arrrivé de la Cavalerie (libre)

Sujet: arrrivé de la Cavalerie (libre) Ven 28 Nov 2008 - 16:32

Le fort Ellyrion, voila la destination de toute l'armée elfique, il avait recu un message de la part de ses supérieur comme quoi toute l'armée devaient se rendre au fort. Delyndil sourit lorsqu'il recu le message, il allait peut-être revoir Aleandir qui sait, beaucoup de chose lui manquait, il était le capitaine de toute la cavalerie elfique et avait sût montré par la force des choses, que sa présence et son aide sur les champs de bataille ainsi que son efficasité était de grande valeur, ses cavaliers étaient prêt, a vrai dire, ils avaient toujours été prêt. Ce fut sous les bruit de millier de sabots quelques 6000 cavaliers galopaient a travers les différents territoire que leur offrait Miradelphia, il avait dût aider d'autre postes et ensuite ils avaient été en attente, lorsque le commandant Rima-Marcil fut déchu de ses droits de commandant, et dut rester a l'épine d'orée. néanmoins Delyndil Fervellon avait essayer de lui venir en aide, mais il fut arrpeter et il recu l'ordre de rester en poste avancée avec l'interdiction formelle de ne pas pénétrer le territoire d'Aleandir en attendant la sentence de leur commandant Rima-Marcil. Lorsque celui-ci fut a nouveau libre et récupéra ses droits , On envoya Delyndil et sa cavalerie sur les terre frontalière afin de garder un oeil sur les drows. il s'était eternisé dans un endroit froid et où le soleil percait a peine les nuages.

"....Que se passe-t'il Pheredil?"

" se sont les soldat capitaine il se demandent quand est-ce qu'il pourrons rentrer..?"

" Lorsque nous en recevrons l'ordre lieutenant..."

"Moi aussi il me tarde de retrouver Aleandir...mais cela ne dépend pas de moi hélas..."

" je comprend..."

" et au sujet de notre éclaireur?"

" pas un signe.."

"Depuis quand est-il partis?"

"près de 2 heures.."

"....prévenez-moi lorsque vous aurez des nouvelles je dois faire mon rapport pour le commandant Rima-Marcil.."

" entendu capitaine..."

Cet éclaireur partis en terre Drow afin de voir ce qu'ils mijotaient, ne revint jamais, et entre-temps notre capitaine de cavalerie lui recu l'ordre de levé le camp et de partir direction le fort d'Ellyrion. Et ce qu'il fit avec une grande hâte. Chevauchant a travers tout Miradelphia Delyndil Fervellon et sa cavalerie remontèrent jusqu'au nord-est en direction du fort. Retrouvant le soleil qu'ils avaient tous perdus, Ils virent enfin le fort qui jamais ne fut prit. le bruit des milliers de sabot fredonnait vers le fort comme le tonnerre comme si les Dieu eux-même semblaient deferlé. Soudain le son du cor de la cavalerie sonna avertissant le fort de leur arrivé. Sous l'étendard elfique et également celui qui était propre a la cavalerie.

La porte du fort s'ouvrit alors pendant que le cor continuait de sonner, le bruit métalique des armures des cavaliers s'entendait comme un souffle d'espoir qui tombait tel une pluie torentielle. La cavalerie elfique étaient redoutable et elle l'avait prouvé maintes et maintes fois sur les champs de bataille. la particularité de la Cavalerie de notre elfe sylvains étaient qu'elle avait la réputation de faire des raid éclair sur les champs de bataille leur fierté était " qu'ils étaient les derniers a entrer sur un champ de bataille, mais les premiers a en sortir". tous pénétrèrent le fort s'arrêtant devant les grandes écuries du fort, sur la place du centre se tenait Delyndil Fervellon sur son noble destrier blanc nommé Arthax a ses côté ses surbordonné et deux autres cavalier qui brandissaient l'étendard des elfes, ainsi que le symbole de "l'épine d'orée" témoignage de leur fidèlité a leur commandant Rima-Marcil. il le portait pour rendre hommage a ce qu'il était, mais deux autre étendards flottaient eux aussi a ses coté ceux-ci portaient l'emblème des autres commandants.

