Ne veux plus être seule... [ PV Demoras ]

Dilliany déambulait sur le sentier d'une forêt calme où on pouvait entendre tous les sons qu'elle aimait entendre, elle put voir diverse animaux et les contemplées puisqu'ils étaient tous très beau, puis elle vit un petit couple d'oiseaux qui volaient ensemble en dansant dans les airs, ce qui fit voir des mauvais souvenirs du passer. Dilliany décida de s'asseoir prêt d'un arbre, mais les souvenirs l'a hantais encore, ce qui la peina au plus haut point. Elle n'en pouvait plus de ces souvenirs. Ça la tuait psychologiquement.

« Pourquoi suis-je si seule... Pourquoi mon passer me hante autant? »

Puis elle commençait à pleurer son malheur, elle voulait en finir avec se passer, elle ne voulait plus être seul, mais qui pourrait lui arrêter ce malheur et la rendre heureuse, mais elle doutait qu'elle trouverais quelqu'un qui voudrait la chérir, l'aimer ou tout simplement être son ami. Tous les gens qu'elle connaissait son soit mort ou elle ne les voit plus, mais elle était persuadée que ceux-ci avait un bien meilleur passer qu'elle. Dilliany avait vécu dans un orphelinat, mais dut s'en échapper à cause de la façon dont elle était maltraité, mais il n'avait absolument personne qui aurait pu la prendre sous son aile. Mais personne ne voulue, car elle était sans abris et sale, donc elle dut vivre de son mieux...

« Je déteste mon passé. Arrête de me hanter comme ça! »

Elle mit ses mains sur sa tête comme si elle souffrait physiquement, mais elle souffrait que mentalement. Puis elle tomba en sanglot sans arrêter.

« Est-ce quelqu'un peut arrêter ça! »

Puis elle entendit un son tout proche, c'était des pas qui s'approchaient, elle voulue reprendre son sérieux pour ne pas perdre la face, mais elle ne pouvait pas, la tristesse était trop forte, elle ne pouvait pas arrêter.

Sujet: Re: Ne veux plus être seule... [ PV Demoras ] Ven 2 Jan 2009 - 18:18

> Ceux qui tentent de gravirent la montagne du destin n'obtiendront que leur perte ... <

Tel était le dilemme que la vie vous réservait. Une étrange phrase pourtant bien réelle ... La mort n'est pas un hasard, la mort n'est pas choisit n'importe comment, vous êtes maître de votre mort ... Vivez, n'abandonnez pas, vous tenez votre vie entre vos mains, vous ne vivez que pour vous, ne comptez sur personne d'autre, haïssez vous les uns envers les autres, ne vous unissez pas, la trahison est certaine. Ne renoncez pas, c'est vous qui êtes en jeu, vous et votre mort ... C'était une raison bien trouble. L'obscurité s'effaçait peu à peu du cœur de Demoras qui se sentait de plus en plus changé ... Il devait à présent suivre sa voie, la voie qui le mènerait à la réussite, encore fallait-il la mériter. Le Demi marchait ou ses pieds le guideraient, équipé de son armement habituel : une épée, deux dagues ... Il soupira puis repris la marche qui lui était assignée, accompagné de Nëve et Häalich, l'un sur son épaule, l'autre au sol. Vêtu d'un revêtement simple ainsi qu'une cape et des bottes. Puis, quelques temps après, il se posa adossé à un arbre en regardant le ciel de ses yeux à pupille rouge. Le vent caressa ses cheveux qui virevoltèrent mais qui furent retint par le bandeau noir qu'il avait sous ceux-ci. Le soleil l'éblouissait lui donnant envie de reprendre sa route. Il se releva malgrès la fatigue qui l'emportait et continua sa route vers le sentier d'Aduram. Une forêt dans la zone neutre, regorgeant d'une végétation verdâtre, de beaux arbres et une belle faune. Une brise légère lui fouetta le visage posant son regard d'or sur le ciel pourtant azur. Demoras marchait et n'arrêtait pas. Après avoir marché pendant quelques minutes, il se posa sur la branche d'un arbre et baissa ses pupilles sur une magnifique créature : une humaine qui, agenouillé au sol, posait ses mains sur sa tête. Demoras sauta de son arbre au sol puis se dirigea vers la femme. Personne ne savait qu'il était maître de lui, personne ne savait que lui seul pouvait effacer les souvenirs qu'il lui hantait. Personne ne savait rien à la vie ... Apparament elle voulait oublier un passé surement tragique, Demoras soupira longuement, baissa la tête, la releva et la regarda, en se dressant devant elle, de ses yeux d'or. La Tragédie était magnifique, surtout quand certaines personnes n'y pouvait rien. Ses cheveux tombèrent. Demoras s'accroupit et continua de regarder sa chevelure.

