°| Ascilin |° [Noble, Intendant de l'Arcanum & Philosophe]

○ Nom/Prénom ○
Je me nomme Ascilin, Ascilin Séraphin.

○ Âge ○
Les choses auraient tendance à se compliquer à partir de là : j'ai quatre vingts ans. Je garde pourtant j'ai l'apparence d'un homme qui frôle à peine la trentaine.

○ Sexe ○
Ce qui me doit la place de duc, masculin.

○ Race ○
Demi-elfe à prédominance elfe.

○ Particularité ○
J'ai tendance à être toujours sur mes gardes et à voir toujours le plus mauvais coté des choses. Je préfère envisager la pire des choses plutôt que la meilleure car il vaut mieux s'attendre au pire, car ainsi, nous ne somme jamais déçu. Je suis aussi un fervent serviteur de la phrase "Demande le meilleur et profite de ce que obtiens".

○ Alignement ○
Communauté de la lumière.

○ Métier ○
Intendant du cercle de l'arcanum & Noble ( Cousin de Merwyn, duc de Serramine ) & Philosophe

○ Classe d'arme ○
J'utilise principalement la magie, ceci ne m'empêche pas d'avoir toujours un stylet qui, si il ne parait n'être là que comme ornement à déjà était utilisé de nombreuses fois. { Magie & Corps à corps }

○ Équipement ○
Je porte toujours sur moi un stylet, non que je ne crois pas à la magie mais dans des circonstances pressantes, il est toujours bon de pouvoir se défendre sans chercher ses mots pour lancer un sort. Un stylet est un poignard à lame triangulaire, très fine. Conçu pour l'estoc, il provoque des blessures très profondes donc très dure à guérir. Sur le pommeau se trouve un diamant bleu. De provenance elfique cette arme est particulièrement résistante.

○ Description physique ○
Pourquoi me décrire ? Vous me reconnaitrez lorsque vous me verrez. Je mesure un mètre quatre vingt huit et beaucoup me juge de squelettique. Je ne suis pas très large d'épaule et, je ne ressemble pas le moins du monde à un de ses hommes gras d'avoir trop mangé qui ronflent et bave tout en parlant pour le peuple sans ne jamais penser qu'à autre chose qu'à eux même. Non, je suis assez maigre. Mes muscles sont loin d'être surdéveloppés, j'entraine mon corps juste suffisamment pour pouvoir me défendre autrement que par magie si on m'attaquait. Je suis loin d'être une fine bouche et mes repas se limitant à du grignotage ici et là, je n'ai que la peau sur les os comme disent certains. Je n'inspire le respect que par mon nom, préférant me faire discret je ne suis pas un de ses hommes beaux a choisir de mourir, ou a attiré les regards envieux des femmes. Je ne marche pas la tête haute et le buste en avant pour me faire remarquer. Non, je préfère la discrétion, observer mon peuple sans me faire remarquer. Non. Je suis un homme qui malgré une bonne taille préfère passer par l'arrière, je n'aime pas le coté superficiel de ce genre d'homme. Je n'en suis donc pas un.
Je m'habille généralement de noir et de blanc, suivant plus ou moins la mode de la cour pour être ignorer puisque comme les autres. Ma vie se limiterait presque à se perdre dans la masse...
Mon visage est assez allongé, je garde quelques rondeur de l'enfance au niveau du visage, mes yeux sont en amande comme la majorité des elfes, à l'intérieur brille deux diamants verts foncé rarement expressif pour autre chose que de la méfiance. Vos amis sont vos ennemis, et il faut toujours garder ses amis près de soi. Mon visage est entouré par des cheveux courts, noir aile de corbeaux. J'ai la chance qu'ils ne soient pas rebelles, ils ont cependant tendance à boucler vers l'intérieur, collant donc à mon visage. Mes lèvres sont fines, elles se tordent parfois en un sourire tendre, ou adoptent - plus souvent je dois l'avouer - un rictus de méfiance.
Une barbe ? Une moustache ? Non. J'ai pris de mon père et de ses gènes elfiques la chance d'être imberbe.

