[ les entrepôts ] la mission

Sujet: [ les entrepôts ] la mission Sam 10 Jan 2009 - 22:00

Les entrepôts du port d’Ydril surplombaient le port dans le pénombre de la nuit. Rayon après rayon, la lune éclairait le lieu d’échange, baignant de sa lumière les quelques passants et gardes qui s’y trouvaient encore. Vif comme un chat, Edward se faufilait entre les différents bâtiments. Allant d’ombre en ombre, il se rapprochait de plus en plus de son objectif principal, l’entrepôt numéro 8. Toujours en alerte, le jeune humain se plaqua contre un mur et laissa passer une petite patrouille de garde. Ceux-ci, trop occupé à parler de la beuverie à laquelle ils allaient participer après leur tour de garde, ne remarquèrent pas la silhouette qui se glissait derrière eux. Aussi silencieux qu’une tombe, Edward s’enfonça dans une petite ruelle et commença à fouiller dans son sac à dos. Il en sortit rapidement une corde attaché à un grappin qu’il lança sur le toit de l’entrepôt numéro huit.

Après s’être assurer que son grappin était bien accrocher, il commença la périlleuse escalade. Tranquillement mais sûrement, il monta pas à pas sur le mur de l’édifice en prenant bien soin de rester dans les surfaces les plus sombres et obscures. Après seulement quelques minutes d’escalade, Edward se hâta de remonter la corde afin de n’attirer aucun soupçon. Pour que sa mission réussisse, il ne devait en aucun cas être vue. Du coin de l’œil, il chercha la trappe par laquelle il pourrait descendre à l’intérieur de l’immeuble. Une fois chose faite, il la souleva et descendit les petites marches de bois. L’escalier mena Edward jusqu’à une balustrade, par laquelle on pouvait voir la totalité de l’entrepôt.

Ne perdant pas une seule seconde, il accrocha son grappin au garde-fou et descendit en rappel le long de la seule échelle qui permettait de monter sur la balustrade. Il cassa les cinq derniers barreaux et descendit tout en bas, sur le sol de l’entrepôt. Edward sorti de son sac à dos un récipient remplis d’huile qu’il répandit à certain endroits stratégique. Une fois chose faite, il regrimpa sur sa corde, et une fois rendu en haut, il la resserra dans son sac. Puis, il se coucha à plat ventre sur le sol et pris son arbalète légère. Edward la chargea d’un carreau, visa la porte d’entrée. L’attente fut longue, mais comme prévue, trois individus de petite taille arrivèrent après dix minutes. Patients, Edward attendis encore quelques minutes avant de voir un second groupe d’individu arriver, trimballant avec eux un immense sac.

Humain : Alors nain, toujours à l’avance comme d’habitude? Ta ponctualité me surprendra toujours. Et si on parlait maintenant affaire? Mes hommes ont autre chose à faire que d’assurer ma sécurité lors de notre présente transaction.

Nain : Je suis ici pour affaire, pas pour parler. Donne moi ma commande. Tu as pris deux semaines de plus pour me la livrer, tu seras donc payer moins cher mon brave.

Humain : Quoi?? Tu rigoles!! Ce n’est pas si facile que ça d’obtenir ce que tu m’as demandé. Cela prends des semaines de préparations pour dérober un tel trésor. Tu le sais aussi bien que moi que ce coup ne c’est pas fait en une nuit. Je ne peu pas croire que…

Fendant l’air avec précision, un carreau vint se ficher dans la gorge de l’homme qui se tenait à la droite du négociateur humain.

Humain : Aux armes!!!! Une embuscade!!!

Nain : Mais je n’ai…

Le nain n’eu même pas eu le temps de finir de parler que déjà, l’un des quatre humains restant lui lança une dague en plein front. Mort sur le coup, le nain s’affala sur le sol pour ne plus jamais se relever. La bataille commença alors réellement. Les deux nains, remis de leurs surprises, dégainèrent leur hache d’arme, prêt à en découdre avec les trois humains qui fonçaient sur eux. Une violente mêlée éclata entre les deux groupes. Pendant ce temps, le chef des humains battait en retraite avec l’un de ses sbires ainsi que le sac et son précieux contenue.