Il manqua un toucher, une caresse mais s'estompa. Il se releva, se reposa sur son arbre, toujours adossé au tronc à regarder les oiseaux près de lui. Il soupira encore puis fit un geste de la main afin de les faire disparaître. Il tourna sa tête vers elle et lui dit alors :

« Toi seule peut effacer les souvenirs qui te hantent ... Qui peut faire sa à part toi ? »

[ Comme je te l'avais dit mon post est médiocre, je n'ai pas beaucoup de temps =( ]

Sujet: Re: Ne veux plus être seule... [ PV Demoras ] Ven 2 Jan 2009 - 19:02

Ayant vu cette personne, Dilliany voulu qu'il passe son chemin, mais il s'arrêta pour autant, elle continua de se morfondre et maudire son passer, la personne qui venait vers elle, venait de sauta d'une branche d'un arbre et s'approcha doucement. Il avait l'air d'être sombre, il s'approcha de plus en plus d'elle et à sa grande surprise, cet homme l'a prit et l'aida à se relever, puis il s'accroupit, il voulait retourner à sa branche où il était il y a quelque instant. Il avait l'air de vouloir la toucher, mais s'arrêta et sauta sur sa branche, il n'avait dit aucun mot, mais à sa grande stupéfaction, il lui disa une phrase bien simple dont la réponse est tout aussi simple que cela.

« Oui je sais, mais cela est plus facile à dire qu'à faire, car mes souvenirs me hante chaque jour durant depuis mon enfance... C'est trop dur à effacer, j'ai toujours été trop seule dans ma vie... »

Ne pouvant plus rester debout par la peine qu'elle a, elle s'accota sur l'arbre le plus proche, les souvenirs les hantais de plus en plus fort comme si s'était un maléfice quelconque, elle n'en pouvait plus.

« Mais arrêter de me hanter comme ça! »

Le cri fut si fort que le village à coter aurait pu l'entendre, puis pleura amèrement, ce qui, sûrement, attrista la personne sur la branche. Elle voulue être réconforté, être dans les bras d'un ami qui lui aurait été cher, mais pour elle cela n'existait pas, car elle n'a pas de famille, pas d'ami, même pas une personne qu'elle pourrait aimer de tout son coeur. Elle était seule et ne voulait plus que ça continue... Quand au lieu d'être seule et d'être malheureuse, elle préféra mourir au lieu de continuer à vivre comme cela. Elle prit sa dague lentement en tremblant, la prit à deux mains pointa son ventre de sa dague.

Sujet: Re: Ne veux plus être seule... [ PV Demoras ] Dim 4 Jan 2009 - 15:31

« Pff ... Ben vas-y, suicides-toi, que veux tu que ça me fasse ? Tu vas juste détruire, intérieurement, les êtres auxquels tu tient. Tu ne te rend pas compte de la gravité de ton acte ? Pauvre humaine stupide, vous êtes donc aussi idiot que je le pensais ... La honte de Miradelphia. Maudit, je vous maudit tous autant que vous êtes ... Tu n'a donc rien d'autre à faire que de te pointer une arme ? De te menacer la mort ... Savoures donc ta vie pauvre folle ... car elle ne durera pas bien longtemps, savoures ton existence, chaque seconde de ta vie ... Je ne suis qu'une ombre au milieu des ténèbres ... Bande d'imbécile. »