Du haut de son destrier, Delyndil Fervellon fils d'Elendil Fervellon descendit de son cheval mettant pied a terre, habillé d'une armure elfique des plus belles, une cape rouge sang ainsi que quelques tissus de la même teinte étaient les couleurs des cavalier elfes. il hôta son casque et se dirgea vers les soldats.

"...capitaine..."

" de l'eau et de la nourriture pour les chevaux..."

" les commandants sont-ils ici?"

"oui capitaine"

" bien avertissez les de ma venue, j'ai un rapport a leur donner.."

Delyndil balaya de son regard le fort, beaucoup d'elfe avaient répondu au message, mais tous n'étaient pas encore arrivés. Depuis la disparition des hériters du trône , les affaires politique s'entremêlaient, mais a tous ses ragots , Delyndil n'y porta aucune attention, a vrai dire la politique l'avait toujours écoeuré que cela soit chez les hommes ou les elfes, elle étaient la même partout. Notre elfe sylvains était un soldat, pas un politicien

Sujet: Re: arrrivé de la Cavalerie (libre) Dim 30 Nov 2008 - 17:16

Quelques heures plus tôt, Fleur d'Opâle avait posé son premier sabot dans Alëandir, ce fut avec joie que la jeune elfe Airin Balthus retrouvait cette ville qui lui était si chère. Elle ne cacha pas sa satisfaction et dés qu'elle le put interrogea quelques commerçants pour avoir des nouvelles fraîches en ce qui concernait les ordres qu'avait reçu les cavaliers de l'armée. Un commerçant en particulier l'informa que quelques uns, même peut-être une centaine était bloquée au fort Ellyrion attendant de pouvoir pénétrer dans la ville elfique. Cette nouvelle étonna fortement Airin, qui par le plus heureux des hasards avait réussit à déambuler librement pendant quelques jours, mais elle ne s'inquiéta pas trop longuement, elle devait rejoindre au plus vite les rangs de ses confrères et attendre les ordres du Capitaine de cette expédition. Airin allait peut-être enfin pouvoir intégrer l'armée une fois pour toute, quelques jours avant elle avait rejoint une guilde qui l'aiderait grâce à des relations, à vaincre les ennemis drows. Tout au fond d'elle la jeune elfe espérait qu'un jour, sa soif de vengeance parviendrait à s'étancher.

Après avoir prit quelques provisions et s'être restauré dans une auberge peu cher, Airin se mit en route, lançant Fleur d'Opâle au galop, elle mit deux jours à atteindre la forêt Anaëh qu'elle avait déjà parcourut lors d'une expédition dont elle n'avait pas forcément gardé un bon souvenir. Airin parvint enfin au fort Ellyrion, du moins aux alentours, puisqu'elle aperçut d'abord toute une rangée de cavaliers qui la regardait arrivé au galop une lance à la main. Apparemment ils étaient méfiants, ce qui paraissaient normal pour des cavaliers, même si Airin avait une armure et des oreilles pointus cela ne suffisait apparemment pas à la laisser passer. Elle s'arrêta net dans un petit nuage de poussière et quelques touffes d'herbe. Airin avait un visage plutôt sombre et ses yeux bleus passaient de l'un à l'autre cavalier, elle se serait vu de loin elle aurait pensé qu'elle était en colère, mais au fond tout se quelle voulait c'était se faire accepter parmi ses collègues et surtout être reconnus pour son courage. Elle devait cacher son objectif premier, celui de venger son ami. Le premier cavalier, un homme blond aux yeux vert, une épée à la main, assis sur un hongre noir très nerveux. Fleur d'Opâle grattait lentement la terre pour montrer qu'elle était aussi impatiente que sa cavalière.

" - Qui es-tu et que viens tu faire ici ? " lui demanda l'elfe.

Airin réprima un soupir et répondit calmement.

" - Je me nomme Airin Balthus et je suis cavalière...si ça ne se voit pas assez...Je cherche juste à rejoindre les rangs de l'armée, je suis en retard laissez moi passer."

" - Comme si on allait te laisser passer comme ça, tu rêves ma fille, hein les gars ? " Chaque soldat tour à tour se regarda et acquiesça.

" - Ne m'obligez pas à vous supplier, je ne suis pas d'humeur..."

" - Mais c'est que t'es une rebelle toi ! Regardez moi ça ! C'est une jeune recrue et elle se prend pour une pro ! " Le soldat était hilare.

Airin talonna Fleur d'Opâle et se rapprocha du groupe, aussitôt comme par magie leur armes furent braqués sur elle, la jeune elfe ne broncha pas et attendit. Un peu plus loin certains elfes commencèrent à se retourner pour savoir ce qui se passait derrière eux.

" - Tu n'as pas de preuves, nous ne te laisserons pas passer. "

Airin commençait à perdre patience, elle était patiente mais avec les hommes elle avait un peu de mal, elle savait qu'il fallait qu'elle mette de l'eau dans son vin, mais là, cela dépassait les limites.

" - Vous voulez quoi, que je vous ramène une tête de drow ? "

Fleur d'Opâle hennit doucement comme pour rire à la boutade de sa cavalière. Airin baissa sa lance et affirma déterminée.

" - J'attendrai aussi longtemps qu'il faudra mais au bout d'un moment vous serez obligé de me laisser entrer dans vos rangs, chacun doit obéir aux ordres du capitaine... Je porte mes armes et personne ne m'empêchera de rejoindre l'armée comme je le dois. "

[ Hj : désolé si mon sujet est hors de l'armée ou bizarre, mais je n'étais pas dans les rangs de l'armée jusqu'ici. ]

Sujet: Re: arrrivé de la Cavalerie (libre) Dim 30 Nov 2008 - 17:47

(pas de soucis,c 'es tun très beau post^^)

Discutant d'administration et d'autres ave cles officiers du fort, Delyndil fut neanmoins avertit d'une perturbation a l'entrée du fort. Pheredil lui en informa la nature et la source, une femme cavalière , il était vraie qu'elle étaient tout aussi agile et doué que les hommes, mais plus que le shommes sur certains points a vrai dire sans rien cacher. Delyndil se retourna et avanca, son destrier quant a lui semblait le suivre quelques sabot derrière tel une ombre, témoignant de la confiance et de la relation entre le cheval et l'elfe dont la longue chevelure d'or se laissait percevoir sous les éclats de feuille d'or de sona rmure au rûne eldariènnes montrant fièrement qu'il était un haut offciier de l'armée elfique.

Phérédil le second de notre capitaine au yeux de quartz ordonna au gade de cessez toute provocation et de reculer. Pheredil s'avanca alors au côté de notre Fervellon a la chevelure d'or. 240 années qu'il foulait cette terre, celle de ce monde qu'était Miradelphia, et un cavalier, ou plutôt une cavalière de plus était toujours la bienvenue.

" c'est elle Pheredil?"

"Oui capitaine elle se dit appelée Airin Balthus..."

Delyndil s'approcha d'Airin calmement et noblement, il n'était pas que capitaine, c'était également le baron d'Arandor l'un des nombreux territoire elfique.

" bonjour Airin Balthus, je me nomme Delyndil Fervellon capitaine en chaf de la cavalerie..."

"j'ai entendu dire que vous désiriez rejoindre nos rangs..est-ce exacte?"

Biensûr comme pouvait sans douter facilement Airin, celle-ci devra faire se spreuves, pour montrer qu'elle serai digne d'incorporez les rang de la cavalerie, car de tousles corps armée, c'était l'une des plus nobles , les cavaliers sont de redoutable combattant qui ne font qu'un avec leur monture, chaque position d'un cavalier est aussi minutieusement calculé quune partie d'échec, chaque elfe connait sa palce et sait adapter son rythme pour ne faire non pas une masse de cavaliers, mais bien une corps unique et compacte sur un champ de bataille. Les cavaliers ont la capacité d'attaquer comme l'éclair , les meilleurs cavaliers avaient même le don de tirer leurs flèches en pleine charge.

Delyndil s'avanca donc encore un peu et observa Airin, sona rmure témoignait biend e son appartenance au cavaliers, mais lorsqu'elle incorpera les rangs de la cavalerie, elle devra porter les couleur des cavaliers et suivre els entrainements de la cavalerie.

"...tu peux descendre de noble destrier....demoiselle Airin...amène ton cheval a l'écurie, celui-ci sera soigné et nourrit ."

"mais dit moi cavalière....es-tu sûr de savoir ce que tu fais...devenir une cavalière de l'armée signifie jalonné les champs de bataille, l'espoir qu'un jour tu puisse revoir les tients vivante sont minces.....es-tu prêt à accepter cette vie ?"

Cette vie Delyndil la vivait depuis 140 ans déjà, il n'avait pas de femme ni d'enfants, il ne revoyait Arandor que quelques semaine sur une années complète e t n'avait plus eu le plaisir de revoir Aleandir depuis quelques années déjà, mais lui il avait 240 ans, il avait déja essuyé maintes et maintes batailles, elle était encore une elfe sylvain jeunes qui n'en n'était encore qu'au début de sa longue vie d'eldars, enfin longue si elle saurait se démarquer des autres cavaliers et qu'elle prouvait sa vaillance.

Sujet: Re: arrrivé de la Cavalerie (libre) Dim 30 Nov 2008 - 18:21

La jeune elfe n'eut pas à attendre bien longtemps, le Capitaine lui-même se déplaça devant le fort, il était suivit d'un magnifique destrier qui fascina dés le premier regard Airin, mais ce ne fut pas le seul, son supérieur était un exemple de calme parfait et il intimidait rien qu'à sa façon de se tenir. Airin lui obéit instantanément lorsqu'il lui demanda de descendre, avec souplesse elle sauta à terre et en profita pour mettre un genoux à terre devant l'homme. Airin sentait chaque particule de son corps frissonner au plaisir de rencontrer enfin l'homme qu'elle recherchait depuis un bon moment, elle gardait la tête baissée par respect et écoutait attentivement ce que le grand elfe lui disait, il avait la maturité, l'expérience et l'efficacité du plus noble des cavaliers et Airin le respectait encore plus qu'avant et savait qu'elle n'aurait aucun efforts à fournir pour rester fidèle à un homme comme lui, elle pouvait mettre sa vie à son service.

C'était comme si un changement s'opérait en elle, l'elfe n'était plus la jeune inconsciente qui ne savait pas pourquoi elle s'engageait dans l'armée, elle était consciente de ce qu'elle faisait et maintenant elle ne se souciait plus de savoir ce qu'un autre aurait fait à sa place.

Avant qu'elle ne réponde, Delyndil Fervellon avait posé une autre question, des plus importante, mais Airin était restée la bouche entrouverte prête à parler, l'excitation lui faisant battre le cœur de plus en plus vite. Elle allait devoir montrer ce qu'elle valait. Puis maitrisant sa joie, elle répondit avec calme et pertinence, tout en scrutant fiévreusement le sol.

" - Mon Capitaine, je n'ai plus de famille, donc je suis entièrement dévouée à l'armée. Je suis consciente de mon choix et je donnerais le meilleur de moi-même pour vous servir vous et le peuple de Miradelphia.

La jeune elfe savait qu'elle n'était qu'une adolescente pour lui, mais elle voulait prouver ce qu'elle valait, et elle voulait montrer que les femmes avaient aussi leur place dans la lutte pour maintenir la paix sur Miradelphia. Elle sentit aussi qu'on l'éloignait de Fleur d'Opâle cela l'angoissa un peu, mais elle savait qu'elle était maintenant en sécurité et même si il fallait garder de la réserve envers les autres, elle pourrait enfin se reposer un peu, cela faisait des jours qu'elle n'avait pas dormit plus de quelques heures.

Mais...mais avant, le Capitaine lui ferait peut-être passer des tests, il fallait qu'elle garde de la force au cas où donc elle ne pouvait maintenant compter que sur ses nerfs. Airin espéra qu'elle avait répondu aux questions de son supérieur et attendit calmement, essayant de rester concentrer.

Ecoutant les dires de la nouvelle cavalière elfe, Delyndil ordonna aux autres de retourner a leurs postes, cela se voyait c'était une belle jeune elfe, mais encore fort jeune, enfin soit elle avait choisit, une vie jalonné par la mort et la peine, espérons qu'elle est seulement assez de force mentale pour survivre a cette guerre, qu'elle ne sera pas trop affecter par ses compagnons qui tomberons sur le champ des batailles. Combien de frère d'armes avait-il vu tombé alors que lui était toujours debout portant fièrement son épée, le visage de chacun de ses cavaliers et soldats mort au combat restait a jamais grâvé dans son esprit, mais il s'en servait comme une force et non comme une peine, c'était pour cela qu'il avait toujours l'espoir.

L'espoir un mot simple qui signifie beaucoup de chose et qui pourtant semble aujourd'hui oublié de tous. Ho oui Delyndil avait eu une longue vie, mais il était encore jeune comparé a ses paris qui foulait la terre depuis 1 millénaire au moins, comme le capitaine de l'infenterie , lui il en avait vu des batailles. Enfin soit le fort Ellyrion deviendrait la nouvelle demeure d'Airin.

" tu peux te redresser ...........cavalière Airin Balthus........"

Arthax la monture de notre capitaine, observa noblement l'elfe se redresser, un blanc pure et innocent tapissait se noble cheval, un étalon descendant de la plus anciènne race de chevaux, les "Méharas". D'après les legendes, ces chevaux n'étaient pas choisit par leur maitre, mais inversément, c'était les montures qui choisissaient leur mettre, car ceux-ci semblait trouve rune complémentation dans l'existence de leur maitre, cela devait être le cas pour Delyndil Fervellon.

" Bien dans ce cas suis-moi..."

Lorsque qu'Airin se releva, Delyndil baissa la tête en signe de salutatione t de respect, néanmoins, il posa sa main droite contre son épaule gauche, c'était ainsi que l'on saluait dans la cavalerie elfique, elle apprendrais bientôt et rapidement que la cavalerie est un corps unique et spéciales, une élite parmis les elites, un corps prestigieux et emblématique a la fois. Il amena donc Airin a l'armurie afin d elui fournir tout se dont elle avait besoin, nouvelle armure de cavalier, étendard, une lance , un bouclier, ainsi qu'une tunique de ceremonie...etc tout ce qui pourrait un jour lui servir.

car une cavalerie devait pouvoir fondre sur ses enemis sans jamais déstabiliser sa propre rangée, elle devait ouvrir un passage pour permettre au souffel de la victoire de passer.

Quand tous cela fut alors fait, Delyndil sortit de l'armurie, oh biensûr elle n'était pas seule femme cavalière de l'armée, beaucoup d'autre étaient déjà là, d'ailleur c'est surtout a eux que Delyndil s'empressa de la présenter.

"ne t'inquiète pas tu n'es pas la seule femme elfique a être cavalière, voici les Eperons d'ors, il s'agit d'une unité de cavalerie composé entièrement de femme sous mes ordres...c'est ainsi qu'on les appellent ici et c'est comme cela qu'elle sont connus...je pense que ton intégration se fera plus facilement de leur côté...néanmoins comme elles tu devra faire confiance au hommes aussi, homme et femme nous ne faisont qu'un et un seul corps..."

"Les Eperons d'ors", c'est ainsi que s'appelait l'unité composé entièrement de femme, elle étaient une sorte de garde d'élite, un flan difficile a aborder.

" Mais avant viens avec moi j'ai quelques test a te faire passer.."

marchant toujours a travers le fort, pour arriver dans une petite cours ou plusieur soldat homme et femme semblait s'entrainer au combat a l'épée comme a la lance. Delyndil observa la petite cour, puis son regard se pencha vers Pheredil, celui-ci acquissa d'un geste de la tête et enleva le haut de son armure ne laissant qu'une haut de soie rouge a découvert. il sortit son épée et alla se palcer au centre de la cour.

" Ton premier test cavalière...tous cavalier doit savoir se battre aussi bien a cheval que sans, cependant notre facon de nous battre est différente de celle de l'infenterie, nos armures elles-même sont plus légères ..."

" le style de combat que nous allons t'enseigner est celui de la danse....car un combat es tune danse de lame...."

Pheredil invita donc Airin Balthus de venir au centre de la cour afin de se préparer a son premier test, Pheredil placa sa lame au dessus de sa tête, l'autre main libre en avant, attendant qu'Airin se prépare elle aussi pour le petit combat.

" ah oui...'noublie pas ta lame n'est que le prolongement de ton geste ni plus ni moins..."

Reculant Delyndil croisa les bras et observa attentivement.

La jeune Airin rêvassa légèrement lorsque que son supérieur évoqua les éperons d'or, mais elle s'était déjà engagée dans une guilde et elle ne savait pas si elle pourrait oui ou non rejoindre ce club très fermé de ces femmes sans doute beaucoup plus fortes en combats qu'elle... Mais Airin le savait il n'y avait pas meilleure cavalière qu'elle et elle miserait sur cela pendant les combats. Reprenant ses esprits elle se concentra sur l'homme qui lui faisait face, c'était sans un excellent escrimeur mais elle devait faire ses preuves et s'était maintenant qu'elle devait ouvrir tous ses sens et réussir au moins à parer les attaques du maîtres d'armes en face d'elle.

L'elfe respira à fond et la concentration fit briller ses magnifiques yeux bleus, elle sortit lentement la lame de son fourreau et le glissement du métal contre le cuir la fit frémir, jamais elle ne s'était réellement battu contre quelqu'un, c'était plus des entraînements que de véritables combats. Elle se souvint de toute les techniques qu'elle avait apprises au cours de ses entrainements avec le père de Jack, elle se mit en position tout comme l'homme en face d'elle, il la regardait très méchamment mais Airin lui retourna son regard. Le temps semblait s'être figé mais bientôt le maître d'armes allait attaquer.

En effet, Airin avait bien deviné, puisque l'homme se jeta littéralement sur elle et lui assena un gros coup sur son coté pour lancer le combat, Airin eut juste le temps de placer sa lame pour ne pas se retrouver en deux parties et le coup résonna jusque dans ses pieds lui donnant une véritable douleur au poignet. Elle l'ignora et c'est maintenant qu'elle se souvint de ses courses matinales derrière Fleur d'Opâle essayant de la suivre jusqu'à épuisement pour raffermir ses membres, ses muscles et supporter la force des coups jusque dans le talon. Bientôt le deuxième coup arriva et cette fois-ci il se préparait à lui couper la jambe, Airin le repoussa et passa à quelques centimètres, bien trop grands, de son ventre mais elle attaqua fermement décidé à lui faire une entaille quelque part. Mais le maître escrimeur voyant les difficultés de Airin attaquait de plus en plus vite, pensant que la vitesse allait la déstabiliser, mais les muscles de la jeune elfe étaient échauffés et elle défendait réellement son bout de terrain.

Les elfes autours d'eux s'étaient arrêté pour les observer, mais Airin les voyait pas elle ne regardait que les yeux furieux du combattant et l'épée étincelante au soleil, elle sauta en arrière, en effet l'épée était passé non loin de sa tête lui enlevant un mèche de cheveux, ses beaux cheveux châtains... Elle resta légèrement pliée et avec grâce elle s'apprêta à lancer deux attaques successives sur l'entraîneur, celui-ci lors de l'échange lui entailla légèrement la joue, son sang chaud coula sur sa joue telle une larme de sang, Airin qui sentait le picotement espéra seulement qu'il ai lavé sa lame depuis qu'il avait tué un ennemi. L'elfe qui pouvait encore s'occuper de choses inutiles, se concentra un peu plus, elle devait le toucher, son supérieur devait avoir l'envie de l'engager. Elle devait toucher son adversaire.