○ Description mentale ○
Mon coté méfiant vous informe déjà d'un large pan de ma personnalité : Je me cache derrière une carapace que je ne serais pas amène de décrire tellement elle est ancrée en moi. Les insultes glissent sur elle comme elle ne laisse aucune attache aux gens pour me briser et me manipuler. Mes pensées et avis n'appartiennent qu'à moi et je ne donnerais ni l'un ni l'autre si je n'y suis pas disposé ou qu'on ne me le demande pas. Je suis un partisan de l'entrainement mental et de la culture. A quoi bon développé des muscles si il n'y a pas de quoi les utilisés derrière ? Non. Ceci ne serait que superficie et je le refuse... La culture est une part importante dans la vie d'un homme, et concernant l'histoire, cela fait parti de la guerre. Chaque guerre, chaque roi et chaque homme apporte une petite pierre au grand bâtiment qu'est l'Histoire. Il faut la pratiquer régulièrement, le passé sert à se souvenir d'erreurs déjà commises, des réactions. L'Histoire permet aux gens de manipuler sans en devenir manipulable.
Je n'accorde cependant pas une grande place aux sentiments chez un homme. Les sentiments sont sans doute indispensable mais il n'apporte rien de bon au monde. L'amour...? Pour certains la plus belle des choses, mais énormément de problèmes viennent de l'Amour. L'amour apporte les crimes, les pleurs, les jalousies. Chaque sentiment pourrait être décliné comme ça, voilà sans doute une autre part de ma carapace. Être insensible aux sentiments. Attention, être insensible permet de ne pas être manipulable, cela ne signifie pas qu'il faut se transformer en un être incapable de penser car il ne ressent rien ! Non ! Qui ne serait pas ému devant un jeune enfant, ou autre belles choses de la vie ? La réponse est simple : Un idiot. Non ! Non ! Il faut simplement être maître de ses sentiments, ne pas les laisser vivre au grand jours. Seuls les plus stupides hurlent leurs sentiments.
Je suis contre l'impulsivité et essaye malgré tout de la contrôler chez moi, voilà sans doute un de mes défaut. Impulsif je crains toujours de laisser passer une chance unique, je ne veux pas faire parti de ses hommes qui regrettent. Je ne veux pas avoir à me dire un jour " Ah si j'avais fais ceci ou cela". Non.
La jalousie n'a aucun impact sur moi, comme la possessivité, j'ai tout ce qu'un homme peut vouloir. Pourquoi envierais-je un homme ? Ou une femme ? Nous sommes né dans ce monde pour être tous différent, et chacun à un but dans sa vie. Inutile d'envier quelqu'un, certes l'herbe sera toujours plus verte chez le voisin, alors allez lui demandez ce qu'il fait à son herbe et regardez là de son jardin. Vous allez sans doute trouver quelques surprises.
Je n'aime pas les hommes, les elfes, les nains... alors les drows ? Surement pas ! Les Dieux nous ont crées dans un but qui me reste absolument inconnu mais il y a, pour moi, quelque chose qui dépasse de loin tous ses peuples. La Nature. La nature entière, les arbres, les fleurs et autres petites et grosses créatures. La Nature, elle, rend toujours ce qu'elle prend. Il suffit simplement d'attendre avec elle. Si seulement les peuples pouvaient prendre exemple sur elle !