Nouveau sifflement, un carreaux se ficha dans l’épaule du sbire. Edward se mordilla la lèvre inférieur, il avait raté la tête de peu, cette erreur pouvais lui coûter cher. Après avoir abandonner son sac et plonger derrière une grosse caisse de marchandise, le chef des humains ordonna au blessé de grimper à l’échelle et de tuer le tireur. Celui-ci se mis d’abord à couvert, retira le carreau de son épaule et se faufila jusqu’à l’échelle. Prudent, il escalada l’échelle tout en mettant sa targe par-dessus sa tête. Il allait tout de même pas servir d’exercice de tir à nouveau.

De son coté, Edward se dépêcha d’accrocher à nouveau son grappin au garde-fou, d’enrouler la corde autour de sa taille et de faire plusieurs nœuds. Puis, sans attendre, il se jeta dans le vide, arbalète chargée. L’humain qui montait dans l’échelle se rendis compte que les cinq dernier barreaux de l’échelle avait été cassé. Pendant qu’il réfléchissait, il entendit un petit sifflement qui provenait de sa gauche. Il eu tout juste le temps de relever la tête pour apercevoir Edward lui tirer dessus. Le carreau se ficha directement dans son sternum et le tua sur le coup. L’assassin ne perdit pas une seul seconde et descendit jusqu’au niveau du sol avant de se défaire de la corde. Il mis ensuite son arbalète en bandoulière et dégaina ses deux épées courtes.

Le jeune humain n’avait qu’une seule idée en tête, rattraper le chef des brigands humain. Celui-ci, profitait toujours de la bataille qui faisait rage pour s’enfuir avec le sac u’il soulevait avec peine. Profitant de cette chance unique, Edward rattrapa l’individu. Il exploita le dos découvert de son adversaire pour lui planter ses deux épées courtes dans le dos. Le chef brigand, après avoir craché du sang, laissa tomber le sac sur le sol. Il essaya de faire demi-tour pour faire face à son adversaire, mais Edward lui assena deux autres coup qui lui fur fatale.

Il retira ses lames du corps ensanglanté du brigand et alla ouvrir le sac. Il avais pour mission de dérober le contenu de se sac et de le remettre à un riche marchand. Edward se souvenait comme si c’étais hier de leur rencontre…

Marchand : Que les choses soit clair jeune homme. Vous pouvez tous les tuer, sa m’est égale. Je ne veux que le sac que les deux groupes essayeront de s’échanger. Peu m’importe la manière dont vous vous y prenez, la seule chose qui compte, c’est le sac. Compris?

Edward : Oui monsieur! Désolé de ma curiosité, mais que renferme se sac? Pas que je veuille me mêler de vos affaire, mais je dois au moins en savoir le poids. Si je veux le dérober, je vais devoir tout planifier.

Marchand : Le contenu du sac n’est pas très lourd, vous pouvez, à ce que je vois, le transporter assez facilement. Le sac renferme la plus belle chose au monde à mes yeux.

Edward cessa momentanément de pensé à son embaucheur. Il allait enfin savoir ce qu’il devait rapporter coûte que coût au marchand. Le jeune homme ouvrit le sac et se fut la stupeur. Ligotée et bâillonnée, une jeune femme l’implorait de ses yeux de la libérée, de la sauver de ses ravisseurs. Estomaquer de cette découverte, Edward repris cependant rapidement son sang froid. Il ignora les gémissements et les bruits étouffés de la captive et referma le cordon du sac. Puis, il la lança sur l’une de ses épaules, comme un sac de patate, et couru jusqu’à sa corde. Tâche qui s’averra ardue, le colis n’était décidément pas si léger que cela. Mais il grimpa sur sa corde et atteignis finalement la balustrade après de gros efforts physique.

Comme Edward quittait l’entrepôt avec son précieux paquet, il entendit la porte d’entrée être défoncée avec fracas et vit plusieurs dizaine de gardes s’enfoncer dans l’entrepôt. Ceux-ci mirent fin à la bataille et arrêtèrent les survivants. L’assassin, quand à lui, ressortis dehors par le toit, re-descendit dans une ruelle et se perdit dans la nuit, toujours avec son sac sur son épaule. Mais il n’était pas tirer d’affaire pour autant. Il devait impérativement trouver un allié qui pourrais l’aider à cacher sa nouvelle prisonnière.