Les derniers mots de Demoras furent froid et cruel. Mais tout ce qu'il avançait s'avérait vraisemblablement vrai ... La race humaine est un lourd fardeau. Demoras possédait malheureusement vingt-cinq pour cent de ce sang mais bien heureusement, son sang drow était majoritairement régnant. Un sang noir, d'un noir absolument profond, Demoras voulait gouter rien qu'une seul goutte du sang humain, pour voir quel effet d'être un homme complètement dépourvu de sens. Il parcourra sa chevelure de sa main droite et frotta son pendentif poussiéreux. Le soleil devenait de plus en plus critique, donnant lumière éblouissante et chaleur insupportable. Le Demi retira donc ce qui lui servait de "cache-torse" et lança le tissu dans la nature. A présent on pouvait voir sa rangée de muscle impressionnante, il sentit alors la chaleur sur son torse nu. Il ne pouvait plus tenir ... Rester ici lui procurait un tel bien et une tranquillité, mais à quoi bon regarder un spectacle ennuyant et sans importance ? C'était sa vie pas la sienne ... Il détestait jouer les sauveurs mais allait-il l'aider ? Peut-être la desarmer et après ? Ils ne se connaissaient pas et n'étaient pas ami. Il n'avait aucune raison de faire sa. Il pourait lui faire comprendre le sens de la vie mais cela s'arrêtait la ... Pourquoi cela n'arrivait qu'a lui ? Mais pourquoi ?
Il sauta donc au sol, mit ses mains dans les fentes de son pantalon et marcha le plus lentement possible. Arrivé devant-elle, il lui fit des yeux rouge. Il leva son pied pour donner un brutal coup dans ses mains afin de lui faire perdre le contrôle de son canif qui se planta sur l'herbe fraiche à quelques pas d'ici. Ensuite il donna un coup violent, grâce à sa main ouverte, à son doux visage. Il l'avait giflée. Étant donné la gravité de son acte, elle méritait parfaitement ce coup. Demoras changea de ton son visage passa, de neutre, à rageux. Pourquoi cela n'arrivait qu'a lui ?! Lui qui vivait sur son nuage de paix, dans son petit monde à lui ou personne ne pourrait briser sa tranquillité. Il ne tuait plus personne mais son mal était entaillé profondément dans son cœur. Un cœur ... Il n'en avait pas, il n'avait pitié pour personne. Fatigué de porter son épée, il l'enleva de son fourreau et la posa au sol. Puis il sortit une dague et pour donner un coup bref et égratigner son bras afin de laisser couler son sang noir sur la lame de son arme. Pourquoi avait-il fait sa ? Pour nourrir son arme. Cela peut paraître étrange mais sans ce stratagème, ce n'est qu'un objet rouillé, totalement vulnérable. Demoras se posa ensuite sur la branche qu'il fréquentait de plus en plus, soupira encore et encore. La stupidité, l'hostilité, l'humanité, Miradelphia. Un monde bien étrange au milles et une surprises.Il pensa tout à coup à Brylan, abandonnerait-il son but ? Non. Il continuerait de le maudire, le détester, le haïr jusqu'au jour où il se battraient et l'un des deux aura la vie sauve. Mais il étai beaucoup trop faible et impuissant face à ce membre du parthénon drowique.
Il se le répétait souvent mais allait-il vraiment le faire ? Peu importe. Il devait pour l'instant vivre chaque seconde de sa vie... A présent il avait une humaine complètement folle devant lui, une dague plantée au sol et sa lame immobile. Un soleil étouffant et une lumière aveuglante, Aduram. Terre neutre de ce monde étrange. Des arbres, beaucoup, une végétation d'or, une faune bien secrète et pour finir, une étendue parfaite de pelouse fraiche. L'aménagement de l'homme ? Oui et non. Mais quel importance ? Aucune, absolument aucune. Häalich avait faim car il se posa sur l'épaule du demi drow avec des yeux suppliant. Nëve sortit de l'ombre pour les rejoindre, affamée. Mais que trouver ici, les animaux étaient tous caché. Par chance, un mammifère apparu de nul part, croisé entre le lion et le jaguar, il se lança sur Nëve en fendant l'air. Celle-ci ne se laissa pas faire et enfonça ses crocs dans son cou. De son côté Häalich lui déchira la peau de ses griffes pointue. Une vraie boucherie. "Voila votre repas" pensa Demoras en souriant devant ce superbe travail d'équipe. Néanmoins un loup est solitaire, tout comme un rapace. Mais la proie était seule et ils avaient tout deux faim. Il disparurent dans la pénombre peu après avoir fini leur repas, laissant quelques os et encore ... Demoras s'empara d'une branche qu'il coupa, la fendit en deux grâce à sa dague et récolta la sève contenu pour cicatriser sa blessure. Le processus marcha automatiquement en forment une marque droite. Puis il lança ses découpes au sol et dit ensuite :

« Tu as renoncé au suicide ? Sage décision. Maintenant on se retrouve dans le même cas. Un passé tragique qui nous hante mais oublions, ce ne sont que des souvenirs inutiles qui appartiennent au mal. Tu peux oublier tout ça, concentres-toi. Si je peux, tu en es aussi capable belle humaine. »

Cette fois, il avait dit ça d'une voix totalement douce et claire.

Sujet: Re: Ne veux plus être seule... [ PV Demoras ] Lun 5 Jan 2009 - 5:25

Tout devenait déjà sombre, avant même que la dague aille dans son abdomen, elle revoyait déjà sa vie, même si ce n'étais que souffrance et tristesse, mais c'est à ce moment-là qu'elle revoit le visage de sa mère, terrifier, cette vision, la remplit de bonheur, même si en même temps c'était de la tristesse, car elle voulait savoir pourquoi elle était si terrifier. Puis elle ré-ouvrit ses mains, elle regarda la dague pointer vers elle, toute tremblante, puis cette étrange personnage lui disa quelque chose qui fit dévier son regard vers lui, ses cheveux lui cachait partiellement la vue. Ce qu'il venait de dire la troubla, depuis quand un étranger comme lui essaie de lui faire changer d'idée. Mais elle admettait que cela l'a fit réfléchir beaucoup.

* Pourquoi me tuer... J'ai tellement de choses encore à découvrir... Je suis finalement encore trop jeune pour mourir de la sorte. *

Plein de questions tourna dans sa tête, puis soudain, l'étranger lui botta sa dague, elle ne l'avait même pas remarqué, quelle discrétion. Puis sans attente, elle reçue une gifle de la part de l'étranger, au fond d'elle elle savait qu'elle le méritait, puis il changea d'air, il avait l'air très confus, il avait l'air de ne plus savoir ce qu'il faisait, il déposa son arme à terre, et prit une dague et se fit une égratignure sur lui-même. Mais pourquoi se fait-il de l'auto-mutilation? Puis il retourna sur sa branche où il était précédemment. Dilliany n'arrêta de le regarder, un étrange personnage... Il prit soudain une branche qu'il cassa en deux en prenant un liquide qui venait de la branche, puis mit ce liquide sur la plait qu'il s'était faite il y a un moment. Il jeta les branches à terre et disa un autre réplique. Maintenant sa voix était très douce complètement le contraire qu'avant. Puis, stupéfaite, cette étrange personnage venait de lui dire un compliment, il me trouvait belle. Une gigantesque vague de chaleur venait de la traverser, une personne lui a fait un compliment, elle ne pouvait pas le croire, d'une grande volonter, elle se releva, sans trembler cette fois, elle avait maintenant confiance en elle, une personne croyait en elle maintenant, ce qui la fit résoudre que la volonter était plus forte que les sentiments intérieurs oublié. Elle devait oublier son passer, et vivre dans le présent, vivre la vie qu'elle devrait vivre, elle décida donc de dire :

« Hey veux-tu marcher ensemble un moment? C'est bien toi qui m'a sauvé la vie, non? »

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