○ Histoire ○
Ah.. les histoires familiales. Si tout pouvait être aussi simple pour moi que dans une petite maison de paysan ! Mais non ! Déjà, je suis né d'un mariage de convenance, un mariage sans amour. Ma mère avait 17 ans, mon père déjà 30. Elle était belle, très belle évidemment. De longs cheveux blonds tombant en cascade jusqu'au bas de son dos, un corps de formes pourtant si fin. Un sourire angélique et deux perles vertes que j'ai hérité d'elle. Mon père lui avait des cheveux coupé très court noirs avec des yeux marrons. Son visage était trop carré pour qu'il soit véritablement beau. C'était un de ses nobles style armoire à glace qui se vantait d'être un des meilleurs soldats. Un noble sans ce pouvoir qu'est l'éloquence ou simplement un brun d'intelligence. Ma mère était comtesse, mon père le frère d'un duc. Cela aurait été une magnifique avancée pour la famille de ma mère si les pouvoirs de l'ainé avaient été transféré à mon père... mais ce ne fut pas le cas ! Vous vous en doutez bien.. Un an, deux ans passèrent. Ma mère était une épouse docile bien qu'elle ait beaucoup de mal à aimé cette homme qu'elle trouvait presque vulgaire. Toujours est-il que mon père était un homme doux qui ne maltraita jamais la belle Hélène. Le devoir conjugal était souvent appliqué, pourtant, la jeune femme ne tombait pas enceinte. Des rumeurs la disait stérile, dégoutant la jeune femme; désespérant mon père : ne pourrait-il pas perpétué sa ligné ?
Et puis... Et puis tout se déroula lors d'une semaine de chasse, une de ses longues semaines ou Yvan laissait Hélène dans son manoir pour partir chasser. C'était un beau matin d'été, Hélène se baladait dans le petit jardin derrière le manoir, bien sur à coté il y avait les grandes allées et autre luxe, mais dans ce petit jardin, que des roses. Des roses venu d'ici et d'ailleurs... Un jardin spécialement conçu pour elle. Elle fredonnait une chanson - ma mère chantait merveilleusement bien - quand un serviteur arriva, en courant.

- Ma dame ! Un homme vient demander asile. Je.. je crois que c'est un elfe.

Hélène, délaissant ses roses se dirigea vers les grandes portes, et en effet c'était un elfe qui l'attendait. Il faisait au moins vingts centimètres de plus qu'elle, rayonnant, de longs cheveux noirs attachés avec un noeux et des vêtements aux teintes marrons. Certains parleraient d'un coup de foudre, je préfère utiliser le terme "attirance physique". Toujours est-il que tous deux demeurèrent bouche bée. Bien évidemment, l'asile lui fut accordé et on prit soin de lui. Le soir même, il dinait à la table d'Hélène. Le début du diner ce fit en silence, puis finalement les langues se délièrent. Il lui expliqua être un vagabond sans attache, les difficultés de sa vie, et elle lui conta les siennes.
Il leur fallu deux longs jours pour qu'ils arrêtent enfin de jouer au chat et à la souris. Cette nuit là... il se glissa doucement dans sa chambre. Ils s'aimèrent. En dehors de toute contrainte, sans mon père présent pour leur faire la morale. Leur idylle ne dura que 5 jours, ma mère écrira plus tard dans ses mémoires les plus beaux de sa vie. Elle aurait voulu restée avec lui, s'échapper... mais cela lui était impossible. Après une dernière nuit, l'elfe disparu comme il était arrivé. Plongeant ma mère dans un mutisme totale, inquiétant Yvan. Tout continuait comme avant mais pour Yvan c'était clair, il s'était passé quelque chose pendant ses 5 jours qui pesait lourd sur le manoir. Et puis... Et puis la jeune et jolie Hélène se mit à prendre des formes, son ventres s'arrondissait et ses menstrues avaient disparus. Yvan était fou de joie, mais ce n'était pas le cas d'Hélène. Et si... Et si... tant de questions se posaient dans l'esprit de la jeune femme.