Sujet: Re: [ les entrepôts ] la mission Dim 18 Jan 2009 - 6:53

Elvalia continuait d’avancer dans la ville d’Ydril, explorant chaque coin que ces yeux voyaient. Elle était arrivée depuis deux jours, dans cette ville portuaire et remplit d’humains. Pas le moindrement mal à l’aise, elle se promenait partout, observait les gens aller et venir dans les rues remplis de commerces. Certains la dévisageaient avec fascination, d’autre avec un peu de mépris lui faisant clairement comprendre que ce n’était pas la ville des elfes, mais elle s’en fichait, trop heureuse de se trouver dans un endroit si vivant et différent de ces terres elfiques.

La nuit commençait à chasser le jour, mais Elvalia n’avait pas sommeil. Au contraire, Ydril était une ville très dynamique le jour, qu’en était-il de la nuit ? Sa curiosité l’emporta encore une fois et chassa le sommeil en un rien de temps. Tous ces sens étaient éveillés, chaque bruit attirait son attention et le moindre insecte qui traversait son champ de vision lui faisait tourner la tête afin de l’apercevoir.

Alors qu’elle tournait le coin d’une petite rue en pavé, elle s’arrêta brusquement au même moment qu’une voix retentit derrière elle.

Ce n’est pas très prudent pour une étrangère de se promener ainsi la nuit…

Qui dit que je suis une étrangère ? répliqua l’elfe sans se retourner.

Oh mais c’est facile à deviner… je me souviens de tous les visages que je croise dans ma vie !

Un sourire s’étira sur le visage fin et délicat d’Elvalia et étouffa un rire.

Vous n’avez surement pas dû croiser beaucoup de gens dans votre vie alors !!

Elle fit un pas pour reprendre sa route, mais elle vit de côté la main de l’homme qui approchait pour attraper son poignet. D’un geste vif, elle arrêta son geste et recula d’un bond ne quittant pas l’homme des yeux. Il était grand et costaud, les cheveux long d’un brun clair attaché au niveau de sa nuque. Un rapide examen de ces yeux d’elfes bleus clair informa la jeune elfe que l’homme était armé et qu’il ne semblait pas avoir trouvé sa réplique très drôle.

Je paris tout de fois, que c’est la première fois que vous voyiez une elfe ! Ca je vous le promets vous allez vous en souvenir !

Elvalia éclata de rire alors qu’elle échappa une fois de plus à l’attaque de l’homme. Ces mains immenses comparées a celles de l’elfe se refermèrent sur du vide. Les yeux surpris et furieux de l’homme chercha l’étrange créature dans l’obscurité sans se rendre compte qu’elle se trouvait maintenant derrière lui. Le vent souffla doucement et de longues mèches de sa chevelure frôlèrent le bras de l’homme qui sursauta en se retournant.

Elvalia mit sa main près de ses lèvres et l’homme eut tout juste le temps de remarquer qu’une étrange poudre avait été versée dans sa paume.

Bonne nuit trésor…

Elle souffla doucement et la poudre s’envola en direction de l’homme laissant une trace brillante dans l’air avant d’être aspirer par celui-ci et… il s’écroula lourdement à ces pieds. Elvalia soupira en essuyant sa main sur sa tunique.

C’était ma dernière poignée… dit-elle légèrement furieuse.

Soudain, elle entendit des cris et un bruit de métal, lourd et résonnant dans la nuit. Des pas se rapprochaient rapidement. Elle tourna la tête vers l’une des ruelles qui se trouvait au bout de la rue qu’elle venait d’emprunter et aperçue au loin une troupe de soldats courir en direction d’un bâtiment. La jeune elfe recula dans l’ombre d’un batiment qui se trouvait tout près et vit défilé ce qu’elle interpréta comme des gardes du port. Ces hommes en armure avait dégainés leur arme et couraient aussi vite que leur habillement leur permettaient. Intriguée, Elvalia les suivit de loin, restant dans l’ombre afin de ne pas se faire repérer.

Ils sont dans l’entrepôt !! Dépêchez-vous !

L’elfe resta à distance et les observa défoncer la porte ou du moins tenter de le faire car ils mirent beaucoup de temps avant de parvenir a leur but. Mais quelque chose détourna son attention un bref instant ; plus haut, sur le toit, elle avait perçue un mouvement. Relevant la tête, elle vit une silhouette portant un sac sur ces épaules s’échappant tel un…criminel ?

