Esidenir De Langehack [Duchesse PNJ]

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Esidenir De Langehack
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Esidenir De Langehack


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MessageSujet: Esidenir De Langehack [Duchesse PNJ]   Esidenir De Langehack [Duchesse PNJ] I_icon_minitimeSam 25 Oct 2008 - 19:44

Identité: Esidenir De Sephren, Duchesse De Langehack, autrefois Esidenir De Langehack, héritière même du duché.
Âge : 43 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Particularité : Esidenir dispose d'une beauté passée, encore fraiche pour son âge . Elle est l'héritière du titre et jouit d'une petite notoriété au près des femmes de la cour. Elle est la mère biologique d'Ashenie de Sephren, et la soeur de Mélisandre d'Erac.

Alignement : Compagnie de la Lumière par son mari, Neutre dans l'âme.
Métier : Duchesse
Classe d'arme : Aucune

Équipement : Esidenir possède une grande garde robe garnie et ample. Passant des teintes pastelles vers la ternissure du sombre, elle garde tout de même un goût prononcé pour le pourpre noble. L'une d'elle, teinté d'un rouge éclatant, mêle le sanguin au sombre, et comprime ses formes dans l'avenante qu'elle mérite. Sulfureuse, la robe se base sur une simple tenue noire, sur laquelle sont brossé de grandes étoffes de soie rouge, créant alors une robe digne de la cour. Elle affiche une dentelle sombre qui rend sa majesté à la robe, tout en dévoilant la poitrine surélevée par le corsage, donnant un aspect enviable. A ses doigts trônes des bagues douces, merveilles douces de forge, comprenant rubis éclatant ou opales noires, et sertie par les plus grands forgeront. Un fortune d'or se balance à son cou, comme à ses poignets, et le raffinement pend à ses oreille, dessine par deux dragons, renfermant dans leur pattes griffues les belles perles de pluie.

Description physique : Autrefois belle et sulfureuse, Esidenir De Langehack affiche aujourd'hui le reflet d'une beauté passée. La dame possède encore quelques grâces douces, et conservées par le temps et les soins. Une faille fine, la poitrine encore rebondie, les épaules petites et relevées, la cuisse frémissante et les domaines adjacents encore frais, elle affiche un charme certain, que même l'âge de la vie de terni pas, même dans l'éphéméride. La prise de poids étudié, les cures fréquentes, la dame entretient son corps, et ne manque jamais d'être au mieux d'elle même, parfumée, séduisante, sulfureuse. Ses cheveux attachés affichent la complexité des dames du haut monde, refermant perles et plumes, dans des tresses et des nattes marques, sculptant à merveille ses cheveux légèrement ondulés par travail, lisse à la base. Son visage affiche une avenance certaine, caractérisé par un nez relevé et pointu, des pommettes hautes, des lèvres pulpeuses, et un regard distant, agencé par deux yeux noisette.

Description mentale : Autoritaire et égoïste, elle n'assume en aucun cas son rôle de mère, et traite sa propre fille avec autant d'égard qu'une rivale. Calculatrice, elle sait profiter des hommes et de leur faiblesse, et se délecte à les faire craquer au plus au point. Connaissant sur le bout des doigts les usages des courtisans, elle regard d'un œil amusé les tentatives encourues à sa fille chaste. Elle est ancré dans la psychologie mondaine, courant après les rumeurs, commentant çà et là, les aléas de la cour, et y participant sournoisement. Manipulatrice jusqu'au bout des ongles, elle est prête à tout pour arriver à ses fins, et n'échoue que rarement, son charme aidant. C'est en cela que sa fille est un poids pour elle, et elle refuse de l'introduire dans le monde, la privant de ses relation, et gardant sur elle un regard froid et distant. Elle ne l'aime pas, où du moins dissimule son amour bien loin, et ne manque pas une occasion de remettre les erreur de jeunesse à leur place. Jalouse de l'intérêt qu'elle suscite à son mari, elle se veut la concurrencer à ce niveau, séduisant encore son vieil époux. Elle affiche cependant une admiration certaine pour son fils, languissant son corps du regard, et veux le posséder, pour elle, et rien que pour elle. Elle n'aime en aucun cas les damoiselle qui lui tournent autour, bien que la bienséance l'oblige à se taire, et voit ici une nouvelle rancune à Ashenie, qui, sans efforts, a obtenu la protection de son frère. Envouteuse et déconcertante, gardant une fraicheur admirable pour son âge, elle se veut charmeuse et éloquente...

Histoire : Elles naquirent dans la soie du doux pécher, dans ce confort et ce luxe grandiose, affiché, sur joué. Les petits êtres mignons, oh à l'avenir déjà tracé. Une affection maternelle décharnée, une possession maternelle assise, et une éperdition paternelle pour les enfants marquèrent les premières années de leurs vies. Mais déjà, dés qu'elle furent en âge de marcher, elles étaient le jouet de sa mère, les habillant à la manière des poupées, et coiffant leurs cheveux de lourdes boucles, siphons de chevelures raffinés et coiffés, apprécié dans l'idéal. Elles étaient parée de ces lourdes robes, grosses, à volants et à dentelle, et étaient forcées au maintient le plus droit. Mélisandre et Esidenir De Langehack étaient alors devenus les deux joyaux d'une famille aux aspirations royales. Car en effet, les deux fausses jumelles avaient tout partagé dans la plus grande compétitivité. L'on se souvient encore, ou plus, puisque la mémoire en est refoulée, de ces deux jeunes demoiselles, qui, à l'âge de raison, semblaient à deux poupées de porcelaines d'une même fabrique. Les traits similaires ne dégageaient pas les mêmes impressions pourtant, et l'une était plus chétive que l'autre. Et la brune, Mélisandre, se mariait au couleurs bleutées, tendis que la blonde, elle, préférait la chaleur rougeâtre, bien que ni l'une ni l'autre ne choisit une quelconque couleur qui leur fut imposée, dans le conformisme du parallélisme des deux sœurs. Leur mère était maniaque, et elle subirent une éducation stricte, dont la visée non dissimulée était la cour, et l'acception en tant que plus grandes courtisanes, dont les filles avaient déjà les atouts. Leur relation, entre elles, était détestable, et vomissante. Esidenir, en effet, insupportait sa sœur qui prenait un malin plaisir à se croire dominante, lorsque ni l'une ni l'autre ne l'était, et ressentais cette même haine pour l'autre. Car elles avaient les mêmes buts, les mêmes envies, les mêmes vêtements, les mêmes chances de réussite, elles se livraient à une bataille assise et fermée, une compétition grande et inachevée jusqu'alors, tant que l'une n'a pas atteint le seuil de la mort. Leur mère, saisissant l'opportunité de la rivalité pour accroitre leur ascension social, entretenait la haine, et l'attisait, provoquant l'agencement d'une double psychologie machiavélique et calculatrice, comprenant les débuts de la manipulation. Car cette vertu calculée était le fondement même d'une ascension assurée vers les sommets de la cour. Leur maintient, quant à lui avait été déterminé par la maniaquerie de la mère, qui pensait que rien n'était jamais assez propre. Et même ses filles étaient le jouet de sa maniaquerie, qui la poussait à les obliger à la plus grande perfection, semblable à deux précieuses jumelles, et concurrentes, dont l'une embaume le regard, tendis que l'autre émerveille les sens. Leur éducation littéraire se fondait principalement sur quelques poésie tendre, qu'elle auraient tout le loisir d'utiliser à bon escient à la cour du roi, pour plaire et séduire. Esidenir s'était, elle, éprise de quelques tournures, quelques vers rebondis, et doux, qu'elle susurrerait plus tard à l'oreille des marquis. C'est jeune qu'elle partit à la cour, en compagnie de sa sœur certes, mais sans le moindre mot à son égard. La venue de deux jeunes femmes, fraiches en somme, venait attirer le regard de ces beaux parleur, et, bien vite elles finiraient courtisées. Non pas qu'elles furent irrésistible, quoi que l'apparence aida beaucoup, mais la chaire fraiche attire toujours plus les mouche que la chaire flétrie et sale, déjà usée. C'était le goût du nouveau qui primait. Esidenir s'était faite introduire dans ce doux monde au bras d'un marquis, doux en somme. Le marquis De Sephren, vieux et usé, semblait s'éprendre de la douce enfant, et l'avait cueillie, à l'image d'une fleur en voie d'éclosion. Elle avait poursuivi son cheminement, d'amant en amant, trouvant toujours le moyen de mettre ces hommes à défaut, si bien que ses relations se tissaient. Elle jalousait secrètement sa sœur, qui elle, avait été envoyé à la cour pour servir la reine elle même, se rapprochant plus du roi qu'Esidenir l'aurait espéré. C'était ainsi, et elle se vengerai avec l'avènement de ses relation, laissant à sa sœurs des amants déjà croqués, sur lesquelles son emprunte gisait. Âgée de 17 ans, elle fut mariée en vitesse. Et Pour quelle cause? Sa sœur. Cette irrémédiable petite garce avait déversé son flot de désir sur le roi, oh combien impuissant face au grâce de ses dames. Et quelle abjecte déplaisir de payer les conséquences de sa sœur, pour éviter quelques nouvelles manipulation. Le marquis De Sephren, bon ami de la fille, possédait un fils aux mœurs douces. Il fut sacrifié, quoi que le mariage fut un profit au marquisat, et on mit la demoiselle dans la confidence. Elle n'avait épousé Arathor que par du envers sa sœur, et l'homme ne voulait que se marier. L'amour lui était venu quand il l'avait désiré, la voyant nue. Car elle était belle, sulfureuse, experte dans la jouissance masculine. Oh oui, la noblesse lui laissait tout le plaisir de s'y adonner, et elle ne s'était pas privée. Toutefois, l'abjecte destin de duchesse supplanté par sa sœur lui laissait un goût amère. Le petit Trystan d'Erac était né, oh ce fils de roi. Petit être immonde pondu dans cet objectif perpétuel,qui obsédait sa sœur. Et ce petit être faisait sa fierté? Oh.. non, elle en aurait un elle aussi, elle ferai honneur à son rang de femme. Lorsque le petit eut atteint l'âge de raison, le bel enfant voyait le jour. Merveilleux, il comblerait ses attentes, et parviendrait, plus loin encore, que Trystan. Elle avait pour lui des projets tout tracé, qu'elle insufflerai dans la tête de son mari, même si cela devait passer par la couche. Il accepterai, de gré, ou de force. Dans une même periode, peut être un an d'écart, deux filles naissaient, parallèlement. Astéride, une nouvelle nièce.. Non, qu'importait, elle était insignifiante. Seul Trystan comptait. Quand à Esidenir, elle mit au monde la belle et ingénue Ashenie, dont elle voulu se débarrasser, voyant la douceur qu'elle dégageait. Certes elle aurait pu faire valser Trystan d'Erac entre ses bras, et le croquer jusqu'à la moelle, si elle lui avait donner une occasion, mais la duchesse éprouvait un dégout profond pour cette petite: elle lui rappelait bien trop sa sœur. Toute présence féminine dans sa vie intime le lui rappelait, et elle avait déjà le preux et futur chevalier sous son aile. La naissance d'Ashenie restait cependant mysterieuse. Sa conception, selon l'approximation, était située lors d'une escapade du couple à Diantra. Ici, elle n'avait eu aucun rapport avec son mari, seulement avec la noblesse, l'aristocratie et le roi, qui, l'espace d'une nuit, céda à la beauté de la dame. Elle était au même rang que sa sœur! Lequel fut le père? Nul ne put le prédire. Toujours est il que le seul rapport plausible se situa une semaine après leur retour, laissant à l'enfant une naissance prématurée. La version officielle fut cette dernière. Et elle se souvient encore, lorsque, à peine de retour de seize années de réclusion dans les bas fond d'un temple, sa propre fille revenait, et ses deux enfants partageaient cet idéal, cette soif de connaissance, qui, l'espace d'un trajet, venait à les questionner sur leur famille...
« - Le duché de Langehack abrita deux femmes, il fut un temps. L'un était froide, terne avide, méchante et vil, tendis que l'autre, c'était moi.
Ma sœur jumelle voulu s'attirer les bonnes grâces du roi, maladroite comme elle était, visant bien trop haut, et naturellement se fit violemment repousser dans les bras de Charles d'Erac, dont même le nom vous est inconnu mes enfants. Car oui, la noblesse d'Erac est notre sœur, bien que détestable je vous l'accorde...
Trystan d'Erac, bâtard du roi, siège aujourd'hui au conseil. Il n'est qu'une vilénie, un prototype agencé par la perfidie de Mélissande, dont le nom est une atroce souffrance. Non, et cette bâtardise faillit souiller le nom de notre famille.. voyez comme ces êtres impures fructifient dans le monde. Sa sœur, Astéride, est tout comme vous Ashenie: insignifiante. Vous êtes toutes deux misèreuses, et opportuniste d'une fortune qui ne vous a pas choisi, mais qu'importe. Aaran, mon doux, vous valez bien mieux que ce Trystan.. veillez à ne jamais côtoyer son rang que pour augmenter votre pouvoir... Il n'en mérite pas davantage»
Le destin s'ouvrait aux enfants, mais les mères gardaient un pouvoir certain sur les informations, bien décidées à se nuire...
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