Elle essaya de tuer ce bébé, à coup d'herbes d'abord, cela ne marchant pas, elle se procura un jour une dague qu'elle se planta dans le ventre. Pourtant, elle fut soignée et aucune de ses tentatives ne marchèrent pour soigner l'indésirable qui grandissait en elle. Et l'indésirable, c'était moi. Après cet "accident", Hélène fut aliter, le coup de dague m'ayant - les docteurs le pensaient du moins - sans doute affaiblie. Ne comprenant pas le comportement de son épouse, Yvan chercha désespérément une réponse, mais il n'y avait aucune trace de l'elfe dans son manoir. Il se décida alors à violer les secret s de sa jeune épouse en.. volant son carnet intime. Il decouvra alors l'arrivée de l'elfe, leur idylle éphémère. Il en fut retourner, pendant plusieurs jours il n'alla pas voir son épouse, ne supportant pas cette révélation. Plusieurs jours ? Non ! Mois ! Des mois ou il ne passait que vaguement sans jamais se décider à s'expliquer avec elle. Puis je suis né, un fils. Un fils a la santé fragile, un fils petit et faible...certes, mais un fils quand même ! De plus, je n'avais pas les oreilles elfiques et rien qui puisse rappeler à Yvan que je n'étais pas son fils. Mes cheveux étaient aussi noir que les siens et mes yeux la plus parfaite copie de ceux de ma mère. J'avais également les traits de ma mère : j'aurais pu être son fils. Et il m'accepta dans son cœur comme tel, ce qui renoua le lien entre mes parents... "en quelque sorte" puisqu'Yvan ne pouvait plus se résoudre à toucher ma mère, qui après son elfe, ne s'en plaignait pas.
J'ai grandit dans cette ambiance pesante. Yvan m'aima comme un fils bien que j'ai croisé parfois son regard peiné. Sans doute aurait-ce était plus simple pour mon père d'être proche de moi si je n'avais pas grandit si lentement... à 30 ans, j'en paraissais 10, et lui en avait 62. Ma mère 49. Et j'étais fragile par apport à mon père, beaucoup plus rapide mais je peinais déjà a soulever un de ses bâtons de bois alors une épée ! Non... mon monde se trouvait dans la bibliothèque. Je lisais, lisais et lisais, retenant ou presque chaque page par cœur. Je lisais tout genre de livre, pour satisfaire mon père, je lisais des livres de stratégie mais, si je n'arrivais pas à soulever ses armes, cela ne m'aidait pas beaucoup.
Yvan, celui qui plus que n'importe quel autre était pour moi un père, mourut d'un arrêt cardiaque 5 ans plus tard alors que j'en paraissait à peine 12. Ma mère, veuve, se concentra entièrement sur mon éducation, me concoctant des programmes chargés pour que j'assimile le plus de chose en une journée. Je devais être le meilleur ! Le fils d'Yvan qu'elle avait pourtant porté autre fois en dégout. Je ne pouvais plus passer autant de temps à la bibliothèque, maintenant, j'apprenais à me battre, restant malgré tout assez faible. Les années passèrent, et lors de ma 50ème année; ma mère s'éteignit elle aussi. Je paraissais 16 ans et déjà mon corps se bâtissait, je mangeais comme deux et pourtant gardait la même stature que celle que j'ai aujourd'hui : maigre à atteindre le squelette.