Les yeux perçants de l’elfe se plissèrent et sans quitter des yeux la silhouette et le suivit courant gracieusement au sol. Ces pas étaient légers et silencieux, on aurait presque dit qu’elle flottait, mais c’était dans la nature des elfes d’être si rapide et discret. Ce ‘’criminel’’ descendit au sol et se dirigea vers l’une des ruelles plus à l’est du Port Ydril. Elle devait lui couper la route et savoir ce qu’il tenait dans son sac. Elle accéléra sa course et prit la seconde ruelle par la gauche ; si elle se souvenait bien celle-ci débouchait au même endroit que l’autre… de l’autre coté du mur de pierre qui séparait leur deux chemins, Elvalia entendit les pas de l’homme et des …gémissements ? Y avait-il quelque chose de vivant à l’intérieur de ce sac ?

L’elfe bondit en avant et décrocha son arc qu’elle tendit rapidement devant elle, armé d’une flèche. Peu de temps après, la silhouette portant l’énorme sac se dessina devant elle.

On allait quelque part peut-être ?

Ses doigts longs et fins se resserrèrent sur la corde tendue de son arc et de l’autre elle tenait la pointe de la flèche. Évidemment, elle n’avait pas l’intention d’utiliser son arme, elle voulait seulement ralentir cet homme. Les gémissements se firent plus présent et Elvalia s’inquiètait de plus en plus de l’origine de cette ‘’chose’’.

Je vous conseille de déposer gentiment votre sac… c’est …vivant… vous en êtes conscient ?

Il n’y avait aucune animosité dans le regard de l’elfe, l’homme qui pouvait maintenant la voir dans la lumière de la lune pouvait constater qu’elle n’était pas dangereuse ni une ennemi…du moins, rien ne lui donnait raison de le devenir pour le moment…

Sujet: Re: [ les entrepôts ] la mission Mer 21 Jan 2009 - 18:27

Marchand d’un pas vif mais néanmoins très léger, Edward déambulait dans les rues de la ville. Calme, passif voir serein, le jeune homme continuait sa mission sans se soucier des victimes qu’il avait fait. Père de famille, célibataire, riche ou pauvre, qu’importe, ils étaient tous membres d’une organisation criminelle donc, tout sauf innocent. C’était plus fort que lui, avec tout ses crimes passés, Edward avait développé un rigoureux sens de l’honneur. Depuis le fameux jour où il avait égorgé un simple tavernier qui n’avait pas rembourser ses dettes, le jeune homme refusait de tuer sans raison. Il n’avait plus jamais accepté de contrat sans que sa ou ses cibles ne méritent vraiment ce quelle méritaient. Désormais, pour lui, aucun n’être humain n’avait le droit de prendre ce qui lui avait été donné par les dieux : La vie. Edward marchait donc rapidement dans un dédale de ruelles sombres, quand soudain, une elfe bondit en avant et décrocha son arc, armé d’une flèche.

On allait quelque part peut-être ?

Stupéfait, l’humain cessa net d’avancer. Mais sa surprise fit rapidement place à la colère. Comment avait-il fait pour être aussi négligent? Pourquoi n’avait-il pas été prudent même s’il avait quitté les lieux du crime en prenant bien soin de laisser des coupables? Mais Edward N,en était pas à sa première rencontre avec le danger. Combien de fois avait-il été menacé de mort par la pointe d’une épée, d’une hache ou de toute arme tranchante? Combien de fois s’en était-il tirer? Bref, sa sérénité légendaire repris le dessus sur la rage qui commençait à gruger son corps, au profit de son intelligence. Tranquillement, il analysa la situation. Il ne pouvait se permettre de courir le risque de blesser sa captive, ce qui enlevait l’option d’une attaque surprise.

Je vous conseille de déposer gentiment votre sac… c’est …vivant… vous en êtes conscient ?

Edward serra très fort les dents, il détestait que l’on lui donne des ordres. Sa famille bourgeoise avait créer en lui une aversion pour l’autorité et la soumission. L’assassin repris de nouveau ses moyens et se résolu à obéir à l’ordre de l’elfe. De toute façon, en se déposant sa prisonnière sur le sol, il se libérait d’un immense fardeau. Car bien que l’elfe ne semblait point hostile pour le moment, tout pouvait basculer en une seconde. La témérité de cette jeune fille le surprenait beaucoup. Ce n’est pas n’importe qui qui peux se permettre d’accoster les gens comme ça en pleine nuit. C’est d’ailleurs ce semblant de courage qui empêcha Edward d’attaquer l’elfe et de la fourrer dans le sac avec l’autre femme.

Edward : C’est vivant? Tu en es certaine? Moi qui pensais que mon sac était remplis d’or. Pas de chance, je vais devoir l’abandonner dans ce cas.

Il n’y avait aucune animosité dans le regard de l’elfe, l’homme qui pouvait maintenant la voir dans la lumière de la lune pouvait constater qu’elle n’était pas dangereuse ni une ennemi…du moins, rien ne lui donnait raison de le devenir pour le moment…

Edward : Bon écoutez jeune demoiselle, je crois qu’il s’agit d’un immense quiproquo. Faisons comme si vous n’avez rien vu et tout iras pour le mieux. Pourquoi s’entêter à absolument tout savoir? La curiosité est un bien vilain défaut. Mais comme je ne veux pas vous importuner plus longtemps, je m’en vais.

L’assassin tenta de reprendre son précieux sac, mais le regard dissuasif de l’elfe le convainquit de ne pas tenter l’expérience. Décidément, cette elfe était non seulement curieuse, mais également entêtée. Mais comme elle ne lui avait rien fais, qu’il n’avait pas mission de la tuer ou de la capturer, Edward se refusait de l’attaquer. Son nouveau code de l’honneur le lui interdisait! Il soupira donc longuement, avant à nouveau de calmer le jeu.

Edward : Écoutez, puisque vous semblez absolument savoir ce qui as dans le sac, vous saurez. Mais avant, laissez moi vous expliquez. Bien que je n’aille pas beaucoup de crédibilité, je vous demande de bien me croire. Je suis un mercenaire, un homme qui gagne sa vie par l’épée. Je n’ai pas d’autre métier et de toute façon, je ne sais rien faire d’autre. Pour survivre, je prends donc toute sorte de contrat. Mon dernier, ramener une jeune et dangereuse fugueuse à son pauvre père.

Tranquillement, il se baissa et défit le cordon qui gardait le sac fermé. Sans plus attendre, la silhouette d’une jeune femme (environ 19 ans) apparut sous le clair de lune. Elle ne cessait de se débattre pour se libérer de ses liens, mais rien à faire, la corde de soie tenait bon. Son regard haineux passa d’Edward à l’elfe, qu’elle croyait complice de l’assassin. Puis, ayant jugé que l’elfe en avait assez vu, le jeune homme pris la tête de sa captive et la força en retourner dans le sac. Il referma ensuite le cordon, sous les gémissements étouffés de la fille.

Edward : Vous voyez? Outre que je la retiens contre son gré, je ne fais pas tant de mal que sa. Surtout que son pauvre père ne veux qu’une chose, retrouver sa fille. Si je n’étais pas intervenue, elle aurais rejoins une petite clique de voleur et aurais terminé sa vie dans le crime. C’est pas compliqué, je lui rends même un service! Bref, je vous propose quelque chose, aidez moi à la ramener chez son père. Non seulement vous accompliriez une bonne action, mais en plus, je vous donnes la moitié de la prime. C’est un offre qui ne se refuse pas non?

Mais Edward n’eu malheureusement pas le temps d’attendre qu’elle lui donne une réponse. Une flèche vins se ficher dans son armure de cuir. La milice!!! Ils l’avaient retrouvé! Sans plus attendre, l’assassin pris le sac et ses jambes à son coup pour la déposé dans une ruelle en sûreté. Puis, il sortis son arbalète, chargea un carreau et fis feu sur son opposant. Touché! La hampe du carreau était à peine visible puisque le reste du projectile s’était enfoncé dans la jugulaire du… Ce n’était pas un milicien, c’était un des voleurs de l’entrepôt. Cela ne voulait dire qu’une chose, le reste de la bande les avaient sauvé et les miliciens étaient mort.

La théorie d’Edward ce confirma lorsqu’il vit surgir de la rue deux hommes armé de grosse massue se précipiter vers lui. Sans plus attendre, il mis son arbalète en bandoulière et dégaina ses deux épées courtes. Décidément, la soirée allait être bien longue. Mais juste avant d’entrer au corps à corps avec les deux rustres, il mis en garde la jeune elfe.

Edward : Si ses brigand réussisse à me tuer, ils te tueront à ton tour. On ne se connais pas, mais unissons nous pour le moment. Occupe toi de la seconde vague qui s’en viens et tout iras bien!!!

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