La lame d'Airin toucha soudain la cuirasse du maître, celui-ci destabilisé eut quelque peu les yeux affolés, la jeune elfe en profita pour frapper de toute ses forces sur la main droite qui tenait l'épée en suspend. Celle-ci trembla légèrement mais il réussit à la rattraper et à raffermir sa prise, Airin était folle de rage pourquoi il l'avait rattrapé !! Elle se tint quelques instants en arrière et se redressa, peut-être sa position n'était pas bonne, elle réfléchit et soudain elle vit. Une brèche, une chance de pouvoir le toucher, en effet avant de frapper l'entraîneur écartait bien trop le bras gauche pour prendre une sorte d'élan, elle ne l'avait pas vu elle était bien trop préoccupée par la lame dansante de l'homme. La prochaine attaque de celui-ci visait sa main droite espérant lui rendre la pareille et lui faire perdre son arme. Habituée à se battre à la lance, Airin au tout dernier instant, à l'extrême limite...Au moment où celui-ci allait abattre l'épée sur sa main, en quelques secondes, Airin l'esquiva, sauta de quelques centimètres sur sa gauche et...changea son épée de main ! Ayant vu le maître rattraper son épée elle en avait appris juste assez pour pouvoir refermer ses doigts sur la garde de son épée et allongea au maximum son bras, le lança pensant mentalement à son supérieur *n'oublie pas ta lame, n'est que le prolongement de ton geste ni plus ni moins...*, elle élança son bras et réussit à tailler un profonde entaille dans la pliure du bras de son adversaire, aussitôt sa tunique se mit à rougir. Son entraîneur surprit de voir Airin changer de main et s'esquiver, avait évidemment réussit à la toucher à la cuisse mais l'entaille n'était pas aussi profonde que celle qu'Airin venait de lui assener. Il grimaça et Airin prête à tomber se détendit lentement et, en ramenant ses genoux vers sa poitrine, elle atterit sur le sol en un "pouf!", tournant le dos à son adversaire, accroupit, haletante, et contente d'elle, même si elle aurait pu faire mieux.

Elle aurait besoin d'entraînement. L'elfe se redressa lentement, n'entendant que le bruit des oiseaux dans le ciel, comme si tous les souffles étaient interrompus. Airin se retourna et garda la tête baissée, elle avait du mal à respirer et sa poitrine se soulevait rapidement, son coeur pressant contre ses côtes. Le sang bouillonnant contre ses pommettes, Airin rouvrit les yeux, et ses cheveux balayés par le vent vinrent lui caresser l'entaille qu'elle avait à la joue, elle marcha en direction de l'entraîneur et posa un genou au sol en signe de salut et de respect. Peut-être n'aurait-elle pas du le toucher ? Airin n'en savait rien, elle s'efforçait de se remettre sachant qu'elle était endurante mais seulement grâce à ses nerfs en ces instants...Ses blessures ne la dérangeaient pas mais celle de la joue continuait à ruisseler et elle en sentait la trace sur le coup, tâchant sans doute sa tunique. Ses yeux bleus brillants se relevérent vers son ancien adversaire et celui-ci se tenait l'extrémité de la poitrine, là où le sang rouge commençait à sécher, contrairement à Airin, son sang s'était arrêté de couler même si l'entaille était moyennement profonde. Avait-il des pouvoirs ?

Soudain Airin eut un flash, aurait-elle pu utiliser la magie ? Elle n'en savait rien, et soudain elle eut honte et son visage tourna au rouge, elle rebaissa la tête, attendant qu'on décide de son cas, et surtout qu'on lui demande de se relever. Elle n'entendit pas les pas de son supérieur approchés, torturée par des milliers de questions, sur ce qu'elle aurait pu faire durant ce court combat, ou sur ce qu'elle n'aurait pas du faire... Avait-elle mal combattu ? Avait-elle dansé ? Combien de temps le combat avait duré ? Quelques secondes, quelques minutes ? Le temps s'était arrêté pour la demoiselle et elle se demanda si le but du combat n'était pas de mettre l'entraîneur à terre, et non simplement le blesser... Les éperons d'or si elles l'avaient vu, se seraient sans doute moqués d'elle, mais au fond Airin savait qu'elle avait bien fait et que blesser son adversaire était déjà en soit, un exploit, pour elle qui n'avait pas maniée la lame depuis un certain temps...

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