Je me retrouvais sous la tutelle de mon cousin. Il était certes plus jeune que moi mais déjà à la tête du duché. Lassé de voir les humains mourir autour de moi, tout ceux qui avaient partagé mon enfance vieillir je demandais à être envoyé a Alëandir. Alëandir la cité éternelle.

Ceci me fut accordé et quelques mois après ma demande je franchissais les portes de la belle Alëandir. Je fus fasciné par la grandeur, la magnificence... Tous étaient si beau, si gracieux, je me sentais presque le vilain petit canard à l'inverse de chez moi, chez les humains. Je passais 3 ans a essayer d'apprendre à me battre comme un elfe sur tous les plans sans véritablement y réussir. Je savais me défendre mais n'était pas assez rapide pour blesser mes adversaire. Je passais aussi de longues heures à apprendre cette cité, à la parcourir de long en larges. Y avait-il parmi ses elfes, mon père ? Me reconnaitrait-il ? Connaissait-il simplement mon existence. De nombreuses questions s'imposaient à moi. Beaucoup de rencontres également...

Un soir, je m'étais réfugié dans ma chambre, petite mais confortable et sans luxe aucun. Il se produit pour moi une chose des plus extraordinaires, j'étais assez énervé de ne pouvoir manier une fois de plus les cimeterres et tenait un petit caillou dans ma main. Un caillou lise et plat. Je me concentrais je ne sais pour quoi et fermait ma main de toute mes forces... J"avais fermé les yeux, et quand je les rouvrit il n'y avait plus rien dans ma main... et le caillou était par terre. Je descendait en hâte voir mon maître d'arme pour savoir ce qu'il s'était passé. La pierre n'était pas tombé, j'en étais certain. J'étais très fatigué aussi.. le maître haussa juste un sourcil et m'envoya me recoucher. Pourtant, cette découverte m'obsédait. Ma colère était tombée et j'avais beau regarder encore et encore le caillou, je ne comprenais pas.
Le lendemain, un homme discutait avec mon maître, il semblait avoir 45 ans et en avait sans doute plus de 200 mais cela m'importait peu. Il me dévisageait avec intérêt, murmurant quelques paroles avec mon maître. Il me fit faire toute une série de chose, affichant des mines plus ou moins réjouîtes a chaque fois. Je ne comprenais pas. Un mois plus tard, et sans véritablement comprendre j'entrais à l'académie elfique de magie pour contrôler mon élément : l'eau.
J'échangeais bon nombre de lettre avec mon tuteur, qui, se réjouissait de mes progrès. J'appris également la naissance qu'il eut d'un fils. Je voyais donc 3 générations se succéder. Je resta 38 ans avec cet homme à l'académie. Il m'expliqua tout, même si ses explications me paraissaient flou, il ne me restait plus qu'à les démêlé, il m'instaura à la critique, à l'importance de l'histoire, à la philosophie... Chaque jour mes pouvoirs augmentaient, chaque fois que je me surpassais, Beleg - mon maître - murmurait pour lui que plus que n'importe quel autre, ma magie bouillait dans mes veines. Grâce à la magie je compensais la honte que j'avais toujours eu de ne pas être doué lorsqu'il s'agissait d'armes... D'Ascalin l'impuissant, je devenais Ascalin le magicien.
Je passais tous mes jours et une partie de mes nuits à exercé ma magie ou à lire différent ouvrages, je réfléchissais beaucoup également; Tout ceci me laissait peu de temps pour les femmes... certes j'en trouves beaucoup belle mais aucune n'a su attirer mon regard, et je ne veux pas enchainer une de ses merveilles a moi sous prétexte que je suis un homme. J'ai tout mon temps pour le mariage... me voilà donc à 88 ans sans jamais avoir connu de femmes. Et cela ne me dérangeait pas plus que cela en réalité...

Beleg me convoqua un jour, m'apprenant pour ma plus grande surprise que mon entrainement était terminé. J'ai toujours pensé qu'il exagérait quand il me disait que mon niveau égalait presque le sien...j'étais catastrophé. Mon petit monde s'effondrait. Je quittais Alëandir pour revenir au manoir quelques mois, il était toujours très bien entretenue malgré qu'il n'y ait personne à l'intérieur. Ne souhaitant pas rester habité au manoir, et partant du principe que mes serviteurs ne devaient pas entretenir cette maison pour rien, j'y fit construire un orphelinat pour une dizaine d'enfants. Ils y seraient bien traité, ici au moins...

Je m'installa à la cour.. pour voir le roi humain Ultuant abdiquait et le prince bâtard Trystan prendre la tête du royaume. Ce roi est aveugle mais j'ai énormément d'estime pour lui, d'abord pour avoir su se marier non pas par intêret mais par amour avec la reine Lilianna - du moins, après la cérémonie du mariage nous l'avons compris - également parce qu'il partage la magie et qu'il commande le cercle de magicien : le cercle de l'arcanum.
Je reste discret comme toujours, discret mais fidèle. J'ai toujours un échange épistolaire avec Beleg... dans la rumeur de guerre, jze ne resterais pas cloitré dans le château de Diantra mais mettrait mes pouvoirs au service de la royauté et de l'alliance des trois peuples.
~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : Génial :drunken:
Comment as-tu connu le forum ? : Par Shawn
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : http://orioto.deviantart.com/art/Soon-to-be-Prince-50994880

J'adoooore ! :love:

\°/ Wualidé ! \°/

Like a Star @ heaven

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven

Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Like a Star @ heaven

Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
Like a Star @ heaven

N'oublie pas de lire les règles sur la Magie, de choisir tes Sorts, de les réclamer dans la partie demande, et de les entreposer dans l'Inventaire !

Ouuuuuh ! Merchi Puce !

( J'avais oublié de préciser: "compte autorisé par Révérie")

» Celindel de Delebrimir - Philosophe, Érudit et Mage errant
» Bienvenu à l'Intendant
» Von Konrad Follsferg [Intendant & Duelliste]
» Pour une fête (pv : Intendant de Diantra)
» Missive pour l'Intendant d'Oësgard

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée