lèvres de l'un à l'autre se communiquaient, dans une fougue intense et véritable, emplissant toute l'exaltation de la passion. La liaison qu'ils agencèrent tous deux marquait ostensiblement l'adolescence du jeune homme, et l'initiais à la douce faculté amoureuse et passionnelle qui sommeillait dans le devoir chevaleresque. Quoi que la relation ne fut qu'une étincelle de cette vraie passion, dévoilée seulement aux yeux des amants destinés, sans même pouvoir y résister... Mais quoi qu'il en fut, il s'initiait aux louangeables plaisirs amoureux, dont la cour se plaisait tellement de pratiquer. C'est en cette même période d'envol passionnel que l'homme s'ouvrit au monde, décuplant l'intensité de son entrainement pour en parfaire son corps, et tissant les toiles de lien avec le jeune fils du couple noble. Ezekiel De Seffraentil était de ces hommes, dont la fortune et la culture ne sont qu'une façade de séduction, et découlent seulement d'un héritage. Dés son plus jeune âge, il avait été destiné à élever la fortune de la famille, et par delà même son honneur, apprenant à l'aube de sa vie les rudiments de la cours, et ses enjeux. Enfin, sa vie passant, il devin écuyer d'un des nobles vassaux du marquis lui même. Volontaire et déterminé, il était cependant déconsidéré et relayé à une importance mineur. Il conservait cependant le secret plaisir de l'admiration des joutes, songeant qu'un jour il serait l'un de ces héros qui jonchaient les rangs des tournois. Il épiait les regards des dames et leurs mœurs, saluait dignement ses confrères, et partageait ses mésaventures avec le fils du Marquis, lorsque leurs routes se croisaient. Sa liaison avec la marquise s'était malheureusement éteinte, et il ne lui restait que la flamme du souvenir passé, jonchée de regrets et d'amertumes... Mais l'avait-il seulement aimé? Qui l'eut su... L'homme, cependant, avait bien vite fait de prendre un envol plus ample, multipliant les conquêtes de basses extractions, et acheminant ainsi le désir aux nuits éphémères...
Son entrainement militaire était plus complet, suivant les années, et ses maîtres d'armes en tiraient une intense satisfaction. Le combattant doué se devait, cependant, de rendre des comptes à son père, lettre par lettre, et ainsi dévoiler le résultat de l'investissement financier. Enfin, alors âge de 17 ans, l'agencement au stade de chevalier touchait à sa fin, et il était conduit jusqu'à la chapelle qui ornait l'enceinte du duché de Langehack, où trônait son père. Il n'était alors vêtu que d'une tunique blanche, immaculée, symbolisant la clarté, et ornée d'une croix rouge, comme dépeinte, évoquant le sang qu'il était prêt à verser. Une nuit de prière à Néera , et à Arcam s'offrait à ses yeux, le poussant à se laisser enchevêtrer aux forces obscures et nocturnes, dans le but unique de prouver une foi dévolue, dans une motivation prompte. Les prières se succédaient, sous l'œil attendri du marquis De Seffraentil, s'étant proposé pour accompagné l'homme dans la nuit qui l'incombait. C'est durant cette même nuit qu'il apprit la certitude de l'existence de sa sœur, pure et belle, tendis que les desseins du marquis se faisaient plus clair dans son esprit. L'homme lui était alors apparut comme avide et calculateur, et un instinct de protection était alors né en lui, et avait germé jusqu'à terme, voulant protéger sa sœur, dont il ne connaissait pourtant rien, d'un destin funeste et irréversible, une fatalité à son cœur. Le voile sombre de la nuit s'épanchait sur l'esprit de l'humain, en voie d'accomplissement, et bientôt, l'aurore venait à dissiper les abjectes récurrences enivrantes. Le seigneur De Langehack avait organisé son banquet, comprenant dans les convives quelques vassaux du roi. Il profitait de cet événements intrônisateur de chevaliers pour exposer avec apparat son domaine richement paré. Au fond du château, s'était échafaudé une estrade, sur laquelle le damoiseau était paré à l'adoubement. Agenouillé, le bachelier prêtait à haute voix le serment des chevaliers, une main sur les écriteaux religieux.
« - Je jure, disait il, de soumettre mon existence à la foi religieuse, et d'observer leurs commandements, ainsi que de la protéger de toute ma valeur. Je jure d'aimer mon pays natal, de le chérir, et d'en défendre les opprimé sans prendre la fuite devant un ennemi, quel qu'il soit, en m'assurant de combattre l'infidèle avec acharnement. Je jure, reprenait il en fixant les statues divines de ses yeux azures, de remplir mes devoirs féodaux, d'être libéral et généreux, et bon, et de rester fidèle à ma parole, sans m'adonner au mensonge. Je jure de toujours incarner le champion du droit et du bien face à l'injustice et au mal! Je jure!
- Si le chevalier manquait à son serment, il sera proclamé indigne d'être chevalier. Il sera conduit sur une estrade, son épée sera brisée et piétinée, son blason sera attaché à un cheval et trainé dans la boue. Tous pourront l'injurier. On le mettra sur une civière, puis on le recouvrira d'un drap noir et on le portera à l'église comme un mort. On récitera les prières des défunts: il sera mort comme chevalier et banni toute sa vie.»
Le serment avait été prononcé avec vigueur et on lui remettait alors son équipement chevaleresque avant qu'il ne prête allégeance à son père. Les effluves festives se prolongeaient alors en une joute de nouveaux chevaliers...
Deux années s'écouleraient avant que l'homme ne rencontre sa sœur, et détermine ainsi un nouveau penchant de son destin, se promettant de la protéger quoi qu'il arrive...
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