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 |  Sujet: Re: Appartements de Medhiv  Mer 23 Jan 2008 - 21:42 | |
| Étant surpris dans une position plutôt gênante, l'Oracle vit le Roi soulever les draps, et ensuite leurs crié dessus.
Il comprennait sa colère, alors il était près a recevoir des coups, qu'il ne rendrait pas.
Mais il vit Kamilia qui se jettait tête baissée dans cette 'bataille', et il resta en retrait, tout en s'habillant en vitesse, puis se tourna quand le Roi regardait justement sa fille qui partait.
Il regarda le Roi et baissa la tête, puis dit:
"Mon Roi, pardonnez-moi mais..J'ai des sentiments pour votre fille, et je crois qu'ils sont réciproques. Et ce qu'elle a dit est juste; vous contrôlé trop sa vie. Mais si vous voulez que je parte, je vous comprendrais, et je partirai. Mais puis-je seulement dire adieux a votre fille avant?"
Le Prophète était plutôt gêné, et pour la seconde fois de sa vie, il ne savait pas quoi dire. Il tentait de trouver des paroles appaisantes, mais le Roi avait surement envi de le tué, et rien d'autre.
Il décida de rester sur place, pour laissez le Roi vidé sa colère.
Et il ne ferait rien pour se défendre, car, même s'il l'aurait voulu, il avait promis de ne plus utilisé ses pouvoirs pour se battre. |
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Ultuant
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié | | Sujet: Re: Appartements de Medhiv Ven 25 Jan 2008 - 15:40 | |
| [Désolé, je rajouterais de la lumière ^^]
Ultuant était en train de calomnier Medhiv sous les insultes lorsque Kamilia réagit fraichement et calmement, lui répondant d'une voix neutre mais aussi tranchante que de l'acier. Elle le haïssait surement sur le moment, mais cela lui importait peu. Il se préoccupait d'elle, même s'il se montrait dur et intrangiseant.
"Oh que oui, si tu le dis. Injuste et cruel, voilà des mots qui me qualifient parfaitement."
Il la regarda s'avancer vers la porte, avec un regard calme. L'Oracle était en train de s'habiller dans un coin parce qu'il était dans une facheuse position allongé dans le lit.
"Oh, si tu savais, mon coeur m'a été enlevé il y a bien longtemps. Je ne sais même pas si j'en ai eu un, un jour".
Il répondait à Kamilia sans colère, il acquiesçait à ses excès car il connaissait bien les enfants. Il en avait été un et s'en souvenait très bien, contrairement à la plupart des adultes, qui oubliaient leurs joies d'enfances dès qu'ils dépassaient la majorité.
La porte se referma tellement brutalement qu'il frisonna tout de même sous l'impact, bien qu'il y soit préparé.
Enfin seul, il se tourna vers Medhiv, en tournant sur ses talons. Etrangement il souriait, en écoutant les propos de l'Oracle. Etrangement, comme un dément ou un fou qui aurait oublié ce qui s'était passé deux minutes plus tôt. Il le regardait, presque tendrement, le dos légèrement courbé, comme s'il s'attendait à subir des coups.
"Est-ce vrai que vous avez des sentiments pour ma fille ? Des sentiments si puissants que rien ne vous entrainerez à les briser ? Mais quand à ceux de ma fille, j'en doute pour le moment. Elle a eu tellement d'amour suprême, comme elle disait, qu'ils n'ont durés que quelques jours à chaque fois."
Ultuant fit glisser ses bras dans son dos et les y croisa.
"Certes je contrôle sa vie, mais cela m'est obligé, si vous la connaissiez un peu mieux, vous sauriez qu'elle est infernale, la petite.
Seulement, je ne vais pas vous chasser. Non, je connais trop bien les passions de jeunesse. J'en ai eu tant et plus, croyez moi.
Cela ne me dérange en aucun cas si vous l'aimez vraiment. Je ne vous donnerais que deux points à respecter sans faille. Premièrement, vous comprendrez que vous ne pouvez pas être roi et pour cela je vous demanderais de ne rien dévoiler à personne sur cette relation pour qu'elle puisse continuer, si elle le désire, une fois qu'elle sera mariée à mon successeur. Deuxièmement, ne lui faite jamais d'enfants. Débrouillez-vous comme vous le souhaitez mais jamais d'enfants. Auquel cas, je me verrais dans l'obligation de sévir."
Ultuant regarda Medhiv troublé par sa réaction. Même lui avait réagit mieux qu'il l'aurait espéré, surement l'habitude. Il le regarda encore un instant puis ajouta, avec un mouvement en direction de la porte :
"Allez la rejoindre si vous voulez." |
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